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    99 Homes
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    82 critiques spectateurs

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    elbandito
    elbandito

    344 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2016
    Un thriller social sans concession porté sur les larges épaules de Michael Shannon, épatant en monstre né d’un système corrompu, et celles plus fluettes, d’un Andrew Garfield étonnant dans le rôle de l’agneau devenu loup au contact du prédateur. Grand Prix du festival du film américain de Deauville 2015, un film captivant et nécessaire dans la lignée de The Big Short.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2016
    Alors que tant de navets sortent sur grands écrans chaque semaine, bizarrement ce film est arrivé directement en VOD chez nous. Il a pourtant été couronné par le Grand Prix du dernier Festival de Deauville. A juste titre, car, même si l’ensemble est plutôt classique, il est très réussi. La mise en scène est agréable, serrée, sans être virtuose pour autant. C'est bien écrit. On suit l'évolution psychologique du personnage avec empathie et sans jugement, même si lui ne semble pas avoir (trop) d'états d'âme. Et puis on comprend facilement ce qui se passe. Pas comme dans The big short, dont 99 homes pourrait être une suite logique. C'est aussi impeccablement interprété. Andrew Garfield nous offre une prestation fiévreuse très convaincante tandis que l'excellent Michael Shannon s'en tire mieux en salaud (mais tout est légal...ou presque) qu'en père de famille de jeune extraterrestre dans le fadasse Midnight Special. Un bon moment donc pour ce drame social et familial efficace sur fond de crise financière. Une sortie en salle aurait été amplement méritée...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mars 2019
    "99 Homes" est avant tout un film choquant, empreint de malêtre. Le scénario et la mise en scène original de Ramin Bahrani est parfaite, donnant une impression totale de réalisme. Bien que des sujets similaires ai déjà été traiter au cinéma, celui-ci est abordé de par son style unique, de façon différente et rarement vue ailleurs. Les acteurs principaux sont remarquables de crédibilités. Ce film relatant des faits réels survenus lors de la crise immobilière aux états unis, dont d'innombrables familles se sont faites expulsés de leurs maisons, faute de n'avoir pu honorer le paiement de leur crédit est poignant.
    fandecaoch
    fandecaoch

    1 038 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 février 2016
    99 Homes : Déjà, Je tiens à félicité Allociné d’avoir organisé pour le club 300 cette avant première en e-cinéma de ce film, c’est sympa de regarder le film chez soi, même si ça remplace pas l’écran de cinéma mais c’est une bonne initiative, en plus en vost, c’est mieux pour l’immersion, donc encore merci car c’est une bonne chose et quand en plus, le film est juste excellent, c’est encore plus une bonne surprise. Car oui, le film est formidable que ce soit sur le fond ou la forme. Et ce qui ma bien plus, c’est que il est bien rythmé, on s’ennuie vraiment pas car il y a pas d’action, c’est du dialogue et tout. Mais la narration est parfaite, c’est bien dosé, faut dire aussi que le sujet est intéressant, mais il y a un point qui accentue le rythme dans la forme, c’est pour commencer la musique. Il y a toujours une musique un peu pêchue qui accélère le rythme dans les moments forts en émotions, et ça met une petite tension et c’est pour ça qu’on ne décroche pas. Il y a aussi la réalisation qui est bien adaptée, pas mal de plan caméra épaule serré sur les personnages avec un flou derrière, faut que ça soit maitrisé pour que ça rende bien et c’est le cas, ça renforce les émotions des personnages et le jeu acteur. Car en plus, quand les acteurs sont géniaux, ça rend bien à l’écran cette mise en scène qui est dans l’absolu bien cadré aussi, ça bouge un peu mais c’est maitrisé. Revenons aux acteurs, j’aime ses films un peu indépendants ou les acteurs peuvent s’exprimes. On a connu Andrew Garfield pour sa bonne performance dans The Amazing Spider-Man, mais la, on le retrouve dans un film posé et c’est la qu’il excelle, il a vraiment de l’émotion dans son interprétation, il est juste et convaincant, il faut dire qu’il a du talent. Pareil pour les autres acteurs, ils sont très bon, Michael Shannon joue très bien la vermine qui fait rêve le personnage de Andrew Garfield. Car pour l’histoire, c’est lui-même qui est dans une situation délicate, il est expulsé avec sa mère et son fils de sa maison par la société ou travail Michael Shannon, et après, il va lui donné du travail comme il est bon bosseur et il va faire son travail d’expulseur et bien gagné de l’argent, donc c’est un peu le métier du diable et il va tomber dans un cercle vicieux mais il a de bonne raison. Non vraiment, le scénario est bien écrit, il traite bien son sujet, ils nous le présente avec des moments d’émotions et des personnages attachants qui évolues dans le bon sens, même si la fin est assez inattendu, un poil rapide aussi à mon goût. Mais sinon, c’est un super bien, intéressant, prenant, maitrisé et bien interprété, je vous le conseil.
    BeatJunky
    BeatJunky

