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Minet459
43 critiques
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3,5
Publiée le 26 juillet 2024
Je précise que je n'ai pas lu le livre. Mais moi-même auteur de romans, j'aime regarder des films basés sur des romans, notamment des histoires jeunesse ou young adult.
Mon avis sur ce film est partagé. Je trouve que l'intrigue principale a du potentiel. Un monde sans émotion fait réfléchir. Sans émotion, l'humain voit en noir et blanc. C'est une belle idée, une très belle imagination.
Toutefois, j'ai trouvé que la fin, parfois, manquait un peu de crédibilité lors de certaines scènes.
Je ne sais pas si je regarderais à nouveau ce film, mais en tout cas, je suis ravie de l'avoir vu une fois.
Publiée le 31 octobre 2014 ( par Michel Crotti ) Film intemporel.... mais futuriste bien sur ! Un monde que personne ne voudrait comme avenir. Tous est aseptisé, sans sentiment... sans couleur même...trop invraisemblances dans l'échappement du "dépositaire" élu, avec le bébé Gabriel dans les bras - désert, neige, cascade - le pauvre... A réserver aux ados ou ados attardés....!! **
The Giver est un film avec un message très fort. En 1h37 de temps seulement, la prouesse de nous faire passer un message si fort de l'importance que sont les émotions dans notre monde comme l'amour, la haine, la tristesse, le dénis ou encore la joie et le rire. On aborde dans ce long métrage une société où tout cela aurai disparu pour faire disparaître la menace de la race humaine comme la guerre, la cruauté animal ou encore le racisme.
On nous présente la parfaite société comme tout à l'identique, on supprime la beauté des couleurs car ce monde est fade, chaque citoyen à une tâche bien défini, tout le monde obéi, tout le monde se plie au gouvernement..
Prenant du début jusqu'à la fin ce film est vraiment transmetteur d'un message poignant !
Partant d'un postulat intéressant qui souligne les dangers et faiblesses de ces émotions et sentiments corollaires de notre humanité, ce drame de science-fiction s'appuie sur les nuances de couleurs afin de manifester l'instillation de la puissance de vie grâce à la mémoire, au souvenir, au ressenti. Dommage que le scénario manque de solidité et de cohérence, et que la narration soit si didactique, car l'idée originelle était fort prometteuse. Agréable mais maladroit.
La première heure est vraiment bien faite et très intéressante. La dernière demi-heure on sent qu'ils ne savaient plus trop comment résoudre les intrigues qu'ils avaient lancées et c'est un peu n'importe quoi, mais dans l'ensemble c'est un film dystopique qui se regarde bien avec des personnages attachants. Je conseille à tous ceux à qui l'histoire aura plu le livre Un bonheur insoutenable d'Ira Levin, paru avant et dont beaucoup d'éléments sont repris ici.
Très bon film avec un très bon jeu d'acteur mais qui se différencie beaucoup du film avec des scènes rajoutée comme le baiser partager avec Fiona ou quand il l'encourage à fuir avec lui toutefois cela apporte un petit plus. Malgré cela j'ai quand même été très déçue de la fin qui n'est en fait pas du tout finie, comme dans le livre.
J'ai lu le livre.. plusieurs fois! Et ce film est extrêmement bien fait, retrace parfaitement l'histoire du livre.. Je recommande, c'est une belle histoire!
Film très intéressant très actuel avec les gens qui se vaccinent avec un produit expérimental, qui ne marche pas ! On voit par exemple le président des Etat Unis qui a la 4 ème dose plus un médicament et il est encore plus malade. Les pays les plus vaccinés sont les plus malades, avec une TV aux ordres des lobbies pour programmer l' agenda 2030, et organise une pénurie alimentaire exemple avec la moutarde ou l'huile de tournesol (seulement en France par unilever) et énergétique pour controler la population avec un pass énergétique en fessant de fausses sanctions contre la Russie qui rend les européens encore plus pauvre pour masquer la faillite de l'euro, et mettre en place l' euro numérique et supprimer des hôpitaux publiques.
On voit les diplomes bac+5 ou il faut apprendre ses cours par cœurs se vaccinent le plus car il y a une sélection par la soumission.
Tout d'abord, j'aimerai remercier les réalisateurs pour ce film plus qu'incroyable. Vous êtes vous déjà demandé ce qui fait de nous des Hommes ? Ce film vous l'explique de manière succincte. En effet il ressort que l'amour, les sentiments, la peur, la rancoeur, etc sont des éléments essentiels à notre épanouissement, ces mêmes éléments nous permettent de nous sentir vivants. Ma note n'est pas maximale car ce film n'est pas le seul à mettre une thématique de ce genre en avant, néanmoins, il le fait de manière éclairée tout en restant succinct pour ne pas être trop long et respecter le temps d'un film classique.
