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Votre avis sur Les Infidèles ?
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"Les Infidèles" m'a séduit par sa structure en sketches, offrant une diversité de perspectives sur l'infidélité masculine. Jean Dujardin et Gilles Lellouche excellent dans leurs rôles, apportant une authenticité indéniable à leurs personnages.
Le segment de Michel Hazanavicius, La Bonne Conscience, se distingue par son humour noir, où un homme enchaîne les échecs absurdes dans ses tentatives d’adultère.
À l’opposé, La Question d’Emmanuelle Bercot plonge dans une confrontation intime et poignante entre un mari et sa femme, abordant la culpabilité et les conséquences des trahisons.
Le segment Lolita, réalisé par Éric Lartigau, offre une tonalité plus mélancolique. Il met en scène un homme, dans une solitude palpable, attendant une amante qui semble insaisissable, et dévoile ainsi la fragilité des relations infidèles.
Bien que l'ensemble soit inégal, le film incite à réfléchir en évoquant des points sensibles tout en profitant d'interprétations excellentes. Si la presse et certains réacs l'ont mal reçu, c'est sans doute parce qu'il touche à une corde sensible.
Le segment de Michel Hazanavicius, La Bonne Conscience, se distingue par son humour noir, où un homme enchaîne les échecs absurdes dans ses tentatives d’adultère.
À l’opposé, La Question d’Emmanuelle Bercot plonge dans une confrontation intime et poignante entre un mari et sa femme, abordant la culpabilité et les conséquences des trahisons.
Le segment Lolita, réalisé par Éric Lartigau, offre une tonalité plus mélancolique. Il met en scène un homme, dans une solitude palpable, attendant une amante qui semble insaisissable, et dévoile ainsi la fragilité des relations infidèles.
Bien que l'ensemble soit inégal, le film incite à réfléchir en évoquant des points sensibles tout en profitant d'interprétations excellentes. Si la presse et certains réacs l'ont mal reçu, c'est sans doute parce qu'il touche à une corde sensible.
des courts métrages portés par un casting xxl et des jeux d'acteurs impressionnants qui remette en cause les pires défauts de la race humaine et notamment des hommes. Des moments de rires et de gènes mais qui font réfléchir.... c'est la définition de l'art finalement.
Ce long métrage avec Gilles Lellouche et Jean Dujardin est un film à sketches autour de l’infidélité. On suit ici de sketches en sketches différents types d’hommes infidèles, au départ le tout peut paraître superficiel mais au fur et à mesure du visionnement le film apporte des regards et des réflexions éclectiques sur le thème de l’infidélité.
Gilles Lellouches et Jean Dujardin apportent le ciment qui permettent la cohérence et la continuité du film.
Certains sketches sont osés d’autres moins, on aime ou pas.
À contrario certains sont plus dramatiques et apportent du poids au message, je pense au passage entre Jean Dujardin et Alexandra Lamy dont leurs interprétations intenses et superbement jouées donne au film une autre dimension.
En conclusion malgré un démarrage plutôt poussif le film gagne en écriture, en intensité et en réflexion tout au long du visionnement. Le film peut paraître déroutant au premier abord mais plus on avance dans le film plus on est captivé jusqu’à savoir où le scénario va se terminer.
Pour moi plutôt un bon film.
Gilles Lellouches et Jean Dujardin apportent le ciment qui permettent la cohérence et la continuité du film.
Certains sketches sont osés d’autres moins, on aime ou pas.
À contrario certains sont plus dramatiques et apportent du poids au message, je pense au passage entre Jean Dujardin et Alexandra Lamy dont leurs interprétations intenses et superbement jouées donne au film une autre dimension.
En conclusion malgré un démarrage plutôt poussif le film gagne en écriture, en intensité et en réflexion tout au long du visionnement. Le film peut paraître déroutant au premier abord mais plus on avance dans le film plus on est captivé jusqu’à savoir où le scénario va se terminer.
Pour moi plutôt un bon film.
Film à sketchs sur le thème de l'infidélité plus ou moins bons. Il y en a pour tous le monde. Parfois cru, parfois ridicule (le sketch avec Mélanie Doutey et Jérôme Le Banner), parfois grivois, parfois drôle (le mini sketch avec Manu Payet vaut le détour), parfois sombre (le sketch avec le couple Jean Dujardin - Alexandra Lamy).
