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    La Jalousie
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    No Quarter
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    4 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 septembre 2024
    Très ennuyeux. Une enfilade de saynètes de théâtre avec des dialogues qui n'éclairent pas toujours le sens du récit. Un Louis Garrel qui excelle dans son style habituel : ennuyeux, terne, sans aucun charisme, aucune aspérité.. Le noir et blanc pour faire intello et plaire aux bobos parisiens. Une musique de JL Aubert ("ouvre ton coeur) digne d'un fond musical pour crèche ou Ehpad. Quelle purge!
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 octobre 2023
    Chronique d'une passion en train de passer! Philippe Garrel pose les jalons d'un hommage très personnel à son propre père en faisant tourner son fils Louis et sa fille Esther, avec au centre Anna Mouglalis et cette voix si atypique! L'intrigue, peu passionnante, se borne à la sèduction, au sentiment de culpabilitè et au dèsespoir amoureux! Des thèmes que connait bien le cinèaste! On pourra trouver sans enjeu ce drame qui se clôt de façon inattendue, mais rabattant pour le coup les cartes de tout ce qui a prècèdè! A savoir la part d'ombre du personnage de Mouglalis qui ne demande qu'à être explorèe! Encore faut-il pouvoir y accèder! Musique de Jean-Louis Aubert...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 546 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 octobre 2021
    Je peux comprendre qu'un spectateur ait une réaction mitigée au sujet de ce film mais moi je ne l'aime pas et je ne sais pas vraiment pourquoi. Les images en noir et blanc aurait pu être agréable et inhabituelle de nos jours mais elles ne le sont pas. Les acteurs principaux sont intéressants la plupart de ceux qui sont acteurs en tous cas. Le film a un petit côté Godard Nouvelle Vague mais il est très discret et vous pouvez l'ignorer si vous le souhaitez. J'ai trouvé que l'histoire était présentée de manière trop épisodique mais je pense que les personnages eux-mêmes ne sont pas vraiment passionnants non plus. Nous en savons très peu sur ces personnes nous comprenons peu leurs motivations et ils ne parviennent jamais à sortir de l'écran. Et nous obtenons donc c'est ce que vous voyons de jeunes citadins à Paris qui essayent de se débrouiller bien sauf quand ils ne le font pas...
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2020
    J’avais déjà vu quelques films de Philippe Garrel et honnêtement, “La Jalousie” m’a semblé un des plus abordables. Contrairement aux autres, je ne l’ai pas trouvé ennuyeux, au contraire. Comme dans ses autres films, les images sont assez belles avec ce côté noir et blanc (que je trouve d’habitude trop triste dans autres films). Je ne sais pas si je l’explique par les dialogues, l'enchaînement des scènes qui m’ont semblé relativement courtes, par le jeu des acteurs ou par le sujet qui m’a intéressé, mais j’ai assez bien accroché, je ne me suis pas ennuyée. On suit un couple (Louis Garrel / Anna Mouglalis) qui s’aime mais qui ont peur l’un et l’autre, chacun leur tour, de se perdre. Malheureusement, la fin m’a déçue car on ne comprend pas bien les comportements des personnages, le film se termine subitement, sans plus d’explications.
    Apanage
    Apanage

    2 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2018
    L’essentiel de l’histoire porte sur le couple formé par Louis (Louis Garrel) et Claudia (Anna Mouglalis). Comme le titre l’indique, la jalousie affective est le thème central du film, et pas seulement celle de ce couple,
    Je pense que c’est un bon film, mais j’ai quelques réserves qui m’empêchent de parler de chef d’œuvre.
    Cet œuvre s’efforce de suivre l’adage : « il ne faut pas dire, il faut montrer». Les plans silencieux et les mises en situation sont établis pour apporter du sens.
    Nous ne sommes pas ennuyés par les dialogues, dans l’ensemble les répliques sont concises et progressent rapidement vers l’essentiel. Contrairement à d’autres œuvres, celle-ci ne nous délivre pas des discours pompeux pour justifier les décisions ou revirement. Tout au plus, certaines clés de compréhension psychologique sont fournies par des personnages secondaires en quelques phrases.
    La sobriété des dialogues et de la subtilité de la réalisation donnent une touche de réalisme à l’ensemble. J’ai eu l’impression de suivre la vie courante des individus concernés. Ce qui, en somme, est plutôt cohérent avec le rythme calme du film.
    La musique qui oscille entre le guilleret et le mélancolique est adaptée au propos du film qu’elle accompagne discrètement (j’ai été surpris d’apprendre que spoiler: Jean Louis Aubert
    était le compositeur).

    Le jeu d’acteur du casting est juste. Si les personnages m’ont intéressés, nous ne sommes pas invités à être complaisant à leur égard.

    L’acteur Louis Garrel joue son personnage homonyme avec intensité et conviction.
    A plusieurs reprises, on nous montre de long plan sur Louis après qu’une discussion l’ai placé en état de mélancolie ou de souffrance. Il est louable de concevoir des scènes qui montrent l’émotion plutôt que de faire dire au personnage ce qui l’affecte. Cependant, ce qui me paraît problématique, c’est que l’on ne saisisse pas instantanément (ou complètement) le ressenti de Louis quand une discussion le met mal à l’aise. En conséquence, l’auteur a besoin de le montrer esseulé pour insister longuement sur son mal-être.

