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    Belle Épine
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    93 critiques spectateurs

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    No Quarter
    No Quarter

    6 abonnés 439 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 décembre 2024
    Un film sur l'ennui des adolescents et le deuil d'une jeune femme qui est tourmentée par l'absence récente d'un parent. Léa Seydoux apporte son éternel visage boudeur et son regard d'observatrice des mouvements des autres. Mais le film manque de peps, quel que soir le sens choisi. Pas de climax, pas de poésie, pas d'humour, pas de réel drame si ce n'est un accident traité de façon périphérique. Pas très emballant.
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 avril 2022
    Porté par l’interprétation magnétique de Léa Seydoux, un récit d’émancipation sensible et sensuel d’une ado en manque de repères, desservi par un scénario peu captivant.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    108 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2021
    Premier long-métrage de la réalisatrice Rebecca Zlotowski, Belle épine est un voyage sensuel, âpre et onirique qui nous embarque aux côtés de Prudence, éblouissante Léa Seydoux dans le rôle d’une adolescente de 17 ans ayant perdu sa mère, et vivant éloignée de son père et de sa grande sœur. Se démarquant avec succès des codes du film naturaliste, le long-métrage brouille les repères spatio-temporels et se mue progressivement en une œuvre d’ambiance nocturne, à l’énergie évidente, dans laquelle il faut accepter de se perdre et de ne pas tout comprendre. Avec en prime, des seconds rôles superbes (Anaïs Demoustier, Agathe Schlenker, Johan Libéreau, Guillaume Gouix, Nicolas Maury...).
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 707 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 octobre 2020
    Belle épine est une histoire discrète très terne avec un tournage sans signification très faible. Il y a une faiblesse dans les dialogues et la fin du film veut nous surprendre avec quelques événements qui ne répondent pas à l'ensemble du film...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 mai 2020
    Un film qui évoque des thématiques revues maintes et maintes fois, l'enclave de la religion sur l'épanouissement des adolescents, la difficulté de gérer un deuil, ainsi que les émois amoureux de cette jeune jouée par Léa Seydoux.
    Bien que le film soit court il écope de plusieurs longueurs, et la ligne directrice du film semble parfois se transformer en un long chemin sinueux où s'entrechoquent des dialogues monotones qui renforcent le coté pessimiste du film.
    De bonnes idées, mais malgres tout cela donne un rendu pompeux et terne.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2019
    Le centre nerveux de Belle Épine est à chercher dans l’urgence que revendiquent, à chaque plan, les personnages : nous retrouvons la symbolique de la moto, incarnation de la vitesse dans laquelle vibre une liberté pour un temps dérobée à la banalité sordide du quotidien ; moto source de vie mais aussi de mort. Le film déambule ainsi dans une jeunesse aux corps tristes et hantés par la mort d’un proche : quand viennent à manquer une mère ou une sœur, c’est l’entièreté d’une foi en l’existence qui s’envole, ne laissant derrière elle que des éclats. Nous sautons d’un lieu à un autre de la même manière que notre focalisation, portée par Prudence Friedman, se perd dans des amies au visage interchangeable. Voici la course immobile d’une petite fille effrayée qui aimerait devenir grande et qui, par souci de s’intégrer aux groupes de référence dont elle espère obtenir un affranchissement, joue avec le feu. Comparaison de poitrines, partage d’expériences, accumulation des non-dits, sexe. Rebecca Zlotowski construit son métrage comme une longue et assourdissante sirène que la composition musicale de Rob perpétue à la perfection : l’adolescente doit faire face aux métamorphoses de son corps et de ses émotions dans une solitude profonde, subit en elle un état d’urgence permanent. La durée relativement brève de Belle Épine participe à cette urgence qui n’est, en fin de compte, que le cri désespéré qu’un enfant perdu dans la nuit lance à ses parents.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 septembre 2018
    Fuyer !!

    Pour la troisième fois, nous avons décidé d’aller au cinéma de belle épine pour regarder un film d’horreur.
    Et pour la troisième fois impossible de regarder la séance tranquillement (des cris, des rires durant tout le film).
    Malgres des plaintes rien n’a été fait.
    Cinéma trés mal géré !
    ferdinand75
    ferdinand75

