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    Histoire de Judas
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    2,1
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    52 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 mai 2015
    les paysages sont beaux et arides.. le film seulement aride et ennuyeux.
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2015
    Avec Histoire de Judas, Rabah Ameur-Zaïmeche traite (peut-être pour la première fois au cinéma) la vie de Jésus d'un point de vue non religieux. En effet, il évite de montrer les miracles qu'accomplit le Christ : ils sont juste évoqués au détour d'une phrase et seul le dernier plan laisse supposer sa résurrection mais ce dernier peut être interprété de manières différentes. Jésus est d'ailleurs plus représenté comme un sage que comme un être divin.
    De plus, le film est traité d'une manière très dépouillé, ce qui le rend très réaliste : on a un peu l'impression d'assister à un film tourné à l'époque du Nazaréen.
    Cependant, certains pourront regretter que ce désir de faire un film anti-spectaculaire va jusqu'à l'éviction de certains passages essentiels du récit à savoir la Passion et la Crucifixion. Le cadavre du Christ n'est d'ailleurs à aucun moment montré.
    Ce traitement original du récit est accompagné d'une vision innovante du personnage de Barrabas qui est ici représenté comme une espèce d'illuminé, agitateur au passage. Ce personnage, renommé Carrabas (comme chez Philon d'Alexandrie, philosophe contemporain de Jésus), n'est plus l'objet de la célébrissime scène de la grâce de Pâques, puisque cette séquence a tout bonnement disparue.
    En effet, l'aspect le plus révolutionnaire concerne la mort de Jésus. Ainsi, l'entière responsabilité de celle-ci est attribuée à Ponce-Pilate et aux romains : les juifs ne sont à aucun moment liés à celle-ci. Judas, interprété par le réalisateur lui-même, l'est encore moins car il n'est même pas présent lors de l'arrestation et de l’exécution du Christ puisqu'il se consacre à ce moment-là à détruire les textes du seul homme ayant retranscrit les faits et gestes de Jésus en direct. Ce point est assez discutable car Ameur-Zaïmeche semble se baser uniquement sur son imagination afin de lutter contre l'antisémitisme chrétien (volonté déclarée par le cinéaste en interview) : cette intention plus que noble aurait été renforcée si elle se fondait sur une base historique ou écrite (par exemple un évangile apocryphe).
    Cependant, et malgré une aridité qui aurait pu entrainer un peu d'ennui si le film aurait duré plus longtemps, Histoire de Judas (qui est, en réalité, plus une histoire de Jésus que de Judas) possède une vision suffisamment neuve et intéressante de l'épopée christique pour que l'on s'y arrête attentivement.
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2015
    Un film assez ennuyeux. Jésus a une voix insipide. L'idée de nous projeter dans cette époque et de nous donner une représentation d'une histoire qui remonte à deux mille ans et connait toujours un certain succès, est après tout intéressante, mais rien de bien exceptionnel. Costumes, accessoires trop modernes, tout cela ne colle pas. J'ai fait ma B. A. en y allant, mais je reste sur ma faim.
    Fritz L
    Fritz L

