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Alwendigo
17 critiques
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3,0
Publiée le 13 septembre 2023
J'attendais pas grand chose ce film et je suis assez surprise car il est vraiment pas mal, c'est loins d'être le meilleur film à sketches mais il reste intéressant, les différents segments sont assez sympa et le fil rouge nous met bien dans l'ambiance des différents segments.
au final la vision de ce film a sketch s avère très décevant franchement inégal certains sont mêmes limités voir pas abouti du tout. je ne retiens pas grand chose je ne me suis pas vraiment diverti car aucun scénario n a le temps de nous prendre dans son univers. on retiendra sur l hommage fait au genre mais beaucoup trop disparate et inconstant
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18 103 critiques
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5,0
Publiée le 21 avril 2020
Je l'avais vu en 2012, il est l'heure de le critiquer. Un film d'anthologie d'horreur qui rassemble certains des réalisateurs les plus audacieux. Une jeune femme erre dans un vieux théâtre décrépit où une marionnette bizarre l'accueille. Le film comporte six segments sombre, grotesque et sexuellement pervers. Alors que les films d'anthologie sont principalement aléatoires, ce film est principalement un succès car il correspond exactement à ce que vous attendez d'un film d'horreur indépendant. "I Love You" est un segment dramatique avec une touche d'intrigue assez substantielle et une fin bien faite. "The accident " est un regard déchirant sur la vie et la mort qui est fait de manière très complexe. "Vision Stains" est un conte de science-fiction brutal et dérangeant, "Sweets" est un regard dégoûtant et délicieux sur les fétiches alimentaires. "Wet Dreams" est un pénis Lovecraftian et le segment sur le crapaud "The Mother of toads" était probablement le plus faible. Dans l'ensemble, c'est un excellent film si vous savez dans quoi vous vous embarquez...
Six sketches liés entre eux de façon débile et relevant pour la plupart d'un grand n'importe quoi. Seuls émergent du lot The Mother of toads de Richard Stanley, une histoire de satanisme, de sorcière lubrique et de crapauds, et Wet dreams de Tom Savini, une histoire délirante de cauchemars imbriqués. Le reste n'a aucun intérêt, l'un des sketches prétentieux et suffisant se permettant même d'être complètement hors sujet. (Notes : 0, 4, 0 4, 0, ,0 ,0, ce qui fait une moyenne de 1)
Que dire ? Il ne vaudrait mieux rien dire. Le cinéma a atteint aujourd'hui grâce de "The Theatre Bizarre" un seuil de nullité jusqu'alors inégalé. Devant ces 7 sketches et ces presque deux heures, j'ai été affligé, mais je ne suis pas sur "qu'affligé" soit réellement le terme approprié tant ma patience a été mise à rude épreuve. Au bout de dix minutes seulement, une réelle envie de mettre un terme à ce navet avec un grand "N" m'est venue. Les sketches sont sans queue ni tête, sans aucune saveur mais alors vraiment aucune, sans aucun sens. De plus, la plupart sont de mauvais goût, (mention spéciale pour Tom Savini qui atteint le panthéon de la nullité avec Wet Dreams) avec cet aspect sexuel omniprésent dans plus de la moitié des segments, ce manque total de rebondissement, et de quelconque cohérence scénaristique ( spoiler: avec une castration ou des piqures de seringues dans les yeux pour ne citer que ça ) et pire, de réels dénouements aux histoires. Tant de choses qui peuvent s'expliquer sûrement à cause de la brièveté des épisodes. On sort de chaque sketch en se demandant à quoi rimait cette histoire, et en priant pour que la suivante soit moins consternante, mais ça n'est malheureusement jamais le cas. L'unique moment d'extase, de bien-être, que ce "film" m'a procuré est la scène... du générique de fin. J'ai alors ressenti une immense satisfaction personnelle, j'ai compris que j'étais un homme fort, capable de subir pareille torture et muni d'une patience à toute épreuve. Il n'y a donc pas de mot pour décrire véritablement ce film, "navet" n'étant clairement pas assez fort. Obscène, incompréhensible, à la limite de l'imbécilité, jeu d'acteur largement surjoué... : bref, je ne souhaite à quiconque de visionner cette épave cinématographique et cette insulte faite envers le cinéma.
