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Votre avis sur White House Down ?
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John Cale, en froid avec sa fille et postulant pour un job de garde du corps du président des USA, se retrouve mêlé à une attaque en force de l'intérieur de la Maison Blanche. Il va désormais tenter de sauver sa fille, et celle du président, par la même occasion...
Pendant un moment, j'ai eu peur que le film ne décolle jamais ou trop tard pour vraiment assumer le reste de son récit en huis-clos. Heureusement, dés lors que l'action se fait vraiment insistante, ça ne s'arrête plus. "White House Down", même s'il lui aura fallu trois bons quarts d'heure pour y parvenir, s'avère bien supérieur à l'"Olympus Has Fallen" de Antoine Fuqua avec Gérard Butler. Non pas que ce dernier soit raté mais Emmerich réussit, lui, à utiliser sa Maison Blanche de meilleure façon que celle de Fuqua. En quels points ? Presque tous. D'une part, "WHD" a l'intelligence de ne pas s'enfoncer dans le patriotisme total et sait, quand il le faut, mettre la pédale douce sur les enjeux politiques qu'il présente. Ainsi, là où "Olympus..." se prenait vraiment au sérieux, "WHD", par son président plus ouvert, et par sa capacité à rire de l'évènement dont il est question, offre au film une légèreté globale en parfaite alchimie avec la violence des affrontements. Il faut dire que "WHD" sait quand il faut faire rire. D'une scène d'action décisive donc, où les deux héros, John Cale et James Sawyer, doivent s'échapper par les jardins en voiture, plusieurs images vraiment hilarantes apparaissent. La course poursuite est donc l'occasion de voir le président avec un bazooka comme l'aurait fait Martin Riggs ou Roger Murthaugh à l'époque de "L'Arme Fatale". Ce tragicomique, Emmerich l'entretient de façon jouissive, que ce soit par Jamie Foxx et Channing Tatum, tous deux excellents, à travers une impressionnante quantité de scènes d'action à travers le palais présidentiel. Ce palais justement, le cinéaste lui en fait voir de toutes les couleurs. Sa visite guidée est riche, et "White House Down" utilise pleinement son terrain de jeu, bien plus que dans le "Olympus Has Fallen" de Antoine Fuqua. Ici, les jardins, le dôme, les bureaux, les sous-terrains, le toit, les centres de commande, les bibliothèques, tout est sujet à se faire exploser de façon inventive. Les gunfights de Emmerich y sont bien menés et le tout est enfin porté par un casting parfait. De James Woods, enfin revenu au premier plan à Richard Jenkins et Jason Clarke, tous les seconds rôles font le boulot.
De tout ce carnage, on regrette que le film ait mis tant de temps à s'en acoquiner, mais le résultat, s'il n'est pas subtil pour un sou, parait fait avec tellement d'implication que l'on irait bien refaire un tour chez Barack Obama. Ou plutôt James Sawyer !
Pendant un moment, j'ai eu peur que le film ne décolle jamais ou trop tard pour vraiment assumer le reste de son récit en huis-clos. Heureusement, dés lors que l'action se fait vraiment insistante, ça ne s'arrête plus. "White House Down", même s'il lui aura fallu trois bons quarts d'heure pour y parvenir, s'avère bien supérieur à l'"Olympus Has Fallen" de Antoine Fuqua avec Gérard Butler. Non pas que ce dernier soit raté mais Emmerich réussit, lui, à utiliser sa Maison Blanche de meilleure façon que celle de Fuqua. En quels points ? Presque tous. D'une part, "WHD" a l'intelligence de ne pas s'enfoncer dans le patriotisme total et sait, quand il le faut, mettre la pédale douce sur les enjeux politiques qu'il présente. Ainsi, là où "Olympus..." se prenait vraiment au sérieux, "WHD", par son président plus ouvert, et par sa capacité à rire de l'évènement dont il est question, offre au film une légèreté globale en parfaite alchimie avec la violence des affrontements. Il faut dire que "WHD" sait quand il faut faire rire. D'une scène d'action décisive donc, où les deux héros, John Cale et James Sawyer, doivent s'échapper par les jardins en voiture, plusieurs images vraiment hilarantes apparaissent. La course poursuite est donc l'occasion de voir le président avec un bazooka comme l'aurait fait Martin Riggs ou Roger Murthaugh à l'époque de "L'Arme Fatale". Ce tragicomique, Emmerich l'entretient de façon jouissive, que ce soit par Jamie Foxx et Channing Tatum, tous deux excellents, à travers une impressionnante quantité de scènes d'action à travers le palais présidentiel. Ce palais justement, le cinéaste lui en fait voir de toutes les couleurs. Sa visite guidée est riche, et "White House Down" utilise pleinement son terrain de jeu, bien plus que dans le "Olympus Has Fallen" de Antoine Fuqua. Ici, les jardins, le dôme, les bureaux, les sous-terrains, le toit, les centres de commande, les bibliothèques, tout est sujet à se faire exploser de façon inventive. Les gunfights de Emmerich y sont bien menés et le tout est enfin porté par un casting parfait. De James Woods, enfin revenu au premier plan à Richard Jenkins et Jason Clarke, tous les seconds rôles font le boulot.
