Avis sur Divergente

Je savais que ce film n'était pas bon mais là on frise le génie de l'étron cinématographique tout de même.

À partir du moment où le film repose sur un truc aussi branlant que sont les factions (ne me demandez pas d'où sortent voitures, ordinateurs, tablettes et autres beaux bâtiments...Ah et les sans-faction alors que 5 minutes plus tôt on nous dit qu'on ne peut pas ne pas appartenir à une faction, vous noterez le vide scénaristique) on est en droit de se demander si il n'y a pas un concours de médiocrité à Hollywood.

Je ne m'attarderai pas sur les Audacieux, police de son état, garant de la paix, qui passe son temps à grimper sur des murs (tro tro klass), bouffer des hamburgers et se faire manipuler, mais surtout sans jamais faire preuve de la moindre audace (oui il faut fermer vos gueules et c'est tout).

Le tout est porté par des acteurs misérables et une romance détestable. Je pense définitivement que toutes les personnes ayant mis plus de 2 étoiles à cette bouse méritent tout simplement de finir dans les prochains HG.

Ennuyeux et décevant. Je m'attendais a un film du genre de hunger games mais ça n en arrive pas à la cheville. Très déçu.

Enfin ce calvaire est terminé !! Le film commercial par excellence, je supporte déjà très mal ce genre mais j'ai voulu tenter le coup avec Divergente, quelle erreur ! C'est long, c'est chiant, c'est prévisible, je connait pas le livre mais d'après les critiques il est plutôt cool, alors pourquoi les lecteurs de Divergente ne sont pas sortis dans la rue pour recouvrir de goudrons et de plume les responsables de cette ignoble adaptation !?

J'ai fait de magnifique pliures avec la papier de ma bouteille de bière pendant le film. Vous me comprenez donc mon engouement pour celui-ci.

Comme il faut une critique "constructive", j'ai bien aimé l'idée des rêves psychotiques, sinon le scénar m'ennuie, les actions sont prévisibles, l'héroïne est assez chiante et les décors sont plutôt laids.

Good night !

Le début de la bande d'annonce faisait déjà peur "Par le meme studio que Hunger Games et Twilight" est une accroche inutile et sans aucun sens. Cependant Neil Burger avait déjà réalisé de très bons films tels que Limtless et l'illusioniste.
Le resulstat est extremement décevant, entre l'histoire d'amour cucu la praline et qui s'etend sans jamais avoir de sens, les scenes sans intéret et qui ne font pas avancer l'histoire, et l'héroïne à laquelle on n'arrive pas a s'attacher (visage d'enfant sans expression), on se retrouve vite perdu au milieu d'un film sans intéret dont on attend le piètre déroulement sans espérance mais avec impatience.
Film pour ado de 15 ans, dommage de mettre d'aussi bons réalisateurs sur des films avec si peu d'ambition. Aucune comparaison avec Hunger Game ne peut etre envisagée.

Dans un premier temps je tient à dire que ce film est un gâchis. Pourquoi me direz-vous. Car il débutait bien, tout simplement car il possède quelques bonnes idées qui développées auraient pu faire un bon film divertissant. Je reste souvent assez tolérant avec les films à profits. Quand l'on y va, on sait que se que l'on nous sert n'est plus une oeuvre mais un produit, un produit qui doit faire le plus de profit. Autant quand ce concept soulève le film je peux apprécier, par exemple pour donner plus de moyens financiers au réalisateur. Mais ici le marketing à détruit le film. Reprenons. La meilleur idée du film : les peurs et leur maitrise par l'affrontement direct de leur matérialisation, mais mon dieu, tous ce que l'on pouvait faire avec cette idée, pourquoi n'en faire qu'un élément dérisoire de "l'entrainement" alors qu'il pouvait être développé. J'ai donc apprécier la mise en place de l'histoire, un peu redondante avec Hunger Games mais soit, ça passe. Viens l'entrainement, rien à dire, la forme est très formatée, aucune recherche de style, mais passons, je ne suis pas là pour ça, ça ne me dérange pas. Je ne m'ennuie pas, je ne sais pas encore où va me mener le scénario, ce film est sensé me divertir et c'est ce qu'il fait pour le moment. Jugeons le pour ce qu'il est sensé être. Puis commence la relation entre le personnage principal et le jeune homme. Et là c'est la catastrophe, les dialogues sont si peu travaillés qu'ils font plus rire qu'autre chose. Le film enchaine phrases clichées sur phrases clichées, sans la moindre honte de servir ouvertement une recette à un public ciblé. La relation est artificielle, la mise en scène du rapprochement déjà vue et caricaturale.
Certaine bonnes idées sont même détruites. spoiler: En effet, la peur de l'altitude du personnage secondaire et précisée à l'avance si bien que lorsque qu'il rentre dans la machine pour faire face à ses peurs en compagnie de l'héroïne, le spectateur n'est même pas surpris de la voir apparaitre au dessus du vide. Les scénaristes avaient une occasion de surprendre. Une pointe de suspens sur ce qui terrorise le personnage aurait rendu la scène bien plus intéressante.
(spoiler non important). Le film est ultra prévisible, vers la moitié du film vous avez deviné la totalité de ce qui va se passer par la suite (Pas besoin de spoiler, je vous laisse constater par vous même). Autrement dit, le début de l'ennuie. Je ne tape pas sur un film cliché ou peu recherché si celui si divertit, mais le problème est que celui là ne remplit même pas ça part du contrat. Enfin si ! Le contrat étant de viser les adolescents en manque d'identification, le pari est réussi, le film à marché, mais c'est assez désespérant pour le public restant. Bref malgré la longueur de ma critique, il y aurait beaucoup plus à dire sur ce film. Une analyse complète pourrait être très intéressante pour cerner les décisions marketings et pour prendre conscience et ne pas faire évoluer tout les productions dans le même sens (ça serait la mort du cinéma). Pour résumer, une première partie correcte, sans plus, et une seconde partie, totalement artificielle, avec un assemblage de répliques préconçues, un suspens inexistant, un manque totale d'attachement pour les personnages. La morale est ridicule voir presque immorale, le film place les "audacieux" alias les brutes comme les gentils et les "érudits" alias les intellectuels comme les méchants. Il faudra m'expliquer la portée philosophique de cette idée. Il suffisait simplement d'opposer un système unique face aux divergents. La morale aurait été d'autant plus intéressante : une société qui bride et formate ses citoyens, et inhibe la prise de conscience et l'originalité (attendez ne serait-ce pas ce qu'ont fait les studios sur ce film ?). Bref le film en plus de ne pas divertir passe à côté de son sujet.