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L'homme le plus classe du monde
325 abonnés
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4,0
Publiée le 13 avril 2013
Difficile de se dire que c'est Luc Besson, symbole du cinéma mainstream tendance bas du front (dans ses productions, surtout), a réalisé un film aussi couillu. Faire un film post-apoalyptique, en noir et blanc et dont les seuls dialogues sont des grognements, il n'y a difficilement plus rebutant auprès d'un spectateur lambda. Mais l'originalité de ce projet ne peut que susciter l'admiration, qui plus est lorsque l'on sait qu'il a été réalisé avec un budget minuscule. Une belle performance qui rappel un peu Mad Max 2, tendance cinéma d'auteur. Une curiosité cinématographique à voir absolument !
Le tout premier long-métrage de Luc Besson, et pas des moindres : un film français de science-fiction post-apocalyptique muet et en noir et blanc, s'il vous plaît! Dans la forme (la mise en scène, les décors, la photographie,...), Le Dernier Combat est excellent et original, mais c'est moins le cas pour ce qui est du fond ; le scénario est brouillon, et bien que ce film muet nous incite à comprendre l'histoire par nous-même, ça reste un peu creux, en particulier vers la fin. Cependant les acteurs jouent bien et rendent leurs personnages sympathiques (En l'occurence le trio Jolivet/Bouise/Reno), les scènes de combats, de moments comiques et/ou bizarres parsèment le film, on voit déjà ce qui sera la touche Besson. Voilà donc un bien drôle d'ovni du cinéma français réalisé par Luc Besson à ses débuts, moins abouti que ses réalisations surtout celles datant des années 1990 mais mieux que ce qu'il fait comme film ces dernières années...
Un pari audacieux pour un film hors du commun, en Noir et Blanc, réalisé par Luc Besson. Le scénario coécrit avec Pierre Jolivet est alambiqué, noir, fantastique. Le jeu des acteurs, lui aussi est fantastique : Pierre Jolivet est époustouflant et Jean Bouise excellent. Jean Reno, que l'on voit moins, est néanmoins bien présent. La mise en scène millimétrée est efficace. Sur fond de décor apocalyptique, les effets sonores et la prise de son se révèlent grandioses ; dès les premières notes, on reconnait la bande musicale géniale d'Eric Serra. Le pitch : Dans un pays dévasté et une ambiance dantesque, des hommes luttent pour leur survie...
C'est dans l'absence totale de mots et la destruction humaine monochrome que Luc Besson fait ses premiers pas avec LE DERNIER COMBAT. Son parti-pris radical tend à s'essouffler lorsque l'atypique musique d'Eric Serra envahit outrancièrement l'ambiance, tout comme le récit se voyant emprunter des sentiers sinueux voire triviaux - bien que propres aux enjeux de ce monde virilisé. Mais cette naïveté qui exhale de ce pessimisme persistant se révèle presque poétique, à l'image du personnage touchant du médecin (fantastique Jean Bouise), vecteur des espoirs et en lutte perpétuelle contre l'ombre massive de Jean Reno. Funèbre et fredonnant, LE DERNIER COMBAT est une tentative de cinéma audacieuse à trois francs six sous, coup d'essai réussi d'un jeune cinéaste bourré d'idées.
Le tout premier long-métrage de Luc Besson est un OVNI décalé qui peut sembler long à cause de l'absence totale de dialogues mais j'y vois une franche réussite. Tout est basé sur le visuel, la symbolique de l'image et la psychologie des personnages. Des cadrages superbes, travaillés.
Avec son premier film Besson veut réaliser une chose de différente des autres films,son idée ne pas faire prononcer un mot de tout le film à ses acteurs. Il croire tenir là une superbe idée,seulement pour réaliser ce genre de chose il faut pour le mener à bien un énorme bagage cinématographique ce que n'a pas Besson. Ce pauvre film tourne en rond sans aucune maitrise ni écriture digne de ce nom impossible de faire autrement. C'est une première tentative est une bien médiocre que ce dernier combat.
Histoire sans paroles post-apocalyptique autour d’un survivant. Le premier long-métrage de Luc Besson, filmé dans un noir et blanc certes esthétique, provoque rapidement un ennui sévère.
Ce premier long-métrage de Luc Besson est de très loin le film de la carrière du réalisateur qui présente les meilleurs dialogues. On voit bien à travers ce "Dernier Combat" un jeune cinéaste ambitieux qui veut absolument se faire remarquer : pas une syllabe de prononcée pendant tout le film, noir et blanc, décor en ruines apocalyptiques (de loin l'aspect de la mise en scène le plus réussi avec l'avion de fortune !!!) et scénario qui tiendrait sur un timbre-poste (déjà grande spécialité bessonnienne !!!). Il faut ajouter à cela une direction d'acteurs qui se distingue par sa lourdeur (deuxième grande spécialité bessonnienne !!!), une musique d'ascenseur (troisième !!!), une absence totale de profondeur (quatrième !!!) ; et cela fait une œuvre très chiante d'un type qui se prenait, et se prend toujours, pour un grand.
Un film magnifique et esthetique. Besson nous emmène dans un monde post apocalyptique où le silence, le desert, le soleil et les ruines de la civlisation sont les seuls vestiges d'une humanité en voie d'extinction... Le tout accompagné sur un fond de musique composée par Eric serra. J'adore !!!! Filmé en cinemascope noir et blanc, un grand film des années 80.
Une sorte de mad max à la française étonnant ! Il n'y a pas de dialogues, en noir et blanc et des décors vraiment biens. L'histoire est originale et c'est oppressant ! On sent déjà la pâte qui fera son succès. Un film rare que peu connaissent. 1er long-métrage du George Lucas français !
Un film assez remarquable où le génie originel de Luc Besson éclate avec brio. Malgré un budget de trois francs six sous, le cinéaste fait montre de tout un tas d'idées géniale et soigne ses décors, sa lumière, sa mise en scène, mais surtout ses personnages. Cette galerie de survivants est fascinante et les acteurs sont vraiment à la hauteur.
Ce film là, je l'ai decouvert par hasard en zappant sur les chaines de television, c'est le premier film de Luc Besson, sur un futur chaotique ou les hommes ne peuvent pas parler, ou le monde est tombé dans la misere et le desaroit, se nourrissant de poisson tombé du ciel comme la pluie (rire). Sur une musique envoutante d'Eric Serra et co-ecrit et interpreté par Pierre Jolivet, Luc Besson marque sa patte et son genie du visuel avec ce moyen metrage. A noter aussi de remarquables acteurs qui feront du chemin avec le réalisateur, Jean Bouise ( oncle Louis dans "Le grand bleu", c'est lui) et Jean Reno. Un film a voir
Le premier film de Besson à l'époque où il était encore capable de faire des bons films. Pas de dialogues mais une ambiance soulignée par la musique d'Eric Serra, la mise en scène en noir et blanc et les décors. Comme toujours chez le cinéaste, ce n'est pas le scénario qui brille mais la façon dont il est mis en scène. Les acteurs sont excellents.