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    Le Tableau
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    4,0
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    133 critiques spectateurs

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    Cineseba
    Cineseba

    43 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2014
    "Wouah ! De gros coups de coeurs colorés ! Le film "Le tableau" est un magnifique dessin animé sur le tableau de peinture ... vivante ... "Un bijou d'animation étincelant de mille splendides idées créatrices " selon le magazine de cinéma, Studio Ciné Live. Le film "Le tableau" est une toile de peinture où vivent séparément des groupes d'êtres peints vivants, l'un des Toupins, les tout-peints qui rejettent en chassant du château, les Pafinis, les personnages auxquels il manque quelques couleurs et les Reufs qui ne sont que des esquisses ... Alors, Ramo, un Toupin amoureux d'une Pafini, s'enfuit pour aider ces deux groupes exclus, vivant dans la forêt. Il va rencontrer Lola, une autre Pafini et Plume, un Reuf, ils vont partir à la recherche d'un peintre qui laissé ce tableau ... inachevé pour ramener de l'harmonie entre Toupins, Pafinis et Reufs ! Ils vont sortir de ce tableau et découvrir d'autres tableaux ... Quelle idée charmante ! Le film "Le tableau " est pour moi un formidable cocktail des films "Le rose pourpre de Caire" pour l'idée des personnages vivantes dans l'écran, "Kirikou" pour le graphisme et les couleurs des dessins et "Alice au pays des merveilles" pour l'imagination d'un univers plein de couleurs vivantes ... Beaucoup de fantaisie, d'originalité et de poésie ! Très visuellement beau, ce film ! Le scénario est absolument original ... du jamais vu ! Le réalisateur Jean François Laguionie est le peintre étonnant qui s'amuse à "peindre" en mélangeant les tubes dits : les dessins traditionnels, les images de synthèses 3D et les prises de vue réelles ! Genial ! Un merveilleux voyage dans le monde des peintures ! J'ai adoré ce film ! Des coups de coeurs ! Ce film ferait le bonheur des artistes de peinture mais il serait destiné aux enfants, à mon avis, à partir de 10 ans, sauf s'ils sont très sensibilisés par les Arts ... "
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    267 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 décembre 2013
    Formidable film d'animation, d'une richesse et d'une originalité sans pareilles. À partir d'une rêverie sur l'art, tout en mises en abyme, le récit se déploie dans deux directions thématiques : allégorie sociopolitique sur la discrimination et le pouvoir ; métaphysique emboîtée façon poupées russes, à la recherche du (des) créateur(s). Le grand talent d'Anik Le Ray (scénariste) et de Jean-François Laguionie (réalisateur) est d'avoir su aborder cette matière riche, ambitieuse, avec une simplicité et une fluidité remarquables, au gré d'aventures ludiques, où l'on va de tableau en tableau, d'un chant de bataille au carnaval de Venise, à la découverte de mondes parallèles. L'ensemble prend ainsi la forme d'un joli conte philosophique, offrant plusieurs niveaux de lecture, pour les petits et pour les grands. Tout en douceur et en couleur, le film démonte ainsi les préjugés, l'intolérance, les formes d'exclusion, les abus de pouvoir, et s'impose au final comme une ode à la liberté et à la curiosité intellectuelle, qui doivent aider à ne pas avoir peur de l'inconnu, à relativiser son savoir et à dépasser les frontières. C'est comme un petit abrégé de la philosophie des Lumières, diffusé par des personnages-symboles qui sont croqués avec suffisamment de sensibilité pour que jaillisse une humanité attachante. L'intelligence et la sensibilité, sur le fond, trouvent un bel écho sur le plan formel, via une habile variation entre différents styles picturaux et différents types d'images. Au gré des paysages et des personnages rencontrés, les dessinateurs convoquent, entre autres, Matisse, Derain, Bonnard, Modigliani, Giacometti, Cézanne, Picasso (on peut s'amuser au petit jeu des références), tandis que le réalisateur jongle avec plusieurs textures (peintures à l'huile, images de synthèse, prises de vues réelles), en les superposant parfois, pour matérialiser plusieurs niveaux de réalité au fil de la narration. Une brillante composition, à tout point de vue.
    Nommé pour le César du meilleur film d'animation 2012, Le Tableau méritait davantage la récompense que Le Chat du rabbin...
    yayo
    yayo

    62 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2012
    Un dessin animé absolument sublime! Une très belle fable pour petits et grand.
    hubertselby
    hubertselby

