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Votre avis sur Fast & Furious 6 ?
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Fidèle au épisodes précédents, ce 6ème volet en reprend les ingrédients habituels pour obtenir les résultat habituel. Les scènes d'action sont donc particulièrement appréciables mais au delà il n'y a pas grand chose d'intéressant. Le scénario est peu convaicant, certaines situations sont improbables, les dialogues et le jeu des acteurs sont parfois si caricaturaux qu'on se demande s'il ne faut pas les prendre au deuxième degré.
Bref, un divertisemment où l'on met sont cerveau en pause et on apprécie les cascades et l'action.
Bref, un divertisemment où l'on met sont cerveau en pause et on apprécie les cascades et l'action.
Rapide et furieux. Toute la saga de ce film est ennuyeuse, elle n'a aucune intrigue intéressante. Il est uniquement recommandé aux amateurs de voitures de course. Ses acteurs ne jouent aucun rôle.
Avec de grandes campagnes publicitaires, ce n'est pas un film qui offre une grande expérience cinématographique et laisse une impression mitigée.
Même s’il y a de bonnes critiques, il y en a beaucoup de mauvaises.
Je ne vous le recommande pas 2 étoiles
Avec de grandes campagnes publicitaires, ce n'est pas un film qui offre une grande expérience cinématographique et laisse une impression mitigée.
Même s’il y a de bonnes critiques, il y en a beaucoup de mauvaises.
Je ne vous le recommande pas 2 étoiles
Il y a des moyens dans la cascade, mais il faut avouer que entre les scènes d'action, c'est un peu plat, notamment dans les discours (l'humour tombe souvent à plat). Le scénario est clairement bâclé (pourquoi Hobbs braque le général anglais ? Pourquoi Shaw est-il relâché pour être finalement poursuivi quelques secondes plus tard ?), mais le film est l'occasion de faire le lien entre tous les épisodes. Un détail rigolo ;
spoiler:
maintenant que Letty revient dans la saga, Elena dégage des bras de Dom
. Merci d'avoir fait bouche trou !
. Merci d'avoir fait bouche trou !
🎬 RENGER 📼
Après avoir traqué sans relâche Dom, Mia et Brian, Luke Hobbs (de la Sécurité Diplomatique) s’était allié à eux pour mettre la main sur Reyes (dans le 5ème opus). Après leur avoir laissé une chance de s’enfuir, ces derniers se sont exilés pour vivre une retraite bien méritée, jusqu’à ce que Hobbs ressurgisse pour cette-ci, leur demander leur aide pour coincer un groupe de redoutables chauffeurs mercenaires.
6ème opus de la franchise, toujours réalisé par Justin Lin (pour la quatrième fois), où l’on retrouve une fois de plus l’intégralité du casting, ainsi que le grand retour de Michelle Rodriguez (laissée pour morte dans le 4ème chapitre et qui apparaissait dans une scène post-crédits du 5ème volet).
Après le virage amorcé avec le précédent opus, la saga continue de s’éloigner de l’univers beauf et machiste du tuning pour celui du film d’action pur et dur. 120 min bourrines et de surenchères, d’action invraisemblable, d’explosions et de tôles froissées. Il est bien loin le temps du tout premier opus il y a 12ans, avec ses bagnoles hideuses aux couleurs criardes et où les mecs se la jouaient caïds aux volants de leurs voitures pimpées. Une époque lointaine et révolue puisque désormais, la franchise F&F joue dans un tout autre registre et y trouve son compte (à en voir ses résultats ahurissants au box-office). Si le précédent opus se rapprochait des films de braquage, il est intéressant de voir ici à quel point ce film lorgne du côté d’Expendables (pas pour le côté "retrouvaille de vieux soixantenaires" mais plus pour le côté "réunion de potes" pour s'attaquer au vilain de service).
