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    Le Beau Monde
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    86 critiques spectateurs

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    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 064 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 août 2014
    Ana Girardot, regard inquiet et plein d'espoir à la fois, est la révélation de ce très beau film qui s'il raconte une histoire vieille comme le monde, le fait avec un talent rare. Autant de justesse dans la description du milieu bourgeois que dans celui des classes populaires, un ton plein de finesse entre non-dit et aveu pour percer la vibration des coeurs et les tourments des sentiments. La réalisatrice utilis beaucoup les éllipses et parvient à faire ressentir kes passage du temps. C'est beau comme une chanson de Françoise Hardy (qui clot le film), la B.O. frébrile et élancé est d'ailleurs très bonne. Les acteurs sont excellents et, je me répète, Ana Girardot forte et fragile, incarne le sentiment amoureux et la volonté comme pas deux.
    vidalger
    vidalger

    326 abonnés 1 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2014
    Malgré un sujet pas vraiment original, la confrontation de milieux sociaux éloignés par le biais de la rencontre amoureuse - on ne citera que La vie d'Adèle ou Pas son genre, pour cette année - , on peut considérer cette énième variation sur ce thème comme une grande réussite. La paire d'acteurs, Girardot et Bouillon, porte littéralement le film par la qualité et la subtilité de son jeu. Les dialogues, très écrits, sonnent pourtant presque toujours justes. La réalisatrice ne s'est pas trop vautrée dans la caricature tant des bourgeois que des prolos, malgré certains choix simplistes ( le château vs les HLM ) qui frôlent la sortie de route à plusieurs endroits mais sont sauvés in extremis par la qualité des seconds rôles.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 août 2014
    Porté par Ana Girardot, "Le beau monde" brode une jolie éducation sentimentale et mélancolique au cœur de la lutte des classes
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2014
    Un très joli film sur le thème de l'homogamie et la mobilité sociale, tout en finesse dans l'écriture et le jeu d'acteurs, tous parfaits.
    Léa A
    Léa A

    54 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2014
    Plus qu’un film sur les classes, voilà enfin un film qui pose de vrais questions sur l’amour dans la société occidentale actuelle, sans avoir recourt ni aux artifices glamours, ni aux grands drames.Suite sur mon blog !
    alain-92
    alain-92

    322 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 août 2014
    La réalisatrice Julie Lopes Curval coécrit un scénario, avec la fidèle Sophie Hiet, somme toute assez banal. Tout en abordant le sujet d'une façon différente "Le beau monde" n'est pas sans rappeler le récent et très beau film de Lucas Belvaux "Pas son genre".Les dialogues, trop convenus, atténuent l'intérêt du film qui ne prend pas véritablement son envol, et ne laisse augurer en rien, une moindre surprise. Une certaine Agnès, issue de la grande bourgeoisie, très vaguement décrite, comme travaillant dans la mode tend à la main à Alice, une jeune fille issue de la classe ouvrière, très douée pour le travail de la laine interprétée avec conviction par Ana Girardot.La rencontre entre Antoine, le fils d'Agnès, un rien gâté et intraitable, dont le rôle est tenu par Bastien Bouillon, et la jeune Alice manque cruellement d'épaisseur. Le fils trouvera dans la famille d'Alice matière à développer son talent de photographe. Alice cherchera avec une volonté délibérée, à monter les marches pour accéder à la prétendue supériorité d'une classe sociale plus élevée. En découle une histoire d'amour sans tendresse.Le travail acharné et indispensable pour arriver à se démarquer, pour trouver sa place, pour laisser éclater son talent, que la jeune Alice déploiera sans faiblir, reste la partie la plus intéressante du film. La réalisatrice ne fait que survoler ce combat permanent pour s'enliser dans une histoire banale et une fin attendue.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 août 2014
    Une belle histoire, pas prise de tête (contrairement aux bousins des films de Cannes, adulés par les critiques professionnels bien tarés). Un scénario sobre mais efficace. Une réalisation dépouillée mais qui créée une belle ambiance. Deux jeunes acteurs très talentueux. Ana est en plus très belle, ce qui ne gâche rien. A voir, sauf pour les fanatiques de jeu vidéos.
    momo M.
    momo M.