    68 abonnés 436 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2014
    Très créatif et imaginatif, bel hommage à la peinture !
    Un peu lent parfois mais la peinture ne se fait pas en 5 min...
    Des couleurs assez fauves à mon goût, une bonne utilisation de la musique classique.
    Des personnages peut être pas assez attachants mais le scénario emporte tout !
    Aulanius
    Aulanius

    196 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mars 2012
    Et bien, pour être franc, je suis réellement resté sur ma faim alors que j'attendais tellement de ce film d'animation français. Tout d'abord, j'ai été extrêment déçu par le fait que pas mal d'éléments aient été pris sur "Le Roi et l'Oiseau". Je pense surtout au fait que les deux jeunes amoureux soient traqués par tout le monde ; que l'un des personnages de la réception du début ressemble trait pour trait au Roi ; et également l'univers en général qui contient beaucoup de similitudes. Mais, hélas, les bémols ne s'arrêtent pas là. Je n'ai pas apprécié la qualité du dessin (mais je ne sais pas si le fait que tout soit grossier soit fait exprès), j'ai trouvé le tout trop long alors que ça ne dure qu'une heure et quart, on tourne en rond et il y aurait tellement chose à ajouter pour que ce soit un chef d'oeuvre. La bande originale est trop répétitive, trop de musique classique tue le classique. Puis, je pense que l'on aurait pu laisser un peu plus de suspense, vous comprendrez vers la fin. Heureusement, il n'y a pas que des mauvaises choses. Le côté univers découverte et aventure est intéressant grâce surtout au voyage de tableaux en tableaux. Voir plusieurs types de personnages dans des mondes différents, ça change. J'ai aussi admiré le fait que les dessins ce retrouvent dans le monde réel, c'est un sacré plus. Mais, au final, vue toutes les critiques positives, je pensais avoir à faire à de la beauté tout simplement et ça n'a pas été vraiment le cas. Tout juste la moyenne. 10/20.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    137 abonnés 3 068 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    Cette animation française de 2011 est dans une certaine tradition originale mais une originalité qui reste limitée. On a droit en premier à des séquences un peu pénibles de pur racisme, le tout se veut poétique mais est surtout imaginatif avec des côtés sympathiques et d'autres intellectualisants. C'est une mise en abyme spoiler: et ceci d'autant plus que la fin en est purement une,
    univers irréel, esthétique et moralisant par certains côtés. Nombriliste, le fond est un jeu de cache cache bon teint sans queue ni tête où l'on a aussi introduit des côtés sombres plutôt malsains sans qu'ils soient justifiés dans l'histoire.
    Thibault F.
    Thibault F.

    51 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2017
    Le tableau est ma première incursion dans le cinéma d'animation français, longuement primé au festival d'Annecy - région dont je suis originaire. C'est donc avec beaucoup de curiosité que je m'initie avec "le pape de l'animation française" (aka Jean-François Laguionie) autour d'une oeuvre intimiste - méconnue à l'exception des aficionados ou cinéphiles en herbe. Le Tableau est une véritable lettre d'amour à la peinture, au support d'expression et à l'artistique de manière globale. Mais au-delà de sa qualité visuelle indéniable qui oscille entre 2D et 3D (ordinateur et travail à la main), c'est dans son récit simple mais aux contours complexes que Le Tableau puise sa force. Dans un discours politisé, encore en 2017 d'actualité, Jean-François Laguionie se fait le porte-parole de la tolérance et le respect des différences. C'est un film qui s'inscrit parfaitement dans une démarche pédagogique avec une insertion autour de l'histoire des arts qu'il faudrait, à mon sens, méditer. Au-delà de ses atouts, le film perd quelques plumes : des longueurs interminables, une linéarité dans le récit qui rend perplexe (on part du A pour aller au B pour revenir au A) et une narration assez austère malgré un début plutôt sympathique. En soit, une belle entrée dans la matière malgré ses quelques défauts qui sont loins d'être gênants pour entacher le plaisir du spectateur. Sympathique !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 juillet 2012
    Un film éventuellement intéressant pour les tout petits. Et encore... Pas sûr qu'ils apprécient l'approche très sérieuse de cette histoire. Côté rythme, c'est très plan-plan. Les répliques sont déclamées mécaniquement par des visages peu expressifs. Les "rebondissements" arrivent les uns à la suite des autres de façon peu professionnelle. Visuellement, c'est un mélange de mauvaise 3D en cell-shading et de calques en 2D. L'animation me rappelle de vieux jeu vidéos. On ne peut pas dire que le style graphique soit enchanteur. Quant au conte en lui même, l'idée est intéressante, certes. Mais didactique à fond. On est loin d'un Fantastic Mr. Fox, très loin !
    Raphaël O
    Raphaël O