Résultat, on se retrouve avec un film calibré et parfaitement dosé pour nous faire tenir durant deux longues heures. Des scènes d’action éparpillées ici et là, quelques fusillades et autres courses-poursuites, agrémentées de quelques séquences dantesques telles que la scène sur l’autoroute avec le tank ou celle avec l’Antonov 124 (d’ailleurs, il serait judicieux de savoir combien mesurait la piste de décollage, car la séquence dure près de 15min durant lesquelles l’avion roule à toute berzingue, avec derrière lui, des bolides qui le colle au train et ce, sans jamais atteindre le bout de piste, comme si cette dernière mesurait 30km de long, alors qu’en générale, une piste n’excède pas les 5km). Bien évidemment, ce genre d’invraisemblance le réalisateur s’en moque, idem pour les spectateurs qui ne souhaitent ici qu’une chose, en prendre plein les mirettes tout en se goinfrant bêtement de pop-corn.
Donc si l’on fait abstraction de ces quelques élucubrations (sans parler du retour aux États-Unis de Brian, qui parvient à intégrer une prison et à en ressortir les yeux fermés alors qu’il est recherché par le FBI…), le film fait le job et coche toutes les cases de l’entertainment. Ça divertit bêtement, c’est régressif et on ne voit pas le temps passer, que demander de plus, surtout lorsque l’on sait quel style de film on s’apprête à voir.
A noter enfin, que la scène post-crédits qui nous renvoie à F&F : Tokyo Drift (2006) avec l’accident de Han Lue. Une scène qui a été modifiée afin d’y inclure Jason Statham (qui apparaît dans la franchise à partir du chapitre 7).
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
6ème opus de la franchise, toujours réalisé par Justin Lin (pour la quatrième fois), où l’on retrouve une fois de plus l’intégralité du casting, ainsi que le grand retour de Michelle Rodriguez (laissée pour morte dans le 4ème chapitre et qui apparaissait dans une scène post-crédits du 5ème volet).
Après le virage amorcé avec le précédent opus, la saga continue de s’éloigner de l’univers beauf et machiste du tuning pour celui du film d’action pur et dur. 120 min bourrines et de surenchères, d’action invraisemblable, d’explosions et de tôles froissées. Il est bien loin le temps du tout premier opus il y a 12ans, avec ses bagnoles hideuses aux couleurs criardes et où les mecs se la jouaient caïds aux volants de leurs voitures pimpées. Une époque lointaine et révolue puisque désormais, la franchise F&F joue dans un tout autre registre et y trouve son compte (à en voir ses résultats ahurissants au box-office). Si le précédent opus se rapprochait des films de braquage, il est intéressant de voir ici à quel point ce film lorgne du côté d’Expendables (pas pour le côté "retrouvaille de vieux soixantenaires" mais plus pour le côté "réunion de potes" pour s'attaquer au vilain de service).
Résultat, on se retrouve avec un film calibré et parfaitement dosé pour nous faire tenir durant deux longues heures. Des scènes d’action éparpillées ici et là, quelques fusillades et autres courses-poursuites, agrémentées de quelques séquences dantesques telles que la scène sur l’autoroute avec le tank ou celle avec l’Antonov 124 (d’ailleurs, il serait judicieux de savoir combien mesurait la piste de décollage, car la séquence dure près de 15min durant lesquelles l’avion roule à toute berzingue, avec derrière lui, des bolides qui le colle au train et ce, sans jamais atteindre le bout de piste, comme si cette dernière mesurait 30km de long, alors qu’en générale, une piste n’excède pas les 5km). Bien évidemment, ce genre d’invraisemblance le réalisateur s’en moque, idem pour les spectateurs qui ne souhaitent ici qu’une chose, en prendre plein les mirettes tout en se goinfrant bêtement de pop-corn.
Donc si l’on fait abstraction de ces quelques élucubrations (sans parler du retour aux États-Unis de Brian, qui parvient à intégrer une prison et à en ressortir les yeux fermés alors qu’il est recherché par le FBI…), le film fait le job et coche toutes les cases de l’entertainment. Ça divertit bêtement, c’est régressif et on ne voit pas le temps passer, que demander de plus, surtout lorsque l’on sait quel style de film on s’apprête à voir.
A noter enfin, que la scène post-crédits qui nous renvoie à F&F : Tokyo Drift (2006) avec l’accident de Han Lue. Une scène qui a été modifiée afin d’y inclure Jason Statham (qui apparaît dans la franchise à partir du chapitre 7).
