AlloCiné
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Film qui cherche son ton ss jamais le trouver:ça commence comme une comédie légère sur le tango,continue comme un drame carcéral étouffant(très à la mode depuis"Un Prophète")et finit dans le rocambolesque le plus improbable,bref du grand n'importe quoi parfaitement DIS-PEN-SABLE.Le cinéma belge ns avait habitué à bcp mieux avec l'extraordinaire"Bullhead".
Un peu mou et des personnages peu attachants, que ce soit les deux gorilles en cabane, la nympho cyclothymique, l’ado engoncé dans son atavisme ou encore le gardien dépressif dénué de tout charisme. Sergi Lopez permet de relever le niveau grâce à une prestation comme toujours hors paire. François Damien s’en sort également avec les honneurs, même s’il endosse un rôle trop habituel.
weihnachtsmann
Le film est bancal par son sujet. Damiens joue bien mais son personnage n’est pas intéressant et le récit se développe d’une façon tellement ridicule qu’il en devient niais et la crédibilité franchement mise à mal donne un ton brouillon et ennuyeux à l’ensemble.
film d'auteur avec françois DAMIENS épatant dans ce rôle de maton fan de tango
on le voit de plus en plus dans des rôles dramatiques qui lui vont bien
film avec une ambiance spéciale qui ne m'a pas déplu
des scènes assez violentes psychologiquement où l'on ressent la tension des personnages et leur détresse face à la situtation vécue spoiler: notamment la scène de parloir ou sergi lopez explique qu'il n'est pas le père du gamin
[
Bonne interprétation des acteurs notamment le jeune garçon Zacharie Chasseriaud que j'avais trouvé épatant dans les géants
le tango fil conducteur qui rend la liberté c'est comme cela que je l'ai compris
on le voit de plus en plus dans des rôles dramatiques qui lui vont bien
film avec une ambiance spéciale qui ne m'a pas déplu
des scènes assez violentes psychologiquement où l'on ressent la tension des personnages et leur détresse face à la situtation vécue spoiler: notamment la scène de parloir ou sergi lopez explique qu'il n'est pas le père du gamin
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Bonne interprétation des acteurs notamment le jeune garçon Zacharie Chasseriaud que j'avais trouvé épatant dans les géants
le tango fil conducteur qui rend la liberté c'est comme cela que je l'ai compris
defleppard
Deux taulards partageant la même femme, leur gardien de prison amoureux de celle-ci. Mise en scène ennuyeuse. 1 étoile et demie.
Le film commence par une premisse interressant mais essayer d'être léger et lourd en même temps c'est le genre de défi qui a besoin d'une touche de génie, qui manquera ici. la distribution ne parvient pas a se décider dans quel registre ils sont censés jouer .Il serait tentant de regarder le film comme une métaphore réaliste face à la liberté spirituelle qu'aucune prison ne peut apprivoiser mais le film est trop realiste pour permettre une telle fantaisie .Ce qui manque c'est une colonne vertebral pour tenir l acteurs sont toujours aussi sympathiques et le film reste malgre tout agreable a voir .
ffred
Encore un beau casting pour ce film du réalisateur de Filles de joie et Une liaison pornographique. Une nouvelle fois avec le toujours formidable Sergi Lopez, et aussi François Damiens, Zacharie Chasseriaud ou Anne Paulicevich. Tout le monde est impeccable. Voilà une comédie dramatique aux personnages attachants, drôle et tendre que parfois dure, qui nous fait passer un bon moment. Frédéric Fonteyne est définitivement un metteur en scène à suivre.
Dik ap Prale
Un tendre tango qui penche entre mélo rigide et fantaisie invraisemblable mais qui procure de belles séquences quand il rassemble toutes ses petites cellules dispersées. Les acteurs sont tous irréprochables et touchants.
film pas vraiment marquant, un peu insipide, avec des "coutures" un peu trop visibles... On n'y croit pas...
Je n'ai visionné que récemment ce film sorti fin novembre 2012 et, en dépit d'une bande annonce que j'avais trouvée séduisante à l'époque, j'ai finalement été assez déçu. C'est assez brouillon, pas très construit et les dialogues -- surtout ! -- sont souvent incompréhensibles. L'histoire démarre assez bien, mais on découvre rapidement un ménage à trois sur lequel le maladivement timide JC (François Damiens) vient se greffer et ça part un peu en sucette jusqu'à la fin, carrément invraisemblable. Le tout sur fond de tango argentin, probablement symbole de liberté dans le milieu carcéral. Le tout est assez indigeste et je recommande de passer son chemin, bien que (et les critiques sur ce site le prouvent) certains aimeront sûrement.
François Damiens toujours pareil, très sauvage et timide. Film à voir. Pas exceptionnel
Film intéressant avec un très bon F.D. mais avec une fin un peu légère... dommage.
Mon attrait pour la danse se rapprochant de 0 j'ai abordé ce film avec relativement peu d'attente pour être poli. Bien que moyen d'évasion spirituel pour les prisonniers, ce n'est heureusement pour moi pas le sujet du film. Le titre est en revanche très bien choisi puisque ce que raconte le film c'est l'histoire d'une femme partagée entre non pas deux, mais trois hommes avec l'arrivée d'un gardien de prison avare en parole (François Damiens, sobre comme jamais). Mais entre ses amours passagers, un gosse (Zacharie Chasseriaud, déjà dans Les géants), dont la naissance-même est floue, qui, paumé, va tombé dans la déch' et péter des câbles. C'est lui la révélation de ce film délicat, bien interprété mais parfois mou.
Parfois poétique, j'ai été charmée par le début bien joué par Damiens. Ensuite, le film devient surréaliste, répétitif...et bâclé !
Dommage car j'avais envie d'y croire.
2,6/5
Dommage car j'avais envie d'y croire.
2,6/5
Embarrassant, brouillon, chaotique, qui fait l'effet d'un patchwork mal assemblé. Dans le désordre, les scènes cruciales sont pourtant parfaites à l'image, il y a de l'ambiance, une lumière qui irradie l'endroit et les gens. On a envie de s'attacher aux trois protagonistes appelés à se mesurer, d'autant que Sergi Lopez débite quelques bons mots et rit en gros plan, on s'attend à une montée d'adrénaline, quelqu'un d'autre ou un événement qu'on ne pouvait pas deviner. Bien gentille la petite femme libre pour occuper l'écran. Préciser le pourquoi du comment afin de dérouler l'écheveau, ça va quelques minutes... On finit par souhaiter que le plus suicidaire disparaisse (trop de cirque !) afin d'avoir autre chose à se mettre sous la dent. Incompréhensible par exemple que le réalisateur se soit autant privé de l'acteur argentin le plus récalcitrant à danser au départ et qui finalement se décide. Il a "une gueule" et de la présence ! Dès le braquage de la caméra sur cet acteur précis, on s'attend à ce qu'il ajoute sa partition à l'intrigue amoureuse. Comparé à "Une liaison pornographique" et "La femme de Gilles" si aboutis, c'est un demi-film.
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