    41 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2014
    Deux jeunes amoureux issus de classes sociales différentes, on a déjà vu ça mais le film évite les clichés. Le film manque quand même un peu de rythme, c'est un peu mou. C'est néanmoins un beau film, tout en finesse. On a plaisir à revoir Sergi Lopez même dans un petit rôle.
    AlexVaAuCinema
    AlexVaAuCinema

    8 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2014
    Alice est aussi touchante que torturée....aussi troublante que triste !!!Très beau moment de cinéma avec un texte bien écrit et une musique parfaitement adaptée.Cette phrase résonne encore dans ma tête "je n'avais pas terminé de t'aimer" !!!Nous aimerions tous être aimé de la sorte.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 877 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 août 2014
    La sensibilité et la délicatesse du cinéma de Julie Lopes Curval (de Bord de mer à Mères et filles) ne sont plus à démontrer. Ses films sont néanmoins fragiles et le fil qui les tient en équilibre souvent ténu. Le beau monde s'attaque à un sujet vu encore récemment dans Un beau dimanche et surtout dans le magnifique Pas son genre : celui de l'amour au-delà et malgré les différences sociales. JLC n'entend surtout pas enfoncer des portes ouvertes et son film tisse une broderie agréable, à l'image de l'activité de son héroïne, qui pour n'être pas désagréable manque quelque peu de caractère, de conviction, d'inventivité voire même, parfois, de tendresse. Ana Girardot joue plutôt bien son rôle de jeune femme en apprentissage de la vie et des sentiments mais son couple avec Bastien Bouillon ne fonctionne pas. Quant aux seconds rôles, ils ne donnent pas suffisamment d'épaisseur au récit (voir Sergi Garcia, personnage décoratif). Une vraie déception.
    tixou0
    tixou0

    708 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2014
    "Le beau Monde" a ici deux sens : spoiler: c'est celui d'Antoine (c'est-à-dire le monde des nantis - dont le jeune homme bien né pense s'affranchir - à tort), mais c'est aussi celui d'Alice la brodeuse (la Nature - les fleurs d'abord - qui l'inspire). Voilà une nouvelle version d'une rencontre amoureuse improbable, celle du bobo et de la prolo. Comme elle a lieu également en Normandie (à Bayeux - tapisserie dite de la reine Mathilde oblige, laquelle aura son importance, à plusieurs égards* - contre Cabourg), on pense tout de suite à "La Dentellière" de Goretta. Mais l'intrigue est "rafraîchie" (à grands coups de clichés), et l'issue beaucoup moins tragique.
    Julie Lopes Curval réalise bien (sur un scénario coécrit) un film dans le même esprit, mais souffrant de la comparaison - surtout au niveau des dialogues, très "écrits" (en fait sonnant très faux, assez fréquemment). L'artifice culmine avec le recours tellement "tendance" à Françoise Hardy, en épilogue... Ana Girardot, double fille de (Hippolyte Girardot, mais aussi Isabel Otero) confirme la bonne impression de ses premières armes au cinéma ("Simon Werner a disparu", en particulier) dans le rôle d'Alice. En revanche, Bastien Bouillon (Antoine), s'imaginant chez Rohmer (ressuscité), surjoue, et est souvent imbuvable. On louera en revanche Stéphane Bissot (la Belge plantureuse excelle dans le rôle de la mère d'Alice) et Baptiste Lecaplain, très vrai en Kevin (l'ancien petit ami d'Alice).* Les auteurs s'amusent même à appeler "Harold" un personnage secondaire, comme celui que Guillaume, mari de Mathilde, chassera du trône d'Angleterre, après Hastings. Cet "Harold"- là est "nez", et incarné par l'Ibère Sergi Lopez.
    pierrepp
    pierrepp

    14 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 août 2014
    c'est beau, sensible, une "denteliere" années 2000. La cinéaste a livré un film abouti et original, et Ana Girardot s'avére nous faire passer ses sentiments torurés d'une facon magistrale, une actrice magnifique..
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    105 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2014
    Film sur sa place dans la société ... Les apparences ... Les convenances. Les aspirations des parents pour leurs enfants ... Mais aussi et surtout l'amour. Je recommande.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 août 2014
    Certes pas le film de l'année, mais frais, léger, tendre. Alice est un peu stéréotypée dans le rôle de cette jeune femme sensible et fragile, mais j'ai accroché à l'histoire
    Jean Marc Dinaut
    Jean Marc Dinaut

    22 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2014
    Ce joli petit film d'été a un parfum de fraîcheur, il sent bon. Les fleurs et bouquets sont d'ailleurs présents dans quasiment toutes les scènes et parfois même en introduction de certaines. Pour intensifier cette sensation parfumée, Sergi Lopez (dans un petit rôle) interprète d'ailleurs, un créateur de parfum. Le fond de l'histoire me fait furieusement penser à "la Dentellière de Claude Goretta", mais en moins dramatique. Néanmoins, comme dans "la Dentellière" le thème de l'homogamie et des rivalités sociologiques ancestrales sont largement présents dans les comportements ou les postures des différents acteurs du film. Sans faire bouger les lignes: chacun restant dans son monde. Les dialogues y sont, aussi, très intelligents et un brin philosophique. spoiler: En conclusion ce film sensible et frais, avance sans aspérité, et se termine comme il a commencé. C'est à dire dans l'introspection de la vie et de son devenir.
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