anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 15 août 2013
Ayant vu District 9, on pouvait s'attendre a un grand film mais, un pamphlet social réalisé pour un public américain avec les moyens d'un blockbuster... fallait pas rêver. Et effectivement, on est pas déçu : manichéisme de comptoir, vision de l'homme et de l'évolution de la société ultra simpliste (comment peut-on oser parler de SF ?!!), rien n'est crédible dans le déroulement de l'action (la population vivant sur terre est très malade, les hôpitaux sont pleins mais attention, on ne parle pas de grippe, ce ne sont que des affections majeures de type leucémie, myopathie et j'en passe que la médecine sur place ne peut pas soigner. Par contre, on est capable de vous implanter un modem dans le crâne, un exosquelette sur le système nerveux avec des scies à métaux et votre dernière perçeuse/visseuse achetée chez casto). Plus de classe moyenne, ce qui montre une incompréhension totale du fonctionnement de la société. Les gens s'accommoderait de la fange dans laquelle ils vivent : on est riche et policé ou pauvre et chaotique ! On soulignera une légère critique des gens qui vivent sur terre à travers la démonstration d'un égoïsme forcené des gens y vivant et notamment du personnage principal sauf... qu'il a un destin. Ah ! oui ! il y avait longtemps que l'on nous avait pas fait le coup de l'élu !!! Quant aux invraisemblances scénaristiques, impossible d'en faire un inventaire tellement elles sont nombreuses et ne servent qu'aux besoins d'un scénario bancale : la présence d'une police sur terre ??? Mais pourquoi faire ? Ca n'a aucun sens ! On rentre sur Elysium finalement comme dans du beurre (pas de véritable moyens de défense sur place). Où sont, à la fin, les robots policiers ? En RTT sûrement (en même temps c'est un française qui dirige la défense, faut pas s'étonner) ? Et comble de la stupidité, si le matériel médical n'était pas mis à la disposition des gens vivant sur terre, ce n'est pas parce qu'il est trop cher, qu'il n'y en a pas assez, bref pour une raison économique ! Non, c'est parce que les riches sont très très méchants. Ils ont ce matos en quantité industrielle (c'est ce qui ressort très clairement de la fin du film) mais le garde très précieusement dans des hangars histoire de ricaner le soir en buvant un cognac au clair de terre sur ces imbéciles de pauvres qui crèvent alors qu'ils pourraient être sauvés. Au secours !!!!
Ce film est une véritable insulte à l'intelligence.
1,0
Publiée le 16 août 2013
Attention, cette critique contient des "spoilers" tels que: spoiler: Ce film est mauvais
.

A Hollywood, on n'a pas d'idées mais on a de l'argent.

Hé, Neil ! On a bien kiffé ton truc avec des aliens parqués dans des taudis.
Tu pourrais nous refaire la même ? En mois exotique hein ! C'est pour faire du pognon alors on va lisser le produit. Laisse tomber la violence jubilatoire, l'ironie et le second degrès, ça risque de distraire les Américains de leur pop corn.
Regarde, on t'a trouvé un Matt Damon tout neuf avec pleins de muscles et une Jodie Foster regard d'acier option français.

On a fait simple pour le script, les riches sont très méchants, les pauvres très gentils. Tiens, voilà 100 millions !
Ouais je sais, les dialogues sont indigents, les enjeux fantomatiques et les perso secondaires insipides. Mais t'es hors sujet là, Neil. Faut juste que ça fasse joli et ça pète dans tous les sens.

Prends pas cet air dégoûté, on veux bien engager ton pote Coley malgré son accent bizarre et son regard halluciné. Mais pas de blague hein ? Tu files droit, c'est promis? On veut du crash de navette, de l'hybridation, du bougé de caméra, du bidonville, tout pareil...
Bon garçon, tu iras loin.

