C’est nul , c’est lent, c’est mou c’est mal joué. Ce film n’a rien pour lui . J’écris ça alors que le film n’est même pas fini , je m’ennuyais à mourir .
Un polar noir et rugueux sur fond de tragédie familiale. De belles intentions mais on a du mal à entrer dans l'histoire ou à éprouver de l'empathie pour les personnages...
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3,5
Publiée le 18 octobre 2020
De guerre lasse est un long métrage et c'est bon un film policier racontant l'histoire d'un déserteur de la légion étrangère qui rentre chez lui pour découvrir son passé. Tout ici est bon le jeux des acteurs, la réalisation de Olivier Panchot et comment il raconte l'histoire et la montre. Tcheky Karyo est absolument génial à son apogée et a son meilleur. C'est un film vraiment poignant avec des séquences qui font presque pleurer. C'est un film d'action aussi avec des scènes brutales si intenses qu'on ne peut même pas les imaginer...
C'est une tragédie à gros sabots, qui navigue entre un conflit mafieux et un drame familial assez peu crédible. Le scénario est médiocre, mais le film est sauvé des abysses par l'interprétation de très bonne qualité, une bonne mise en scène et par sa jolie photo. Dommage que tout ça soit au service d'une histoire cousue de fil blanc.
boudiou que c'est bien joué ! au delà d'une simple histoire maffieuse, une histoire de fratrie éclatée ou plutot atomisée. Une ambiance très noire et violente à des encablures de "plus belle la vie" (et c'est tant mieux) dans sa représentation de Marseille. Jalil Lespert est juste énorme et Tcheky Karyo encore au dessus de ses performances habituelles. Un polar mais pas que.. à voir !!!
Nous voici devant un polar bien noir à souhait, ou tout va mal à tel point que cela finit par tourner mal. Oui, ne cherchez pas de happy end, il n'y en a pas. Les acteurs sont bons même si certains en sont à leur début. L'ambiance "mafia" est bien rendu et celle de Marseille, ou ce genre de cavalcade armée perdure aussi. Il est vrai que choisir cette ville à la violence exacerbée rend ce film bien plus crédible que partout ailleurs en France et cela le rend tellement vrai. A voir par les amateurs de films noirs, voire un peu glauque,
pfff toujours les mêmes clichés sur Marseille. je viens de le regarder sur MyCanal, par curiosité et voir une bonne surprise.............loupé. Le bon côté c'est que grace à des films comme ça on ne sera pas envahi de touristes. que des clichés et des rues dégueulasses ! merci
Un film froid, bien interprété, avec des moments forts, d'autres moins. Il ne sera pas mémorable mais vaut le coup d'être vu. Si vous aimé les fictions mafieuses... On a aussi l’occasion de retrouver le méchant policier qui avait tiré une balle dans le genoux de Nikita, et il à bien vieillit. ----Octobre 2015----
Très bon jeu d'acteurs, histoire qui se laisse suivre sans etre pour autant ennuyeuse, mais disons que ça m'a laissé sur ma faim (point de vue scénario), bien trop mou sur la fin Avoir cependant
un polar dont l'action se passe à Marseille . l'heure des règlements de compte à sonnée parmi les gangs Corse et des quartiers Nords.Malgré l'interprétation magistrale de Jalil Lespert, le film manque cruellement de profondeur, les dialogues sont faibles et creux. Tchéky karyo n'était pas très inspiré. La copie est à refaire.
À mi-chemin entre le polar et la tragédie familiale, “De guerre lasse” offre 1 h 34 d’un spectacle prenant où, tel une tragédie grecque, le spectateur sait que les choses vont empirer jusqu’à la tragédie finale. Le film base sont intrigue autour du secret de famille qui tel un nuage noir surplombe la destiné d’Alex et de toute sa famille. Le film se meut dans les arcanes du crime organisé à Marseille avec ces luttes de pourvoir entre mafia corse et caïds des quartiers Nord. Le réalisateur prend même le risque d’ajouter à cela les vieux fantômes de la Guerre d’Algérie et des souvenirs douloureux et errements racistes qui vont avec. On pourrait se dire qu’à multiplier les pistes le film s’égare et perd de sa cohérence, mais il n’en est rien et au contraire il parvient à tisser une intrigue prenante où tous les personnages arrivent à exister dans ce microcosme où tout le monde se connaît et pourtant ignore tout de l’autre. Jalil Lespert est très convaincant en déserteur de la Légion atteint d’un syndrome postromantique et revenu dans la ville de son enfance pour fuir avec l’amour de sa vie. Le reste de la distribution est au diapason et offre des personnages à la fois fragiles et brutaux où n’émerge que les deux figures féminines (dont la sublime Hiam Abbas) qui tentent de sauver ce qu’elles aiment d’eux-mêmes. Un film puissant où la tragédie humaine se déroule inéluctablement devant nos yeux jusqu’au bain de sang que l’on sent arriver depuis les premières minutes. Un polar/drame à voir absolument.