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    La Balade sauvage
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    3,8
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    209 critiques spectateurs

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    Cinephille
    Cinephille

    155 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2011
    Il est très intéressant de voir ce premier film de Terence Mallick, seulement maintenant, après avoir vu les 4 autres. On est frappés de voir que tout le cinéma de Mallick y est déjà présent, amorcé, que la mise en scène est déjà totalement maîtrisée. J'ai toujours pensé que la consistance d'une oeuvre tient à la consistance de l'obsession de l'artiste ; ces films en sont un exemple de plus et pas des moindres. Le scenario tient en deux ligne d'un fait divers sanglant qui aurait pu aussi bien être mis en scène par Tarantino par exemple. Mais Mallick déjà, questionne les notions de destin, d'humanité, de choix. Mallick déjà montre la dualité entre l'innocence et la nature belle et violente, Mallick déjà montre que chez tout être très sombre il y a de la douceur et de la lumière et que, chez tout être lumineux il y a de la noirceur.
    On a beaucoup parlé de la Fureur de vivre à propos de Badlands. Personnellement j'ai été frappée pendant tout le film, par sa parenté avec l'Epouvantail de Schatzberg. Les personnages de Martin Sheen et d'Al Pacino sont proches à beaucoup d'égards. Les deux acteurs, au début de leur carrière respective, incarnent à la perfection leur personnage. Et tous les deux sont magnifiquement mis en valeur par leur partenaire, Sissi Spacek ici, Gene Hackman pour l'Epouvantail.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 juin 2011
    Un film époustouflant à la fois pour sa "fluidité" scénaristique, l’esthétique de sa photographie et le jeu des acteurs.
    Un thème de "premier film" maitrisé pourtant de bout en bout, celui-ci n'est pas sans rappelé le Bonnie & Clyde d'Arthur Penn (couple atypique, qui se retrouve dans la violence...) et la Fureur de Vivre (ressemblance physique et psychologique entre les deux personnages joués par James Dean et ici Martin Sheen).
    Une écriture parfaite qui donne une réelle profondeur aux personnages principaux, incompris et marginaux qui subissent les péripéties et agissent avec une froideur stupéfiante et saisissante.
    Ce film s'inscrit dans cette époque du "New Hollywood" tout en gardant son originalités, son ton et sa saveur propre.
    doc-parnassus
    doc-parnassus

    5 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juin 2011
    Le premier film de Terrence Malick est loin d'être un coup d essai. La maitrise est déjà présente, le déroulement du scénario est parfait, une histoire d'amour entre deux personnages en fuite aux allure de road movie qui donne son charme et les beaux paysage texans et du dakota donne encore plus de cachet au long métrage. On se laisse
    facilement prendre au jeu des 2 amoureux, leurs besoins de survie surprenne malgré le fait que nous sommes en leurs compagnie du début jusqu'à la fin. Bref un film touchant qui ne manque pas d'ingéniosité et nous rappelle aux bons souvenirs de l'amour que porte Malick à la nature.
    oneosh89000
    oneosh89000

