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Tiahuanaco 7.
2 abonnés
28 critiques
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2,5
Publiée le 5 septembre 2013
Un film atypique qu'il est difficile de conseiller. Autant les 2-3 premières histoires sont intéressantes mais plus on avance, plus c'est glauque, sombre, malsain et franchement de mauvais goût (surtout le dernier sketch qui clos le bal et où l'on s'en donne à coeur joie et gratuitement). Ce n'est ni bon ni mauvais, juste pour spectateurs avertis qui veulent un peu d'émotions fortes. On en ressort surpris, ému ou dégoûté, peut-être déprimé, en tout cas pas indifférent. Ce n'est pas un film que je souhaiterais revoir une seconde fois. A découvrir cependant.
Il y a des films parfois, qui sont une véritable torture d'ennui, des films qui paraissent sans fin, sans sens, sans intérêt... Eh bien "The Theatre Bizarre" en fait partie ! Dès le premier sketch, c'est une véritable souffrance : une histoire de sorcières qui se transforment en crapauds géants fornicateurs ? Sérieusement ? Aucune histoire n'arrive à relever le niveau, c'est mauvais, c'est grotesque et franchement n'allez pas me dire que c'est l'aspect "hommage au grand guignol" qui donne cette impression. Non, ce film est juste mauvais de A à Z. J'ai dû le regarder en deux fois pour m'éviter de sombrer dans un profond sommeil. Quand un mauvais sketch vient de se terminer, on se dit que c'était sûrement le plus mauvais, eh bien non le suivant est encore pire ! En plus de ça, les acteurs surjouent complétement, aucune sincérité ni aucune émotion dans leur jeu. Il n'y a rien à rattraper. Si vous voulez vivre plus longtemps et en meilleure santé, s'il vous plaît passer votre chemin et allez profiter de l'air frais plutôt que de regarder ce film !
Donc donc donc... mouais. Aucune histoire n'est vraiment nulle, mais aucune histoire n'est vraiment bien non plus. Tout cela est très moyen, tant au niveau de l'intérêt des histoires que des scènes soi-disant gores bien trop timides pour un film déconseillé au moins de 16 ans (sauf peut être la dernière minute de la dernière histoire). Quant à l'histoire "fil rouge" du film (Theatre Guignol), heu... hum hum, je ne vois vraiment pas l'intérêt. Mais bon, pour les curieux, pourquoi pas...
Les films à sketchs sont toujours inégaux. Celui-ci ne fait pas exception à la règle. Les 7 courts-métrages sont en tout cas très différents. Plus ou moins réussi, plus ou moins étranges, plus ou moins hors-sujet, certains sont très gores d'autres plus poétiques. La seule qualité qui réuni tous ces courts métrages, c'est l'originalité dont ont fait preuve les différents cinéastes. Pour le meilleur et pour le pire...
Il n'y a pas réellement de mauvaise histoire, mais certaines sont particulièrement bien, je pense que sa plaira particulièrement aux amateurs du milieux !
Peu de choses à rattrapper dans ce film à sketch qui laissait présager le meilleur au vu de ses réalisateurs. Très souvent mal joué, peu inspiré alors que certaines idées sont bonne, l'ensemble nous gonfle plus qu'il ne nous passionne. On essaiera de relever le tout grâce au sketch "I love you", totalement barré dans sa conception et "Wet dreams", dont Savini tente de sortir le meilleur vu les moyens! Alors que des idées intéressantes se profilaient (les fans de bouffe ou encore une serial killeuse particuière), l'ensemble se noie dans le va vite et le epu concerné... J'ai pas trop hâte de voir la suite...
rien, rien, et encore rien à sauver dans cette compilation d'histoires courtes aussi nulles les unes que les autres... ah non, je me trompe, y'en a des pires (et ce n'est pas peu dire)... mais ça ne veut pas dire qu'il y en a des mieux...
Un film à sketchs horrifique satisfaisant dans l'ensemble mais dont, curieusement, le meilleur segment ne rend pas du tout hommage au Grand Guignol : "The Accident" de Douglas Buck est en effet un court puissant sur la première brutale confrontation d'une enfant à la violence et à la mort. Une perle dwiché par des sketchs débrouillards dont on attend la suite...
Entre l'hommage et le film à sketches, ce film est avant tout l'exercice peu répandu dans lequel se retrouve plusieurs "maîtres" d'un même genre. Ici, le mot "maître" est assez exagéré puisque Tom Savini, cinéaste qui signe la partie la plus réussie du film ("Wet Dreams") n'est pas réellement connu pour ses exploits derrière la caméra, si ce n'est le classique de "La Nuit des morts vivants". Les autres sketches ne sont en fait qu'un exercice de style paresseux, rehaussé par une scène théâtrale en fil rouge exécrable par son incohérence et ses discours superfétatoires. Le film en lui-même regorge d'idées il est vrai, mais n'égale pas les "3 extrêmes" japonais, qui regroupaient des valeurs sûres du genre, et s'avère complètement hétérogène, indigeste et sans grand intérêt et peine considérablement à susciter de la gêne, y compris chez ceux qui ont eu l'occasion de se frotter au genre. Plus objet de curiosité que réel hommage, "The Theatre Bizarre" est un petit objet hyper gonflé, trop ambitieux pour séduire, gratuit et à la structure injustifiée, et pour ne rien arranger, terriblement prétentieux.
A part le mot ''à chier'' je trouve pas dautres mots pour commenter ce que je viens de voir du moins durant 25 bonnes minutes car la vie est trop courte pour s'attarder à ce style de ''film'' ...
Après c'est un style particulier qui peut interesser certaines personnes .... et c'est là que je vous demande de consulter spychologiquement car à l'instar de ceux qui ont fait ce film y a un truc louche qui doit pas bien tourner chez vous
Des sketchs assez inégaux, qui frôlent souvent l'amateurisme, le fait-maison, mais dans le sens noble du terme. Il n'est donc pas rare de s'ennuyer devant certaines scènes très bavardes en attendant tranquillement le twist final. Ces courts-métrages valent surtout pour leur ambiance envoûtante et inquiétante qui ne renieraient pas Les contes de la crypte ou Creepshow. En revanche, si vous vous attendiez à voir beaucoup de gore, c'est plutôt gentil (hormis le dernier sketch). En somme, un bon petit plaisir coupable qui serait dommage de se priver. Un deuxième volet est prévu, et c'est tant mieux.
Hormis le segment de Douglas Buck "The accident", qui nous raconte comment une mère, témoin d'un terrible accident de moto, doit expliquer la mort à sa fille, seule histoire à peu près sensée (qui fait finalement tâche avec le reste du métrage) et bien racontée, toutes les autres histoires n'ont aucun intérêt ! Le ridicule côtoie le n'importe quoi ! Avant de vouloir réaliser un film à sketches, il faudrait déjà avoir des choses à raconter ! Ou alors savoir les raconter avec un minimum de savoir faire ! Il n'y a rien d'intéressant ou d'original dans la mise en scène, je ne comprends pas cet engouement (de certains critiques ou spectateurs) pour une suite de banalités vaguement dérangeantes, qui comble son manque d'idée par des scènes gores et malsaines qui au final ne le sont pas !