    Anna Mouglalis joue Claudia avec subtilité mais parfois, on entend mal ce qu’elle dit. A sa décharge le film a été tourné en prises uniques, les scènes n’étaient pas répétées. C’est dommage car elle a une voix apaisante et suave. Il aurait fallu retravailler et égaliser les niveaux de son pour la rapprocher du volume sonore de son interlocuteur. Au contraire, je suppose que le réalisateur a volontairement gardé les prises de son brut pour conserver un caractère improvisé et naturaliste.

    Olga Milshtein joue Charlotte, la fille de Louis, dans une poignée de scènes très touchantes. On est facilement attendris par ses scènes. C’est le personnage pour lequel j’ai ressenti le plus d’empathie. A mon sens, cela ne doit rien au hasard, puisque spoiler: le réalisateur s’est inspiré de son vécu quand il a écrit le scénario, or, durant son enfance, il était dans la même situation familiale que Charlotte. D’ailleurs, le début du film se place du point de vue de la petite. On peut comprendre alors, pourquoi le réalisateur nous donne une perception sans concession des adultes
    .

    En général, on sent les protagonistes impliqués. En particulier, le couple de Louis et Claudia.
    Cet opus diffère des romances habituelles, idéalisées voire futiles. Ici, on met en relief la dépendance affective des protagonistes. Sentimentalement, les personnages naviguent à vue, il n’y a pas d’interrogation philosophico-existentielle superflue. Les protagonistes subissent les vicissitudes des sentiments, ils évoluent et nous les voyons en prendre acte. Il n’y a pas, céans, plus d’emphase que de grandiloquence. Ce long-métrage d’une heure se déroule dans la simplicité. L’étiquette « élitiste » régulièrement apposée sur cette œuvre tient principalement à son esthétique et ses parti-pris artistiques : la colorimétrie en noir et blanc, le rythme tranquille, les plans séquences (ou simplement plans longs), la localisation dans un ancien Paris et le tournage improvisé en une seule prise pour chaque plan. Le style de l'auteur s'inspirerait du courant de la Nouvelle Vague. Aussi, le réalisateur éprouve un goût assumé pour le cinéma muet qui le conduit à peaufiner l’expression non-verbale. Par contre, sur le fond, le contenu n’est pas très sophistiqué, il s’agit avant tout d’un regard sur une expérience de vie. Sauf erreur de ma part, le but n’est pas de développer un propos intellectualisant. Au final, cette production est accessible mais puise son style dans un cinéma "à l'ancienne".
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 novembre 2017
    1h17 c’est rapide pour un long métrage mais long lorsque un ennui doublé de déjà vu te guette. Philippe Garrel convoque la famille (acteurs et inspiration scénaristique) pour un film encensé par Les Cahiers du Cinéma. Ces derniers ont dû rester bloqués en ’68. Le cinéma a évolué depuis la Nouvelle Vague et ce film n’est autre chose qu’un énième opus de ce courant. Bon le Noir&Blanc hyper léché est bien le seul bon côté dans cette démarche et colle bien à l’ambiance mélancolique du propos. Mais on ne parvient pas à se lier aux personnages issus d’un univers bobo très parisien. Au-delà d’un côté très désuet de ce cinéma, Garrel en supprimant internet, smartphone et toute technologie de son film donne bien l’impression, au-delà de choix artistique, d’être resté scotché dans les 60’s. Reconnaissons malgré tout quelques trop rares moments de grâce générés par la manière dont Garrel fait du cinéma : la scène de la sucette par exemple. Une seule prise avec juste des directions de jeu et comme seule préparation des répétitions fréquentes avec les comédiens bien amont du tournage : la méthode Garrel en résumé.
    Du cinéma bourgeois, poseur et très ampoulé… Pffffff !!!!
    Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 octobre 2017
    C'est une histoire de sentiments forts, qui dans la vraie vie est très difficile à trouver.Le motif de ce film est la jalousie et l'amour. spoiler:
    L'acteur appauvri fait des efforts à la recherche d'un rôle de rêve pour la maîtresse. Avec elle, il voulait finalement être heureux. Mais malgré tous ses efforts, il n'arrive pas à «obtenir» une fête appropriée. En conséquence, une femme tombe amoureuse d'un autre homme.
    il y a aussi un thème de suicide spoiler:
    c'est bien que le personnage principal n'obtienne pas cette tentative de suicide. et il continue à vivre et à surmonter les difficultés
    J'ai vraiment aimé le film. Je vais recommander à mes amis!
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2016
    LE SENS DE L'AMOUR. La famille Garrel pour une histoire de famille très réaliste et convaincante. Les baisers de secours et la voix d'Anna Mouglalis.. Ce qui nous naît, ce qui nous meurt.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2016
    "La Jalousie" est un film qui parle de ruptures et de la difficulté à vivre avec l'être aimé, un film qui dit le bonheur de voir sa fille le week-end et la douleur de ne plus vivre avec un homme que l'on a aimé; en bref un film qui parle de nos vies dans tout ce qu'elles ont de vrai. Brûlant et vivant, le film est certes imparfait dans la réussite de ses scènes mais peu importe : toutes dégagent une intensité qui passe par une écriture réduite à un "presque rien" parfois bouleversant, incarnée dans des dialogues qui ne font jamais écho à une création fictionnelle artificielle mais qui sont, au contraire, des mots aussi simples qu’essentiels, signalant sans cesse l'urgence de la situation, celle de vivre l'instant présent à fond (la magnifique scène où Louis, Claudia et Charlotte se baladent en est un exemple). Servi par de merveilleux comédiens, de l'immense Louis Garrel à la tendre Rebecca Convenant en passant par la foudroyante Anna Mouglalis (dont la diction n'est pas toujours très nette), "La Jalousie" n'est jamais méprisant envers ses personnages mais accepte leurs imperfections, c'est en cela qu'il provoque à la fois un comique doux et bienveillant et un drame amère qui noue la gorge. Un très beau film, d'une grande exactitude dans sa représentation des sentiments les plus forts.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2016
    Je suis seul, l'ai-je mérité ? Peut-être. De grâce, quand on est trop lourd et qu'on s'en aperçois, c'est un sentiment d'auto-répugance. Philippe Garrel et moi n'avons assurément pas la même définition de jalousie. J'ai vu deux êtres déjà condamnés à la séparation. Car si le fait d'être volage n'arrange rien, il faut peut-être être dupe pour ne pas voir ce couple se délitérer. Soit c'est un amour aveugle merveilleusement filmé, soit c'est un effet raté. J'en sais rien. Mais après 1h17, le film semble déjà trop long. Interprétation généralissime de la jeune fille.
    montag M.
    montag M.