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Trop mou au début, trop d'action à la fin, une action toute les secondes qui fait un joli mal de tête, un films irréaliste avec des scène digne d'un action-Man
Plus rien avoir avec les fast and Furious
Heureusement que l'histoire et bien
Plus rien avoir avec les fast and Furious
Heureusement que l'histoire et bien
maxime ...
Le sixième film de la Saga à des qualités à faire valoir. L'action est de la partie, comme toujours mais cette fois-ci le cursus est encore un poil plus haut. Cette séquence sur le tarmac de nuit est je crois sa représentation la plus rocambolesque depuis le début.
En revanche niveau scénario on se trouve aux bords du précipice. spoiler: L'amnésie de Letty ... Sérieux ?
Le constat s'applique avec le casting qui après un net regain dans le cinquième film se répète quelque peu. Fast & Furious 6 régresse en comparaison avec son prédécesseur sur d'autre sujet tel que l'humour. Exception faite de cette bagarre Han / Roman contre le sbire de Shaw. spoiler: En ce qui concerne Han le parallèle avec Tokyo Drift est judicieux et contextualise bien les choses. Est-ce que pour autant il fallait faire disparaître Gisèle ? Son éviction est frustrante. Là encore la mort de Vince refermais un chapitre et trouvait une fin raccord avec l'histoire mais concernant cette dernière ...
Pour conclure cette critique disons que le film est relativement bon mais moins bien ... Et en cela il est difficile de vraiment se régaler avec pareil long métrage.
En revanche niveau scénario on se trouve aux bords du précipice. spoiler: L'amnésie de Letty ... Sérieux ?
Le constat s'applique avec le casting qui après un net regain dans le cinquième film se répète quelque peu. Fast & Furious 6 régresse en comparaison avec son prédécesseur sur d'autre sujet tel que l'humour. Exception faite de cette bagarre Han / Roman contre le sbire de Shaw. spoiler: En ce qui concerne Han le parallèle avec Tokyo Drift est judicieux et contextualise bien les choses. Est-ce que pour autant il fallait faire disparaître Gisèle ? Son éviction est frustrante. Là encore la mort de Vince refermais un chapitre et trouvait une fin raccord avec l'histoire mais concernant cette dernière ...
Pour conclure cette critique disons que le film est relativement bon mais moins bien ... Et en cela il est difficile de vraiment se régaler avec pareil long métrage.
Un fast and furious attendu avec de bonnes poursuites en voiture et de grosses bastons mais malheureusement quasiment aucun scénario. Cela rend le film un peu long surtout que dans certaines poursuites on se perd un peu...
spoiler:
Au contraire du 5 qui prônait le renouveau,
ce 6eme opus déçoit par son effet de déjà-vu et de redondance souvent mal maîtrisé.
ce 6eme opus déçoit par son effet de déjà-vu et de redondance souvent mal maîtrisé.
On reprend les mêmes acteurs, les mêmes intrigues, les mêmes dialogues limités, le même genre de cascade improbable, on saupoudre de quelques dollars en plus et on obtient "Fast and Furious 6". Vous l'aurez compris, l'originalité n'est pas le point fort du film, d'ailleurs il y en a aucun. Sans parler de nombreuses choses risibles, et récurrentes, ce sixième opus divertit et peut être mieux que les précédents.
HamsterPsycho
Clairement pas mon préféré de la série. Je trouve que ça manque d'inspiration et le côté physiquement et absolument impossible gâche les cascades. Quant aux raisons de la réapparition de Letty, pourquoi pas, mais que ça manque d'inspiration. On sent bien qu'il a fallu trouver un moyen de faire revenir le personnage alors que cela ne devait sans doute pas être prévu. SI ça l'était, et bien franchement ils auraient pu faire un effort de scénario.
Les fast and Furious se suivent mais le bilan reste le même. 6 ème épisode de la saga, Furious 6 pousse un peu plus loin que ses prédécesseurs la débauche d'action numérique, n'hésitant pas à faire exploser un tupolev sur une piste d'atterrissage digne d'Olive et Tom. Malheureusement, comme souvent, le côté bling bling des voitures masque la misère d'un scénario prévisible et convenu. Reste à apprécier la dose de pop corn donc...