    184 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2015
    « Histoire de Judas » est une approche du parcours de Jésus Christ fondamentalement différente par rapport à ce qui nous a été donné de voir jusqu’à présent. Tout d’abord, par le choix d’un récit vu par le prisme de Judas qui n’est plus ici le traitre par excellence mais un disciple engagé, passionné et profondément fidèle à son maître spirituel. Le Christ lui-même est très éloigné de l’image factice qu’en a donnée par exemple un Zeffirelli (le transformant en homme diaphane, totalement immaculé, à la barbe impeccablement taillée). Très loin également de la version torturée, voire expiatoire d’un Mel Gibson, on se rapprocherait plus ici de Pasolini, quoique… Car c’est le prophète, bien plus que le messie, que met en valeur Rabah Ameur-Zaïmeche, s’attachant à l’émergence de celui qui provoquera, plus tard l’adhésion de nombreux croyants à travers le monde. Un parcours digne d’une tragédie antique (comme le souligne d’ailleurs l’ensemble des décors entre ruines et désert), un destin dont la fin prématurée est annoncée, voire désirée. Un sentiment d’une énorme tristesse traverse chacun des protagonistes, il est le signe d’une société qui se meut, évolue, mais aussi d’une fin, en quelque sorte, pour chacun d’eux, entre Judas qui perd son guide, Pons Pilate qui voit « son » empire s’effriter et le peuple désorienté ou abandonné. L’ascétisme apporté à la mise en scène concède au film une vraie force spirituelle, son esthétisme une véritable fascination. « Histoire de Judas » ne s’attache pas qu’au seul fil du récit (Bethsabée, toilette des pieds, la cène…) ou mise en situation de répliques, ils sont ici sublimés par un ensemble de détails visuels digne de certains orientalistes dans les scènes de genre (on pense à Emile Marquette notamment), ou des grands maîtres de la peinture sur les scènes clés (Carl Heinrich Bloch, Rembrandt, De Messine, Van Honthorst…), un scénario parfaitement structuré et limpide et des acteurs sincères et convaincants. Ce film d’une incroyable beauté exprime l’intériorité, à l’écran, mais également la notre et nous fait nous interroger sur le prix du sacrifice (la mort), l’engagement (jusqu’où serions nous prêt à aller par conviction ?) et la vie (dans ce qu’elle a de plus éphémère). Il joue également et de manière très habile sur la symbolique. Ainsi le Christ portant un âne (symbole de l’ignorance, d’obstination, de méchanceté de paresse et de luxure) comme un fardeau, ou la présence de Karabas, ou le titre lui-même jouant sur une ambivalence (est-ce l’histoire de Judas ou des Judas que sont les non croyants dont il s’agit ?), ou encore le présage des stigmates…. Tout contribue à faire de « Histoire de Judas » un grand film qui trouvera, on peut l’espérer, son public.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 avril 2015
    Malheureusement malgré de belles images et une histoire qui est bien...ça reste l'histoire de Jésus et pas celle de Judas, mais à part ce "détail" le film est bon
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 avril 2015
    Je me réjouissais aussi de découvrir ce film, eu égard aux critiques que j'avais lues mais dès les premières minutes j'ai été agacée par le jeu des acteurs. Ils jouent un rôle (improvisé ?)en cachant des sourires complices d' ados répétant une pièce de théâtre. Jésus : personnage mièvre et si peu engageant ... Judas, qui aurait aussi bien pu s'appeler Mathieu, Jean ou Thomas : bien sympa mais bon ... La scène du temple qui n'en finit pas. Franchement je n'ai rien compris et j'ai attendu, attendu que quelque chose vienne expliquer le pourquoi des bonnes critiques. Peut-être y avait-il un cinquième, ou un sixième degré auquel je n'ai pas eu accès ...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 avril 2015
    Histoire de Judas ne tient pas la promesse de son titre. Il n'y est que très peu question de Judas, ce qui est dommage, et beaucoup de Jésus. Sans grand-chose de nouveau par rapport à tout ce qu'on connaît déjà. Seule la photographie, franchement jolie, vient sauver le film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 avril 2015
    Après ses trois premiers films intimement liés de part leurs thèmes, Rabah Ameur-Zaïmeche revient après « Les Chants de Mandrin », et avec la même ferveur, à un film historique. Il s’approprie un mythe fondateur dont on ne sait rien à l’exactitude et use de la puissance d’évocation du cinéma pour en livrer une interprétation personnelle qui lui est chère. Il fait de Judas la figure principale en jouant de sa dimension héroïque. Il réintroduit un questionnement, dressant son histoire autour de celui qui cristallise la haine des juifs et est une des sources de la croissance de l’antisémitisme depuis plusieurs siècles.

    Il s’intéresse à l’homme qu’était Jésus. Avant sa crucifixion, avant de devenir le Christ. Son quotidien de rabbin, prêcheur de la bonne parole. On assiste aux ablutions, au partage du pain. Un être qui vit de la connaissance des textes sacrés et de savoir. On le voit auprès du peuple et de ses fidèles. Au sein de sa communauté, on retrouve notamment son loyal disciple Judas. C’est lui qui va le chercher à la fin de son ascèse. Mais aussi lui qui détruit les paroles gravées dans la pierre ou inscrites sur papier, Jésus ne souhaitant pas devenir objet de soumission sur autrui par ses paroles rendues dogmatiques. Se débarrassant ainsi de ce qui aurait pu être les seuls vrais évangiles.

    Son scénario récuse les communs jugements contre Judas, et le rend absent lors de l’arrestation de prophète, ellipsant la Passion. Il représente Jésus comme puissant et courageux, ne se cachant pas des forces de l’ordre romaines, visible de tous, donc saisissable. À une période où tout le monde pensait à l’arrivée imminente des légions célestes. Une tension était palpable terrifiant les romains quant à l’idée d’une possible rébellion. Ces derniers, conseillés par Ponce Pilate finiront par le juger lors d’une scène à la mise en scène intime où l’on comprend bien qu’il sera crucifié pour des raisons politiques, sa capacité à lever les foules contre l’ordre établie et non pas pour ses miracles.

