Votre avis sur Kingsman : Services secrets ?
2,0
Publiée le 29 avril 2015
Ca part bien et ça se termine très mal. Comme souvent le film qui aurait pu tenir 1h30 s'étiole à vouloir dépasser les 2h. Ca devient donc long ennuyeux et cerise sur la gâteau de plus en plus mauvais gout.
2,0
Publiée le 4 août 2015
Bon, je sais enfin ce que je pense de Matthew Vaughn. Si Kingsman ne remet pas en cause la bonne opinion que j'ai de X-Men First Class, qui était davantage verrouillé par des obligations quasi-contractuelles avec une série à succès dont il fallait respecter l'univers, il me donne une opinion plus tranchée sur Kick-Ass, et pas très favorablement. C'est à ça, au final, qu'on pourrait résumer ce Kingsman ; une variante "film d'espionnage" de Kick-Ass, autant parodie d'un genre qu'hommage à ses plus beaux succès. Un sas de décompression, aussi, un long-métrage censément capable de faire rire des défauts de films qu'on aime, d'admettre leur existence, mais sans pour autant leur manquer de respect ni leur tourner le dos. Dans l'idée, ok. Reste comme toujours que Vaughn ne va pas assez loin, que sa liberté n'est que relative. Toujours ce ton hésitant, ces tentatives de créer, quand même des enjeux émotionnels. Comment cela serait-il possible, avec un tel univers ? Toujours des références geek à l'excès, et une mise en scène tapageuse qui crie haut et fort tout le cool qu'elle voit dans le récit qu'elle met en images. Le problème, c'est que cet univers se regarde tellement le nombril qu'il se fige complètement et finit très vite par ne plus proposer que des moments prévisibles, ou presque. Des scènes pour la plupart sagement cantonnées dans le quota de fun, d'épate et de pseudo-irrévérence du cahier des charges, qui jamais n'oseront aller très loin dans la provocation ou dans la satire. Si quelques scènes font exception, elles sont bien trop rares, et l'ensemble manque de jusqu'au-boutisme. Dès lors, la plupart des effets tombent à plat, noyés dans une esthétique 2.0 (numérique à foison, cadrage et découpage intenable qui se gargarisent de leur originalité) qui renforce encore la personnalité geek de l'entreprise. Un peu comme devant un Marvel, j'ai l'impression de voir le film dérouler un programme de façon ostentatoire, mais s'en féliciter. Presque de l'auto-congratulation. Pourtant, je trouve que les vieux James Bond arrivaient bien mieux à assumer leur absurdité, sans avoir à la surligner sans cesse, juste par les sourires entendus d'un Sean Connery qui savait le flegme de son personnage impossible, ou une surenchère qui s'amoncelait lentement sans trop sauter aux yeux, laissant le soin à son spectateur de choisir si oui ou non, il pourrait s'accommoder d'un irréalisme si manifeste. Kingsman, en tout cas, manque soit de ce genre de finesse (qu'une bonne parodie aurait simplement pu pousser un peu plus loin pour développer ses effets comiques) soit d'une vraie irrévérence pour marquer réellement. Prévisible et formaté, j'ai du mal à voir en Kingsman quelque chose de plus qu'un nouvel objet générationnel désespérément persuadé qu'il est cool, et que cela le dispense de proposer réellement quelque chose de chiadé.
2,5
Publiée le 2 septembre 2019
Ce n’est pas souvent que j’ai beaucoup de choses à dire d’un film qui ne me transporte pas spécialement. On pourrait croire que je le dois à l’originalité de Kingsman, ce Johnny English déluré sauce Deadpool (& apparemment Kick-Ass aussi, mais je ne l’ai pas vu). Pourtant, il n’invente strictement rien et n’a cure de mettre le réchauffé sur un plateau d’argent – ce que fait d’ailleurs Samuel L. Jackson avec son ”happy meal” de sorte que ses manières vont avec le grotesque de sa tenue.