    38 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juillet 2011
    Première réalisation de Terrence Malick, "Badlands" raconte l'histoire d'un road movie meurtrier d'amants criminels lancés dans la cambrousse américaine synonyme d'agriculture détruit par l'érosion,terres que traversent leur personnages. Tiré d'un fait divers établit, le film se démarque surtout sur la base de l'innocence perdue représenté par le couple à l'écran avec d'une part la folie de l'homme et l'insouciance de la jeune fille. Le réalisateur a par ailleurs fait un très bon choix de casting en employant Martin Sheen et Sissy Spacek. Malick pose les fondements essentiels de ses futures oeuvres, l'innocence dans un monde qui ne peut l'être ainsi que la puissante idolâtrie américaine qui se reflète sur la personne pour se donner une valeur (ici ce sera James Dean). Un bon premier film en somme pour ma part, qui personnellement m'a dérangé dans la structure des dialogues et des situations par moments.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    109 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2011
    Ce n'est pas la palme d'or mais le coquillage d'or (San Sebastien) qu' avait reçu Terrence Malick pour son premier film en 1974. Dès ses débuts, il fait preuve d'une maîtrise formelle et d'une sensualité étonnantes. Martin sheen en clone de James Dean et la jeune Sissy Spaceck (deux ans avant Carrie) forment un couple avide de liberté et de grands espaces. Le rêve (américain) va cependant virer au cauchemar lucide et la balade sentimentale devenir sauvage, belle et rebelle. Nous ne sommes cependant pas dans True Romance ou Natural born killer, chez Malick on trouve de la douceur même dans la violence. Les acteurs, la voix off féminine, la musique accompagnant les séquences splendidement filmées et éclairées: tout cela contribue à en faire un film culte ayant inspiré un nombre considérable de cinéastes. La lucidité désabusée l'emportera au final sur la passion amoureuse, mais le mythe sera né.
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2014
    C'est vrai que Martin Sheen à la classe dans ce premier film de Malick qui fait déjà part de son obsession pour les grands paysages et toutes les merveilles de la nature. Bien que ce film soit plus linéaire que les autres, peut-être un peu moins poétique, et surement plus violent : ce film me rappelant "True Romance" "Tueur nés" et bien d'autres. La BO est géniale, le thème principal me rappelle étrangement "You're so cool d'Hans Zimmer" et le couple Spacek/Sheen fonctionne à merveille.
    Un bon premier film qui annonce un grand réalisateur.
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2011
    Bon, globalement c'est pas mal mais c'est vraiment pas mon genre de film. Au niveau de la mise en scène, c'est plutôt bien filmé mais on est tout de même loin des films récents de Terrence Malick (cadrage, photographie etc. tout est quand même moins réussi que dans ses derniers films). Après le problème du scénario c'est que même si c'est inspiré de faits réels, on a du mal à comprendre certaines actions des protagonistes, du coup ça sonne parfois très faux (bizarre pour un film inspiré de faits réels...).
    Cohle.
    Cohle.

    52 abonnés 1 012 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2011
    Le style de Malick, si atypique, est présent et reconnaissable dès son premier film. "Badlands" nous entraine dans un genre de road-movie, complétement inspiré de l'histoire de Charles Starkweather et Carol Ann Fugate ce couple d'adolescent qui a tué 11 personnes aux U.S. en 1957. Romancé, Malick s'attarde sur la psychologie du jeune raté, totalement en marge, car si l'on sent dualité du bien et du mal s'affrontant dans la genèse du film, il sombre vite dans la violence totale. Une gueule d'ange interprété par ce géant qu'est Martin Sheen, qui est vraiment surprenant, il est suivi par Sissy Spacek dans le rôle de Fugate, la petite amie, une enfant, qui suit cet homme plus par dépit que passion, qui n'a pas l'air de disposer de tout son esprit non plus. Malick nous fait profiter de magnifiques paysages, ponctués par une bande original sublime, ou par une narration ponctuelle et grandiose.
    Guillaume182
    Guillaume182

    130 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2011
    Kit et Holly sont amoureux l'un de l'autre malheureusement le père de la jeune fille est un obstacle pour leurs amours.

    Tous les deux décident donc de s'enfuirent pour être libre et vivre dans la nature.

    Deux personnages fascinant, ils sont tourmentés, pleins de questions, ils ne trouvent pas leurs places dans la société.

    Il partage le même sentiment de rejet.

    Kit veut devenir célèbre et se construit une légende et Holly souhaite simplement qu'on s'intéresse à elle.

    Dans un premier temps après un premier meurtre tout de même, ils vivent en parfaite harmonie avec la nature, mais les bonnes choses on une fin.

    La ballade Sauvage montre un autre visage de l'Amérique profonde, il est aussi une belle critique.

    En effet la chasse au communiste y est évoqué, la paranoia des Américains et leurs culture qui consiste à glorifier les criminels.