De tout ce carnage, on regrette que le film ait mis tant de temps à s'en acoquiner, mais le résultat, s'il n'est pas subtil pour un sou, parait fait avec tellement d'implication que l'on irait bien refaire un tour chez Barack Obama. Ou plutôt James Sawyer !
Un bon film d'action et une excellente surprise, cela fait maintenant deux fois (après "Anonymous") que ce réalisateur m'en bouche un coin. Comme quoi, il ne faut jamais rester sur ses a priori : je trouvais Roland Emmerich très mauvais et je n'ai apprécié aucun de ses films avant "Anonymous".
Dommage ! Histoire vue, revue et archi vue.... Bien réalisé et bon casting. Manque le petit plus
Ciné2909
Roland Emmerich aime détruire la Maison Blanche ; après Le jour d’après, 2012 & Independence Day (qui fait d’ailleurs l’objet d’un petit clin d’œil), c’est donc avec John McClane … ah non pardon John Cale autrement dit Channing Tatum qu’il va lancer un joli feu d’artifices. Pas de surprises, White house down s’accompagne de bonnes scènes d’actions rythmées par des fusillades, explosions et crashs d’hélicoptères sans oublier l’élan patriotique de rigueur pour ce genre de films. Un divertissement assumé mais on reste un peu sur notre faim, La chute de la Maison Blanche m’avait lui laissé un meilleur souvenir.
7eme critique
Le cinéma d'action des années 80/90 revient (et forcément, ça n'a pas le même charme aujourd'hui). Du déjà vu qui en devient ridicule, une multitude de scènes d'action incohérentes, un scénario qui n'accroche plus. Il n'y a pas que la maison blanche qui s'effondre tant le film nous ennuie à mourir. Même plus divertissant, "White house down" alimente les action-movies sans la moindre originalité ni prouesse artistique.
Le jeu d'acteur de Jamie Foxx sauve tant bien que mal le film parce que, même si le scénar est plutôt original, les situations sont tirées par les cheveux, des fois carrément débiles. Le patriotisme américain à deux balles aussi...ça devient gonflant à force. Et les effets spéciaux déçoivent. Bref, c'est mauvais.
sorti quelques mois après "La Chute de la Maison Blanche", on retrouve le meme principe. d'un coup, trois gus arrivent à prendre d'assaut la maison blanche et capturer le président et controler les bombes nucléaires. on se croira dans la série 24h mais en bien plus mal foutu..
Redzing
Après toute une série de long-métrages filmés au bazookas, Roland Emmerich se lance dans un actionner à la sauce made in 90's. Tout comme son concurrent "Olympus Has Fallen", sorti quelques mois plus tôt, "White House Down" nous plonge au cœur de la Maison Blanche prise d'assaut par des terroristes. Heureusement, un ancien militaire au mauvais endroit au mauvais moment va mettre des bâtons dans les roues aux infectes crapules. Le film se veut comme un décalque de "Die Hard" et ne s'en cache pas. On y retrouve les mêmes pans d'intrigue, et des personnages similaires (le héros aux problèmes familiaux, le grand méchant machiavélique, le bras droit déterminé à tuer le héros, l'informaticien amusé, etc.). Avec ce manque flagrant d'originalité, et la bêtise habituelle d'Emmerich, on s'attendait donc au pire. Force est de constater qu'à l'instar de "Olympus Has Fallen", le réalisateur est parvenu à nous livrer un film d'action divertissant. Malgré quelques incohérences ou passages un peu gros (le "twist" final est à la limite du ridicule...), des CGIs à foison, et un patriotisme exacerbé (quoique plus subtil que les autres films du réalisateur), l'ensemble fonctionne correctement. Cela est du en grande partie à l'humour bon enfant omniprésent, qui passe notamment par la désacralisation de la fonction présidentielle. En effet, Jamie Foxx fait plus office de comique de service que de chef d'état. Un film d'action correct.
