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    The Theatre Bizarre
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    2,3
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    75 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 octobre 2012
    Il s'agit effectivement d'un film bizarre composé de sketches d'une qualité plutôt inégale. Ces différentes histoires abordent des thèmes tels que la mort et le deuil, l'adultère, la femme castratrice ou encore la luxure ( un peu façon "Society" de Brian Yuzna ). Il y a quand même un peu de cul dans ce film et c'est certainement la raison principale pour laquelle il est réservé à un public averti. J'ai un peu pensé à "Little Deaths" en le regardant, un autre film à sketches qui parle des vices humains. Dans "The Theatre Bizarre", on a aussi droit à pas mal de gore mais qui reste du niveau d'un torture porn bien médiocre. Cette démonstration de mauvais goût est en soi un hommage au cinéma de série B, mais il n'y a rien de réellement transcendant, pas vraiment de scénario sensationnel ni de créature mémorable... Tout ce que je trouve à dire c'est que c'est du cinéma un peu foutraque qui souffre malheureusement d'une mise en scène bien plate. Enfin, je ne me suis pas plus emmerdé que devant "Evil Dead 2", alors peut-être qu'un public moins blasé que moi y trouvera son compte... Mais dans l'ensemble, la réalisation reste plus proche d'une qualité de téléfilm que de cinéma.
    DarioFulci
    DarioFulci

    102 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 août 2012
    L'ambition est de renouer avec les films d'épouvante à sketchs façon 60s. La variété des métrages est bien évidemment le point faible inhérent au genre. En l'occurrence, ça démarre sur les chapeaux de roue, avec de bonnes histoires barrées, puis plus le film avance plus la qualité décline. La palme du plus mauvais étant le dernier, racoleur et stupide. Au milieu de tout cela un très bon métrage sur le deuil et son apprentissage et la façon de l'expliquer. Il tranche avec le reste, aussi bien au niveau du rythme, de la thématique, que de l'absence de terreur, mais c'est une belle réussite. Sa lenteur casse cependant l'élan du film qui continue de s'essouffler à mesure les moins bonnes réussites s’enchaînent sur la fin. Du très bon, du mauvais, mais le tout est sympa.
    Outburst
    Outburst

    123 abonnés 517 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2012
    C’est un peu la mode des films à sketchs en ce moment, puisqu’on en voit de plus en plus (Les Infidèles, VHS) mais oubliez ce que vous avez pu voir jusqu’à présent. Car même si sur la forme il est très similaire à ce qui a déjà été fait, The Theatre Bizarre c’est un peu une expérience nouvelle et unique. Laisser libre cours à des réalisateurs en marge du système, avec pour seules contraintes la ligne narrative, le budget et les délais de tournage, était certainement l’idée la plus ambitieuse qui soit. On peut enfin assister à du vrai cinéma d’horreur, et sous toutes ses formes s’il vous plait ! Il est donc évident que ce n’est pas un film à mettre entre toutes les mains, non pas qu’il soit excessivement gore, mais parce qu’il réussi le pari de déranger son spectateur. Ambiance malsaine, violence morale, sexe, scènes explicites (parfois répétitives et insistantes), autant dire que la recette est corsée. Chaque segment arrive à créer son propre univers, sa propre ambiance, tout en variant les sous-genres du cinéma d’horreur. Si bien évidemment on peut ne pas accrocher au style de chaque réalisateur, leurs idées et la manière dont elles sont traitées n’en restent pas moins intéressantes. Les plus cinéphiles d’entre vous devrez normalement trouver leur bonheur. Côté acteurs, ce que l’on devra surtout retenir c’est leurs performances. Certaines scènes vont assez loin, et niveau investissement je pense que cela demandait un gros effort, donc rien que pour ça je dis : chapeau. Après je ne veux pas parler trop longuement sur le film, puisque je pense que le meilleur moyen de l’apprécier c’est d’en savoir le moins possible (regardez la bande-annonce sans regarder les synopsis par exemple, vous verrez que votre curiosité sera attisée). The Theatre Bizarre est un spectacle varié, malsain, voir même poétique (je pense au segment « The Accident », qui est l’un des meilleurs du film) et qui s’avère excellent cinématographiquement parlant. Si vous aimez les films d’horreurs, les vrais (c’est-à-dire pas les immondes bouses qui sortent en masse et qui pourrissent le genre) alors regardez The Theatre Bizarre. C’est assurément le meilleur film d’horreur de cette année, et même qui ait été fait ses dernières années. Je vais mettre la note maximale, parce que pour tout le travail réalisé, l’ambition et le risque, c’est plus que mérité d’autant plus que certains segments sont de vrais bijoux (« The Accident, « The Theatre Guignol » (le meilleur pour moi), « Vision Stains »). Néanmoins, il y a quand même quelques petits défauts par ci par là (quelques effets spéciaux un peu ratés, des léger manque de rythme, etc.) mais croyez-moi quand je vous dis que c’est un film à voir, et que je reverrai avec grand plaisir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 juin 2012
    Trash , sanglant , gore ... Tout ce que j'aime . Ce film est la preuve que meme avec un petit un budget on peut faire des films extraordinaires . Ce film est epoustouflant
    Adeg
    Adeg