Moralité: District 9 - Elyseum 0
1,0
Publiée le 16 janvier 2014
Consternant. La déception est d'autant plus douloureuse que j'attendais beaucoup de l'auteur de District 9 qui, quoique surestimé, était un bon film de SF. Au lieu de ça je crois qu'il s'agit du Blockbuster le plus raté d'un été pourtant riche en navets. Tout sonne faux dans Elysium les dialogues sont dignes de statut Facebook (Frey à Max "it's complicated"), le scénario est caricatural, les personnages sont des clichés vivants et les scènes stéréotypées au possible. Ajoutez à cela un généreux arrosage de guimauve et vous aurez une bonne description d'un film de série B. Neill Blomkamp nous recycle du District 9 avec plus d'argent mais moins d'idées reprenant son décor : les bidonvilles de Prétoria sont remplacés par ceux de Los Angeles et son pitch : la parabole de l'immigration remplaçant ici celle sur l'apartheid. La dénonciation du fossé entre les méchants riches et les gentils ouvriers pauvres (oui en 2154 il n'y a plus de classe moyenne) est tellement manichéenne qu'elle ne satisfera que les ados les plus indulgents et même eux se sentiront las de découvrir une fois encore une histoire basée sur la révolte d'un prolo contre les nantis. Un héro qui accumule tous les clichés possibles et imaginables : orphelin, en quête de rédemption, poursuivant son rêve d'enfance et ne pouvant oublier son premier amour. Pour tenir la promesse qu'il lui a faite il va tout endurer : bras cassé, radiations puissance 10 Fukushima, couteau dans le ventre, téléchargement abusif, bref il souffre. Mais pas autant que nous lors de flash back lourdingues pompés sur Gladiator et accompagnés de chœurs d’eunuques s'égosillant afin de susciter l'empathie avec notre héros chauve. Difficile pourtant de s'accrocher aux personnages d'Elysium. Non seulement ils sont caricaturaux au possible mais en plus ils sont mal joués (ceci expliquant peut-être cela). Jodie Foster est toute en nuance, Sharlto Copley en retenue, Matt Damon n'a jamais communiqué autant d'émotion, et Alice Braga tient son rôle de potiche avec tant de talent qu'on jurerai un rôle de composition. Ils campent une galerie de personnages basée sur les stéréotypes raciaux et sociétaux les plus éculés : un écossais fou, un français mégalo, un PDG de multinationale prêt à tout pour de l'argent et une héroïne à l'ancienne : une mère isolée, infirmière, élevant sa fille atteinte d'une leucémie. Franchement. Une leucémie ?! Le réalisateur utilise un enfant atteint d'un cancer pour nous faire pleurer. Ce n'est plus du chantage affectif, c'est une prise d'otage. A cet égard l'interminable scène de rencontre entre elle et Max est franchement embarrassante pour un réalisateur qu'on pensait plus subtile. Mais tous ces défauts ne sont rien par rapport au vrai problème du film : son scénario complètement rocambolesque (attention mass spoiler) spoiler: Toutes les scènes constituant la trame sont branlantes et l'intrigue générale elle même ne tient pas debout : pourquoi le Ministre Rhodes aurait-elle besoin d'un reboot pour faire son putsch alors qu'elle n'avait qu'à prétendre une guerre pour prendre le pouvoir légalement ? Petit festival : D'abord la scène incroyable où Max se fait irradier. Pourquoi n'utilise-t-il pas le gros bouton rouge bien visible à l'écran ? Ne se doute-t-il pas que s'il repousse ce qui empêche la porte de se fermer, celle-ci va... se fermer. J'ai ensuite adoré quand il se cache sous les cochons. L'avion ne l’aperçoit pas et décide de repartir avant de lâcher une heure plus tard... des robots chercheurs. Robots efficaces puisque à six dans une ville de quelques dizaines de millions d'habitants ils retrouvent notre Max dès qu'il met son pied dehors. Max parvient heureusement à s'échapper mais évite de retourner prévenir Frey qu'elle risque de recevoir de la visite. Probablement par peur que la gosse lui raconte encore une histoire à base d'hippopotame et de suricate. Gamine à qui il refuse de donner une ID pour une raison inexplicable. Pourquoi Kruger laisse Max rentrer dans le vaisseau avec sa grenade alors qu'il a deux otages à disposition ? Pourquoi le ministre utilise-t-elle un psychopathe et non pas un robot ou à minima un agent sain d'esprit ? Ce film n'arrête jamais et c'est terrible parce que trois, quatre absurdités c'est pas grave mais quand c'est tout au long du film comment peut-on s'attacher aux personnages et croire en leur histoire ? Pareil, où sont les robots de défense quand Max atterri, quand le vaisseau de Spider atterrit, quand Kruger attente son coup d'état ? Pourquoi le PDG choisit-il qu'un téléchargement du programme soit létale puisqu'il est sensé le faire lui-même ? Pourquoi l'exosquelette de Max ne lui sert qu'une scène sur deux ? Pourquoi Kruger et ses deux acolytes se baladent-t-ils partout pour retrouver Max alors que celui-ci viendra forcément secourir sa belle ? Pourquoi le PDG est-il accompagné de seulement deux robots... qui se batte l'un après l'autre ? Comment Max fait-il pour s'échapper après la mort du PDG alors qu'un vaisseau le survole ? Pourquoi personne ne remarque Max qui est allongé à 5 mètres de l’hôpital ? J'ai beaucoup aimé lors du reboot la succession de plans larges sur Elysium et rapprochés auprès des acteurs : jour, nuit, jour, nuit, énorme !!! Enfin le plus drôle, notre écossais favoris se fait arracher la moitiée de la tête sans en mourir, mieux : "the brain is not damaged"... silence. La fin est complètement abracadabrante. Les robots (qui apparaissent enfin) guidé par le président (n'était-il pas en prison ?) ne peuvent arrêter les citoyens ? Personne ne peut rebooter le système ?
Je justifie mon étoile par l'esthétique soignée (Elysium est très réussie), les scènes d'action honnêtes et les gros guns très cool. Je finirais en citant une critique de CinemaTeaser : [Blomkamp est] "confiant en l’intelligence de son public", pardon ?
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 16 août 2013
Le premier film du réalisateur, District 9 était une agréable surprise à sa sortie même s'il n'était pas exempt de défauts, notamment un certain manichéisme, même si ça se justifiait dans le scénario.