    150 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2016
    Encore un excellent e-film (logiquement récompensé) qui confirme aux grands Studios qu'ils ont raison d'avoir peur de cette nouvelle façon de sortir des films... Un drame social captivant de bout en bout grâce à une excellente interprétation d'Andrew Garfield et de Michaël Shannon mais aussi de la mise en scène simple et efficace de Ramin Bahrani assez engagé. Il le prouve ici encore avec cette histoire sur le business de l'immobilier et de ses agents insensibles à la situation de ces familles sur la paille et qui surtout en profitent pour s'enrichir sur leur dos... Le film et sa mise en scène m'ont beaucoup fait penser à "the big short" mais celui-ci est beaucoup plus intéressant car plus accessible, moins complexe... Ce qui ne l'empêche pas d''être captivant et de soulever des questions intéressantes sur le fait de tolérer ou pas ces pratiques douteuses selon le côté de la barrière où l'on est : C'est toute la question que va devoir se poser le personnage d'Andrew Garfield : Va t'il pouvoir oublier ce que lui et sa famille ont vécu et laisser sa conscience et ses principes de côté, fermer les yeux sur les lois et profiter du système pour s'enrichir et risquer de devenir le même genre de personnage que son patron impitoyable interprété par M.Shannon qui n'est jamais aussi convaincant que dans ce genre de rôle de pourri ! Captivant je vous dis ;-)
    Alain D.
    Alain D.

    586 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2016
    Coécrit et réalisé par Ramin Bahrani, ce drame nous montre des scènes moralement violentes. La mise en scène sans fioritures ni audace particulière, est techniquement correcte. Le scénario évoque la crise sociale aux USA et montre la loi impitoyable des saisies de biens immobiliers des mauvais payeurs. Grand prix du Festival du Cinéma Américain de Deauville en 2015, ce film évoque parfaitement la culpabilité à exercer un travail moralement réprouvable. Cette histoire dramatique est superbement interprétée par Michael Shannon et Andrew Garfield dans le rôle de Dennis Nash.
    FaRem
    FaRem

    8 647 abonnés 9 528 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Que se passe-t-il lorsqu'on passe de l'autre côté de la "barrière" et qu'on se retrouve à faire le même job que celui qu'on a tant détesté ? C'est ce que montre Ramin Bahrani à travers Dennis Nash, un jeune père de famille vivant avec sa mère qui n'a d'autre choix que de faire ça pour subvenir aux besoins de sa famille avec comme intention finale de récupérer sa maison qu'on lui a enlevée. C'est alors un vrai dilemme moral qui se pose à savoir faire ce qui est bien sous peine de couler ou faire quelque chose qui nous rebute avec une grande chance de s'en sortir. Le film ne se limite pas qu'à ça puisqu'il est surtout question d'une triste réalité avec ces hommes d'affaires qui n'hésitent pas à jouer avec les lois ni à profiter de la crise financière pour se faire un max de fric quitte à mettre à la rue des pauvres gens qui ne sont plus que des numéros et une affaire de plus à leurs yeux. Ce drame social prend aux tripes, il est poignant, captivant et émouvant. J'ai vraiment trouvé le film excellent, c'est traité avec simplicité, mais le sujet est tellement porteur qu'il n'y avait pas besoin d'en faire plus. L'histoire est très forte, mais si le film est aussi réussi, c'est en grande partie grâce aux incroyables prestations de Michael Shannon et d'Andrew Garfield qui signe surement sa meilleure performance.
    Thomas P
    Thomas P

    35 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2015
    L'aventure cynique et ironique d'un spoiler: agneau devenu loup
    . Injustice d'un monde où la morale et la survie semblent (à tort) incompatibles.
    La guerre des valeurs et des sentiments offre une bataille sanglante et poignante où Michael Shannon, admirablement possédé par ce rôle de prédateur, pense à sa propre survie au cœur d'un monde vacillant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 février 2016
    Un film fort et intense, on se sent concerné par les déboires de cet anti-héro et on se surprend meme plusieurs fois à se demander : et moi qu'aurais je fait à sa place ?
    Scorcm83
    Scorcm83