    Kit est d'ailleurs un très bon exemple de l'aliénation.

    Premier Film et premier chef-d'oeuvre pour Maître Malick.

    Qu'est-ce que j'aime ce cinéma, un cinéma expérimental, un cinéma libre de toute convention et loin de la corruption des gros producteurs, un cinéma rebelle, un cinéma de poésie, un cinéma d'auteur tout simplement.

    Car maître Malick fait partie des rares créateurs du cinéma moderne quand d'autres ne font qu'adapter des histoires tirés de livres ou de nouvelles certains comme lui ou encore godard chez nous crée quelque chose d'authentique et de beau.

    Il est le réalisateur, le scénariste et souvent le producteur, il est perfectionniste et ne ce soumet jamais aux idées des autres et c'est aussi pour cela que je l'admire tellement.

    Mais je l'admire surtout pour ses chefs-d'oeuvre qui bien que le temps passe ils restent toujours aussi fascinants.

    La ballade sauvage est un des plus grands chefs-d'oeuvre du cinéma mondial.

    Epique, émouvant, fascinant.
    Un scénario génial.

    Une mise en scène à couper le souffle, de grands espaces incroyables.

    Il n'y a qu'un mot à dire: MERCI.

    Pas besoin d'écrire un roman, Maître Malick nous fais rêver dans son film le plus épique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 avril 2011
    A l'heure où le cinéma de Malick s'enfonce dans un mysticisme New Age peu ragoûtant, il faut revoir cette merveille de sensibilité.
    ClockworkLemon
    ClockworkLemon

    24 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 avril 2011
    Premier film d'exception pour Terrence Malick. Chef d'œuvre absolu sur le concept de la liberté, à travers l'épopée romantique, dramatique et violente d'un jeune couple américain, que tout semble pourtant séparer.
    Ce film est unique, par son esthétisme et son scenario en l'apparence simple, mais d'une originalité sans nom, notamment par la personnalité de Kit (interprété par un Martin Sheen exceptionnel). Film lyrique , poétique, mais aussi engagé, sur la liberté, l'émancipation, le refus d'une société et la volonté de vivre, tout simplement..
    Visuellement déjà sublime, l'ensemble du film annonce l'œuvre future du grand réalisateur. Tout y est, que ce soit la poésie de la narration (d'ailleurs toujours en voix off d'un personnage clé de l'histoire), la beauté de la musique, l'obsession de la nature, du ciel, et de la liberté...
    Un grand Malick qui est sûrement, pour l'instant, avec "Days in Heaven", son meilleur.
    Noistillon
    Noistillon

    80 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2011
    La Ballade Sauvage cultive une véritable fraîcheur, une suavité et une fougue remarquable, malgré la froideur d'un tel sujet. Terrence Malick signe moins un polar dramatique qu'une ode à l'adolescence, à ses passions, ses possibilités, ses rêves et ses frustrations. En constant décalage, le film s'étoffe sur le portrait amoureux de Kit et Holly. L'un vit dans l'illusion et l'hédonisme, l'autre émet un certain nombre de réserves mais n'en demeure pas moins passionnée. Et c'est bien là où Malick fascine le plus : cette perpétuelle recherche de la nuance et de la subtilité dans l'intrigue amoureuse est incroyable. Les protagonistes, que le cinéaste donne à voir, sont d'une complexité rare et d'une profondeur étonnante, d'autant plus qu'ils sont incarnés par un Martin Sheen, qui trouve simplement son meilleur rôle, et une Sissy Spacek tout en charme et en candeur.

    Ce premier film de Terrence Malick est un travail d'esthète : le réalisateur s'attache à reproduire le plus fidèlement possible les moeurs adolescentes, et son portrait est d'une rare justesse. L'ensemble est amplifié par la beauté des paysages, qui servent de cadre à cette fable presque surréaliste.

