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CDRIX C.
47 abonnés
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3,5
Publiée le 10 février 2018
Enfin des explications sur les phénomènes de Cloverfield et 10 Cloverfield Lane ! Et quelle belle surprise de suivre la talentueuse Gugu Mbatha-Raw (la Kelly du San Junipero de la saison 3 de la série Black Mirror) dans cette aventure fantastique ! Ce Cloverfield virevolte entre Event Horizon, Gravity, Alien, L'Expérience Interdite et surtout ce film de SF du début des années 80 : Philadelphia Experiment. Sans doute pas une pépite comme peut l'être Moon (autre film spatial) mais bien plus intrigant que Life Origine Inconnue (encore un film spatial). Le point fort de ce Cloverfield est incontestablement la richesse de son généreux casting : Daniel Bruhl, Elizabeth Debicki, Zhang Ziyi, David Oyelowo et bien d'autres. Avec la multitude de sous-intrigues qu'ouvrent ce film, on peut aussi s'attendre à voir débarquer sur nos écrans d'autres histoires fantastiques et étranges estampillées Cloverfield, à la manière de Twilight Zone.
Casting jouant moyen sur un semblant de déjà vu ! J'ai repensé à l'indétronable Event Horizon. Le casting est tout juste convaincant, on s'épargne pas les clichés. Le raccord à la "saga" cloverfield n'est dépeint sur les dernières minutes. Quelques bonnes idées, mais je comprends qu'il ne soit que sur Netflix.
Alors qu'en 2008 J.J. Abrams et Matt Reeves surprenait leur monde en sortant Cloverfield, un kaiju eiga en found footage particulièrement réussi, c'est l'aura mystérieux du projet procédé par une campagne marketing surprenante qui a finit d'en faire une oeuvre culte. Lorsqu'en 2016, Abrams annonce 2 mois avant sa sortie, 10 Cloverfield Lane, une suite spirituelle au précédent opus c'est un autre brillant coup de marketing qui est annoncé suivi d'un film impeccable par sa maîtrise et sa gestion du mystère. Une franchise était née. Mais comment surprendre encore son public après ça ? En utilisant intelligemment la plateforme de streaming titanesque qu'est devenue Netflix et profité de l'événement du Super Bowl pour annoncer un 3e opus et le sortir immédiatement dans la foulée.
Plus que la qualité des films, le cloververse est avant tout devenu des brillants coups de marketing et encore une fois il a frappé fort. L'existence d'un troisième film n'était plus un secret mais sa sortie fut admirablement bien gérée, mais que cache ce coup marketing ? Avec Netflix qui commence à avoir pour réputation de récupérer des films et des cinéastes dont plus personne ne semble vouloir, le coup de pub vient commencer à laisser penser à un moyen de vendre un film raté qui ne trouve pas sa place au cinéma. L’accueil critique de ce nouveau film fut très froid et le problème du cloververse explose au grand jour, celui d'une franchise qui ne semble pas savoir où aller. Comme 10 Cloverfield Lane, ce nouveau film initialement appelé God Particle ne devait même pas faire partir de la dite franchise. Bad Robot s'accaparent des scénarios déjà existants pour les modifier comme ils le peuvent et le faire rentrer dans la saga. Avec 10 Cloverfield Lane, l'entreprise fut une réussite car on se retrouvait face à un film au pitch assez original et qui partageait un ADN commun avec le premier Cloverfield dans son aura de mystère et de jouer sur les questionnement mais sans jamais tomber dans la citation directe. On se retrouvait face à un univers proche de ce qu'on avait pu voir avec Twilight Zone ou récemment Black Mirror. Un univers commun mais qui n'est pas directement connecté.
La promesse est donc alléchante, sauf qu'avec ce The Cloverfield Paradox elle n'est pas tenue. Ce qui en fait le plus faible opus de la licence, c'est qu'il est d'abord incapable de créer son propre aura et de trouver son identité. Le scénario et la mise en scène statique de Julius Onah, se noie dans les références du space horror en citant Alien, Even Horizon et bien d'autres sans jamais savoir transcender ou digérer ses inspirations. En résulte non seulement une histoire prévisible, mais qui en plus se voit peuplé de personnages stéréotypés et insignifiants qu'on aura du mal à s'attacher à eux. Le personnage principal aura quand même un questionnement assez intéressant vers la fin du film mais cela intervient trop tard et est trop vite éclipsé pour que ça décolle vraiment. Le film reste trop succinct même lorsqu'il propose ici et là quelques bonnes idées. Mais dans l'ensemble le casting est très bon et arrive à donner un peu de substance à l'histoire. Gugu Mbatha-Raw est très solide dans son interprétation, et elle est accompagnée de David Oyelowo et Daniel Brühl tout deux impeccables comme la plupart des seconds rôles. On sera plus réticent sur le comic relief qui ne trouve jamais sa place dans le récit et tombe souvent à plat où les caricatures très forcées du personnage russe et celui de la jeune chinoise.