Gilles Lellouche et Jean Dujardin (en autres) à l'origine du film (scénariste , réalisation et acteurs) sont excellent dans leur jeu, ayant participé à tous les sketchs (à part les 2 minis joués par Manu Payet et Guillaume Canet)
Gilles Lellouche et Jean Dujardin (en autres) à l'origine du film (scénariste , réalisation et acteurs) sont excellent dans leur jeu, ayant participé à tous les sketchs (à part les 2 minis joués par Manu Payet et Guillaume Canet)
Très partagé sur ce film à sketches. Il déstabilise par le côté drôle que nous attendons et qui n'arrive pas et qui tourne finalement à l'amertume. Il mélange aussi dans une même scénette des situations où personnages auxquels on ne croit pas et d'autres très réalistes, on s'y perd donc un peu. Il faut tout de même reconnaître à ce recueil de faire réfléchir sur la question de la fidélité. La réalisation et le jeu d'acteurs restent globalement moyens malgré un casting exceptionnel
Commençons par 2 petites choses qui pourraient énerver, voire déconcerter le spectateur :
- Si on ne sait pas que ce film est constitué de sketch, la première 1/2 heure sera un peu difficile à suivre.
-Tout le long du film; le scénario est uniquement branché sur "les hommes sont tous infidèles". Et pour les monogames dont je fais parti, c'est à la limite d'être insultant. Mais passons sur cela, moi qui clame régulièrement que le cinéma ne serait pas grand chose si on supprimait tous les clichés qu'il véhicule.
Pour le reste, c'est bien construit, quelques scènes sont vraiment comiques, et les acteurs jouent tous très justes.
Bien sûr, vu le thème, et certaines photos, je ne conseille pas ce film avant 13 à 15 ans.
A voir par les amateurs de comédie et ou les fans de Dujardin, et pourquoi pas Lellouche.
- Si on ne sait pas que ce film est constitué de sketch, la première 1/2 heure sera un peu difficile à suivre.
-Tout le long du film; le scénario est uniquement branché sur "les hommes sont tous infidèles". Et pour les monogames dont je fais parti, c'est à la limite d'être insultant. Mais passons sur cela, moi qui clame régulièrement que le cinéma ne serait pas grand chose si on supprimait tous les clichés qu'il véhicule.
Pour le reste, c'est bien construit, quelques scènes sont vraiment comiques, et les acteurs jouent tous très justes.
Bien sûr, vu le thème, et certaines photos, je ne conseille pas ce film avant 13 à 15 ans.
A voir par les amateurs de comédie et ou les fans de Dujardin, et pourquoi pas Lellouche.
Le film le plus mauvais de l'histoire du cinéma.
On ne comprend pas le montage et son intérêt.
Les jeux des deux acteurs principaux sont grossiers, ennuyeux, sexistes et aussi plats que leurs culs qu'ils prennent plaisir à montrer dans le film.
Il n'y a ni histoire,ni point de vue, ni émotion.
Les scènes de cul n'apportent rien. Plus le film se déroule,plus on est affligé, au bout de 30', on sait que le film sera une perte de temps. On passe le reste en x1,5 puis x10. Vite que ça termine.
La seule lumière est le jeu de Sandrine Kiberlain, 3'. Pas besoin de regarder cette nullité sauf si on a envie de se pendre.
On ne comprend pas le montage et son intérêt.
Les jeux des deux acteurs principaux sont grossiers, ennuyeux, sexistes et aussi plats que leurs culs qu'ils prennent plaisir à montrer dans le film.
Il n'y a ni histoire,ni point de vue, ni émotion.
Les scènes de cul n'apportent rien. Plus le film se déroule,plus on est affligé, au bout de 30', on sait que le film sera une perte de temps. On passe le reste en x1,5 puis x10. Vite que ça termine.
La seule lumière est le jeu de Sandrine Kiberlain, 3'. Pas besoin de regarder cette nullité sauf si on a envie de se pendre.
Excellents acteurs servis par de petites histoires glauques et malaisantes. Mais que pensez réellement de tout ça car je n’ai jamais été confronté à ce genre de situations. Est-ce crédible? Est-ce possible? En tout cas, je n’ai pas aimé ce film…
Franchement ? Plein de moments lourdingues et gênants, je n'ai pas compris où le film voulait en venir et cette fin... Dommage pour ces acteurs
Comment deux si grands acteurs que je vénère ont pu faire une daube pareille ... mystère et boule de gum
Mis à part que le film à sketches est devenu plutôt ringard depuis la fin des années 80 que dire de ce film avec ce duo Dujardin/Lellouch?