Film dystopique avec un intérêt unique sur le questionnement à propos du libre arbitre, la transmission, le relais (majoritairement). Une mise en scène poussive et vide pour laisser la place à cette société "utopique" avec ses codes et son cadre quasi autocratique. Un manque de pêche sérieux, de rythme et des dialogues qui ne font pas mouche (pas à la hauteur) pour créer l'adhésion. 2/5 ! (maxi).
Le film decrit un société dystopique où emotions et souvenirs sont supprimés. Le personnage principal les découvre et le réalisateur nous expose une série de sentiments. hélas il les filme très mollement. tiédasses (amourette, vague colère,...). C'est un comble pour un film traitant de l'importance des sentiments de ne pas arriver à les filmer ! Il y aurait tellement eu à faire. Preferer Equilibrium, gattaca et bien sur le meilleur des mondes (le livre)
Le sujet abordé par "The giver", à savoir une société futuriste où les émotions sont inhibées pour éradiquer la violence, est assez fréquent dans la science-fiction. On y ajoute ici la suppression des souvenirs collectifs, ce qu'il reste de l'humanité ne sait donc plus ce qu'est une guerre, la chasse aux éléphants ou encore une fête de mariage, à l'exception de 'The giver' qui est le seul détenteur de cette mémoire et qui peut la transmettre par le contact des mains à un successeur désigné... Bon, on a beaucoup de mal à comprendre comment fonctionne tout ce truc, mais pourquoi pas. Le héros est le nouvel apprenti 'giver' et on se doute bien que les choses ne vont pas être aussi simples qu'espéré par les chefs, parce qu'un monde sans amour c'est forcément un monde pas bien. L'histoire très fade sans être désagréable est cousue de fil blanc, le monde décrit et le contexte n'est absolument pas crédible, et on termine l'histoire grâce à l'un deus ex machina les plus pratique de l'histoire du cinéma. "The giver" était un film qui semblait porteur de quelque chose d'intéressant, mais c'est beaucoup trop lisse, convenu et improbable, pour le sortir du lot des productions insipides de studios.
The Giver se présente comme une énième dystopie qui doit se démarquer de ce flot indécent de films du même acabit que les années 2010 nous ont pondu. Sur le papier, il part avec certaines qualités, en se focalisant plus sur des enjeux psychologiques que du panpan boum boum d'écervelés. Dans les faits, on se casse vachement la figure.
Dès les premières minutes, on saisit où le film veut nous amener. Aucune originalité dans le déroulement du scénario. D'autant que les amateurs de dystopies auront tiqué sur les similitudes de ce film avec Divergente. Comme s'il avait besoin de ça...
Les personnages apparaissent affreusement stéréotypés et fichtrement plats. On devine rapidement et clairement où le trio veut en venir : histoires de love à deux balles et dilemmes entre amis. Les plus âgés ne font guère mieux. L'opposition entre le Passeur et Kathy n'arrive jamais à décoller et atteindre une réelle tension. On ne sait pas, et on ne comprend pas plus, ce qui anime cette femme à conserver l'ordre établi. Tandis que le Passeur se vautre dans le mièvre et se montre tout aussi évasif quant à ses idéaux.
Pourtant, cette dystopie pouvait se détacher du lot en délaissant les armes au profit d'une réflexion un peu plus intellectuelle. Autant dire que les évènements s'enchainent avec un platesse remarquable à vitesse de croisière. Les souvenirs font plus spot publicitaires qu'autre chose et présentent la vie d'avant de sorte bigrement manichéenne; dans la vie il y a des bons moments… et des moins bons. Merci The Giver pour cette leçon de vie profonde et inspirante.
The Giver manque éminemment d'ambition et accumule cruellement les zones de flou ainsi que de mou. La réalisation ne se montre pas plus ambitieuse en s'insérant dans les standards actuels. Adapter cette dystopie bien bancale semble, somme toute, émaner d'un désir de surfer sur la tendance pour rapporter des pépètes, bien plus que d'offrir une aventure qualitative.
J'ai trouvé ce film sympathique, l'idée de départ est bien, mais souffre de sa comparaison avec Hunger games et autres. Néanmoins le film reste divertissant
Très surpris de la qualité de ce film. Pour une fois, ce n'est pas "un gros bras" ou une superbe femme sportive qui va sauver le monde. C'est un jeune plutôt effacé qui va comprendre la réalité et la richesse qu'à perdu le monde où il vit. C'est intéressant de voir le monde en noir et blanc qui signifie : plus de nuance, tout est lisse. Je recommande.