    12 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 novembre 2012
    Non ça ne vaut pas le coup. Sur 6 courts métrages + le fil conducteur dont le rapport m'échappe totalement et dont l'esthétique me répugne, j'en retiendrais 2 qui sortent significativement du lot.
    En considérant qu'ils ont une note parfaite par rapport au reste, mathématiquement ça ne donne encore que 1,5 / 5.
    Si vous recherchez une ambiance "Contes de la Crypte" ou "Creepshow" ce n'est pas ça du tout. J'y vois plutôt une sélection par un jury prétentieux et inutile pour le prix "Frite de Zinc" du festival de Longuenesse (18 visiteurs à cette édition dont 11 par hasard).
    De mon point de vue, un seul 'segment' présentait une réelle preuve de talent ou d'inspiration (Douglas Buck) bien qu'il soit aussi une des plus ennuyeux. L'autre qui le faisait bien était surtout original et délicieusement crade (Karim Hussain) quoique rempli de défauts. 2 autres : poubelle direct. Et le reste du remplissage.
    stebbins
    stebbins

    501 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2012
    Composé de six sketches plus ou moins audacieux mais pas mal dispensable en réalité, The Theatre Bizarre est avant tout une pure expérience cinématographique, qui doit donc être vue en priorité dans une salle de cinéma. Le côté " horrorcho " du projet fait immanquablement penser aux séances des midnight movies, culte underground privilégiant l'étrangeté visuelle, les chocs graphiques, le mauvais goût et ses excès ( gore, trash attitude, violences ou encore déviances sexuelles...). Le contexte est crucial pour apprécier a minima cette poignée de courts certes assez originaux mais aussi parfois complètement ratés. On retiendra surtout les deux derniers segments du programme : Vision Stains pour l'ambition qui s'en dégage, mélange cacophonique d'effets visuels tapageurs ( on pense à un croisement très amateur de Requiem For a Dream et de Enter the Void, pour le côté mystico-psychédélique... ) et Sweets pour son opulence graphique, curieuse orgie débile et assumée de la sorte. Sinon mention médiocre au court métrage soporiphique de Douglas Buck et au sketch donnant son titre au projet, qui n'est là que pour tenter de donner un semblant de charpente à l'ensemble... en vain.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2012
    Comme toujours avec les films à sketchs, une grande partie de ces derniers sont inégaux, sur les 6 courts-métrages (tous de même durée et même budget) relié les uns aux autres par une série d’intermèdes interprété par un Udo Kier grimé en monsieur Loyal. The Theatre Bizarre (2011) commence relativement mal avec un premier sketch se déroulant en France avec une histoire de sorcière et de grenouilles, "The Mother of Toads" de Richard Stanley, est extrêmement mal interprété et finit par rapidement ennuyer. S’ensuit alors l’intriguant "I Love You" avec une histoire d’adultère qui se termine en bain de sang et le magnifique et au combien mélancolique (voir onirique) "The Accident" de Douglas Buck (après avoir réalisé le très trash Family Portraits : A Trilogy of America (2003), on était en droit de s’attendre de lui l’un des segments les plus trashs, finalement il n’en sera rien). Par la suite, on a eu droit à "Wet Dreams" de Tom Savini (le spécialiste, si ce n’est l’un des meilleurs, en matière d’effets spéciaux et makeup-effects), plutôt original et assez gore (imaginez un vagin doté de pinces de crabe et qui n’attend qu’une chose, sectionner le pénis qui oserait s’y aventurer !). La palme de l’originalité reviendra à "Vision Stains" de Karim Hussain où une femme s’approprie les souvenirs de ses victimes en leur injectant une seringue dans l’œil pour y soustraire une substance qu’elle s’injectera par la suite dans son œil. Et enfin, le dernier segment, "Sweets" de David Gregory, nous entraîne dans un univers complètement foutraque autour de la nourriture où les protagonistes s’empiffrent, y mangent comme des porcs, c’est répugnant, à voir de préférence à jeun. Si l’idée de base était intéressante (rendre hommage au "Grand-Guignol"), on regrettera que les segments aient été tous inégaux dans leur ensemble, c’est d’autant plus frustrant que cela dure tout de même près de 120 minutes ! Pour la petite anecdote, la compilation de sketches a été coproduit par Jean-Pierre Putters (le fondateur du célèbre magazine "Mad Movies").
    necrid
    necrid