Un bon petit concentré de courts métrages, très différents les uns des autres avec des histoires originales. Celles-ci sont parfois poétiques, parfois très glauques... J'ai apprécié ce cocktail.
7 courts métrages dont les thèmes marient étonnamment horreur et spiritualité. Un spectacle de marionnettes force une femme à réaliser son emprisonnement dans sa propre fable. Un amateur de sorcellerie rencontre une vendeuse de bijoux occultes qui lui propose un exemplaire du Nécronomicon, mais attention, qui s’y frotte s’y pique. Un homme jaloux et paranoïaque mais qui adore néanmoins sa femme se réveille dans sa salle de bains avec du sang sur lui et une blessure à la main, il se souvient que la veille son épouse et son amant sont venus lui faire leurs confessions. Un homme qui maltraite son épouse subit la mauvaise conscience de ses propres rêves, mais pourrait surtout être perdu par ceux de sa femme. Une petite fille est témoin d’un double accident cruel et sanglant, elle pose toutes les questions possibles sur la mort et la vie à sa mère qui lui répond de manière parfaite. Une SDF sans rêve s’empare de ceux de ses victimes en leur volant leur visions, jusqu’à ce qu’elle découvre malgré elle comment accéder au rêve absolu. Un homme faible et amoureux supplie sa perverse compagne de ne pas le quitter, leur délire commun ayant toujours été dans l’écœurant excès de nourriture, ils vont s’offrir un dernier repas. L’horreur est absolument atroce, nous tord et nous glace sur nos fauteuils et forcent à la douleur, à la nausée et au détournement du regard, et parallèlement tous les épisodes touchent à la réflexion sociale et amoureuse, interpellent profondément à la philosophie de la vie, et même à la spiritualité la plus belle. Je ne m’attendais pas à tomber sur une pépite aussi prodigieuse et presque contre-nature. Comme je n’en reviens toujours pas je cours retourner le voir.
Une série de sketchs qui, à la manière des Contes de la Crypte, propose des histoires tantôt horrifiques, tantôt gores et parfois un tantinet poétiques. On s'en doute, les réalisations sont inégales et le gore ne rattrape que très rarement le manque de profondeur des histoires. Difficile d'accrocher, d'autant que les réalisateurs ont du mal à imposer leur "patte"... Sincèrement décevant!
Sketch 1 : Athmosphère dérangeante, personnages plutôt maîtrisés mais cadrage de téléfilm et scenario bidon. Sketch 2 : A la Tarantino, très très bon, même si j'ai du mal avec l'image qui fait 'cheap'
Oula ! :0 c'est une oeuvre d'art... mais pas vraiment du cinéma.. Les histoires sont toutes intéressantes, mais pas assez et/ou mal exploité.. Le rythme, et le ton du film est très inégale, ce qui est frustrant pour le spectateur.. Parfois on s'ennuie, parfois non. Une chose cependant est très surprenante.. il y à un lien très infime entre toutes ces histoires.. par moment, ça m'a fais penser à du American Horror Stories
Ce film n'est pas vraiment à voir, mais pourquoi pas à tester.. A noter que, une où deux de ces histoires seraient à adapter en film d'horreur..
Inégal, foutraque, parfois hors sujet (…) mais chacun, malgré les contraintes coercitives du film à sketchs et l'obligation de respecter une thématique imposée : ici l'art du grand guignol, s'y exprime en restant fidèle à lui-même.
Comme tous les films à sketchs la qualité est inégale. Les trois premiers ne sont pas terribles, les choses commencent à s'améliorer avec "The accident" (plus une réflexion poétique sur la mort), le plus original et intéressant étant "Vision stains". On termine avec "Sweets", franchement dégueulasse et dérangeant, seul sketch qui justifie son interdiction aux moins de seize ans.
Le film à sketch horrifique est à la mode en ce moment avec des titres comme "VHS" ou "The ABC's of Death". Celui ci est sans aucun doute le moins réussi, variant les styles et les influences par le biais de six histoires sans intérêt sauf peut être le segment de Buddy Giovinazzo qui possède une veritable qualité visuel, les autres ont beaucoup de mal à proposer quelque chose d’intéressant, faute surement au manque d’expérience et de talent de leurs metteurs en scènes.