Adrénaline et gros bolides, belles nanas et messieurs muscles
Après leur rodéo à Rio, où ils s’étaient attaqués à un cartel de la drogue, Brian (Paul Walker), Dom (Vin Diesel) et toute leur équipe, se sont éparpillés aux quatre coins du globe avec un butin de 100 millions de dollars. Toutefois, ils sont dans l’incapacité de retourner chez eux et vivent en perpétuelle cavale. Pendant ce temps, l’agent fédéral Hobbs (Dwaine Johnson) traque un groupe de chauffeurs mercenaires, surarmés et entrainés, dont le cerveau nommé Shaw (Luke Ewans) est secondé par celle qui fait tant vibrer Dom et qu’il ne pensait jamais revoir : Letty.(Michelle Rodriguez). Hobbs demande donc à Dom de rassembler son équipe de choc à Londres. En retour ? Un casier vierge pour chacun d’eux leur permettant un retour près des leurs…
Vroom, vroum, et c’est reparti ! Pour la quatrième fois, nous retrouvons Justin Lin aux commandes de ce 6ème opus de la saga Fast & Furious qui ne devrait pas décevoir son public en décharges d’adrénalines et en beaux bolides malmenés. Depuis le Fast 4, on sait que la série s’est éloignée de ce qui la définissait à l’origine : un film sur le tuning ou sur les courses de rue underground, les gros bolides et l’argent facile. Elle est désormais résolument orientée vers l’action pure. Ses thèmes sont devenus la guerre, les armes, les accidents de voiture, les combats. Avec Fast 6, Justin Lin récidive et a gardé tous les ingrédients qui avait fait de Fast 5 un film d’action réussi : un casting qui ferait rougir celui d’Expendables, des gros bras, des belles filles, de l’humour, de beaux bolides et des fusillades à gogo.Fast & Furious 6 est bel et bien bourré d’action, mais également rempli de courses poursuites à fond la caisse, de cascades superbement chorégraphiées et toujours aussi explosives. Ce 6ème opus est donc un film d’action réussi où les fans retrouveront avec plaisir ces voitures aux moteurs V8 bourdonnants, ces bolides flashy (Daytona, Ford Escort, Aston Martin…), de l’action, du grand spectacle, de la castagne, mais aussi beaucoup d’humour (comme la scène de déshabillage du vendeur de voiture ou les nombreuses blagues de Han et de Roman Pierce), accompagnés d’une bande-son qui colle très bien à l’univers de Fast & Furious. Bref, une orgie de testostérone
Après leur rodéo à Rio, où ils s’étaient attaqués à un cartel de la drogue, Brian (Paul Walker), Dom (Vin Diesel) et toute leur équipe, se sont éparpillés aux quatre coins du globe avec un butin de 100 millions de dollars. Toutefois, ils sont dans l’incapacité de retourner chez eux et vivent en perpétuelle cavale. Pendant ce temps, l’agent fédéral Hobbs (Dwaine Johnson) traque un groupe de chauffeurs mercenaires, surarmés et entrainés, dont le cerveau nommé Shaw (Luke Ewans) est secondé par celle qui fait tant vibrer Dom et qu’il ne pensait jamais revoir : Letty.(Michelle Rodriguez). Hobbs demande donc à Dom de rassembler son équipe de choc à Londres. En retour ? Un casier vierge pour chacun d’eux leur permettant un retour près des leurs…
Vroom, vroum, et c’est reparti ! Pour la quatrième fois, nous retrouvons Justin Lin aux commandes de ce 6ème opus de la saga Fast & Furious qui ne devrait pas décevoir son public en décharges d’adrénalines et en beaux bolides malmenés. Depuis le Fast 4, on sait que la série s’est éloignée de ce qui la définissait à l’origine : un film sur le tuning ou sur les courses de rue underground, les gros bolides et l’argent facile. Elle est désormais résolument orientée vers l’action pure. Ses thèmes sont devenus la guerre, les armes, les accidents de voiture, les combats. Avec Fast 6, Justin Lin récidive et a gardé tous les ingrédients qui avait fait de Fast 5 un film d’action réussi : un casting qui ferait rougir celui d’Expendables, des gros bras, des belles filles, de l’humour, de beaux bolides et des fusillades à gogo.Fast & Furious 6 est bel et bien bourré d’action, mais également rempli de courses poursuites à fond la caisse, de cascades superbement chorégraphiées et toujours aussi explosives. Ce 6ème opus est donc un film d’action réussi où les fans retrouveront avec plaisir ces voitures aux moteurs V8 bourdonnants, ces bolides flashy (Daytona, Ford Escort, Aston Martin…), de l’action, du grand spectacle, de la castagne, mais aussi beaucoup d’humour (comme la scène de déshabillage du vendeur de voiture ou les nombreuses blagues de Han et de Roman Pierce), accompagnés d’une bande-son qui colle très bien à l’univers de Fast & Furious. Bref, une orgie de testostérone
De superbes poursuites et cascades en voiture !