Le scénario ne s'impose donc pas par sa finesse mais souffre aussi de vouloir connecté les films Cloverfield entre eux. Il vient tout simplement démystifier le mystère propre à la saga en plongeant dans des explications simplistes et peu convaincantes pour venir citer de manière maladroite le premier Cloverfield. Un manque d'inventivité certain qui en plus donne l'impression de voir deux films bancalement assemblés dans un seul, où les scènes sur Terre semble déconnectées du reste et manque cruellement d'intérêt mise à part dans un dernier plan qui ne manquera pas de faire frissonner les fans de la franchise. On assiste donc impuissant à une opportunité manquée mais qui en soit ne se montre pas non plus déplaisante. Même si le film en raison de son titre souffrira de l'attente qu'il a suscité et de la comparaison avec ses deux aînés, il reste un space horror efficace qui sait distiller ici et là quelques bonnes idées. La réalisation technique est plus que correcte, et si on est pas trop regardant sur les exactitudes scientifiques on se laisse facilement porter par le récit aussi convenu soit-il.
The Cloverfield Paradox est à la différence de ses deux prédécesseurs, un film qui échoue à créer l’événement. Même si le coup marketing orchestré avec l'aide de Netflix est sans précédent, le produit qui suit derrière n'est jamais à la hauteur de ce brillant coup de pub. On reste devant un petit film de SF qui sait se laisser suivre sans trop de déplaisir mais il peine à trouver toute sa cohérence et son identité. Plus que ça, il vient égratigner l'aura mystérieux propre à la marque Cloverfield et la démystifie dans son envie de tout expliquer et de tout connecter ensemble. On aurait pu avoir une grande franchise à la Twilight Zone, on n'aura qu'un univers partagé de plus parmi tant d'autres. Et The Cloverfield Paradox, avec son très bon casting mais son scénario faiblard et sa réalisation sans relief sera alors très vite oublié.
JJ Abrams ne nous surprend même plus.... il enchaîne les navets tel un maraîcher sans audace..... voilà une station orbitale habitée par la crème de nos scientifiques terriens, mais au bout de deux ans l'ingénieure chinoise ne parle toujours pas un mot d'anglais, c'est surprenant. Ce sont des gens au qi très élevé mais ils meurent avec la régularité d'un film d'horreur pour ados pré pubères dans un bois quelconque, il y a du danger ? vite séparons nous !..... et ils se chamaillent comme des gosses. Le russe est méchant comme dans tous les nouveaux films à la Abrams, l'allemand est fourbe, la chinoise veut des raviolis, les clichés pèsent une tonne..... on dirait un très mauvais remake d'Alien avec les tripes à l'air mais avec un message écolo (la terre se meure bien sûr) faisons un film sur ça, les demeurés vont adorés... une morale à la Abrams pour un téléfilm netflix dont il savait qu'il ferait un bide au cinéma.
On ne sait pas ce qu'il y a de pire dans ce film : le scénario inepte ou le naufrage du concept "cloverfield" décliné en franchise. Le premier Cloverfield était révolutionnaire dans pas mal d'aspects. Le deuxième était à peu près décent, avec d'excellents comédiens (Mary-Elysabeth Winstead transfuge de l'excellente série Brain Dead et le sublime John Goodman) qui sauvaient une histoire qui commençait à s'essouffler. Le troisième c'est la catastrophe malgré un budget qui a dû coûter la peau des fesses à Paramount et NETFLIX. Alors un humble conseil pour les scénaristes : le principe de dimensions espace-temps multiples dans un scénario ne masque pas une histoire si bâclée qu'elle en devient vite ridicule.