Eggsy (Taron Egerton), personnage principal de son état, est ce génie & ce champion de gymnastique avec l’étoffe d’un Spiderman qu’une Agence (il faut le prononcer en murmurant avec un ton mystérieux) débotte d’une vie socio-professionnelle tenant en une ligne. Vaughn tente la rupture en intégrant Eggsy, semi-plébéien, dans le monde huppé des Kingsman, mais ce n’est que son prétexte pour faire durer deux heures un spectacle qui n’a pas vraiment de vision globale.

Mais je brûle les étapes. Kingsman est produit par une société fondée par le réalisateur en 2004, Marv, qui exhibe quatre lettres abrégeant Marvel. Ou bien abrègent-elles… ses souffrances ? Marv est un renouveau qui ne cherche pas sa place car sa place est partout : pourquoi ne pas transformer le Nick Fury du MCU en mégalomane absurde ou faire du John Brand d’Interstellar ce gentleman james-bondien corruptible sous de grands airs ? – deux rôles de Michael Caine qui promettent un monde meilleur.

Il ne faut pas trop s’arrêter sur le casting manipulé par un Vaughn trop prompt à ne vouloir rien commencer de zéro. Les personnages secondaires en souffrent particulièrement, étant relégués au niveau d’inutilité d’un ingénieur du son derrière un métier à tisser. D’ailleurs, le film annonce la couleur d’entrée : celle du sang versé sur les notes de Money For Nothing. Il n’est pas question pour le spectateur d’être d’accord que Mark Knopfler ambiance un génocide de masse, parce que le divertissement, on nous l’enfonce dans le gosier avec un hérisson de ramonage.

Il faut avoir la digestion solide pour supporter que l’équipe de Vaughn soit constituée de brillants artistes de l’ultra-violence, du genre à pousser l’autodérision au point de ne pas reposer juste sur l’outrance. Alternant slow motions voyeurs & fast motions bien crispy, il met toujours l’action au plein centre de l’écran et cache des uppercuts dans des Big Macs mieux que je cache mes arguments derrière les anglicismes.

Dans une subtilité délirante (compte tenu du bouillonnement ambiant), l’œuvre hurle au monde qu’elle n’est pas un Deadpool, même si assurément ils s’inscrivent dans la même lignée ; les Kingsman sont plutôt sa némésis, agents proprets dont l’œil n’est vif & la respiration haletante que si ça arrange les scénaristes.

Kingsman ne se prend pas au sérieux à ce niveau profond, osant être peu accessible, et s’érige de ce fait au rang des plaisirs coupables supérieurs, ceux que la cinéphilie stoïque & gentilhommière relie toujours au monde d’en haut. D’ailleurs, en faisant de ses personnages des cinéphiles accomplis, glissant des références cinématographiques dans sa trame, de Nikita à Pretty Woman en passant par les inévitables 007, Vaughn caresse le quatrième mur à chaque fois que les protagonistes répètent :

> It’s not that kind of movie.

Stoïque, c’est aussi le mot pour qualifier Colin Firth, dont le flegme anglais confronté à l’ubuesque Nick Fury version Marv est une de ces fluctuations qui nous font hésiter : on doit prendre le film au sérieux, oui ou non ? Des fluctuations sensibles même à l’intérieur des personnages, où elles font se fendre le so-called gentleman de cette citation carrément choquante :

> I’m a Catholic whore, currently enjoying congress out of wedlock with
> my black Jewish boyfriend who works at a military abortion clinic. So,
> hail Satan, and have a lovely afternoon, madam.

Si sa personnalité émane de ce genre de traits (de caractère et d’humour), Kingsman souffre aussi du corollaire, exposant très vite une confiance excessive dans le charisme de ses agents clonés les uns sur les autres avec leur costumes pare-balles & leurs lunettes. Le côté gentleman se réduit à peau de chagrin jusqu’à devenir une simple amorce au regard des minutes qui passent.

