St Vincent est une comédie sociologique comme le cinéma américain parvient parfois à en produire. Dans la droite lignée de Juno ou Smart People, St Vincent est un film drôle, subtile, émouvant et réjouissant. Un bon moment de cinéma.
St. Vincent de Theodore Melfi avec Bill Murray (SOS Fantômes) et Melissa McCarthy (Spy, Thunder Force) et pour moi un film qui a une histoire qui et pas nouveau mais là manière dont elle et traiter et plutôt sympa.
Pour commencer Bill Murray et incroyable j'adore cette acteur il joue le rôle de Vincent McKenna un voisin grincheux, alcoolique et joueur on s'y attache vite Melissa McCarthy qui incarne Maggie la nouvelle voisine et aussi un personnage au qu'elle on s'y attache je me disais au début et ce que ce genre de film lui convient et je trouve qui oui son rôle lui va très bien et Oliver (Jeaden Martell) il l'on bien choisi. Il y a l'histoire que je trouve pas révolutionnaire car c'est du déjà vue mais elle reste sympathique et mignonne.
Ce qui m'a un peu déçu c'est le début un peut long a démarré long avant de ce plongée dans le film au moment où je me suis mis dedans c'est a l'arrivée de Maggie et Oliver, il y a aussi quelques pages dans le film qui sont long voir ennuyant et même si le rôle de Vincent et d'être grognon j'aurais aimé voir un peut plus d'émotions.
Dans la globalité une histoire qui et déjà vue mais là manière qu'elle est traitée sa en fait une histoire sympa et mignon les acteurs sont excellent long au démarrage mais sa reste un film ou j'ai pris du plaisir à regarder je recommande de voir ce film sympathique et j'en conclus qu'il faut toujours ce renseigner sur le voisinage avant d'emménager.
Encore une fois, Bill Murray délivre une prestation de qualité, qui nous attache à ce personnage pourtant détestable de prime abord. Tous les personnages du film sont intéressants, et touchant, à suivre. La mise en scène est simple et efficace. Dommage que l'histoire soit aussi banale, c'est ce qui m'a embêté, et ennuyé, durant le visionnage de ce film.
Magnifique film. La fin de me donne encore des frissons jusqu'aujourd'hui. Vincent et le petit sont super attachants. Ce film est rentré dans mon top 100 mondial. À regarder absolument.
comédie assez banal et une histoire assez convenu je n'ai pas spécialement rigolé ni vraiment été intéressé . Et les acteurs ne sauvent pas forcément le film.
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5,0
Publiée le 7 juillet 2020
Le grincheux et désagréable Vincent (Bill Murray) est un sergent vétéran du Vietnam complètement brisé qui joue aux courses de chevaux et doit de l'argent au requin Zucko (Terrence Howard). Il est un client habituel de la strip-teaseuse Daka (Naomi Watts). Il y a quelques rebondissements que j'aime particulièrement. J'aime qu'Oliver se lie d'amitié avec son intimidateur. J'aime aussi que le père d'Oliver ne se révèle pas mauvais. Il y a certaines parties où je craignais que le film ne devienne trop sentimental. Mais l'histoire la plus profonde est que la famille est vraiment les amis que vous choisissez et le large éventail des inadaptés est réuni par un mélange de circonstances et d'événements. Ils sont perdus mais retrouvés. L'histoire présente également les héros perdus du Vietnam. Ces anciens combattants meurent et nous avons oublié leurs contributions dans cette guerre insensée. Le film réussit surtout à donner une grande famille de personnages. Un vrai film feelgood qui montre comment les saints sont partout tous les jours. Consultez donc St. Vincent. Bill Murray est un acteur magistral qui devient ce personnage...
L'amitié entre un enfant et un vétéran aigri et grincheux. Malgré des airs de déjà vu et une réalisation académique, une comédie à la fois drôle, tendre et émouvante, portée par un Bill Murray qui excelle dans un rôle taillé sur mesure.
Une touchante tranche de vie à partager avec Mr Murray et les autres acteurs, tous justes. Ça reste prévisible et plein de bons sentiments, mais on se laisse prendre au jeu, et quelques dialogues sont savoureux ! On rit, on s'arrache.
L’histoire de St. Vincent est terriblement convenue et ne ménage aucune surprise véritable, sinon celle des brèves échappées dans la débauche qu’organise ledit Vincent : faire parier un jeune adolescent sur des chevaux de course, l’entraîner au bar, lui apprendre à cogner ses petits camarades, toutes ces initiations à la vie s’avèrent plutôt sympathiques, portées par l’agréable composition musicale de Theodore Shapiro. Néanmoins, ce récit manque cruellement d’enjeux et d’originalité ; l’écriture de ses personnages se cantonne aux caractéristiques conventionnelles – la mère divorcée et dépassée, le vieux voisin bourru mais au grand cœur, le gamin curieux et gringalet – sans exploiter le talent de ses acteurs : Bill Murray recycle de vieilles postures prises autrefois, Melissa McCarthy ne dispose pas d’un espace de jeu suffisant pour imposer une prestation ou comique ou dramatique. Naomi Watts n’est jamais crédible en prostituée enceinte à l’accent slave. Reste le jeune Jaeden Martell – Ça chapitre 1 et 2 – qui s’en sort assez bien ici. On ne sait pas trop ce que veut nous raconter St. Vincent, sinon la gageure de se saisir d’un acteur à la vie privée controversée – accusé de violences conjugales, entre autres – pour le réincarner en personnage offert à la sanctification. Un parti pris intéressant mais qui aurait mérité d’être creusé davantage.
Il se pourrait que Bill Murray se soit payé un petit plaisir en tournant cette comédie dramatique, où je pense qu'il est juste lui-même: Bougon et gentil à la fois dans cet environnement typiquement américain, l'Amérique moyenne on pourrait dire, les petites maisons alignées, les bagarres au collège d'à côté, et l'apprentissage de la vie en sachant se défendre. Dépaysement assuré pour les franchouillards totalement différents des codes sociaux des Etats-Unis. Melissa McCarthy (celle d'avant le relooking) est toujours pleine de fraicheur et de bonnes intentions, mais son partenaire emporte la vedette du film.
Fraîchement canonisé et occupé à arroser son terrain terreux, Vincent n'a pourtant, au premier abord, rien à voir avec un Saint. L'acteur fait le show et ses relations improbables tiennent aussi de la composition de ce beau carré d'acteurs.
Voilà un cas bien agaçant de comédie dramatique formatée pour les festivals de cinéma indépendant et les prix d’interprétation. Agaçant parce qu’il coche toutes les cases, du cabotinage de sa star (le scénario lui offre même un AVC, de quoi en faire des tonnes avec la rééducation) au discours final tire-larmes, en passant par le personnage de mère courage (excellente Melissa McCarthy, légèrement sous-exploitée) ou encore le contre-emploi purement comique (Naomi Watts en prostituée russe, il fallait y penser). Agaçant surtout parce qu’avant de tomber dans le pur mélo et la morale consensuelle bien américaine, St. Vincent offre un très beau premier tiers, porté par un duo d’acteurs à l’alchimie parfaite, une jolie photographie et une sobriété qui m’a presque fait penser à certains films de James L. Brooks. A titre personnel, j’aurais donc préféré que ce Vincent ne vise pas la sainteté et reste sur les sentiers moins battus d’une émotion plus subtile.