    564 abonnés 3 898 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2020
    Un beau film, brut, sauvage, fort. Une jeune fille, Prudence, dont la mère vient de mourir va essayer d’en faire son deuil, par un parcours initiatique semé d’embuches. Elle semble dire à tout le monde qu’elle ne l’aimait pas, mais paraît bien désemparée. Elle vit seule dans l’appartement familial, sa sœur s’étant installé chez la famille d’un copain. Sa meilleure copine ne l’ intéresse plus et elle se rapproche d’un groupe de Bikers qui se retrouve aux Halles de Rungis. Elle veut appartenir à un groupe, s’y éblouir, s’ y perdre, découvrir autre chose. Son rapport aux garçons n’est pas clair, peu d’expérience , pas concluantes. Les discussions sur le sexe avec sa meilleure copine ( Demoustier ) , puis avec sa nouvelle amie bikeuse, l’aident à libérer sa parole. Elle couche avec des bickers mais n’arrive pas a en retirer grand chose, insatisfaite sentimentalement et sexuellement. Elle est finalement rejetée du milieu Biker , et comprendra enfin le sens de son parcours .La scène finale de retrouvailles avec sa mère est absolument formidable, émouvante, (tournée avec la vraie mère de Léa Seydoux). Elle lui avoue enfin son amour, et met son sonotone pour écouter le sirènes de banlieue, comme un hommage tardif, un geste d'amour filial . Le milieu de ces jeunes gens est très bien filmé ;avec un réalisme social rare, une vraie justesse dans la description de ces milieux populaires, un peu marginaux, de cette jeune fille paumée. Cela sonne juste. Une composition formidable de Léa Seydoux, probablement son meilleur film, car elle a du allé chercher au fond d’elle même ce personnage, loin des rôles de JF Bobos qu’on lui propose souvent . Elle est excellente , tragique , désespérée en quête d’amour. Un second rôle impeccable pour Anais Demoustier , comme d’habitude, et les scènes communes avec Seydoux ,sont un régal :deux des meilleures actrices de leur génération qui partagent de très belles répliques. La présence de Guillaume Gouix , jeune espoir français , toujours très bon , que l’on vient de revoir dans le très beau « Les anarchistes » . Beaucoup de scènes très poétiques, de nuit à Rungis, des belles couleurs , des noirs intenses,traversés par des flash rouges carmins, la description des petits métiers des Halles, l’arrivée au petit matin sur une plage normande, autant de très beaux moments de cinéma. Dans un style parfois néo expressionniste . Rebecca Zlotowski fait preuve d’un très grand talent, à la fois par son esthétisme original et par une direction d’acteur très maîtrisée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 juin 2014
    Bonne élève de la Fémis, elle s'accompagne ici d'un premier film qui sert une histoire intéressante mais un peu lassante.
    On sent un immense désir chez cette réalisatrice, scénariste de formation, de faire un portrait sur une jeune fille tourmentée ayant perdu sa mère, vivant dans un univers de béton armé, dans les années 70. Sur le papier l'idée est intéressante et fondamentalement cinématographique. A l'écran les ingrédients techniques sont maîtrisés, entre une lumière très réfléchie vis-à-vis de l'époque où l'histoire est censée être tournée (merci à ses amis chef op de la Fémis) et les émotions de cette jeune fille, amère et mélancolique; mais aussi par la présence visuelle (et on commence à le savoir dans le cinéma français) du visage éminemment cinématographique de Léa Seydoux.

    Ce film s'ouvre et ne s'ouvre qu'avec et sur les destins de jeunes filles-adultes. La mort de la mère de Prudence plane.
    On attendra assez longtemps avant de percevoir la présence masculine, d'abord en entendant le père au téléphone, puis lors du repas de Sabbat chez son oncle et sa tante, où là, la figure paternaliste côtoie la figure religieuse. Incarné de manière rigide et masculine par l'oncle, alternativement efféminé et interrogatif par le cousin, qu'on reverra par la suite. Ce n'est qu'à la moitié du film que l'on voit enfin les hommes, tant convoités par cette jeune fille: en groupe, en meute sur le circuit de Ringis.
    D'un corps masculin suprême et unique, syncrétisé autour d'une table pour le repas religieux, on passe à un corps collectif masculin que la jeune fille désire et qui se montre à l'écran par un passage tumultueux dans la forêt.
    Seul l'homme, le vrai, celui qui prend des risques sur les circuits de moto, celui qui sent le cuir à son blouson et qui fait claquer le son du casque sur le métal de sa moto, n'a d'égard pour ces jeunes filles. C'est le point de vue d'un désir féminin pour le phallus des circuits qui est timoré dans ce récit. Ce point de vue sur les hommes reste intéressant, dans une époque où les femmes commençaient à pleinement jouir de leur liberté de ton et de parole, et allaient petit à petit se mêler à l'univers des hommes.