Sacrebleu, l'Olympe est encore tombé ! C'était bien la peine que Gerard Butler se décarcasse il y a quelques mois dans "La chute de la Maison Blanche" pour bouter hors du palais présidentiel des Etats-Unis une horde de nord-coréens armés jusqu'aux dents. Ici, c'est l'ennemi intérieur qu'il faut déloger, et avec quand même beaucoup plus de moyens. Il faut dire que c'est Roland Emmerich qui est à la réalisation : habitué des films à (très) grand spectacle, il nous livre avec "White house down" un nouvel opus bourré d'action et de plaisir. Avec ce joyeux degré qu'il manquait dans le dernier sauvetage du président américain et qui rend cette œuvre presque jubilatoire. Je dis presque, car il y a parfois un peu trop d'exagération, ainsi qu'un (relatif) message politique par trop caricatural, notamment par rapport au personnage incarné par Jamie Foxx qui renvoie forcément à Obama, juste au moment où, cruel hasard du calendrier, celui-ci est englué dans ses tergiversations syriennes. Mais il est comme ça Roland : il aime se faire plaisir et nous divertir avec de l'outrance et des bons sentiments. Et une fois de plus il fait formidablement mouche. On regrettera toutefois le temps où le chef de la nation la plus puissante du monde savait se défendre tout seul pour régler leur compte au méchants. Celui où Harrison Ford mettait tout le monde au tapis dans "Air Force One". L'Amérique, c'est quand même plus ce que c'était !
2013 n'est pas l'année de la Maison Blanche !
Après Olympus Has Fallen, voici que Roland Emmerich y va lui aussi de son scénario de la tombée des Etats Unis.
Au programme : de l'action, un peu d'humour ( mais vraiment un peu ), du ridicule et des explosions accompagnées de fusillades et de bastons. Tout un programme en fait !
Si vous avez maté le film concurrent, passez votre chemin ! ou si vous avez 2 heures a tuer, je vous conseille ... de faire ce que vous voulez ! Par contre, si les films pro américains ou les Etats Unis sont les plus beaux, les plus gentils vous rebutent, passez votre route et vite !
Après Olympus Has Fallen, voici que Roland Emmerich y va lui aussi de son scénario de la tombée des Etats Unis.
Au programme : de l'action, un peu d'humour ( mais vraiment un peu ), du ridicule et des explosions accompagnées de fusillades et de bastons. Tout un programme en fait !
Si vous avez maté le film concurrent, passez votre chemin ! ou si vous avez 2 heures a tuer, je vous conseille ... de faire ce que vous voulez ! Par contre, si les films pro américains ou les Etats Unis sont les plus beaux, les plus gentils vous rebutent, passez votre route et vite !
Le spécialiste du blockbuster à l’américaine Roland Emmerich choisi comme décor la Maison Blanche pour nous servir une bonne série B qui fait beaucoup penser à "Die Hard" dans l'esprit.
Ne se prenant pas au sérieux tout en étant très efficace dans l'action, le film renoue avec une certaine tradition des films d'action des années 90.
Bien sur le scenario est des plus classique mais comporte une dimension politique plus critique qu'il n'y parait.
Toutefois n’exagérons rien nous sommes avant tout devant un pur film à spectacle avec certains clichés d'usage qu'aucun film de ce genre n'arrive à omettre.
Ne se prenant pas au sérieux tout en étant très efficace dans l'action, le film renoue avec une certaine tradition des films d'action des années 90.
Bien sur le scenario est des plus classique mais comporte une dimension politique plus critique qu'il n'y parait.
Toutefois n’exagérons rien nous sommes avant tout devant un pur film à spectacle avec certains clichés d'usage qu'aucun film de ce genre n'arrive à omettre.
Scenario béton, effet speciaux tres réussis, action non stop, un pure die hard like!!!
un film a ne rater sous aucun pretexte pour tout les fans du genre :D rien a voir avec l autre daube de olympus has follen!
un film a ne rater sous aucun pretexte pour tout les fans du genre :D rien a voir avec l autre daube de olympus has follen!
Un film improbable avec un zéro qui sauve la maison blanche à lui tout seul contre des terroristes alors que l'armée américaine ne peut rien faire et reste devant les grilles, ça bastonne un peu, ya une pinçée d'humour et de bonne humeur et surtout le président Barack Foxx qui flingue des méchants.
Dik ap Prale
Une prise d'otage moins osée et des rebondissements beaucoup plus attendu que pour Olympus Has Fallen (2013). La grosse artillerie numérique n'est vraiment pas une plus-value. Les facilités rompues à des pirouettes humoristiques incessantes laisse un bon divertissement en tête; Peu pertinent, pas décoiffant mais en aucun cas irritant.
bsalvert
film d'action , block buster, tous les stéréotypes sont présents, il y a de l'action les gentils les méchants et pourtant la sauce prend et on se laisse entrainer.
PLV : un film d'action sans autre surprise que celle d'être toujours présent au moment du générique
PLV : un film d'action sans autre surprise que celle d'être toujours présent au moment du générique
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