    102 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2016
    Décidément, la crise des sub-primes semble inspirer le monde du cinéma ces derniers temps. Déjà évoqué dans Le Loup de Wall Street deux ans plus tôt, expliqué d'une main de maître dans The Big Short l'année dernière, le krash boursier revient sur les écrans (d'ordinateur seulement...) en 2016 à travers ce 99 Homes, une sorte de complément romancé et dramatisé, pour lequel on se place cette fois ci du côté des victimes, en prenant le spectateur par le biais (facile) de l'empathie.

    Le fait est que ça marche, on est dedans dés les premières secondes, et on reste accroché à l'intrigue jusqu'à la dernière minute. En effet, ce 99 Homes est extrêmement maîtrisé, tant au niveau de la réalisation, qui se révèle efficace et rythmée, que du jeu d'acteurs. Andrew Garfield est exceptionnel, Michael Shanon royal comme à son habitude et le reste du casting tout aussi convaincant (Laura Dern notamment). On suit le combat de Denis Nash, jeune père de famille dont les responsabilités l'obligent à s'occuper de sa mère et de son fils unique et qui se voit expulsé de sa maison par un certain Rick Carver. Il va alors devoir s'allier à ce dernier pour gagner de l'argent et espérer récupérer sa maison.

    Autant dire que l'enjeu ici est d'ordre moral, il ne s'agit pas véritablement d'une critique du système immobilier des Etats-Unis mais véritablement mais d'une chronique, celle d'un homme qui va devoir aller au delà de ses principes pour s'en sortir, un film axé sur le choix et l'ambivalence morale. Cette ambivalence est véritablement ce qui fait tenir le film et Andrew Garfiel est ici génialissime, on rentre en totale empathie avec lui et on le comprend tout le long malgré la nature de ces choix.

    99 Homes est donc un film prenant, touchant, loin d'être didactique, plus romancé, plus hollywoodien paradoxalement que The Big Short, mais il reste très intéressant et très fort.

    A voir !
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    692 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 décembre 2019
    99 Homes est une brillante étude du système immobilier, transactionaire et banquier américain. Porté par le charisme de Michael Shannon et la maladresse touchante d'Andrew Garfield, ce drame social poignant et fluide, suffisamment pertinent et subtil pour éviter le pathos, n'évite pas le manichéisme, mais demeure une véritable œuvre aboutie et engagée.

    https://www.critique-film.fr/test-dvd-99-homes/
    L?c!s_H00d
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    185 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2016
    Vu à l'occasion d'une projection privée à Paris, "99 Homes" n'était pas un film que j'attendais particulièrement cette année. Le casting et la bande annonce m'avaient intrigué, mais l'attente n'était pas présente. Et bien ma fois, c'est une belle surprise. Une très belle surprise même.

    "99 Homes" relate la crise des subprimes américains à travers le regard d'une famille expulsée de chez elle. Ramin Bahrani ("Man Push Cart") livre un film d'une grande et poignante intensité, et intelligemment construit. Lauréat du Grand prix au Festival du film Américain de Deauville en 2015, "99 Homes" est une œuvre forte en émotions, nerveusement mise en scène et portée par d'excellents acteurs. La mise en scène de Ramin Bahrani est très efficace. Les longueurs ne sont aucunement présentes, l'immersion est totale. L'histoire est fascinante à suivre, totalement happante et nous présente des personnages attachants. L'atmosphère lourde du long-métrage nous prend au tripes, tout en laissant place à des séquences de fêtes joyeuses très bien filmées. La réalisation est d'ailleurs superbe, tout comme la photographie et les décors. Tantôt nerveuse pour intensifier la dureté des scènes, tantôt plus calme pour alléger le sujet dur du film, la caméra filme son récit avec intelligence. La symbolique de certains plans, certaines scènes mettant en valeur les dilemmes moraux des personnages et les tournures scénaristiques pour éviter les clichés ainsi que les facilités, sont puissamment retranscrites à l'écran, accompagnées d'une bande sonore prenante. La musique est en effet très bien orchestrée par Antony Partos et Matteo Zingales, accompagnant l'ensemble du long-métrage avec brio. De plus, elle insuffle au spectateur un sentiment d'être face à un thriller nerveux.

