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    L'Enquête
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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 février 2015
    Un film génial, avec un scénario marqué par le sens du détail et une reconstruction de l'enquête de Clearstream parfaite ! Chaque personnage est mis en valeur tout au long du film. Gilles Lelouche dans le rôle de Denis Robert, une interprétation très réussie, dans la peau d'un journaliste engagé et prêt à faire exploser la vérité au grand jour. Bien entendu le reste du casting est tout aussi exceptionnel avec Charles Berling, Gregoire Bonnet ou encore Florence Loiret-Caille. Un film réussit, une grande qualité dans l'écriture du scénario et de la scénographie. Un film qui mérite d'être récompensé pour sa qualité indéniable de son écriture ! Ce film est une parfaite illustration de l'engagement du journalisme d'investigation mettant en exergue la liberté d'expression et l'importance de liberté de presse !
    momo M.
    momo M.

    41 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2015
    Une affaire assez compliquée pour le citoyen moyen que le film essaye de démêler. Gilles Lellouche y est très bien dans le rôle du journaliste qui veut faire son métier honnêtement. Malheureusement il manque quelque chose à la mise en scène pour nous rendre le film captivant. On s'ennuie un peu.
    horasOscar
    horasOscar

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2015
    Un film très ordinaire :
    "efficace" en tant que divertissement,
    didactique pour restituer certains éléments de cette affaire très complexe.

    Mais il a trait pour trait les mêmes faiblesses que La French* :
    - dialogues très mal écrits,
    - personnages inconsistants,
    - cliché de la vie familiale malmenée par le stress de l’enquêteur (même si cet aspect peut être important, la manière de le montrer est trop présente & pleine de clichés)
    - Gilles Lellouche est non crédible; agité & anxieux comme ces gens qui passent leur vie « à 100 à l’heure » par ce que c’est le modèle dominant à la télé; pas comme un journaliste militant de la trempe de Denis Robert. Je suppose qu'un vrai journaliste d'investigation réagit différemment face aux énormes pressions qu’il subit, que le stress et la peur font apparaître des strates plus riches et variées de sa personnalité.

    * La French sur l’histoire du juge Michel, avec Jean Dujardin ds le rôle du juge Michel.
    Blankovitch
    Blankovitch

    53 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2015
    C'est bien. L'affaire est expliquée de façon claire. La réalisation est sobre et efficace. Gilles Lellouche (que j'ai toujours du mal à voir dans un autre rôle que celui d'un bourrin) est pas mal.
    Le film montre bien que la finance est inattaquable...
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    58 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2015
    Un film dense et très documenté sur une enquête journalistique, à propos d'une affaire dont tout le monde à entendue parler en 2006-2007 sans vraiment la comprendre : Clearstream.
    Les acteurs sont tous très justes, avec en tête un Gilles Lellouche qui campe un journaliste d'une déontologie parfaite, scrupuleux et courageux. Ce film présente son enquête, l'affaire des frégates taïwanaises est elle aussi évoquée. Les milieux de la finance, de l'audit, de l'industrie de l'armement et de la justice sont décrits avec crédibilité. Nous pourrions être dans un documentaire, si ce n'était la présence de certaines scènes de famille et une Florence Loiret Caille toujours très vraie.
    A voir pour mieux comprendre ce qui se passe autour de nous et notamment l'affaire récente d'HSBC.
    tixou0
    tixou0

