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Votre avis sur Le Chemin du pardon ?
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Typiquement le film que j'aurais pu trouver nullissime. Une ode à la religion, presque un film militant à ce stade, pour une religion monothéiste qui n'est vraiment pas ma tasse de thé. Et pourtant ce film m'a beaucoup touché, malgré son rythme 'lentissime' au possible, ses quelques clichés très basiques et cousus de fil blanc, et sa morale à deux balles.
Mais au final, ça fonctionne, je dois être bon public. L'interprétation est magistrale, les acteurs très crédibles et bien castés, le scénario bien traité, et le tout est assez touchant, même s'il semble évident qu'une ficelle aussi grosse en dégoûtera plus d'un. Je l'ai trouvé vraiment intéressant.
Mais au final, ça fonctionne, je dois être bon public. L'interprétation est magistrale, les acteurs très crédibles et bien castés, le scénario bien traité, et le tout est assez touchant, même s'il semble évident qu'une ficelle aussi grosse en dégoûtera plus d'un. Je l'ai trouvé vraiment intéressant.
Honnêtement, je ne m'attendais pas à autant apprécier ce film. Vu les critiques je m'étais passe ton chemin mais il est pour moi un réel bijou et fait désormais parti de mes films préférés. Il a répondu à nombreuses de mes questions et m'a fait réfléchir .... l'histoire est bouleversante et met en lumière un des plus beaux messages d'amour !
Un grand coup de cœur pour ce beau film. L’histoire et le thème sont racontés avec beaucoup de douceur. L’acteur (celui d’Avatar) est très juste dans son interprétation. Ce film fait du bien au moral. Le chemin du pardon est parfois difficile, il suffit juste de prendre la vie dans le bon sens.
Un film qui parle de Dieu et du pardon, je n'y ais pas cru avec la bande annonce, je me disais ça aura un côté sordide et beaucoup de cliché. Et pas du tout, ce n'est pas ni un film du monde, ni un film religieux, mais on arrive au cœur de l'homme sans préjugés à mon sens, droit au cœur.
Originalité dans la mise en scène (mais chut !). Beaucoup y voient "Dieu" pourtant, tout le long du film, on le désacralise même jusqu'à son nom.
Un film à prendre au second degré (surtout !), Un drame sur le deuil et l'après, comment tenter de s'en "relever". Tout en symbole, le film a le mérite de déranger en orientant que toute chose est bonne pour repartir.
De très bons acteurs, scénario bien construit, l'ensemble un peu trop long pour ma part.
Certains détesteront si pris au premier degré (erreur). 3/5 !!!
Un film à prendre au second degré (surtout !), Un drame sur le deuil et l'après, comment tenter de s'en "relever". Tout en symbole, le film a le mérite de déranger en orientant que toute chose est bonne pour repartir.
De très bons acteurs, scénario bien construit, l'ensemble un peu trop long pour ma part.
Certains détesteront si pris au premier degré (erreur). 3/5 !!!
Un film critiquable sur la forme : le jeu d'acteur est moyen, la bande son pas terrible, les effets spéciaux déplorables, etc...Bref, on ressent le manque de budget. J'ai pourtant mis 5 étoiles à ce film qui restera, malgré son emballage éco , un de mes films préférés. Plus l'histoire se dévoile et plus on entre en résonance avec ce papa blessé par la vie, essayant de trouver un coupable à tous ses maux. C'est alors que surgit la scène du jugement. Frappé par tant de sagesse, c'est toute notre vie qu'on remet en question. Suis-je mieux que ce père ? Ou, tout comme lui, ai-je passé ma vie entière à juger les autres à travers mon filtre idéologique ? N'avons-nous jamais contribué par nos jugements hâtives à façonner les dépressives et les délinquants d'aujourd'hui ? Ne sommes-nous pas co-actionnaire du mal qui ronge nos vies ? Une chose est certaine, on ne voit plus nos relations sociales de la même façon quand vient le générique final. Ce film est une claque édulcorée. Elle secoue, nous bouleverse, mais nous fait du bien.