Et bien le principal problème problème d'Elysium, c'est justement le manichéisme... D'un côté vous avez les riches, ces "salauds de riches" comme le dit l'expression. Ces sales riches comme vous vous en doutez, ce sont les méchants, ils n'ont strictement rien pour eux. Ils sont égoïstes, pervers, sadiques, n'ont que faire de la vie des pauvres Terriens qu'ils traitent comme du bétail etc. je vais m'arrêter là pour les clichés vous avez très bien compris où je veux en venir... Et de l'autre côté on a la plèbe terrienne... Eux ce sont les gentils, et ça on le comprend très vite. La vie n'est pas facile dans ce gigantesque favela qu'est devenu Los Angeles mais même les rares voyous qu'on y croise sont des types sympathiques au fond (dans le futur le grand banditisme a disparu, j'ai hâte d'y être !). A ce titre, le sidekick de Matt Damon incarne parfaitement ce cliché du "gentil voyou", toujours prêt à aider et à se sacrifier pour les autres, trop mignon.

Enfin voilà, dès les premières minutes du film on comprend déjà comment tout ça se finira... A ce sujet, j'ai trouvé la fin un peu douteuse : spoiler: les frontières d'Elysium sont finalement ouvertes... Faut-il vraiment s'en réjouir ? On peut imaginer que dans le futur des masses de population se déplaceront sur Elysium et ce petit paradis deviendra un taudis comme sur Terre, super, au moins on est tous égaux dans la misère.


Signalons aussi que le film a du être tourné par un parkinsonien puisqu'on ne pige rien mais alors rien aux scènes de combats. Ça bouge dans tous les sens, c'est illisible, vraiment insupportable. Alors malgré tout ça se laisse regarder mais bon, sans grand enthousiasme.
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 23 août 2013
Il ne faut pas aller voir un blockbuster en espérant voir un film un peu original, c'est ce que j'ai fait en allant voir Elysium et j'ai été bien déçu.

Pourtant c'était bien parti, j'avais pu lire sur une critique presse que Neill Blomkamp n'avait pas peur de miser sur intelligence de ses spectateurs ce qui m'a donné grand espoir concernant le scénario et la réalisation du film... et une énorme déception en sortant de la salle. Ce film est creux, il n'a aucune originalité, et il est rempli de facilités dans le scénarios et de stéréotypes grossiers.

Le seul point positif de ce film est qu'il est beau, MAIS CA NE FAIT PAS TOUT !!!

On y retrouve la même recette que dans tous les autres :
Des bruitages très graves pour montrer qu'il y a de l'action (celui que l'on retrouve dans tous les films et bandes annonces depuis au moins deux ans)
Un héros plein de testostérone, égoïste et pas très malin
Un gros méchant vraiment pas gentil et pas très malin non plus... mais pourquoi s'entourer d'humains instables quand on a une armée de Robots ????? spoiler: Et pourquoi peut-il ressuscité alors qu'avec une blessure de ce genre il est clairement mort !

