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Synopsis
Trois millions d'informateurs ont envoyé des lettres de dénonciation. Ce film, par le témoignage de victimes et de leurs parents, d'historiens et de psychanalystes, fait part de nombreux cas et de certaines pratiques pendant cette époque noire. Ce documentaire permet aux spectateurs de mieux connaître ce qui s'est passé en France durant l'Occupation.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Avec La Délation sous l'Occupation, André Halimi réalise son deuxième documentaire ayant pour cadre la France de l'Occupation, le premier étant Chantons sous l'Occupation (1976) sur l'attitude des artistes français en temps de guerre.
D'abord conçu pour la Cinquième
André Halimi a réalisé en 1998 un documentaire pour la Cinquième, intitulé La Délation sous l'Occupation. Incité par de nombreux confrères, dont Henri Amouroux du Figaro, Françoise Giroud du Nouvel Observateur, Alain Riou du Télé Observateur, le journaliste et écrivain a souhaité développer le sujet en réalisant ce documentaire cinématographique et en écrivant un livre portant le même titre. La conception du film a pris deux ans, le temps pour le
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Le soutien de nombreux historiens et résistants
Durant ses recherches, André Halimi s'est adjoint les services de nombreux historiens et résistants parmi lesquels Jean-Marc Berlière, historien de la police, Serge Wolikow, professeur à la faculté d'histoire de Dijon, Stéphane Courtois, auteur du "Livre noir du communisme", et Raymond Aubrac, résistant et Commissaire de la République en 1944.