Outre le fond, je tiens également à souligner la beauté de la symbolique, le jardin, les larmes, on retrouve un côté poétique qui contribue grandement à la beauté du film. Je le recommande à toutes les personnes en quête de spiritualité ou qui rechercheraient tout simplement...le chemin du pardon :-)
Outre le fond, je tiens également à souligner la beauté de la symbolique, le jardin, les larmes, on retrouve un côté poétique qui contribue grandement à la beauté du film. Je le recommande à toutes les personnes en quête de spiritualité ou qui rechercheraient tout simplement...le chemin du pardon :-)
Ce film n est pas une propagande sur la religion. Mais une bonne réflexion sur le pardon s'il nous arrivait une catastrophe comme ils le vivent dans le film serions-nous pardonner et encore marié ? Arriverions nous à s'occuper de nos enfants ? Le pardon n'est pas simple quand on a vécut un drame. Ce film nous donne à réfléchir.
Je trouve regrettable que ce film soit aussi mal noté. Ce qui pourrait en dissuader plus d'un de ne pas le voir . Fort dommage. Pour moi ,Bien que le sujet de la foi soit traitée /à ne pas confondre avec LA RELIGION. Ce film est avant tout une réflexion sur la vie , La capacité à traversér des épreuves .
Le scénario est bien écrit .. jai aimé la façon donc l'histoire est écrite , La vision de l'auteur . Je suis sûre que ceux qui ont mal noté sont athées. Dommage quils n'aient pas vu au-delà...
Ce n'est en rien du prosélytisme , une fois vue . Rassurez vous vous reprendrez un train de vie normal.
Moi, j'en ai été émue je dis bravo
Le scénario est bien écrit .. jai aimé la façon donc l'histoire est écrite , La vision de l'auteur . Je suis sûre que ceux qui ont mal noté sont athées. Dommage quils n'aient pas vu au-delà...
Ce n'est en rien du prosélytisme , une fois vue . Rassurez vous vous reprendrez un train de vie normal.
Moi, j'en ai été émue je dis bravo
Vu le 30/01/2019.
Je suis toujours atterré quand je vais sur des sites de critiques que je vois la sauvagerie des critiques quand un film parle de Dieu. C'est vrai, pourquoi le gens se bornent-ils à regarder un film pour baver toute leur méchanceté sur Dieu, s'ils sont athés? alors pourquoi perdre leur temps pour le plaisir de critiquer? ça m'attriste tout cette bêtise humaine.
J'ai beaucoup aimé ce film. Pour l'apprécier, il faut à minima connaitre la Bible et ne pas le prendre au pied de la lettre, comprendre que si Dieu se "déguise" en femme dans le film, c'est pour toucher un homme qui martyrisé par son père dans sa jeunesse (ce dernier n'était sans doute pas chrétien, il en avait juste l'apparence) serait bien plus sensible à une apparence féminine. Dans la Bible, Dieu n'a pas de visage, il est Esprit, mais pour le film, perso, ça ne me choque pas qu'il ait une apparence, c'est plus parlant pour le spectateur ainsi que pour Mack. Même certains sites chrétiens très bien comme larebellution.com critiquent ce film mais moi, il m'a touché. Ca m'a vraiment fait du bien, ça ne changera pas ma foi qui est déjà faite mais j'ai été vraiment touché par cette douceur, les réponses apportés par les personnages, cette tendresse. je pense qu'il n'y a pas qu'une façon d'amener une personne à rencontrer Dieu et pour certains ce film en fait partie.
Le sujet est terrible (un père qui perd sa fille assassiné par un pervers et qui vit désormais dans la morosité et qui rêve de vengeance, la haine au cœur) et Sam Worthington est touchant de vérité de même que Avraham Aviv Alush qui joue le rôle de Jésus, on aimerait l'avoir pour ami cet acteur.
Je ne peux que conseiller ce film que vous soyez croyant ou non, prenez le sans à priori
Je suis toujours atterré quand je vais sur des sites de critiques que je vois la sauvagerie des critiques quand un film parle de Dieu. C'est vrai, pourquoi le gens se bornent-ils à regarder un film pour baver toute leur méchanceté sur Dieu, s'ils sont athés? alors pourquoi perdre leur temps pour le plaisir de critiquer? ça m'attriste tout cette bêtise humaine.
J'ai beaucoup aimé ce film. Pour l'apprécier, il faut à minima connaitre la Bible et ne pas le prendre au pied de la lettre, comprendre que si Dieu se "déguise" en femme dans le film, c'est pour toucher un homme qui martyrisé par son père dans sa jeunesse (ce dernier n'était sans doute pas chrétien, il en avait juste l'apparence) serait bien plus sensible à une apparence féminine. Dans la Bible, Dieu n'a pas de visage, il est Esprit, mais pour le film, perso, ça ne me choque pas qu'il ait une apparence, c'est plus parlant pour le spectateur ainsi que pour Mack. Même certains sites chrétiens très bien comme larebellution.com critiquent ce film mais moi, il m'a touché. Ca m'a vraiment fait du bien, ça ne changera pas ma foi qui est déjà faite mais j'ai été vraiment touché par cette douceur, les réponses apportés par les personnages, cette tendresse. je pense qu'il n'y a pas qu'une façon d'amener une personne à rencontrer Dieu et pour certains ce film en fait partie.