Des riches et méchants blancs et des gentils et pauvres mexicains
et je ne vais pas faire une liste exhaustive car ça prendrait du temps !

On retrouve toutes les idées de son premier film "District 9" mais moins bien utilisées, Neil Blomkamp à donc réussi à faire un remake à la sauce blockbuster hollywoodienne de son propre film !
1,5
Publiée le 15 août 2013
Elysium fait partie de ses films initialement attrayants par leur idée originale de base, mais qui est vite rattrapée par l'action formatée et standardisée des mauvais blockbuster, coupant cours à toute réflexion.
1,5
Publiée le 21 août 2013
un excellent blockbuster aux effets spéciaux convaincants sans être assommants, mais néanmoins, un scénario qui fait dans la plus pure bien-pensance altermondialiste avec des gentils immigrants illégaux et des méchants riches essayant honteusement d'éviter que leur monde ne devienne un pense que des activistes du DAL ont participé à l'élaboration de ce scénario insupportable de bêtise manichéenne. c'est encore pire que le "bon sauvage" d'Avatar !!! Pour être tout à fait honnète il faut quand même reconnaitre des qualités à ce film, à commencer par son rythme et les acteurs, plutôt inspirés. la caméra bouge tout le temps sans toutefois donner le mal de mer, on aime ou on n'aime pas mais au moins on ne risque pas de vomir - enfin, pas à cause des images en tout cas...
1,5
Publiée le 18 août 2013
Superbe image et beau montage. Le reste ne vaut pas le détour. Le scénario est plat et superficiel a souhait, aucune profondeur, rien d'intelligent. Les personnages sont campés dans leur stéréotype les plus grossier, les méchants sont idiots et ils doivent absoluement agir comme des salauds pour bien démontrer qu'ils sont méchants. Les gentils sont de pauvres petites victimes prisent dans un tourbillon d'évènement mais qui malgré tout apprennent en moins de deux a se servir d'artillerie lourde et de surpasser dans cet art des combattants de métier sur-entrainer.

La ou un District 9 nous dépeignait une science-fiction intelligente et bien ficeler Elysium ne nous montre que de l'action entièrement vide de sens. Ce qui est très dommage c'est que l'on assiste a la préparation d'un évènement qui pourrait être très intéressant mais qui se termine en pétard mouillé.

spoiler: Le coup d'état formenter se termine ou le personnage de Jodie Foster regarde le président et lui dit que le vaisseau qui s'est écrasé est de sa faute et qu'elle prend le pouvoir. Tout le film est basé sur ce coup d'état qui a finalement lien de la pire des facons. A la rigueur elle n'avait qu'a faire écrasé une navette non-identifier pour parvenir a ses fins... Alors pourquoi n'avoir pas débuter par ca? Ha oui c'est vrai, les méchants se doivent d'être imbécile.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 23 août 2013
Quelle déception que cette science-fiction qui vous propulse dans l'espace intersidéral ; quel ennui que ce film qu'il est sidérant de supporter deux heures... Et pourtant, à l'instar de son prédécesseur, Elysium prétend vous maintenir sur Terre : Neill Blomkamp ne quitte Johannesburg que pour Los Angeles, n'extirpe son spectateur des ghettos sud-africains que pour lui faire découvrir le ghetto-monde. Bonne idée, mais il aurait mieux valu que ce dernier fasse le voyage seul, car ce que le réalisateur gagne en budget, il le perd partout ailleurs. Avec ce District 9 dont il ne reste que la carcasse ferrailleuse, il pervertit son univers si singulier, si réaliste : rien dans Elysium n'est crédible. Les acteurs manquent tous cruellement de charisme ; certains ne jouent pas, d'autres surjouent comme pas permis -Sharlto Copley aurait d'ailleurs gagné à zozoter. Il faut dire à leur décharge que tout le talent du monde ne sauverait pas un scénario pareil, si incohérent, si faible qu'il cesse presque d'exister : la critique sociétale n'y survit pas plus qu'à un manichéisme vomitif. Elysium est donc un film que quelques belles images ne sortent malheureusement pas du gouffre. Et si Neill Blomkamp surprend, ce n'est pas en donnant une nouvelle dimension à la ségrégation, mais par sa capacité à passer de si bon à si mauvais.