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2015
    Le noir et blanc version Philippe Garrel est un véritable plaisir des yeux. Chaque scène, chaque plan, sont magnifiquement filmés pour nous emmener loin dans les arcanes de l'esthétisme cinématographique. Les images sont à elle seules une oeuvre d'art. Une succession de scènes se déroulent sans forcément de logique, ni de début, ni de fin, et alors ? Les personnages sont tellement vivants qu'on en oublie qu'ils jouent un rôle. N'est-ce pas là que se situe le véritable cinéma, dans celui de la vraie vie, des arrivées et des départs constants, d'êtres qui vont et viennent, comme ils le peuvent, au travers de ces contrastes monochromes diaboliquement beaux, à tel point qu'on a envie de prendre des photos à chaque plan.
    FaRem
    FaRem

    8 637 abonnés 9 523 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2015
    Un film en noir et blanc qui raconte un instant de vie celui de Louis et sa relation avec les femmes. J'ai trouvé le film assez lent et ennuyeux, le scénario est vide, il ne raconte rien, il n'y a aucune émotion qui se dégage, l'ambiance est froide à l'image de la photographie en noir et blanc, les acteurs font le strict minimum et ne dégagent rien. Filmer un instant de vie peut-être intéressant, mais dans ce cas précis ça ne l'est pas, j'ai plus de chance de me divertir en regardant par ma fenêtre.
    spring53728
    spring53728

    24 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mars 2015
    Philippe Garrel sait prendre et raconter les moments de vie les plus anodins et simples. On pourrait penser qu'il n'y a pas d'histoire, on attend une fin mais y'en a-t-il une ?
    Minimaliste au possible, sans artifice, il nous livre ces moments auxquels on ne prête pas attention, qui sont peut-être au final, les plus forts à l'inverse des grandes scènes bourrées d'actions, pour nous capter toujours plus et qu'on se souvienne d'elles.
    Ces moments de vie qui sont bien, UNE histoire.
    ZZelig
    ZZelig

    13 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 septembre 2014
    Le pire est que Philippe Garrel prépare un autre film ! Sans doute avec son fils, évoquant les turpitudes de l'amour à Saint-Germain-des-Prés, avec quelques dépressifs pour faire genre, des gens dans le théââââââtre, de la drogue, de l'ennui, des pleurs avec leur mine blafarde de zombi et leur ton d’outre tombe. Il est tellement déphasé que situant son film dans le monde actuel aucun des personnages ne possèdent un ordinateur, n'utilisent Internet, s'envoient des courriels, donnant la furieuse impression que le cinéaste vit encore en 1968. C'est dire qu'il ne faut pas être étonné que Les Cahiers du cinéma admire cet énième opus dans ce film de vacances des bobos post-68 qui s'inventent des drames du matelas alors qu'ils ont tout le pouvoir.
    Henrick H.
    Henrick H.

    4 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2014
    Un petit film très "nouvelle vague" de Philippe Garrel où il aborde sous toutes ces facettes, les différentes formes de jalousie avec une grande subtilité. L'ensemble est joué de façon très naturelle avec une mention spéciale pour la jeune fille de Louis Garrel. Le tout nimbé d'un très beau noir et blanc.
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