Je ne le trouve pas misogyne ça reste de l humour et heureusement. Il est plutôt bien écrit mais à part le moment entre Dujardin et Alexandra Lamy l ensemble laisse très perplexe . Pas drôle car pas assez de vingtième degré on finit par se lasser jusqu'au final carrément raté. Un film pour rien .
Je ne le trouve pas misogyne ça reste de l humour et heureusement. Il est plutôt bien écrit mais à part le moment entre Dujardin et Alexandra Lamy l ensemble laisse très perplexe . Pas drôle car pas assez de vingtième degré on finit par se lasser jusqu'au final carrément raté. Un film pour rien .
Avec Jean Dujardin et Gilles Lellouche, mis en scène par Emmanuelle Bercot (Elle s’en va, La tête haute), Michel Hazanavicius (The artist, OSS117) et Eric Lartigau (La famille bélier, Prête-moi ta main) je m’attendais à du lourd. J’en ai eu, mais pas comme je pensais. Ces sketchs sont une succession de blagues potaches qui empilent les poncifs sans être drôles. C’est plat, parfois grotesque et dans tous les cas très ennuyeux.
L'un des pires film de duo lelouche-dujardin, le film a aucun fille conducteur, 2-3 scènes marrantes mais rien de plus
Associé à tort à une comédie, "Les infidèles" alterne plutôt les tons, et s'avère réussi malgré un résultat bancal inhérent à tout film "à sketchs".
Parmi les moments de faiblesse, on notera le segment d'Eric Lartigau, trop cliché pour réellement convaincre (un quadragénaire se tape une étudiante hystérique, fêtarde et insupportable) et celui, uniquement visible sur la version longue, de Jan Kounen, délire sympathique et complètement barré mais un peu trop lourd et pas franchement bien intégré au reste.
Naviguant entre comédie et drame, ceux de Michel Hazanavicius et d'Emmanuelle Bercot relèvent le niveau, le premier, un peu long mais drôle et touchant, parviendrait presque à nous rendre attachant son personnage de loser passant la nuit à essayer de tromper sa femme quand le second apporte une touche intimiste et parfois troublante malgré une réalisation trop auteurisante, sur un couple s'avouant son infidélité mutuelle.
Mais le meilleur du film, par ailleurs bien servit par son casting mené par l'excellent duo Dujardin / Lellouche, est dû aux sketchs impayables d'Alex Courtès, courts instants de comédie pure culminant dans un "Infidèles anonymes" jouissif et amené à devenir culte.
Concluant le film et le prologue sympathique mais oubliable de Fred Cavayé, le final signé du tandem vedette joue lui la carte de l'autodérision et de l'homosexualité sous-jacente entre ses deux salopards queutards et offre une conclusion bien fendard à un film imparfait et parfois un brin moralisateur mais ô combien sympathique.
Parmi les moments de faiblesse, on notera le segment d'Eric Lartigau, trop cliché pour réellement convaincre (un quadragénaire se tape une étudiante hystérique, fêtarde et insupportable) et celui, uniquement visible sur la version longue, de Jan Kounen, délire sympathique et complètement barré mais un peu trop lourd et pas franchement bien intégré au reste.
Naviguant entre comédie et drame, ceux de Michel Hazanavicius et d'Emmanuelle Bercot relèvent le niveau, le premier, un peu long mais drôle et touchant, parviendrait presque à nous rendre attachant son personnage de loser passant la nuit à essayer de tromper sa femme quand le second apporte une touche intimiste et parfois troublante malgré une réalisation trop auteurisante, sur un couple s'avouant son infidélité mutuelle.
Mais le meilleur du film, par ailleurs bien servit par son casting mené par l'excellent duo Dujardin / Lellouche, est dû aux sketchs impayables d'Alex Courtès, courts instants de comédie pure culminant dans un "Infidèles anonymes" jouissif et amené à devenir culte.
Concluant le film et le prologue sympathique mais oubliable de Fred Cavayé, le final signé du tandem vedette joue lui la carte de l'autodérision et de l'homosexualité sous-jacente entre ses deux salopards queutards et offre une conclusion bien fendard à un film imparfait et parfois un brin moralisateur mais ô combien sympathique.
Il est difficile de juger de la globalité du film tant les différentes parties sont très inégales selon les acteurs ou réalisateurs. Toutefois, globalement, le film est assez décevant malgré quelques réussites.
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