Si la critique vous a plu, n'hésitez pas à faire un tour sur mon site !
1,5
Publiée le 20 août 2013
Mais... mais... c'est pas le scenario de Matrix ? La ressemblance est frappante un élu, un très bon premier tiers, un second tiers moyen, une bouse pour la dernière partie...
A cela, on rajoute du manichéisme idiot, un scenario téléphoné, des idées de SF vues et revues, une Jodie Foster déplorable (ca sent le Razzie Award), des flash backs horripilants sur l'enfance, un "oh mon dieu, il faut sauver mon enfant", et une happy end à la Disney...
1,0
Publiée le 14 août 2013
NUL !!!!!!!!!!
EST CE BIEN UN FILM DE SCIENCE FICTION ?????
Tellement décevant. Si vous pensez voir de belles images du futur, vous serez très déç film est une pure caricature de monde d'aujourd'hui. C'est un portrait des disparités entre les riches et les pauvres, donc pour un film de science fiction, c'est manqué. Le film ne mène à rien. Le film tombe à plat à cause d'un scénario émasculé. Les pauvres vivent sur une planète foutue, les riches tournent dans l'espace sur une méga-station cinq étoiles. . Mais ce qui devait être une dénonciation de l'exploitation des pauvres par les riches devient une histoire de bedigne-bedagne vue cent fois au cinéma.
Scènes invraisemblables: opération de Damon pour le rendre "bionique" dans une salle d'opération avec son Exosquelette qui ne luis sert a rien ( une idée completement foiré ) , il n est meme pas surhumain !!!!!!!! Niveau scénario ,beaucoup trop de débordement et de revirement de situation qui nuit à la crédibilité du déroulement .Ultra-prévisible, Elysium n'impose pas la réflexion ; il impose plutôt des scènes de combat ( uniiquement de Gunfights, j avais l impression d etre dans un film d action ) souvent inutiles , illisible , brouillonne ........ et la fin digne d un film lambda avec des combats a mains nu ( l idée de l' Exosquelette encore envolé !!!! ) dans un dernier décors anodin , moche sans aucune imagination .........
et pour les scénes de vaisseaux spaciaux , il n y en a peu et rien de révolutionnaire..........
UN ECHEC TOTAL , décidement la science fiction n est plus en grande forme ............
1,0
Publiée le 16 août 2013
Scénario tout ce qu'il y a de plus bateau, aucune surprise, aucun rebondissement, on s'attends à tout, et ce à quoi on ne s'attends pas, eh ben c'est incohérent. Film bourré d'incohérences (je ne parle pas d’invraisemblable mais bien d'incohérence), tellement que j'en aurai pour une heure à toute les citer. Bref, ce film ne se laisse pas apprécier car il sent le travail bâclé et le manque de professionnalisme des scénaristes. La réalisation est plutôt bien faite par contre.
1,0
Publiée le 16 août 2013
Simpliste. Souvent ridicule. Le scenario ne recule devant aucune caricature et incoherence pour un resultat convenu et betement manicheen.
Il faut etre sacrement indulgent pour l'apprecier.
Dommage avec de l'intelligence dans le recit, ce film aurait ete interessant.
Au lieu de ca, sitot vu, sitot oublie...
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 15 août 2013
Les pire réalisation, bande son et effets sonore depuis jesus de nazareth...
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 19 août 2013
Je donne l'excellente note de 1,5 pour un film qui ne les vaut peut être même pas. Ce film reproduit de manière ultra schématique les vieux préjugés démagogiques utilisés par l'extrême droite : le pauvre ou immigrant parasite qu'il faut exterminer d'un côté et les méchants riches snob pourri jusqu'à la moelle de toute la corruption du monde qu'il faut exterminer aussi. Il surfe sur la crise afin de faire le max d'entrée. Tout le long du film on nous rappelle à quel point les pauvres sont dans la merde, les riches dans le luxe, et à quel point les liens entre les deux sont tendus. Le scénario est sans surprise parce qu'il va dans le sens des fantasmes des spectateurs : devenir les riches. C'est l'esprit du film que j'ai détesté, je me suis ennuyé, trop planplan, conventionnel, sans surprises. Niveau personnage, il n'y a pas d'attaches aux héros et donc des scènes-émotions bidon et pas d'explication sur l'origine de la situation.
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