    21 abonnés 1 211 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2012
    Bizarre c'est le premier mot qui nous vient après avoir vu le film. Ce dernier est une suite de sketchs sans aucun rapport mais malheureusement très inégaux : on apprécie spécialement les segment de T.Savini et de K.Hussein bien gores et au scénario implacable mais moins ceux de B.Giovinazzo et D.Buck qui sont vraiment trop soft et peu recherché. Le sketch de R.Stanley est plaisant, trippant mais manque de punch tandis que le dernier de D.Gregory met du temps à démarrer pour finir en beauté. Je m'attendais à plus de violence et d'horreur mais au final j'ai passé un bon moment dans l'une des 4 salles française à avoir passé ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 mai 2012
    Méli-mélo de courts métrages axés horreur, humour noir, trop noir parfois... Mais certains scénarios sont intéressants et recherchés, d'autres sont décevants...
    dagrey1
    dagrey1

    97 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mai 2012
    Inspiré des films à sketchs et séries notamment "les contes de la crypte" bien plus réussis, the theatre bizarre oscille entre le médiocre et le moyen, suivant les sketchs. Le tout est filmé avec une photographie hideuse façon téléfilm, une interprétation moyenne,bien que chaque sketch ait été tourné par des réalisateurs différent. Pour résumer, une belle affiche pour une vraie déception cinématographique.
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mai 2012
    Ce film tient son rang de film d' horreur jusq' u a un certain point. Le dernier scketh n'a plus rien a voir avec du gore , c'est absolument deguelasse.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 juillet 2012
    Intérèssant. Est-ce que les évanouissements et vomissement dont j'ai entendu parlé sont justifiés ? Question de sensibilité je dirais ... Pour ma part ce n'est pas justifié, mais je ne dis pas pour autant que ce n'est pas gore !

    Les squetchs semblent effectivement de valeurs inégales, mais tous apportent quelque chose de différent à l'ensemble. Certains beaucoup plus gore que d'autres (le premier n'est pas gore du tout, très étrange mais une ambiance malsaine très sympa aussi ...) . Aucun n'est "nul" ou inintérèssant.
    Je l'ai vu en projection unique avec JPP (producteur du film et auteur de Mad Movies) qui a confirmé qu'il y en aura bien un autre ... Je l'attend avec impatience !