Le sujet est terrible (un père qui perd sa fille assassiné par un pervers et qui vit désormais dans la morosité et qui rêve de vengeance, la haine au cœur) et Sam Worthington est touchant de vérité de même que Avraham Aviv Alush qui joue le rôle de Jésus, on aimerait l'avoir pour ami cet acteur.
Je ne peux que conseiller ce film que vous soyez croyant ou non, prenez le sans à priori
sublime! ce film est tout simplement sublime, a la fois simple mais tellement juste!
que l'on soit croyant ou pas , on ressort un peu plus en paix avec soi-même.
que l'on soit croyant ou pas , on ressort un peu plus en paix avec soi-même.
Bien que les 40 premières minutes m'ont un peu paru longues, j'étais curieux de voir comment cette histoire allait se poursuivre; j'ai bien aimé, surtout grâce à la présence des acteurs comme Octavia Spencer (excellente actrice pour incarner le rôle de Dieu => aussi crédible que Morgan Freeman pour ce rôle), Sarayu Sumire Matsubara ou encore Avraham Aviv Alush. C'est quand ils apparaissent pour la première fois que le film démarre vraiment. J'ai pu passer un bon moment, le film est loin d'être niais, ni une ode à la religion avec ses clichés. Je conseille de voir ce film en famille un soir d'hiver neigeux autour d'un bon feu de bois.
Même si le thème du film évoque clairement la démarche vers le pardon (d’où le titre :-), l’ellipse utilisée par le réalisateur est non seulement contestable, mais qui plus est, naïve et trop moralisatrice à mon sens. Le scénario aurait pu éviter de sombrer dans des situations à la limite du grotesque, quant au parti clairement affiché par la réalisation, ne pouvait provenir que d’une production américaine. Les quelques pirouettes des dialogues utilisées pour tenter de faire passer au second plan la religion chrétienne ne sont là que pour que le réalisateur puisse se donner bonne conscience, mais il s’agit à l’évidence d’une forme de prosélytisme à peine déguisée et c’est ce qui m’a énormément gêné dans ce film maladroit, qui dans son ensemble reste plutôt ennuyeux.
Le comble du film naïf et apologétique cherchant à prouver (mais avec quelle nunucherie) que Dieu existe et qu'il s'occupe de nous! L'histoire est tellement édifiante et tellement invraisemblable qu'on se demande comment on a pu la concevoir! Tout ça pour nous convaincre de rejoindre les évangélistes! Quelles âneries!
Film merveilleux, à la fois triste et joyeux.
Film ayant une véritable morale, ce film arrive a nous faire remettre en questions sur des tas de choses tel que la vie, le pardon, la mort, l'amour
Film ayant une véritable morale, ce film arrive a nous faire remettre en questions sur des tas de choses tel que la vie, le pardon, la mort, l'amour
Voilà le genre de film que l'on ne rencontre pas tous les jours. Mack, profondément traumatisé par une adolescence plus que violente, voit l'un de ses enfants emporté par un criminel dont on ne saura jamais rien. Dès lors, il n'est plus qu'une boule de haine et de colère envers l'assassin, mais également envers Dieu. Dans la vision strictement catholique qui est la sienne, Dieu est le créateur de toutes choses et donc forcément le responsable majeur des horreurs qui souillent la terre. Il est facile de comprendre cette réaction très humaine.
Mais, par une étrange et mystérieuse intervention du Cosmique, il se voit donner la capacité d'expérimenter une voie nouvelle, celle du pardon. Or, même si l'on n'a pas vécu un drame semblable à celui de Zack, il est aisé de concevoir que le pardon est l'une des attitudes les plus difficiles à adopter lorsque la blessure ressentie est toujours à vif. Le récit va donc entraîner le spectateur dans une exploration mystique de l'expérience vécue par Zack. Et, avouons le tout de go, la mise en images fait d'emblée un peu peur.
