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    Histoire de Judas
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    52 critiques spectateurs

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    Chaîne 42
    Chaîne 42

    141 abonnés 3 074 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 mai 2021
    Un film au final bien assez anti chrétien qui semble vouloir être œcuménique, insidieux spoiler: en présentant en toute fin la résurrection de Jésus comme l'aura fait un véritable film chrétien
    mais pas tant que cela. Jésus est souffreteux, lorsqu'il parle c'est peu intelligible et beaucoup de dialogues sont inappropriés aux évangiles. L'idée du film qui semble être: s'attaquer directement à l'enseignement de Jésus est à peine voilé pour celui qui a des yeux pour voir spoiler: une destruction de ses paroles comme une partie centrale du film
    . Le titre: histoire de Judas ne signifie pas grand chose sinon qu'il y a comme sens général plus ou moins caché de trahir Jésus dans tous les sens du terme. La critique presse à majorité laïque intellectuelle l'a compris ainsi pour encenser un film arabisant par pas mal d'aspects et abscons, bien lourd et intellectualisant dans sa faction.
    betty63
    betty63

    22 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 décembre 2018
    Disons que le décor est magnifique, c'est déjà ça. Disons que le Jésus joué est on ne peut plus humble, et c'est très bien car c'est la vérité. Disons que Judas a voulu être réhabilité, et pourquoi pas ? Qui peut affirmer que ce fût le traitre que l'on nous vend alors qu'il était dans le plan de Dieu, il faut sans doute être large d'épaules pour endosser le rôle du traitre dans le Plan de Dieu, donc je salue le courage de cette version. Mais sinon j'ai trouvé que c'était un peu brouillon et balbutiant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 janvier 2017
    Ce film est lent. Le réalisateur n'hésite pas à faire durer des scènes très longtemps, sans qu'il n'y ait un seul dialogue, alors que ça n'a aucun intérêt particulier pour le film. Certains trouverons que ça met de la profondeur, mais selon moi, le fait que chaque scène commence par un grand vide de 1 minute, pour dire juste 1 phrase, donne un aspect irréel au film.

    Aucun décor et aucun figurant. J'ai entendu certains mettre cela au crédit du film. Il y a surtout là une très très grosse économie financière. Soit on voit le côté "hors des lieux" et "hors du temps" rendant le message "universel", soit on voit juste : "moins de charges = plus de bénéfices". Jérusalem est représenté par un immense champs de ruines (ça ne leur a coûté que les autorisations de filmer) et il n'y a strictement personne. Désert. Si en figurant il y a spoiler: les poules.
    Bref, passons, tout le monde n'a pas des moyens hollywoodiens... Du moment que le scénario est bon...

    Parlons un peu du scénario : Comment faire pour qu'un film ait si peu de sens et de structure, alors que le scénario a été écrit, re-écrit et revisité sans cesse de l'an 80 à nos jours ? J'ai trouvé la réponse.
    Certains diront que c'est déviant et blasphématoire et que c'est un parti pris intéressant. J'aurais aimé que ce soit vrai. A la place, on a le droit à des petites citations biblique et des petites scénettes, qui sont insuffisante pour construire le scénario et qui sont, soit en accord avec l'histoire, soit déviantes mais sans intérêt. Au passage, ce film traite plus de la vie de jésus que de celle du Judas.

    Avez-vous vu les premières saisons de "plus belle la vie" ? Et bien dites vous que le jeu d'acteur y est bien meilleur que dans ce film. Pour trouver pire, il faudra aller les chercher en atelier théâtre d'une classe de CE2. Quand on est réalisateur, on doit voir quand un acteur joue mal et refaire la prise.
    Le Jésus présenté ne donne pas du tout envie de le suivre tellement il est non-chaland et presque timide. Le côté romains est très mal géré : spoiler: un Ponce Pilate qui veut absolument attraper Jésus, puis qui à la fin semble dire à demi-mot qu'il le fait à contre cœur (pour éviter la révolte)
    . Malgré tous les illogismes que l'on trouve déjà dans les textes, ce récit est beaucoup moins bien construit que l'original... Globalement, le peu que l'on peut comprendre, c'est bien parce qu'on sait de quoi ils parlent.

    Pour résumer. Pas de décors, pas de figurant, un scénario mal ficelé (alors qu'il existait déjà), des longueurs qui ne servent qu'à masquer le fait que ce film est une coquille vide et des acteurs en dessous de tout (et ils sont tous mauvais, sans exception). Un beau film pour pseudo intellectuel de gauche.