    Mais voilà le récit s'allonge et le temps qu'on a déjà passé à observer cette jeune fille se prolonge sans renouvellement. Un récit travaillé qui manque de renouvellement interne. Le simple fait de filmer Léa Seydoux devient un prétexte, tellement le visage de cette actrice, éminemment intéressant, suscite l'intérêt, voire devient le socle sur lequel repose le film et son intrigue. L'actrice devient un prétexte cinématographique supplémentaire dans ce film chargé de vocabulaire cinématographique. Le scénario, l'image, l'actrice. Un exercice rondement mené, qui nous encourage à suivre cette réalisatrice, mais à laquelle on reconnaîtra son premier film comme bienveillant et prometteur mais surtout scolairement cinématographique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 avril 2014
    J'ai l'impression que plus on fait un film ennuyeux et incomprehensible et plus la critique seras dytimrambique sur le réalisateur. Je n'ai absolument rien contre une certaine lenteur ou une narration assez évasive, mais seul les bons réalisateur savent faire un film de la sorte sans tomber dans l'ennui et le vide scénaristique. Ce film est, comme bien d'autres, une carricature, il se camoufle derrière un style cinema d'auteur pour cacher son absence de contenu. On ne comprend rien, c'est confu et on ne cherche même pas à comprendre car c'est ininteressant au possible. Je prefère regarder un navet qui annonce vite la couleur plutot que de tomber de plus en plus souvent sur ce genre de film qui laisse espérer un début d'originalité avant de révéler sa vraie nature.
    scarves
    scarves

    2 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mars 2014
    Le film dure 1h20, mais ça m'a semblé long, très long...j'ai l'impression que tout aurait pu être résumé en 25 min! Ce film a fait sur moi l'effet d'une berceuse...
    Marc G
    Marc G

    4 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2014
    Bon film de 2010, même si un peu court soit, mais ce n'est pas vraiement un film qui cherche à draguer son public mainstream, nan ici même les beaux quartiers ont le blues des dimanche matin de gueule de bois , c'est plutot un film "tire-tignasse" à la "je t'aime moi nan plus" (qui se situe apparement au début ou milieu des 80s) avec son ambiance aux couleurs un peu terne et urbaine qui se prete bien à ce scénario là...
    C'est pas un film sponsorisé par le clown Ronald, ici les ados ils n'ont pas de sourires niais couleur sauce barbecue et Minaj sur leurs mp3 ...mais ici les djeuns sont en mode becane hurlante & assez rock'n roll (à une époque ou cela voulait encore dire vaguement quelque chose) surtout le rôle centrale du film (Léa Seydoux) , 17 ans, âge ou parfois le (dé)goût de l'amour et de la mort s'entre-mele dans un corps à corps idealement motorisé, oh! tarés éffarés de phares aveuglants, brisés fumant sur l'amertume bitume écharpée de la vie...
    Mais bien sûr l'adolescence n'explique pas tout, elle a de "bonnes" raisons de s'écorchée à son sort...elle s'en fout...sacrée tête à claque, fille privilégiée, on veut lui filer une baffe et puis l'étreindre la rassurée...et lui demander si ce goût du vide, ça se soigne ?
    Et enfin le titre du film en lui même parle si bien, il met dans le mille, comme un subtile oxymore, la finesse ça pique, comme quoi les épreuves de la vie peuvent parfois nous faire déraillé en toute beauté.
    Un peu comme si dans une scene du "Crash" de Cronenberg on écoutait les Clash...ou non que dis-je plutot Barbara Streisand :-)
    Léa Seydoux est bluffante dans la dernière scène du film, cela sonne si juste, c'est désarmant , comment fait-elle ?
    Jonathan M
    Jonathan M

    135 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2013
    Rebecca Zlotowski nous offre un premier rendez-vous frais, limpide, bref et puissant. Le rôle principal fait état d'une jeune fille qui ne fait point le deuil de sa mère. On peut dire que Léa Seydoux campe son premier rôle de cran. On est perturbé par la naïveté des personnages et une mise en scène concise, pas lourding, peu évocateur… Quelque chose de nouveau qui fais plaisir à voir.
    Viintage_dreams T.
    Viintage_dreams T.

    39 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 décembre 2013
    Anaïs Demoustier a-t-elle le don de jouer dans des films de merde?
    Je n'ai même pas regardé le film jusqu'au bout.
    jolaclass
    jolaclass

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 août 2013
    Film plat, sans relief aucun, saupoudré de scènes ludiques sur le judaïsme completement ridicules et totalement gratuites. Limite propagandiste. Le jeu de Leà Seydoux est aussi riche qu'un cheminot dans les annees 30 et la mise en scène glauque a souhait. Les acteurs secondaires, dont Gouix et Libereau font partie, auraient pu mériter plus de temps de jeu. On frôle le néant, pour le nirvana on repassera.
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