On entre alors dans le ventre mou d’une ambiance en U, où l’absence de recyclage commence à se faire salement ressentir, tout comme la lassitude éprouvée vis-à-vis de ce ”gros secret” supposé soutenir toute l’intrigue. Les Kingsman sont censés constituer une agence indépendante, c’est bien précisé, mais cela ne veut pas dire isolée. Dans les faits, elle semble jouer le rôle d’un sous-traitant qui tient pourtant toute la place du scénario, ce qui est totalement à côté de la plaque.

Vaughn a commis une erreur en voulant se couper du monde, espérant sans doute reproduire l’exploit qu’une franchise encore plus célèbre avait accompli en cachant la magie derrière les trottoirs londoniens. La ville ne fait pas tout, même si la magie du cinéma l’habite assurément. Le plus dommage, c’est qu’il aurait sûrement suffit qu’il puisât des clins d’œils dans ses inspirations avouées ; ils auraient été facilement jubilatoires.

La phase de l’entraînement des agents est un tremplin modeste au-dessus de cette faiblesse médiale, et lui-même ne s’avère rien de plus que le mol éclaircissement de talents soudain(s) indomptés dans cette jeunesse semi-super-héroïque.

Tout finit par marcher tout seul (et ce n’est pas une bonne chose), à commencer par le méchant – il n’est peut-être pas celui de ”that kind of movie” mais orchestre sans qu’on sache trop comment une sorte de trailer pour Cellulaire (Tod Williams, 2016, y’a L. Jackson aussi dedans, tiens) qui n’a plus tellement d’atouts pour se défendre face à d’autres opus du genre ”je vais tout massacrer”. Le plan machiavélique finit par marcher par pure chance – les auteurs ont tressé les cordes du scénario avec leurs propres cheveux arrachés à mains nues, à mon avis.

La déchéance est cool, heureusement. Elle dépouille l’histoire de sa surpolitisation momentanée, faux pas pratiqué incidemment sur le territoire de Marvel, et s’excuse même de ce trébuchement en transformant une princesse suédoise en Eggsy Bond Girl. On n’en demandait pas tant.

Les Kingsman ont leur Q intégré à l’intellect (rien de vulgaire, je parle juste de feu Desmond Llewelyn) & leurs talents combinés de lutte & d’éloquence finissent par avoir raison de nous dans une conclusion qui sauve les meubles un peu in extremis, résumable à cette quote sublime – et là aussi étonnamment effrontée – tirée de Moonraker (Lewis Gilbert, 1979) ayant marqué la mémoire du régisseur & la mienne :

> I think he's attempting re-entry, sir.

Moralité : le Valentine’s Day n’est pas venu pour les amoureux du septième art. Mais surtout, comme le dit si bien son interprète :

> Thon of a bitth!