    145 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 janvier 2014
    Superbement réalisé, ce film transporte dans le tableau où ses couleurs et ses coups de pinceaux donnent vie à ses personnages.
    Le scénario est très original, mêlant parfois l'animation aux prises de vue réelles, et montrant une humanité très coloré.
    Superbe !
    Mr_Moui
    Mr_Moui

    2 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2012
    Film d'animation particulièrement original et réussi. Il y manque par contre un petit quelque chose pour le qualifier de chef-d'oeuvre. Cela dit, je n'ai pas réussi à trouver quoi... Je le regarderez volontier une seconde fois pour essayer d'y remédier. 4.5/5
    Mr_Moui
    Marco67
    Marco67

    8 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mai 2012
    J'ai trouvé ce film long ( bien qu'il ne le soit pas en réalité!) et sans saveur ; sa seule originalité étant ses dessins que malheureusement je n'aime pas du tout... :-(
    Le scénario est prévisible et niais, les dialogues simplistes tout comme les situations... bref, à éviter!
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 177 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Si les animations américaines et japonaises sont les plus célèbres car aussi les plus commerciales, l’animation française occupe depuis son origine une place à part dans cet univers qui côtoie étroitement la bande dessinée et la prose des contes pour enfants (qui ne le sont pas toujours). Si c’est en 1892 qu’Emile Reynaud propose au Musée Grévin ses « Pantomimes lumineuses » dans le cadre de son « Théâtre Optique » suivi en 1908 par Emile Courtet qui inaugure avec « Fantasmagorie », le premier dessin animé français sur pellicule, c’est Paul Grimault qui en marge de la suprématie des studios Disney donne une aura internationale à l’animation française avec notamment son chef d’œuvre « Le roi et l’oiseau » (1979), version revue et corrigée de « La bergère et le ramoneur » (1953), son premier long métrage. Dans son sillage, s’engouffrent René Laloux (« La planète sauvage » en 1973, « Les maîtres du temps » en 1982), Jean-François Laguionie (« Le château des singes » en 1999, « Le tableau » en 2011), Michel Ocelot (« Kirikou et la sorcière » en 1998, « Azur et Azmar » en 2006), Sylvain Chomet (« Les triplettes de Belleville » en 2003) ou encore Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi (« Persepolis » en 2007). Une production toujours vivace, innovante et parfois engagée qui a poursuivi tranquillement sa route jusqu’à nos jours. Jean-François Laguionie, né en 1939 à Besançon, se destinait tout d’abord à la décoration pour le théâtre avant sa rencontre décisive avec Paul Grimault qui l’initie à l’animation. Celui-ci produira à la suite trois courts-métrages de son poulain. Après treize années où il se cantonne au court-métrage, il réalise son premier long métrage en 1984 avec « Gwenn, le livre des sables » puis crée en 1985 « La Fondation », son propre studio situé à Saint-Laurent-le-Minier dans le Gard où il réside. « Le tableau » réalisé en 2011 est une œuvre de la maturité, l’artiste approchant les 70 ans quand il travaille sur le projet. C’est Anik Le Ray qui avait déjà travaillé avec Laguionie sur « L’île de Black Mör » qui dès 2004 réfléchit au scénario de leur prochain long métrage. Les longs métrages d’animation sont des travaux de longue haleine si l’on considère les méthodes de fabrication françaises artisanales par rapport à celles des studios hollywoodiens. Le scénario est une étape très importante car chez un artiste comme Jean-François Laguionie, il détermine le graphisme et l’animation des personnages. D’autre part, il doit être minutieusement construit pour s’adresser à un large public comprenant les enfants et leurs parents. L’économie du genre demeure en effet fragile. C’est pour toutes ces raisons qu’Anik Le Ray qui avait au départ centré son intrigue sur la relation entre un peintre et son modèle, intégrée à une réflexion sur le processus de création, a décidé d’y ajouter une part d’aventure. Celle-ci sera matérialisée par l’évasion de personnages peints hors du cadre du tableau, partis à la recherche du peintre qui n’a pas complétement achevé sa création, notamment des personnages dont certains au stade d’ébauche (« les reufs ») ajoutés à d’autres imparfaits (« les Pafinis »), subissent la domination des tout peints (« les Toupins ») arrogants car sûrs de leur supériorité. L’introduction bienvenue de cette diversion ajoute une dimension sociale au « Tableau » par le biais du conflit jamais résolu entre les classes sociales qui s’incruste jusque dans une œuvre inerte pour ensuite reprendre vie grâce au talent de Laguionie. L’interrogation sur le