    709 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 février 2015
    Vincent Garenq semble se faire une spécialité de films de cinéma tirés de célèbres faits-divers : voici "L'Enquête", sur l'affaire Clearstream (ou plutôt les affaires Clearstream - sans que le découpage dramaturgique soit cependant bien clair entre les deux !), après "Présumé coupable" (Outreau), et avant "Kalinka" (l'affaire Bamberski). Le vrai Denis Robert avait fait de son "Enquête" un documentaire (de 1 h 10) en 2001 : "Les Dissimulateurs". Jamais sorti en salles.... Là, il a collaboré au scénario du "long" de Garenq, classé parmi les "thrillers". Reprenant des faits réels, politico-financiers. Alors, quid de "L'Enquête" ? Au mieux, c'est une introduction à cette affaire complexe, entre frégates de Taïwan et opacité généralisée de la compensation internationale.... Pas de style personnel, pas de suspense haletant, pas de subtilité dans le récit... On est très loin de l'équivalent cinématographique anglo-saxon, dans ce genre de scandales financiers, sur fond de secret bancaire et de "secret défense". Un produit plus télévisuel qu'autre chose - mais sans la rigueur d'un reportage.... Gilles Lellouche ne ressemble en rien au journaliste, mais fait (dans l'absolu, à défaut de la vraisemblance) une composition honnête.
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2015
    Je mets une note de 3,5 / 5.
    J'ai bien apprécié ce film bien réalisé, bien construit et bien joué.
    C'est intéressant de suivre l'enquête de ce journaliste qui a mis sa famille, sa vie et sa santé en danger pendant plusieurs années.
    Un petit bémol : par moments le film est ennuyeux et l'affaire en elle-même est trop complexe.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 février 2015
    Alors là, ça faisait longtemps que l’on avait pas vu un thriller aussi passionnant et aussi rondement mené. La réalité dépasse parfois la fiction. Preuve en est avec le dernier film de Vincent Garenq, L’enquête qui compte les déboires et la lutte civique du journaliste Denis Robert qui a mis au jour un système de corruption fiscale généralisé. Ce qui lui a valu, en lieu et place des honneurs, d’être vilipendé par tous les chiens de gardes du système, Libération en tête et poursuivi pour diffamation à de multiples reprises par les justices françaises, suisses et canadiennes.

    Denis Robert (Gilles Lellouche), journaliste à Libération, est régulièrement censuré par sa direction. Il finit par démissionner et décide de se lancer en free-lance. Après l’Appel de Genève, initié par les juges Eva Joly et Renaud Van Ruymbeke, qui dénonce les entraves régulières mise à la Justice pour l’empêcher d’enquêter sur la finance, Robert décide de se pencher sur ce système. C’est Ernest Backes (Marc Olinger), un des fondateurs de la chambre de compensation Clearstream qui va le lancer sur une piste inédite : l’existence de compte non publié pour blanchir l’argent sale. Avec le juge Van Ruymbeke (Charles Berling), Denis Robert va tenter de remonter et d’expliquer cette filière du banditisme financier.

    L’Affaire Clearstream a cela de révélateur qu’il n’y a pas d’autre complot mondial que celui qui, à travers des intérêts communs, transparaît dans la fraude fiscale organisé à grande échelle. Il n’y a pas de complot sioniste, franc-maçons, illuminati ni de Raptor-Jésus. Il y a juste une communauté d’intérêts, principalement financiers, entre banquiers, fabricants (et trafiquants) d’armes, de drogue et d’êtres humains. Sous couverts de quelques actions caritatives, votre banque cache l’argent de toutes les mafias. Pas besoin de se consulter et de former des cercles, ces gens-là ne cherchent pas à s’unir pour dominer le monde, ils tendent tous simplement dans la même direction. La collusion entre ces différents centres névralgiques du pouvoir entraînent parfois des règlements de compte. Ce fut le cas pour l’Affaire des frégates de Taïwan dont on compte pas moins de six personnes liés à la transaction qui se seraient suicidés entre 1993 et 2001.

    Une chambre de compensation est un organisme qui sert d’intermédiaire aux transactions sur les marchés financiers. C’est elle qui débite une compte et en crédite un autre, au terme de chaque journée, faisant les comptes des soldes. C’est sur ce principe que fonctionne Paypal pour les particuliers. Dans le cas de Clearstream, Denis Robert, grâce aux révélations de Régis Hempel (Christian Kmiotek), a pu mettre à jour, l’existence de compte fantôme et s’en procurer un listing. L’existence de compte non publié est en soi, un réel problème concernant les bénéficiaires et la nature de l’argent qui circule sur ces comptes. À l’heure où les banques réclament des intérêts astronomiques aux États, elles dissimulent de l’argent qui n’a pas d’existence officiel, confisqué au reste de l’humanité. Un problème plus grave encore est l’existence de compte non-publié appartenant à des multinationales ou à des personnes. Ainsi le financement du terrorisme se fait par ce type d’organisme pourtant installés aux cœurs de l’Europe. C’est aussi par ce biais que des entreprises côté au Cac40, comme Total, peuvent ne pas payer d’impôts. Clearstream a son siège au Luxembourg. Véritable chambre noire, où l’argent le plus dégouttant est blanchi sans aucune considération morale, les haut-lieux de la finance sont une verrue sur le cœur de l’Humanité.