    J'ajouterais ... Même si je n'ai pas du tout tourné de l'oeil, âme sensible s'abstenir :) Petit budget pour un film avec effet spéciaux à l'ancienne, et l'effet de réel fonctionne à merveille ! Principal regret, de ce que j'en avais vu/entendu je m'attendais à plus gore encore ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 avril 2012
    Anthologie du film d’horreur, orchestrée par des Grands du cinéma horrifique, dont le thème est le légendaire « Art du Grand Guignol ». Ce film se compose de 7 segments distincts, tous ont été tournés en France.

    Le premier, « The Mother Of Toads », réalisé par Richard Stanley : un jeune couple de passage en France pour leur vacances, rencontre une sorcière prétendant posséder une version authentique du Necronomicon. Le hasard faisant bien les choses il se trouve que l’homme est étudiant en sciences occultes … Le piège se referme …

    Le second, « I Love You », met en scène une rupture amoureuse. Réalisé par Buddy Giovinazzo, ce huit-clos va se révéler tragique et bien plus angoissant qu’il n’y parait.

    Poursuivons avec « The Accident » de Douglas Buck, qui est à mes yeux le moins convaincant de la série. Une mère explique à sa fille le sens de la vie suite à un accident auquel elles ont été confrontées.

    Le très bon « Wet Dreams » de Tom Savini, nous rend complices de la vengeance d’une femme blessée par son mari infidèle.

    « Vision Stains » de Karim Hussain, nous entraine dans l’histoire d’une tueuse en série qui assassine des gens laissés pour compte, afin d’extraire, à l’aide d’une seringue, leurs souvenirs au moment de leur mort.

    Le « très appetissant » (hum) « Sweets » de David Gregory parle de dépendance à l’amour comme d’une dépendance à la bouffe, sur fond de rupture.

    Tous ces segments sont entrecoupés par « Theatre Guignol » de Jeremy Kasten. Celui-ci reste le plus fidèle au thème du Theatre Guignol tel qu’on le connait, mettant en scène un automate (Udo Kier) orchestrant un spectacle de pantins vivants. Malheureusement à force d’être entrecoupé, j’ai eu l’impression que l’on passe à côté cette partie.

    Cette configuration m’a très vite ramenée à l’époque des fameux « Contes de la Crypte », des courts métrages moralisateurs sur fond d’horreur. Les multiples références, telle que celle à Dario Argento ou encore à H.P. Lovecraft en raviront plus d’un. Ses 7 histoires sont toutes porteuses de messages plus où moins profonds sur le sens de la vie, des relations humaines, mais je n’en dirais pas plus afin de vous laisser le plaisir de découvrir par vous-même
    fansworld
    fansworld

    55 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Une demi étoile pour le scénario de la deuxième histoire et une demi pour les scènes de la seringue dans l œil. Sinon AUCUN INTERET !!!!!!!
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    110 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2011
    Vu en avant-première européenne à l'Etrange Festival 2011, cet hommage au Grand-guignol enfin sorti en salle est inégal (comme souvent avec les films à sketches) mais il a de quoi contenter les fans de gore et d'humour Z. Le premier sketch n'est pas terrible mais le film se rattrape par la suite. Les segments de Tom Savini, Karim Hussain - avec son "Vision stains" et ses images choquantes de seringues dans les yeux - et David Gregory sont bien dans l'esprit grand-guignolesque, celui de Douglas Buck un peu moins. Le public a bien réagi dans l'ensemble (c'est un film qui fonctionne bien en festival) et quelques séquences sont bien dégénérées! Les transitions sont commentées par ce bon vieux Udo Kier. Le film est coproduit par Metaluna, la boite de prod de Jean-Pierre Putters, fondateur de Mad Movies. Et c'est un projet bien "mad", en effet! Quelques spectateurs se sont évanouis lors de projections en festivals. On ne saura pas si l'épidémie d'évanouissements aurait pu se poursuivre dans notre pays, car le film ne sort que dans 4 salles en France, dont une seule dans la capitale. Alors que n'importe quelle comédie franchouillarde sort dans au minimum une douzaine de salles. Et que des films américains comme "La cabane dans les bois" sont bien mieux accueillis par les distributeurs (et du coup par les spectateurs). Quel dur pays pour le genre horrifique!
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