→ https://septiemeartetdemi.com/
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 1 juin 2015
Evidemment on ne s'ennuie guère - pas le temps pour ça, et puisqu'on nous propose un produit distrayant, amusons nous sans trop nous poser de question. Régalons nous de ces clins d'oeil incessants aux James Bond et autres espions/gentlemen britanniques (Colin Firth, excellent comme d'hab' rappelle d'ailleurs plus David Niven que Sean Connery). Extasions nous devant la critique au vitriol des génies de la silicon valley qui façonnent le monde contemporain pour se donner un alibi socio-politique. Ne faisons pas la fine bouche devant la violence décomplexée et stylisée, surtout pas sur un site où Tarantino est vénéré comme un dieu, on risquerait de passer pour un mormon coincé. Malin, mais complètement démago, même si moins détestable que l'ignoble Kick-Ass.
2,0
Publiée le 18 août 2024
Premier épisode d'une future franchise qui pastiche joyeusement les James Bond, ce Kingsman est aussi un blockbuster qui, sous couvert d'humour, se vautre dans les lieux communs et le déjà-vu, peut-être moins par posture parodique d'ailleurs que par manque d'imagination.
Si le personnage de barbouze distinguée de Colin Firth semble introduire, dans l'autocaricature, une dérision so british, c'est trompeur. La comédie d'espionnage du transparent metteur en scène Matthieu Vaughn, commis à la réalisation de cette grosse production anglo-américaine sans personnalité, propose un scénario commun, entre humour, actions d'éclat et parfois violence complaisante, sous la forme de deux récits convergents, l'un dédié aux méfaits d'un mégalomaniaque nuisible comme chez James Bond (Samuel L.Jackson, dans un rôle de méchant franchement terne), l'autre consacré à la formation de l'adolescent attardé et sans charisme Eggsy, destiné à devenir un espion invincible.
Le film suinte la recette commerciale (il suffit déjà d'entendre l'accompagnement musical-on ne peut pas parler de création musicale- qui est celui de tous les blockbusters); si son début parait proposer un ton badin plaisant, le sujet ressemble très vite, dans sa construction et dans ses personnage, à la floppée des James Bond et autres Missions impossibles, avant de sombrer dans la même action boursouflée et ennuyeuse.
2,5
Publiée le 21 avril 2018
Vraiment très moyen, très deçu au vue du casting
Scénario pauvre et trop attendu !
On se demande tout le film si c'est une parodie ou pas . Mélange de James Bond, X-men, Matrix, Soeur Thérerse.com etc
Bof, bof ..on regarde jusq'au bout parce qu'on respect l'effort et qu'on veux pouvoir donner son avis en toute objectivité ^^
2,5
Publiée le 29 octobre 2017
Initiation d'un futur et jeune espion dans un monde hypertechnologisé, puis lutte contre des méchants qui veulent détruire démographiquement la planète en implantant dans la tête des gens des micro-cartes SIM.
Grosse production anglaise. C'est un film d'action et de science-fiction sur le métier de l'espionnage et des services secrets. Totale fiction, avec un peu d'humour, le film correspond vraiment à un public d'ados prêts à accepter n'importe quoi. Beaucoup d'incohérence, d'invraisemblance, mais c'est bien réalisé, très efficacement, avec pas mal de violence (trop même). Certes, on ne s'ennuie pas, mais le film reste au niveau du simple divertissement. A voir par curiosité.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 2 mars 2015
lors que le scénario paraissait intelligent et efficace en première partie, suite à une faute de goût au milieu du film, il ruine tout. Toute la lancée est cassée, et cette faute de goût très mauvaise, impardonnable, fait propager encore d’autres fautes de goût qui infectent le film malheureusement. Mais alors, quelle est cette faute de goût? Il suffit de voir la bande annonce, l’affiche pour voir apparaître en premier lieu le nom de Colin Firth, l’acteur considéré principal du film. Il n’en est rien, Colin Firth s’efface durant toute la deuxième partie. Son effacement entraîne la déception la plus pure et la plus intense. Alors que l’acteur portait véritablement un film intéressant, celui-ci devient un divertissement presque stupide. Cette disparition entraine d’autres fautes de goût, alors que celles de la première partie étaient camouflées par l’acteur au jeu très subtil et inspiré. Le film devient même agaçant par moments.e scénario convenu et négligé ne fait que