    En espérant vous avoir évité de perdre 1h30 de votre vie (quoi que... on a bien rigolé quand même, si bien, que je le conseillerai presque).
    A F.
    A F.

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 décembre 2016
    Ayant vu l'affiche et le titre "Histoire de Judas" je m'attendais à un superbe péplum qui aurait présenté la vie de Judas d'une autre manière que dans les évangiles. Franchement ? Je suis très déçu... Réimaginer à sa sauce ces passages de l'Evangile d'accord. Mais il y'a tout de même des limites ! Ce film présente de trop nombreuses inexactitudes historiques (ruines), géographiques (dattiers à la place d'oliviers) et linguistiques (Certains passages où les personnages parlent le dialecte marocain au lieu du palestinien, hébreu aurait été encore mieux). Sans compter le jeu des acteurs et le scénario qui sont plus que pitoyables ! Le film peut-être à la limite de l'acceptable pour quelqu'un qui n'a aucune culture biblique/coranique ou historique et quand je dis aucune... il faut vraiment ne jamais avoir eu contact avec ! Je trouve le film affligeant pour tout chrétien, musulman, historien, théologiste ou cinéphile !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2016
    Histoire de Judas raconte l’histoire d’un apôtre de Jésus de Nazareth qui fût considéré comme un traite pour la mémoire collective. Sans grande démesure, le réalisateur et acteur brosse le portrait d’une époque et d’un homme stigmatisé par des clichés et qui pourtant a été longtemps, un fidèle dévoué et attentionné. Les moyens sont faibles et les acteurs ont plutôt une prestation théâtrale. Histoire de Judas commence donc avec un handicap. Mais le scénario est écrit avec sobriété et le résultat final est presque poétique. D’ailleurs la tonalité musicale finale nous sort de cet instant de paix que nous venons de connaître. Histoire de Judas est un conte joliment écrit mais faiblement adapté.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 décembre 2015
    Quel mauvais film, quelle mauvaise interprétation. Rien de bon dans ce film, que des faussetés véhiculées par un mécréant de la doctrine chrétienne.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 novembre 2015
    Long, ennuyeux, limite pénible....qu'est ce que c'était long ! mais long !
    Je me suis forcé à regarder jusqu'au bout, pensant qu'un "déclic" donnerait un un moment un sens à ce film....mais non...rien...rien du tout!
    un Jésus pas crédible du tout, même l'acteur ne semblait pas y croire !
    Barabas , c'est une grosse blague...
    Et tout ça dans un film ou l'on ennuie à mourir...
    Ne vaut vraiment pas la peine de s'y attarder.
    Djo Z.
    Djo Z.

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mai 2022
    La "Dernière Tentation" de Scorcese n'avait donc pas suffi ;
    Puisqu'il le fallait vraiment, voilà un film de plus pour tenter de ridiculiser le personnage de Jésus.

    Dans le Scorcese, Jésus (Willem Dafoe) fabriquait des croix et crucifiait lui même des "fils de Dieu" autoproclamés.

    Dans celui là, Barabbas s'appelle désormais "Carabbas", et est justement un de ces "fils de Dieu" autoproclamés : Carabbas et Jesus tiennent exactement le même discours et le même rôle social, à ceci près que Jésus représente l'agitateur politique sérieux tandis que Carabbas incarnerait l'aspect "irrationnel" et inoffensif de l'illuminé.
    spoiler: On retrouve là une des interprétations du texte ancien, dans lequel Barrabas s'appelle aussi Jésus, BarAbbas signifiant « Fils du Père » en Hébreu, et selon laquelle il s'agirait des deux facettes du même personnage.

    Ce que n'a donc pas compris le réalisateur en s'engageant sur cette voie, c'est que le peuple réclame la libération du leader viril, pas de l'inoffensif illuminé.

    Faire de Barabbas un second Jésus était osé mais justifiable; inverser leurs rôles respectifs relève de la malhonnêteté. Le message est clair : Jésus ne vaut pas mieux qu'un Barabbas, il n'est qu'un faux prophète autoproclamé parmi tant d'autres (crucifiés par dizaines par ce bon vieux Willem Dafoe).

    spoiler: Les miracles n'ont clairement pas lieu, le rôle de Judas consiste à tenter de détruire les manuscrits qui le prouvent. Les Marchands du Temple ne sont eux que de modestes forains adeptes de Jésus, ayant eu le malheur de vouloir lui faire des offrandes, que Jésus et ses apôtres vont s'employer à saccager cage après cage pendant trois minutes et vingt (très longues) secondes.