Si le titre et la dernière scène ne nous donnait pas l'info, pas grand monde ne pourrait rattacher ce film au cultissime Cloverfield 1er du nom...De ce que j'ai pu lire sur internet, et de ce que j'en ai compris, JJ ABrams et ses copains avaient un scénario et se sont dit "Qu'est ce qu'on pourrait faire pour le rattacher à la franchise Cloverfield? C'est bien dommage...le film se laisse certes regarder, avec des faux airs de Sunshine et Life...rien de bien nouveau à la franchise, et un film au final plus que passable
Toujours pas, compris, et pourtant cinéphile à mes heures perdues, surtout en SF, le lien entre Cloverfield, Cloverfield Lane (ayant pourtant beaucoup aimé les deux, le premier à la sauce "Chronicle", un Ovni) et ce dernier Cloverfield Paradox qui n'apporte aucune explication sur quoi que que ce soit, surnage dans les clichés (remattez-vous plutôt un vrai bon "Interstellar"). J'ai attendu, patienté, les liens scénaristiques au sein du film. Bah, j'y ai perdu un cerveau. Déjà que je dois être un peu bête mais entre Cloverfield et Cloverfield Lane, je n'avais pas vu qu'ils se rejoignaient. Mais le Lane, tout comme un bon "Monsters", avec de bons acteurs et un bon scénario le faisait bien. Pour en revenir à ce dernier Opus "Paradox", il porte vraiment très bien son nom. A part de belles couleurs et un "beau" vaisseau, hum... bah je me suis ennuyé ferme et j'aime pas ça. Si au moins le lien avait été établi. Mais franchement c'est du Netflix. Acteurs inconnus, peu de moyens, scénario assez simpliste (en général - il y a des exceptions). Et on parle d'un quatrième Opus !?? Hein ?! Mais ça, c'est réservé au grande saga qui ont mot à dire. Pas à ces plats cinématographiques surgelés où l'on remplace le bœuf par du cheval. Grosse ennui et big déception. Et pourtant, j'aime pas gâcher le plaisr des uns ou des autres et encore moins le mien.Mais là... Oops !
"Les résidents de la station vont alors être confrontés à l'étrange présence d'une autre station spatiale tout près de leur position" ? Non, il n'y a pas d'autre station du tout... Voici un synopsis exact. En 2028, la Terre souffre d'une crise d'énergie majeure. Tous les espoirs reposent sur une mission à bord d'une station spatiale internationale (et non américaine) nommée Cloverfield. A son bord, un accélérateur de particules est testé. Après une énième tentative de lancement de la machine, une surcharge se produit. Suite à cet incident, les scientifiques de la mission découvrent que la Terre a disparu. D'autres événements étranges vont alors se produire au sein de la station, mettant en danger l'ensemble de l'équipage. Malgré un scénario parfois un peu brouillon, j'ai plutôt apprécié Le paradoxe Cloverfield. C'est correctement joué et l'intrigue se suit assez plaisamment, avec une fin annonçant certainement une suite.
Pas le meilleur des Cloverfield, mais la fin ne nous donne qu'une seule envie, voir le film qui doit sortir au cinéma en 2018. On découvre des infos supplémentaires sur le monstre, et ce qui arrive à la Terre durant les 2 précédents volets. Agréable à regarder mais pas complètement indispensable. Le format Netflix selon moi était bien choisi.
Après un premier film qui avait le mérité de briser certains codes du cinéma américain, voilà qu'avec ce The Cloverfield Paradox on y replonge les deux pieds en avant.
Une mise en scène plate et des personnages assez ternes malgré une envie de les rendre attachant (c'est manqué donc) et une absence de BO font de ce film une grosse déception. Il ne raconte pas grand chose d'utile, ne répond à aucune question tout en se permettant d'en donner d'autres et surtout, un scénario TO-TA-LE-MENT prévisible.
En bref je suis content de ne pas eu avoir à payer pour allez voir ce film, les avantages de Netflix on dira.
J'ai cru tout d'abord voir une suite de l'énorme "Cloverfield", premier du nom. Hé bien non! J'ai plus eu l'impression de regarder un mauvais film made in Asylum ( ce qui est un euphémisme )... Catégorisé dans la classe "horreur" ? Second fou-rire tellement ce film au scénario plus que téléphoné était pathétique de nullité. La seule chose réellement effrayante est qu'ils ont osé prétendre que c'était un film de qualité.....
Pas complètement convaincu. L'effet questionnement ne pèse pas aussi bien dans les dialogues et les comportements. De très bons effets, un scénario assez compliqué. Se laisse regarder ! 3/5 !!!
j'ai mis moyen car: Le film est bien, bon action, bon suspense, etc..
Mais la bebete, on la voit( en partie) 3s a 3s de la fin....( et une ombre dans la fumée). A quand un cloverfield ou on voit la bete en action !!! ????