processus de création sans doute la plus intéressante est ici clairement posée qui voit les personnages contester leur statut de simples choses imaginées ex-nihilo. On se demande souvent si l’œuvre une fois aboutie appartient encore à celui qui l’a enfantée. La problématique est posée de manière ludique, maligne et relativement pédagogique par Anik Le Ray. Le graphisme qui mélange harmonieusement décors en deux dimensions et images de synthèse, sert remarquablement le propos, même s’il faudra s’habituer à une animatique loin des standards en cours où l’agitation et la trépidation sont la règle. Il convient de souligner que Jean-François Laguionie aura passé deux ans pour concevoir la mise en image (2000 dessins à raison d’un par plan) du travail d’Anik le Ray. « Le tableau » qui n’émerveille pas par l’inventivité de son graphisme émeut surtout par la poésie qui se dégage de ses personnages en quête d’eux-mêmes pour enfin donner un sens à leur présence sur une toile peinte. Le créateur ne peut rien pour eux ? Ils se saisiront de son matériel pour laisser libre cours à leur fantaisie dans un joyeux débordement final. Au-delà des différences qui sont toujours source de tension et de tentation dominatrice, le scénario rappelle que le bonheur ne peut venir du seul créateur mais aussi de la capacité de ses sujets à s’en saisir. Peut-être une morale qui cherche à prévenir des temps incertains à venir.
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2012
    Le film possède de vrais beaux moments de poésie, notamment lorsque les personnages passent de tableau en tableau. On évolue ainsi littéralement de décors en décors, c'est tout à fait sympathique, d'autant plus que le film ne se prend jamais les pieds dans un scénario où il aurait été pourtant facile de se vautrer facilement. Il y a des scènes de pures grâces, je pense notamment à celle qu'a donné lieu l'affiche où les dessins soignés et pas réduits à de simples petits pixels permettent de donner une certaine féérie à l'ensemble. Après malheureusement je suis un peu moins fan du film car je le trouve assez facile, c'est un peu brouillon par moment, on passe vite d'un truc à l'autre sans qu'aucun élément n'ait été réellement installé, tout le passage avant le départ du tableau des personnages est fait vitesse grand V, du coup on est vraiment pas inclus dans l'univers de ce premier tableau et surtout les personnages ne parviennent pas à être particulièrement attachants. Ça manque un peu de ce côté là, car le film a de bonnes idées mais il en oublie l'essentiel, c'est à dire son spectateur. Il ne lui laisse pas la possibilité réelle de pleinement apprécier le travail fournis. C'est quand même dommage.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2012
    Dans un château entouré d’une forêt vivent les « tout peints » ; une sorte d’aristocratie picturale. Dans la forêt vivent les pauvres gens, « les pas finis ». Et cachés au fond de la forêt et pourchassés par les autres, le quart monde pictural, « les crobards ».
    Ce dessin animé à pour toile de fond un tableau. Très vite, on comprend que le peintre a laissé cette toile inachevée et qu’une véritable lutte des classes se déroule au sein de l’œuvre. Entre ceux qui espèrent un avenir meilleur (les pas finis et les crobards, les bien nommés) et ceux qui ne jurent que par la volonté divine inamovible de peur de perdre leur statut ; le réalisateur réalise un conte philosophico-humaniste. Mais voilà la rébellion va partir des classes populaires du tableau, tous ceux que le peintre a laissés en friche. Refusant la thèse fataliste des créationnistes nantis, les « tout peints », les plus défavorisés partent à la recherche du peintre pour rétablir une justice picturale et finir tous les personnages. Les nantis, eux, de peur de perdre leur statut vont tenter d’empêcher cette démarche : vive le statu quo. La parabole avec l’humanité est belle, une vraie fable.
    Avec ce double sens de lecture d’une intelligence rare, ce dessin animé s’adresse à un large public. Réalisé entièrement à Angoulème (chapeau bas !!!), le réalisateur utilise successivement le dessin lorsque les personnages sont dans un tableau et l’image de synthèse lorsqu’ils en sortent : belle idée créatrice. Cherchant les références avec ma maigre culture artistique, j’y ai tout de même vu Modigliani (mais c’est trop facile), Matisse et Chagall…
    D’une beauté esthétique atypique, d’une poésie moderne et livrant un message universel… A voir
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 octobre 2012
    Trop austère pour plaire aux enfants. Malgré la charge poétique l'animation manque de dynamisme.
    Les meilleurs films de tous les temps
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