    On a compris que la mode est à la remise en question, que le côté "humain" de Jésus fascine désormais plus que ses abstraites maximes, et qu'il faut commencer, après 2000 ans, à spéculer sur une version rationalisante des textes.
    Cela dit, la "liberté de l'artiste face au support d'origine" ne doit pas être confondue avec "transformer à ma guise le sens du texte en lui préférant une alternative inventée de toute pièce". C'est beaucoup trop facile, sinon...
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2015
    "Histoire de Judas", dit le titre. En fait, le film de Rabah Ameur-Zaïmeche s’attache plutôt à décrire la relation entre Jésus et Judas, son très fidèle disciple. Si le titre du film insiste sur le nom de Judas, c’est probablement pour mettre l’accent sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un énième acte d’accusation envers un disciple qui aurait trahi le Messie mais, tout au contraire, d’un acte de réhabilitation d’un personnage devenu l’archétype du traître et qui, à ce titre et depuis des siècles, a apporté de l’eau au moulin de tous les antisémitismes. Dans sa jeunesse à Montfermeil, Rabah Amer-Zaïmeche s’intéressait en priorité à deux figures historiques, Jésus et Louis Mandrin. Après avoir réalisé trois films sur des sujets très contemporains, il s’était tourné vers le 18ème siècle et Mandrin dans son 4ème. C’est un nouveau bon dans le temps qu’il fait avec "Histoire de Judas", un film qui lui permet d’aborder l’histoire de Jésus ainsi que celle de Judas, un personnage qui, dit-il, « mérite d’être réinventé, ré-imaginé ». ""Histoire de Judas" se présente sous la forme d’un péplum, ou, plus exactement, d’un péplum « light », réalisé avec peu de moyens, sans effets spéciaux, sans véritable musique d’accompagnement, un film biblique mélangeant allégrement ancien et nouveau testament, un film de liberté montrant Jésus dans la parole et Judas dans l’action. Ce théâtre en plein air, Rabah Ameur-Zaïmeche est allé le tourner en Algérie, dans la wilaya de Biskra, le berceau de sa famille, entre le désert et les Aurès. De ce film, austère et beau et dont l’action se déroule il y a 20 siècles, on retiendra deux plaidoyers très contemporains : le premier concerne tous les animaux et pas seulement les hommes et les femmes,« aucun être vivant ne mérite d’être mis en cage, pas même les poules », l’autre le danger que représente une lecture au premier degré de textes religieux écrits il y a de nombreux siècles, dans un contexte totalement différent.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    133 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 août 2015
    Mieux vaut y aller sans détour : quatre-vingt-dix pourcents du casting de cette « Histoire de Judas » joue complètement faux. Dès le départ, un scénario peu travaillé prend place, suivi de par sa mise en scène peut-être parfois pittoresque, mais guère attrayante. Alors on part dans les fausses bonnes idées d’un réalisateur et acteur qui pense bien faire en plaçant sa caméra et la laissant filmer durant plus de cinq minutes pour chaque plan. Encore s’il y aurait une certaine intensité, voire une véritable alchimie entre les interprètes, cela pourrait peut-être « fonctionner ». Sauf que oui, comme la plupart des critiques négatives le soulignent, c’est un vide, un gouffre profond et sans couleurs, triste et mortifère. On ne peut pas trouver de satisfaction en une oeuvre qui n’offre que deux ou trois qualités, et des plus minimes. On reste presque muet de déception de regarder des scènes déferler comme du mauvais théâtre, d’essayer (car oui, les prises de son, et ce surtout vers la fin, sont abominables) d’entendre des personnages censés être anciens et sacrés ouvrir la bouche juste pour lancer sans y croire des répliques niaises et miséreuses. Alors discutons de la valeur iconique de l’oeuvre : qu’a voulu nous faire comprendre Ameur-Zaïmeche en faisant habiter des chefs Romains dans des ruines? Que l’Empire était déjà presque enterré? Voici aussi l’un des nombreux défauts du film, c’est-à-dire qu’on ne sait soit jamais où veut en venir le scénariste (ou réalisateur) avec sa symbolique, soit il est beaucoup trop lourd avec celle-ci. Et puis sincèrement, assister à plus de dix minutes de lavement de pieds, c’est beaucoup trop. Il manque la règle de l’espacement des plans : il aurait fallu que le réalisateur nous laisse respirer et qu’il engage aussi d’autres acteurs qui ne sur-jouent pas complètement. Chose qui peut bien faire rire, faut-il l’avouer. Et après, certains se sont posé la question suivante : pourquoi cette oeuvre n’a pas eu de publicité? Car dès les premières images on peut voir à quel point l’atmosphère sera lourde et pesante. Donc les plus courageux spectateurs (presque trente-mille) ont quand même fait le déplacement en espérant quelque chose d’autre, ou un objet cinématographique meilleur de ce que nous avait promis l’extrait en question. Vraiment, on préfère vite oublier ce « péplum » mal dirigé, rempli d’idées pas toutes très claires et de personnages ridicules.
    Aymeric Defosse
    Aymeric Defosse