relier les séquences d’action, trouve un rebondissement mal mené et surtout forcé qui ne crée aucun effet de surprise. L’écriture très moyenne néglige les confrontations verbales, d’un niveau assez faible. Le casting est bien. Colin Firth est excellent, génial, interprète très bien cet espion élégant et dynamique. Son jeu est subtil, digne d’intérêt. Samuel L. Jackson qui est malheureusement en roue libre totale, arrive tout de même à proposer un jeu très intéressant et dynamique. Taron Egerton joue bien mais il n’a certainement pas le charisme nécessaire pour remplacer Colin Firth et devenir l’acteur principal du film. Une faute de très mauvais goût. réalisation, très inspirée, donne du rythme, même si elle contient des défauts par moments. Elle donne de l’énergie au film, le spectateur ne s’ennuie jamais pendant les deux heures, Vaughn est fort dans sa réalisation puisqu’il parvient à ne pas nous ennuyer malgré l’effacement de Firth. A noter une photographie, un montage et surtout une musique (pas toujours) de qualité. Critique entière en lien.
2,0
Publiée le 5 octobre 2015
Un univers loufoque avec de la violence.Mais le tout m'a laissé de marbre et ne trônera pas en haut de ma vidéothèque ça j'en suis sûr!
2,5
Publiée le 11 décembre 2015
Le film concentre un mélange osé de James Bond & de scènes Taranti-ado censurées. Avec un casting très inégal laissant place à de nouvelles recrues au bataillon (Taron Egerton pour n'en citer qu'un), ainsi que quelques vieux meubles qui auraient bien besoin qu'on leur fasse la poussière, Colin Firth & Mark Strong en imposent, cela dit et en font des personnages assez mémorables pour ceux qui n'auraient pas déjà oubliés le film. La pseudo parodie de film d'espionnages nous évite de prendre les enjeux trop aux sérieux même si la bande son nous y aide un temps soi peu. Mais.. Une musique funk pendant que des milliard de personnes se tapent dessus ? Un super-méchant qui super-zozotte ? Comment prendre tout ceci au sérieux ? Quoi qu'il en soit, Kingman est un film sans aucune réelle identité, inclassable tant il essaye de plaire à tout le monde (Un peu comme les Marvel dirait-on). Décevant.
2,5
Publiée le 26 septembre 2022
Un début de film qui m'a bien plus ensuite c'est partit vraiment trop loin a mon gout . Samuel l Jackson est juste insupportable . Je Nest vraiment pas apprécie ce film si bien notée …
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 13 mars 2015
Un Mini James Bond pour les ados, des bonnes répliques, un scénario simple, mais un divertissement à voir à la maison et peut être pas au cinéma,
2,0
Publiée le 25 février 2016
Le film doit-il être pris au sérieux? Ont ne sait pas trop à vrai dire. Parfois des allures de 007, d'autres fois le coté complètement WTF... Ont ressent bien la l'effet "So British" et pour le coup je n'ai pas du tout aimé.
Bien que je ne me sois pas ennuyer, j'ai trouvé le coté décalé très mal interprété comme si ce n'était qu'une façade juste pour dire "T'as vue comment c'est ouf?" Alors qu'au final, aucune utilité, cela discrédite totalement le film à mon sens et lui donne une allure ringarde. Il faut adhérer à tout ces aspects pour pouvoir apprécier pleinement le film.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 12 mai 2015
Ce film aurait pu être beaucoup mieux si il avait été soit plus serieux style James Bond des temps modernes soit plus drôle si il avait été à fond dans la parodie. Au lieu de ça on a un résultat un peu fade malgré une bonne prestation de Colin Firth.
2,0
Publiée le 7 octobre 2017
Bizarre, d'aussi bonnes critiques spectateurs et professionnelles pour cette parodie poussive et même pas drôle de James Bond.
Au départ pourtant, l'idée de renouveler le genre en transformant une "racaille" de banlieue en gentleman british et maître espion était plutôt amusante.
Mais Colin Firth n'apporte pas la plus-value attendue;Samuel L Jackson,dans un croisement de Steve Job et du docteur Folamour, est laborieux et même pas amusant;le scénario poussif et confus,suppléé par les classiques scènes de combat qui se veulent créatives et virtuoses mais ressortissent au style "manga" vu et revu ailleurs.
Bref, un film que je viens de voir hier soir sur M6,alléché moi aussi par les bonnes critiques, mais pour lequel je n'aurais jamais fait le sacrifice de 10 euros.
La suite va bientôt sortir...
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