    Suite de la critique en cliquant sur le lien fourni
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 avril 2015
    La comédie de l'année

    "Doit-on la lapider, oui ou non ?", " Il vaut mieux être un chien en vie qu'un lion mort ? -oui" mais encore "Chien de scribe" ne sont que quelques unes des phrases du florilège verbale proposé dans cette ineptie cinématographique, ou tout est à revoir. Pas de travail de la voix, pas de jeu d'acteur à proprement parler, pas de scénographie, une mise ne scène au mieux erratique, une histoire tarabiscotée, le vide dans chaque plan par faute de moyens, sans oublier les invraisemblances historiques, surtout concernant les romains. Même en réintépretant, il est difficile d'imaginer des romains prononcer de telles paroles, comme celles citées plus hait sur le chien en vie et le lion mort.
    Sur le plan technique on a l'impression que chaque scène n'a été tournée qu'un fois avec des acteurs trouvés dans le village d'à côté. Le montage enchaine de manière abrupte scènes claire et sombres, images en mouvement et fixes et ne connait que le cut. Tous les dialogues semblent être des traductions d'échanges au milieu des souks de Marrakech d'il y a quinze jours et pas les paroles d'un messie ou d'un gouverneur de province. Il n'y a visiblement pas d'argent non plus pour la post production, car certaines scènes d'extérieur bénéficient du bruit du vent couvrant à moitié les voix des acteurs. Et le pire est l'absence totale de chef opérateur ou de directeur de la photo. En effet le cadrage est digne d'un film de vacances ou d'ailleurs le papa filme le tout nous gratifie de pas moins de quatre zooms à l'ancienne, comme il est interdit d'en faire dans tout production audiovisuelle moderne, Certains personnage sont coupés, puis rattrapés par la caméra, ou filmés de trop près, et le tout avec des éternels champs contre-champs. Pour faire simple : un film tourné sans moyen par des amateurs. La musique du générique de fin achève ce chef d'œuvre de médiocrité et de vacuité.
    Il est de plus incroyable de voir le logo d'Arte au début du film. Arte qui avait produit la fameuse série Corpus Christi. L'incompréhension est totale. En somme, un film hallucinant de A à Z et au final risible.
    On pourrait en parler pendant des heures, tellement chaque séquence est en dessous de tout. Notamment toutes les scènes avec Mohames Aroussi. En gros allez voir ce fille pour bien rire entre amis, vous ne serez pas déçus du voyage au bled … enfin en Judée.
    Enfin pour l'anecdote, ma compagne et moi-même pleurions de rire la moitié de la séance, ainsi que deux personnes devant nous, qui se sont retournées vers nous à la fin du film et qui étaient d'accord pour dire que nous nous étions bien marrés. Mention spéciale au vendeur de parfum et au saducéen (?) qui souhaite "ruser avec les romains". Ils méritent chacun un César.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 avril 2015
    Les paysages ,l'ambiance ,le vent le silence, tout étaient magnifiques,cependant j'ai trouvé le rôle de Jésus trop énigmatique léger ,la scène du temple ridicule et puis ces scènes par si par là de la bible un vraie désordre. Pour une personne croyante pas de problème on suit , pour les autres se sera un peu compliquer je pense .j'attribue 3 étoiles car il faut admettre que la simplicité le décor font de ce film toute son histoire un régal pour les yeux .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 avril 2015
    Film ennuyeux à mourir !
    On se fiche du spectateur : les décors sont inexistants (c'est filmé dans les mêmes ruines durant tout le film, quel que soit le lieu où les personnages se trouvent), les acteurs sont nullissimes et récitent leur texte sans émotion, sans conviction (Judas, Jésus et je crois que le pire c'est Barabas... mauvais, mauvais, mauvais!), et il ne se passe rien : les plans sont d'une longueur insupportable ! Plusieurs personnes ont quitté la salle. On les comprend !
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2015
    Vous ne connaissez pas Rabah Ameur-Zaïmeche ? Moi non plus, jusqu'à ce jour. Et ç'aurait été dommage de passer à côté!