    9 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2015
    (…) en osant à la fois une poésie sobre et un romanesque dénué de tout lyrisme, le plus singulier et le plus indépendant des cinéastes français actuels signe une libre interprétation de la relation entre Judas et Jésus (…)
    traversay1
    traversay1

    3 579 abonnés 4 864 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2015
    Histoire de Judas ou (une partie de) l'Evangile selon Judas, pourquoi pas ? Et une réhabilitation de l'apôtre qui a trahi Jésus, lui le disciple bien-aimé du Messie. Las, le récit de Rabah Ameur-Zaimeche s'est perdu dans les sables. Par la faute d'un scénario ascétique qui ne tient pas les promesses de son titre, à cause d'une interprétation bancale (Jésus totalement dénué de charisme) et de dialogues le plus souvent insipides. On ne demandait pas un péplum mais au moins une vision neuve qui tienne plus du cinéma que du théâtre. Que le réalisateur ait choisi un parti pris narratif ambitieux est louable, celui de montrer Jésus au milieu de son peuple, au quotidien, sans emphase. Mais la mise en forme sonne faux pour ennuyer très vite. Et l'apôtre s'est refermé.
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mai 2015
    Histoire de Judas est un film bien curieux puisqu'il y est question de la réhabilitation d'un traître. On se rend vite compte que le but du cinéaste n'est pas de raconter la bible mais plutôt de la réécrire. Economie de moyen, mise en scène épuré, référence pasolinienne, le film confine à l'exercice de style mais réussit tout de même à dépasser le simple cadre du dispositif. Certains plans sont magnifiques et l'ensemble à la fois lumineux et austère se regarde avec une certaine fascination. Si l'ensemble reste très théorique, la faute à la particularité des partis pris, il y a une certaine grâce et une certaine beauté dans Histoire de Judas. C'est éthéré sans être ennuyeux, beau malgré (ou grâce à?) ses moyens limités, un peu verbeux par moment et à d'autre glaçant de silence. Un joli film un peu désincarné sans doute mais non dénué d'intérêt.
    C5C
    C5C

    26 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mai 2015
    Épouvantablement long et ennuyeux, prévisible et au final plat. Très déçu, je n'ai presque rien à me réjouir de ce film, sauf la partie contemplative et les images.
    Les vêtements portés sont si visiblement cousus à la machine, les sandales sont presque neuves. Ce sont des détails qui contribuent à une sensation de pesanteur.
    Par ailleurs ce n'est pas vraiment l'histoire de Judas.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 mai 2015
    C'est un film vide. J'en suis déçu. J'attendais à une écriture cinématographique qui reposait sur des recherches plus historiques et documentées sur le sujet comme il en existe. Plein d'anachronismes.
    La destruction des manuscrits (sur papier imprimé !!!) ordonnée par Jésus est surprenante. Judas qui se met à la place de Jésus au tombeau pour mourir est déroutante. L'échange entre Jésus et le procurateur Romain sur la vérité et la migraine est d'un niveau digne d'un discours d'adolescents en dérision. La naïveté dans l'art peut avoir quelque chose de beau. Mais ici, il s'agit d'une naïveté extrêmement plate et qui n'est pas innocente. Elle véhicule des histoires au sujet de la mort de Jésus et de la falsification des évangiles qui sont encore diffusées dans des pays musulmans. Si cette vision ne choque personne sur place, en revanche en Europe on ne peut pas les balancer d'une manière brute et balayer trois siècles de critiques textuelle et historique sur ces sujets.
    Dans ce film, il y a une grande liberté d'expression et d'interprétation qui ignorent l'histoire. Et c'est à l'honneur d'Arte de subventionner une expression qui se dit artistique indépendamment de son fondement historique. Cependant, il y a des passages qui peuvent heurter des croyants comme la main de la parfumeuse qui glisse sous le manteau. Personnellement cela m'a fait rire, mais je ne pense pas que ce passage ait le même effet sur tous y compris sur certains musulmans car, à travers l'histoire de Judas, il y a celle de Jésus et cela contraste aussi avec l'image du Christ dans le Coran.
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