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legrosrageux
56 abonnés
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0,5
Publiée le 23 décembre 2011
Une héroïne surbonne, mystérieuse et fragile traumatisée par son passé, qui se balade en bikini tout le film et qui a un popotin à faire dresser la verge d’un octogénaire. CHECK. Un gentil garçon intello, studieux, vierge et introverti qui va s’affirmer dans l’action et conquérir la belle. CHECK. Un geek maigre, lourd, moche et obsédé. CHECK. Un mannequin blondinet décérébré. CHECK. Un vieux redneck alcoolique pervers qui semble venir d’une grande lignée de consanguins. CHECK. Un badass névrosé avec une cicatrice. CHECK. 2 pétasses complètement nymphos et hystériques. CHECK. LE black de service sportif bien lourdingue avec son accent exagéré et ses vannes moisies. CHECK. Un shérif beauf, attardé mental. CHECK. Des téléphones qui ne fonctionnent jamais. CHECK. Ouf Tout y est, j’avais peur qu’il manque un cliché à ce navet. Je sais pas vous mais moi voir tous ces clichés ambulants réunis dans un film moi ça m’émeut Vous vous demanderez sûrement : mais pourquoi est-ce qu'il va voir ce genre de merde ? Je l'avoue, j’ai besoin de ma ration mensuelle pour soulager mes pulsions rageuses scatophilo-masochiste. Pourquoi ? Voilà la question qu’on se pose le plus pendant tout le film. Pourquoi tout le monde est toujours jeune, beau, bronzé et sexy alors qu’on sait tous que les américains pèsent 120kg en moyenne ? Pourquoi Nick va chercher le bras de son copain ? Pourquoi maya fait du surplace au lieu d’essayer de nager ? Pourquoi le requin va plus vite qu’un jet ski ? Pourquoi les acteurs sont aussi pathétiques ? Pourquoi les 3 débilos font de la téléréalité avec les requins ? Pourquoi le chien est le meilleur acteur du film ? Pourquoi le requin explose après avoir pris un coup de harpon ? Pourquoi c’est toujours le noir qui morfle en premier ? Et surtout pourquoi on se tape un clip de rap pathétique après le générique de fin ? Moi je dirais le cannabis ou les champis hallucinogènes, je vois pas d’autres raisons.
Pour un film d'horreur avec des requins, Shark est franchement décevant, les requins sont presque inexistants, pour toute la durée du film on a dix minutes maximum de présence ce qui est un comble pour un film qui porte le nom de Shark. L'histoire est stéréotypé à mort, on a un groupe de jeune ados qui vont s'amuser dans un coin reculé, et qui naturellement vont être confronté au prédateurs du coin. Avant même la moitié du film on sait qui va vivre et mourir; et de ce coté les attaques de requins sont ratés, aucun suspense, aucune tension, mal filmés, et trop rapides pour que ce soit fun. On aurait pu espérer un peu de gore mais même là, Shark n'arrive pas à assurer, à part un bras arraché sans une goutte de sang, c'est le néant total. Le comble est atteint par le comportement pas du tout crédible des requins, à savoir qu'ils peuvent sauter de plusieurs mètres hors de l'eau, ce qui dessert complétement le film en terme d'horreur. Piranhas loin d'être parfait avait offert sans prétention, ce que les amateurs de films d'horreur été venu chercher à savoir du gore, du fun et des belles filles, Shark est l'antithèse de cela, il nous laisse sur notre faim et nous ferait presque regretter peur bleue.
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1,0
Publiée le 27 avril 2013
Avec mon paternel, nous avons louè en DVD tous les films de requins / tueurs possibles! Par les producteurs de "Hostel", le "Shark 3D" du regrettè David R. Ellis fait parti des moins bons films du genre! Des vacances parfaites à des kilomètres de la côte, un goût de paradis avec des jolies filles au corps de rêve...mais la terreur surgit des profondeurs dans un lac d'eau salèe de la Louisiane: des requin agressifs et ultra affamès (requin blanc, marteau, taureau...). Comment sont-ils arrivès là ? Quelqu'un les y a mis, tout simplement! Rèalisation plan plan et sans relief, scènario conventionnel et mille fois vus, ados caricaturaux (riches et beaux forcèment), mèchants dètectables au premier coup d'oeil, cet ènième film de requins qui veut exploiter la 3D ne brille guère dans son originalitè avec aucune once de tension! Mais comment rèsister devant le joli minois de Sara Paxton qui illumine la pellicule par sa fraicheur! ça ne sauve malheureusement pas ce film de seconde zone où les requins se contentent de dèvorer tout ce qui bougent dans de belles mares de sang! Et tout ça pour notre plus grand plaisir...
On reprend le concept qui l'an passé avait livré le vraiment fun Piranha 3D d'Aja, et on en fait de la belle merde. Bon 3D inutile (comme d'hab), aucune histoire, personnages clichés au possible. Bon alors il y a aussi ça dans Piranha 3D, sauf qu'Aja, sait mettre en scène son film, filmer des gens se faire déchiqueter sans jamais les filmer deux fois pareils. De plus là on est dans le même problème que le récent Destination finale 5, on veut faire croire que c'est fun de voir ces gens se faire buter, sauf que non, on ne donne aucune raison pour le spectateur de les voir mourir, au contraire, ils veulent se marier etc. Bon ce qui choque aussi c'est la débilité des personnages qui vont sur le lac alors qu'ils savent qu'il y a des requins. Des vrais débiles quoi. (pour des motifs débiles qui plus est). Bref on a pas ce regard sur l'Amérique qu'avait Aja, cette volonté de voir ces jeunes siliconé, bodybuildé se faire buter n'existe pas. De plus Aja avait osé foutre un max de seins, de sang. Pour offrir ce lac de sang. Là il n'y a ni gore, ni sein, ni rien du tout. En fait le film reprend les mauvais côté de Piranha 3D, sans le fun. Bref ça n'a aucun intérêt. C'est la version très grand public du film d'Aja et sans le moindre talent. Autant le revoir ou bien voir les dents de la mer.