    Drôle de film. Attachant. Esthétiquement travaillé jusqu'au maniérisme, avec ces tableaux humains à la Caravage, tronches burinées violemment éclairées dans l'obscurité. Tout est théâtral, à commencer par le décor: des villages abandonnés de l'Algérie intérieure, montagneuse, ruines qui ne sauraient donc recréer la Jérusalem vivante "moderne" des Ecritures. Ponce Pilate rend son verdict sur un fond de colonnades à demi effondrées.

    J'ai lu des réactions très violentes "encore un film contre la religion catholique!". Je ne le pense pas. Je n'ai rien ressenti de semblable, en tous cas. j'ai même, par moments, eu l'impression d'être vraiment plongée dans l'Evangile. Qu'elle est la religion du réalisateur? On lui pose la question, il répond: je suis chrétien, juif et musulman. Sans doute est il agnostique, comme beaucoup d'intellectuels maghrébins.... préfèrent e pas l'avouer!

    Il est vrai que Ameur-Zaïmeche fait un joyeux gloubi-boulga avec les Evangiles. On en retrouve des épisodes célèbres, comme la lapidation empêchée de la femme adultère, mais curieusement interprétés. Par exemple, lorsque Jésus monte au Temple de Jérusalem, il n'est pas assis sur un âne mais porte dans ses bras un doux ânon; il renverse les échoppes des marchands du Temple, et libère les animaux promis au sacrifice en disant qu'aucun animal ne devrait être en cage. Bien franchement, je ne pense pas que ce souci du bien-être animal était dans l'air de ces temps.... mais on est bien obligé d'y voir une flèche envoyée en direction de tous ceux qui pensent être agréables à Dieu en faisant souffrir des moutons!

    Pourquoi Jésus (Nabil Djedouani) est il représenté le plus souvent dissimulé sous un châle, tête baissée, comme éloigné de tout, alors que ce rabbi était un grand orateur? Mystère...

    Par contre, la "réhabilitation" de Judas, interprété ici par le réalisateur même, n'a rien de très provocateur. Dans une certaine tradition, il fallait, pour que les Ecritures s'accomplissent -la mort du Christ précédant sa résurrection- qu'il y ait un traitre. Judas, obligé d'assumer ce rôle de traitre est alors plutôt une victime! Le parti pris ici est inverse. Pourquoi aurait il fallu un traitre, un dénonciateur, alors que le Christ se promenait et parlait partout au vu et au su des Romains? Son sort était scellé: il y avait trop de troubles, trop d'agitateurs pour que les Romains laissent faire; et il valait mieux faire un exemple avec le plus brillant d'entre eux. Le contexte politique, le film le montre bien, entre le petit peuple attendant le retour d'un Roi des Juifs, aussi bien temporel que spirituel, pour se débarrasser des Romains, des illuminés (ici Barabas, Mohamed Aroussi) appelant à la révolte, alors que les prêtres et les dignitaires juifs, parfaits collabos, faisaient corps avec l'occupant...

    Judas -le trésorier- était probablement plus instruit que les autres apôtres. En tous cas, le début de l'antisémitisme chrétien commence avec sa personne. Une bonne raison de le réhabiliter...

    Bref un film intéressant, intriguant, visuellement magnifique, à la fois original et respectueux. j'ai peur qu'il ne tienne pas longtemps l'écran: allez y!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 avril 2015
    Franchement je suis plutôt bon public, mais là je n'ai vraiment pas aimé ce film ! Une écriture pauvre, banale et trop contemporaine, des acteurs mauvais qui improvise un scénario pas écrit ????
    Une mascarade anecdotique remplie de clichés !
    Je suis restée jusqu'à la fin pour voir jusqu'où ça irait .....
    Les costumes sont bien et les paysages aussi ! Pour trouver d'autres atouts à ce film, il s'agit certainement de masturbation intellectuelle.... Comment ont-ils eu assez d'argent pour sortir ce film??????
    Richard L.
    Richard L.

    15 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 avril 2015
    Mauvais acteurs, scénario inexistant, suite de scénettes vaguement inspirées du nouveau testament, décors absurdes, les romains auraient vécu dans des ruines!!!!! Voilà vraisemblablement l'un des plus mauvais film de la saison.
    schemaman
    schemaman

    17 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2015
    Une photo splendide sur la presque totalité du film. Un traitement des bruns exceptionnels, jusqu'à imiter des clairs-obscurs de Georges de La Tour (comme on voit sur l'affiche). Le "clair obscur", n'est-ce pas justement le thème central du film ?
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