    Car oui, plus qu'un boulversant drame social, "99 Homes" est un pur thriller économique. "99 Homes" traite un sujet fort, bien que déjà abordé au cinéma. Par exemple, le récent "The Big Short" d'Adam McKay, sorti l'année dernière, abordait le sujet de la crise économique américaine avec plus de finesse et recherche. Ici, c'est l'histoire d'une famille mise à la rue par les banques. Valorisant la psychologie de ses protagonistes et antagonistes, ainsi que les dilemmes auxquels ils doivent faire face, Ramin Bahrani offre à son spectateur une tension implacable. La loi du plus fort est au cœur de l'histoire, grâce à l'homme qu'incarne magistralement Michael Shannon ("The Iceman"). Celui-ci est aussi effrayant qu'intelligent, il donne à son personnage un charisme irréprochable. Face et avec lui se trouve Andrew Garfield, que j'avais découvert dans les "Amazing Spider-Man" de Marc Webb et le "Social Network" de David Fincher. Il interprète tout aussi bien son rôle, sa performance est hallucinante. Les émotions que dégagent les acteurs sont fortes, et ne laissent pas indifférentes. Laura Dern ("The Master") est quant à elle mise en retrait, mais reste tout de même très convaincante. Le casting est bon, bien géré ; les personnages partagent leurs ressentis intensément.

    "99 Homes" un drame fortement intéressant, réaliste, qui bouleverse, grâce à une mise en scène recherchée et une histoire poignante. Certes ce n'est pas un chef d'œuvre, mais il reste un excellent film très bien construit.
    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2017
    Le film frappe fort d'entrée avec un Michael Shannon parfait dans le rôle du charognard qui vient se nourrir sur les restes du crack boursier. Par la suite on assiste principalement au cas de conscience d' Andrew Garfield. D'abord victime du système il voit l'opportunité de rentrer dans la combine malheureusement le choix de cet acteur ne me parait pas très judicieux il a vraiment un jeu trop monolithique, on en a vite marre de voir sa tête de chien battu. Il faut rajouter à ça un final pas très inventif, le film reste cependant une mise en lumière d'un système de dépouillement des plus faibles même si le scénario reste assez vague sur son fonctionnement.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2016
    Inspirée de faits réels, c’est l’histoire d’un jeune couvreur (Andrew Garfield) qui vit avec son fils et sa mère [Laura Dern, connue, notamment pour avoir joué Lula dans « Sailor et Lula » de David Lynch en 1990] et qui est expulsé de sa maison en Floride (pour non remboursement du crédit). Pour la récupérer, il accepte de travailler pour le promoteur immobilier (Michael Shannon) à l’origine de la saisie de sa maison par la banque. Ce dernier est d’un terrible cynisme spoiler: et n’hésite pas à déprécier les biens saisis pour ensuite les rééquiper avec le matériel qu’il a volé et qu’il facture au prix fort
    . Un film d’une redoutable efficacité (expulsion d’une grande violence psychologique filmée en un long plan séquence au début du film, montage serré) sur le système économique et judiciaire des Etats-Unis, nation où tout est fait pour les gagnants ; ces derniers ne représentent que 1 % de la population. Tant pis pour les 99 autres (d’où le titre). Le scénario est bien construit et interroge sur le devenir de la victime qui devient à son tour bourreau. .
    tixou0
    tixou0

    699 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 février 2016
    Un vrai/faux reportage édifiant sur la crise des "subprimes", côté victimes - tous ces Américains qui y ont perdu leur maison, la plupart du temps des petites gens. "Inspiré de faits réels", ce docufiction donc est interminable (près de 2 heures, de caméra à l'épaule), se concluant, après un exposé par le menu sur l'air du "comment devenir riche sur le dos des pauvres" (un méchant agent immobilier corrompt un père célibataire méritant, et lui apprend son vilain métier, l'ayant ruiné - comme tant d'autres - dans un premier temps), sur une morale abrupte ( spoiler: le gentil, un instant tenté par le mal, redevient gentil..
    .). Ce "99 Homes" (titre justifié par une magouille d'ampleur fomentée par le méchant) n'a d'intérêt qu'informatif - sur la facilité avec laquelle on est saisi et expulsé aux E-U (à comparer avec un droit français, nettement plus protecteur pour les débiteurs infortunés).
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