    Hormis qu’il met en lumière d’une façon simple et didactique, une affaire volontairement rendue compliquée et dénigrée par la presse hexagonale, car il ne faudrait pas, non plus, qu’on comprenne trop qui est le seul et véritable ennemi du peuple, L’enquête est également un très bon film, réalisé avec soin, où Gilles Lellouche réussit brillamment à rendre émouvant, cet homme qui a sacrifié une partie de sa vie à la vérité. Charles Berling est également étonnant de justesse pour retranscrire la droiture de l’incorruptible Van Ruymbeke. L’enquête a cela de fort dans sa mise en scène et son déroulement scénaristique qu’il met en lumière, un système naît pour fouler au pied la démocratie et capable de détruire les individus eux-mêmes.

    Nous vous conseillons fortement d’aller voir L’enquête pour pouvoir faire le point sur ce système de corruption sans être court-circuité par les campagnes calomnieuses des médias bourgeois de l’époque et démêler également ce qui relevait de la véritable enquête de Denis Robert et ce qui fut politiquement instrumentalisé par, Imah Lahoud (Laurent Capelluto), Dominique de Villepin (Hervé Falloux) et Jean-Louis Gergorin (Eric Naggar). Condamné à plusieurs reprises pour diffamation, Denis Robert a finalement été blanchi, après dix ans de procédures par la cour de Cassation qui a explicitement reconnu « l’intérêt général du sujet » et le « sérieux de l’enquête . André Lussi (Germain Wagner), ancien président de Clearstream jusqu’en 2001, est resté poursuivi à titre personnel pour abus de biens sociaux, faux et usage de faux avant de bénéficier d’un non-lieu le 27 avril 2006. Le coupable court toujours et ces successeurs continuent certainement leurs méfaits en toute impunité.

    Retrouvez nos autres critiques sur Une Graine dans un Pot :
    Michel C.
    Michel C.

    278 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2015
    Affaire Clear Stream traitée ,en documentaire....intéressant mais assez obscur, difficile de se faire une "bonne" idée..... C'en est presque compliqué à suivre...malgré le bon jeu des acteurs Gilles Lellouche (le journaliste Denis Robert ) tout autant que Florence Loiret-Caille (sa femme Geraldine) ou Charles Berling (Le juge Van Ruymbeke). Beaucoup de personnalités, y compris du gouvernement, de grosses sociétés ayant œuvré dans ce Gros contrat des frégates à Tawain - suivez mon regard!!!
    Un flou bien artistique...qui rend probablement très bien compte de l'opacité de telles opérations - et sans doute aussi à juste titre !! **
    gertrude a
    gertrude a

    13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 février 2015
    Film prenant du début à la fin, Gilles Lellouche est parfait, scénario bien écrit et tellement vrai, courrez le voir….. que les esprits s'ouvrent...
    Poupette1328
    Poupette1328