Le tout contrebalancé par un scénario insipide digne d'un épisode de Derrick. Les personnages sont tous des caricatures de caricature. Il y en à de 4 types : les gentils, les méchants, les personnages secondaires (eux ils meurent tout au long du film) et les civil (Malgré les poursuites et les coups de feu il ne leur arrivent rien car ce n'est pas politiquement correct ou au pire c'est à cause des méchants).
Bref c'est un peu comme un vieux film porno ; des scènes d’actions avec un semblant de scenario pour lier le tout.
Donc on se régale avec les cascades mais le scenario est trop indigent pour être réellement convainquant.
Le tout contrebalancé par un scénario insipide digne d'un épisode de Derrick. Les personnages sont tous des caricatures de caricature. Il y en à de 4 types : les gentils, les méchants, les personnages secondaires (eux ils meurent tout au long du film) et les civil (Malgré les poursuites et les coups de feu il ne leur arrivent rien car ce n'est pas politiquement correct ou au pire c'est à cause des méchants).
Bref c'est un peu comme un vieux film porno ; des scènes d’actions avec un semblant de scenario pour lier le tout.
Donc on se régale avec les cascades mais le scenario est trop indigent pour être réellement convainquant.
Cascades improbables, scénario globalement très moyen... Moi qui était très intéressée par les acteurs à l'affiche et qui avait apprécié les précédents Fast and furious, j'ai été assez déçue par celui-là :(
J'ai jamais été trop fana mais le 5 m'avait plutôt surpris en bien et donc j'espérai de l'aussi bien ici, mais là j'ai été trop gavé de foie gras, de gros bras en bataille (bon ça je m'y attendais) et une piste de décollage qui dure 100 km à la fin j'ai trouvé ça un peu ridicule...c'est en général trop boursouflé et prévisible...
Le multiethnisme internationaliste cool n'est qu'une carrosserie sans contenance, la vitesse survitaminée banalisée et "la sacro sainte famille" je crois qu'on commence à tourner un peu en rond...
Il y a bien de rares passages pas inintéressant...comme ce tank bien barjot en Espagne ou tout simplement Londres et sa baston (th)underground...
Heureusement si je puis me permettre qu'au moins un de leur membre (des gentils) y laisse sa peau (question de réalisme) en total heroïne bien sûr...
A se demander si à force de vaillants tournages motorisé Walker a finit par y croire un peu à son indestructibilité, et ça c'est vicieux.
Le niveau du jeux des acteurs n'a rien d'emballant mais faute surtout d'un scénario et de répliques plus digne et smarty.
J'ai vraiment préféré le nouveau Dredd que j'ai vu direct à la suite...
Le multiethnisme internationaliste cool n'est qu'une carrosserie sans contenance, la vitesse survitaminée banalisée et "la sacro sainte famille" je crois qu'on commence à tourner un peu en rond...
Il y a bien de rares passages pas inintéressant...comme ce tank bien barjot en Espagne ou tout simplement Londres et sa baston (th)underground...
Heureusement si je puis me permettre qu'au moins un de leur membre (des gentils) y laisse sa peau (question de réalisme) en total heroïne bien sûr...
A se demander si à force de vaillants tournages motorisé Walker a finit par y croire un peu à son indestructibilité, et ça c'est vicieux.
Le niveau du jeux des acteurs n'a rien d'emballant mais faute surtout d'un scénario et de répliques plus digne et smarty.
J'ai vraiment préféré le nouveau Dredd que j'ai vu direct à la suite...
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