Une serie B profondément débile mais assumé. C'est très con mais aussi très rigolo a voir. Les effets spéciaux sont bons, les acteurs eux sont...... bref au moins les nanas sont bien jolies et en bikini et pour ce genre de film il en faut pas plus. Et la réalisation est quand même correct. Un bon nanar, 1h20 de rigolade, on passe un moment sympathique.
Que dire que dire que dire ????... hallucinant !! ouais c'est ça hallucinant. De mémoire je crois que c'est le premier film d'horreur que je vois ou quand un type se fait couper un bras, il n'y a pas une seule goûte de sang, ou quand des bombasses sexuelles font les coquines mais tournent le dos à la caméra quand elles se déshabillent mais continue de jouer les chaudes. Je crois que "Shark" en ce sens à inventer un genre à lui tout seul: le film d'horreur pour moins de 10 ans. Bon je vas faire l'impasse sur le scénario, c'est pas ce qu'on cherche en regardant "Shark". Mais j'ai déjà résumé la chose plus haut: pas de sang et pas de sexe. Oui mais les requins ? ben rien du tout. En fait y'a que deux plans de requins recyclé tout le long du film, un ou le requin fonce vers la caméra et l'autre ou il saute. J'ai même pas envie de perdre mon temps à écrire sur ce film, c'est mis en scène façon téléfilm pour SyFy, y'a acune sensation, aucun humour, pas de filles nues, rien, c'est juste crétin. Je dois reconnatre que l'espace d'un instant j'ai eu un doute. Je me suis dit "Tiens ? "Shark" nous ferait réfléchir sur la transgression de la violence et la diffusion des images ?" puis en fait non c'est juste con, mieux vaut se retaper le chef d'oeuvre de Spielberg, "Les dents de la mer" "Pirahna 3D" et découvrir "Pirhanas" de Joe Dante parce que là il n'y a rien a se mettre sous la dent (de la mer ).
spoiler: Propagande de bobo bouffeurs de germes opposés à la recherche sur l'ADN et la recombinaison génétique. Shark 3D est un film obscurantiste qui ignore délibérément (complot de l'église ?) les formidables possibilités offertes par les croisements ADN !
La scène d'introduction assez catastrophique a au moins le mérite d'annoncer la couleur. En ne jouant pas la carte gore,sexe&fun de Piranha 3D, sans doute pour toucher un plus grand public, David R. Ellis a complètement raté son coup. Déjà, pour un film s'intitulant Shark 3D, on ne peut pas dire que les requins soient très présents à l'écran et leurs rares apparitions ne sont pas très convaincantes niveau effets spéciaux. Malgré tout, il faut bien reconnaître que Shark 3D essaye de se différencier des autres films de squales mangeurs d'hommes en faisant intervenir plusieurs espèces et en offrant une explication plutôt originale (mais pas crédible du tout) quant à leur présence dans ce lac. Mais le film enchaîne incohérence sur incohérence et sombre rapidement dans le ridicule (la scène du jeune manchot qui va se battre au corps à corps avec un requin ou celle de l'héroïne coincée dans une cage dont elle pourrait facilement sortir si elle avait l'idée de passer entre les barreaux). Même les meurtres sont très vite expédiés et n'ont aucun intérêt. Quelques seconds rôles parviennent à arracher un sourire ou deux (Donal Logue en shérif déjanté ou l'excellent Joshua Leonard) mais cela ne suffit pas à sauver Shark 3D du naufrage.
Le scénario est original même si le film tombe parfois dans les travers stéréotypés du genre , malgré tout il fait partie des bons films de requins ce qui est déjà pas si mal.
Shark 3D n'est un film à prendre au sérieux, ce que trop de monde ici ont fait. C'est clairement un nanar assumé et très divertissant. Le film ne restera pas dans les annales mais le bon souvenir d'un film pop corn à partager avec ses amis ...
Des films de requins, comme c'est original ! Si au moins le réal de Destination Finale 3D apportait un grain de folie, d'humour noire ou d'originalité mais non un scénario aussi ridicule qu'un chameau sur la banquise, une mise en scène aussi grossière que minable. Un vrai navet à donner à manger aux requins...
Par où commencer ? Scénario risible, jeu d'acteur monumentalement bas, effets spéciaux catastrophiques, véritables clichés ambulants, rien n'est épargné, rien. Dirigé par une équipe de jeunes enfants, ce navet indescriptible raconte comment une bande de copains doit survivre à une attaque de plusieurs requins durant leur weekend au lac (?!!), pour faire dans l'originalité. Entre la bassesse du script et le bide d'or engendré, Shark 3D saura faire parler de lui. Probablement pas comme il le voulait.
On attendait une comédie horrifique sexe-sang-trash dans la veine de Piranha 3D. Malheureusement tout ce qu'on a à se mettre sous la dent c'est le premier degré d'une série triple Z, même pas drôle de naïveté.