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 février 2015
    EXCELLENT ! Je ne connaissais que très peu l'affaire Clearstream (juste de nom) étant très jeune à cette période. Pourtant j'ai trouvé ce film jubilatoire (je reprend l'adjectif que j'ai trouvé dans une critique, faute de mieux). Le film n'expose que ce sujet sans fioritures supplémentaires et inutiles, permettant ainsi de comprendre clairement l'évolution de l'histoire et des faits.
    Vous l'aurez compris, je vous recommande ce film, la réalisation est très bien et le jeu des acteurs est hallucinant tant le personnage prend vie face à nous ! À voir !!!!!!
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2015
    Et bien, je crois bien que j’ai tout compris à l’affaire des affaires (pour paraphraser Denis Robert, si Clearstream est la banque des banques, l’affaire Clearstream est l’affaire des affaires) et ce n’était pas gagné d’avance vu que je suis plus ou moins hermétique à ces histoires de flux bancaires, de rétro commissions et de blanchiment d’argent. D’habitude, ce sont des choses qui me dépassent et je n’ai jamais eu envie de faire l’effort de m’y intéresser. Mais comme j’entends dire partout que le film de Garenq était clair et intéressant, j’ai eu envie d’aller voir. Et bien c’est vrai : filmé comme un polar, avec du rythme, une narration claire et linéaire, « L’enquête » nous fait entrer assez facilement dans ce monde opaque. En fait, le prisme est celui du journaliste, têtu et opiniâtre, qui veut savoir, qui veut comprendre et l’on investigue avec lui, on progresse avec lui, on comprends avec lui. Toute la première heure du film, qui traite essentiellement du système Clearstream en lui-même, est assez simple à comprendre, bizarrement. En revanche, dés que l’affaire dans l’affaire apparait, celle du listing, il faut s’accrocher un peu plus pour bien comprendre qui manipule qui et dans quel but : empêcher Thomson de racheter EADS, si j’ai bien compris, ou prouver que Jean-Luc Lagardère n’a pas été victime d’un simple accident, ou empêcher Sarkozy de se présenter à la Présidentielle, ce listing apparait comme une aubaine pour bien trop de monde, la tentation était trop grande. Le film aborde de manière claire et appropriée l’affaire des Frégates, mais aussi la lutte contre le terrorisme et son financement, tout reste intelligible si on est un peu attentif et intéressé, et c’est presque un tour de force. Les a-côtés sont également montrés avec la mesure qui s’impose, la pression sur la famille de Denis Robert qui s’accentue, les problèmes d’argent qui lui coupent les ailes, son éditeur qui n’a plus les moyens de le soutenir. On se rend compte concrètement du prix exorbitant qu’à payé Denis Robert (qui fait une petite apparition !) à son métier de journaliste d’investigation. Si certains journalistes sont le honte de ce métier, lui en est certainement l’honneur. Le casting est tout à fait à son affaire, Gilles Lellouche en tête. Ca fait plaisir de voir cet acteur enfin récompensé par des rôles de ce calibre, lui qui a si souvent du s’effacer devant des premiers rôles qui lui volaient la vedette et éclipsaient ses prestations. Charles Berling est épatant en Van Rymbeke (mais j’ai l’impression d’écrire une évidence en écrivant cela), et tous les seconds rôles sont très justes. La réalisation est très propre, sans artifices particuliers, elle est entièrement au service d’un sujet complexe, elle ne fait pas de chichis. Evidemment, ce n’est pas un film très grand public, il ne faut pas se bercer d’illusion là-dessus, mais il a le mérite d’exister, d’avoir été financé et de pouvoir un jour passer en prime-time sur France Télévision, ce qui n’est pas rien ! On pourra toujours objecter que le film ne va pas assez loin, ne dénonce pas plus clairement untel ou untel. Mais il faut se souvenir que l’affaire Clearstream est une affaire jugée, que certains ont été condamnés, certains relaxés et que le scénario doit en tenir compte pour de simple raisons de prudence. C’est peut-être dommage, je ne sais pas, mais c’est ainsi…
    annereporter94
    annereporter94

    52 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2015
    Pas facile de résumer une telle affaire en 1 h45, mais le réalisateur et ses comédiens parviennent à maintenir l'attention du spectateur par une dynamique toute simple: l'intérêt dégagé par le sujet!
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    40 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2015
    Un film bien construit et efficace pour nous expliquer les tourments des affaires d'état (Clearstream, les Frégates de Taïwan et les retrocomissions) et leurs implications sur la vie de ces lanceurs d'alertes, empêcheurs de frauder en rond. L'interprétation de Gilles Lellouch en Denis Robert est excellente.
    benzinemag.net
    benzinemag.net

    31 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2015
    De manière très simple, très claire, sans didactisme apparent, Vincent Garenq construit un scénario solide et extrêmement bien ficelé qui, en 1h45, va donner un très bon résumé de l’affaire en l’imbriquant habilement avec une autre affaire, à laquelle elle est liée, celle des "frégates de Taïwan".
    Construit comme un thriller politique, qui m’a d’ailleurs rappelé tous ces films des années 70 (signés Costa Gavras, Boisset ou Francesco Rosi) que j’adorais étant jeune, L’enquête n’oublie personne et montre bien les enjeux de cette affaire ainsi que les dégâts collatéraux qu’elle a pu causer dans la vie privée de Denis Robert.
    Servi par un montage nerveux et par une ribambelle d’acteurs tous très bons : Florence Loiret-Caille (Géraldine Robert) Laurent Capelluto (Imad Lahoud) Charles Berling (Le Juge Van Ruymbeke) en tête, le film a aussi l’immense avantage de nommer les personnages par leurs vrais noms, ce qui rend sa lecture encore plus claire et compréhensible.
    Après le très bon Présumé coupable, Vincent Garenq confirme ainsi toute son habileté et sa clairvoyance à traiter les grandes affaires récentes avec précision tout en évitant à chaque fois de tomber dans le piège du pathos et du sensationnalisme. Chapeau !
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