Certes, Dieu n'a pas l'apparence d'un vieillard à la barbe blanche. C'est déjà ça de gagné ! Mais il revêt la forme d'une dodue femme noire (Octavia Spencer), appelée 'Papa', ce qui ajoute encore de l'incongruité à la représentation. L'aspect positif, c'est qu'elle dégage la bonté d'un être tel 'Amma', à laquelle elle ressemble d'ailleurs physiquement. L'aspect négatif, c'est que contempler Dieu en train de cuisiner dans sa cabane, entouré de Jésus (Avraham Aviv Alush) qui, à l'occasion, marche sur les eaux du lac, et de la superbe Sarayu (Sumire Matsubara), c'est une pilule passablement dure à avaler. Même si l'on sait que la représentation que chacun a du divin est à la mesure de sa conception intérieure, aussi orientée que déformée par les religions, et limitée dans sa perception de la réalité. Mais, comme chacun des humains n'est pas prêt à vivre, par l'illumination, une connaissance de toutes façons intransmissible tant dans les mots que dans les images, il est sage de se contenter de ce qui nous est montré ici, visuellement somptueux, et de se réjouir du petit 'miracle' qui métamorphose la vie de Zack ainsi que de sa famille et de ses proches. Le scénario ( six intervenants, tout de même ! ) réussit relativement bien à rendre vraisemblable et acceptable le revirement intérieur de Zack, mais nous nous serions bien passés du commentaire en voix off, parfois lourdement moralisateur et très orienté conception religieuse.
Toujours est-il que le message transmis, quelle que soit sa forme cinématographique, est pur, que le drame pose d'excellentes questions et qu'il ouvre la porte à quelques interrogations judicieuses sur notre propension pathologique à émettre des jugements péremptoires alors que nous n'avons qu'une vision ridiculement partielle des données. Alors sans doute le prosaïsme de l'oeuvre irritera-t-elle nombre de spectateurs. Mais peut-être aussi saura-t-il, par sa simplicité, émouvoir profondément et entrouvrir une porte vers l'unification avec la Conscience source...
Mais, par une étrange et mystérieuse intervention du Cosmique, il se voit donner la capacité d'expérimenter une voie nouvelle, celle du pardon. Or, même si l'on n'a pas vécu un drame semblable à celui de Zack, il est aisé de concevoir que le pardon est l'une des attitudes les plus difficiles à adopter lorsque la blessure ressentie est toujours à vif. Le récit va donc entraîner le spectateur dans une exploration mystique de l'expérience vécue par Zack. Et, avouons le tout de go, la mise en images fait d'emblée un peu peur.
Certes, Dieu n'a pas l'apparence d'un vieillard à la barbe blanche. C'est déjà ça de gagné ! Mais il revêt la forme d'une dodue femme noire (Octavia Spencer), appelée 'Papa', ce qui ajoute encore de l'incongruité à la représentation. L'aspect positif, c'est qu'elle dégage la bonté d'un être tel 'Amma', à laquelle elle ressemble d'ailleurs physiquement. L'aspect négatif, c'est que contempler Dieu en train de cuisiner dans sa cabane, entouré de Jésus (Avraham Aviv Alush) qui, à l'occasion, marche sur les eaux du lac, et de la superbe Sarayu (Sumire Matsubara), c'est une pilule passablement dure à avaler. Même si l'on sait que la représentation que chacun a du divin est à la mesure de sa conception intérieure, aussi orientée que déformée par les religions, et limitée dans sa perception de la réalité. Mais, comme chacun des humains n'est pas prêt à vivre, par l'illumination, une connaissance de toutes façons intransmissible tant dans les mots que dans les images, il est sage de se contenter de ce qui nous est montré ici, visuellement somptueux, et de se réjouir du petit 'miracle' qui métamorphose la vie de Zack ainsi que de sa famille et de ses proches. Le scénario ( six intervenants, tout de même ! ) réussit relativement bien à rendre vraisemblable et acceptable le revirement intérieur de Zack, mais nous nous serions bien passés du commentaire en voix off, parfois lourdement moralisateur et très orienté conception religieuse.
Toujours est-il que le message transmis, quelle que soit sa forme cinématographique, est pur, que le drame pose d'excellentes questions et qu'il ouvre la porte à quelques interrogations judicieuses sur notre propension pathologique à émettre des jugements péremptoires alors que nous n'avons qu'une vision ridiculement partielle des données. Alors sans doute le prosaïsme de l'oeuvre irritera-t-elle nombre de spectateurs. Mais peut-être aussi saura-t-il, par sa simplicité, émouvoir profondément et entrouvrir une porte vers l'unification avec la Conscience source...
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