    Le cinéaste, qui vient s'enchaîner deux mauvais films coup sur coup (une catastrophe avec Le Nouveau Monde et la déception Tree of Life) prouve donc qu'il a un grand talent à revendre.

    Première étape de réconciliation avec Terrence Malick ? Possible ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2011
    Très bon premier film de Terrence Malick, qui aborde avec un brio sans failles l'aventure de deux êtres aimants, Kit (Martin Sheen, révélé par ce rôle), et Holly (Sissy Spacek, quasi pareil). Bon c'est une histoire, malgré tout, courante, dont on trouve les prémisses dans le mythe Bonnie and Clyde, repris entre autres par Spielberg (la même année que ce Malick, d'ailleurs), puis par Stone dans Tueurs nés (sous l'impulsion du scénariste Tarantino) - je crois qu'on a un peu tort d'identifier ces films avec Kalifornia, c'est un peu différent, mais bref. Voilà le topo archi-connu donc : un couple, amoureux jusqu'à la folie, quitte tout et s'adonne à un massacre criminel. Bon cela dit, il y a le mythe, et puis y a le film en question, La balade sauvage donc (soit dit en passant, extrêmement mauvais titre, et à la limite, on aurait pu garder l'équivoque de "ballade", étant donné l'importance de la musique par rapport au texte narratif, mais là, je m'emballe, avec deux l). Bref, Malick nous livre là une partition à mon avis quasi-parfaite, parce qu'il traite cette folie monstrueusement criminelle non pas à la manière d'un Tarantino-Stone, c'est-à-dire dans l'hémoglobine, le coulant et l'excès de tout ce qu'on peut imaginer, violence, brutalité aussi bien visuelle que morale que sonore que... Bref donc Malick choisit non pas la voie de la transgression dégoulinante, mais celle de la beauté, de l'esthétisme, de l'art pur. Et là, c'est très très fort, tout de même, pour un premier film, d'arriver à un tel travail sur la forme, sur l'image et la lumière (genre le mec vire deux responsables photo pour arriver à ce qu'il veut avec le troisième). Et cette volonté de beau, ou ce refus du subversif, se manifeste jusque dans la relation des deux amants : pas de sexe, pas de vulgarité, pas de mocheté, rien qu'une sorte d'amour thétique, exclusivement positionnel, qui donne à la proximité (mais avec nécessité d'une distance) la primauté sur le contact. On pourrait évidemment parler d'amour platonique, si l'on confondait tout et que l'on ne comprenait rien à ce qu'est vraiment l'amour platonique (chez Platon, je veux dire).
    La narration posée a posteriori par Holly sur toute cette aventure, mêlée à la musique choisie avec une intelligence rare (on parle souvent d'un parallèle Kubrick/Malick, je crois que là en tous les cas c'est assez juste : une musique classique, ici du Orff ou du Satie, très légère, et ce encore davantage que chez Stanley, se pose sur l'image, et prend petit à petit de l'importance, jusqu'à porter cette image, jusqu'à la vaincre, la guider avec une spiritualité qu'on ne trouve que très rarement), fait de cette Balade sauvage (non seulement une ballade, donc, mais aussi et surtout) une oeuvre d'art à part entière : le texte, les mots, le langage, vocalisés, entrent en harmonie avec les notes pluvieuses d'Orff, et tout ça, évidemment, baigné dans les images absolument fabuleuses que Malick arrive à peindre (le thème de la peinture dans le film, qui accrédite encore davantage l'hypothèse d'un art total, est présent avec la figure du père de Holly). Je dois avouer que le rendu est vraiment réussi, enfin bref, c'est beau quoi : on croit voir des poèmes animés, une sorte de poésie cinématographique, et pour ça tout est réfléchi : le rythme, les césures, les événements, les rimes et les silences.
    Bon sinon tout un tas d'autres thèmes, comme bien sûr celui de la folie : doit-on dire que Kit est fou, qu'il a complètement perdu la raison, qu'il ne sait tout simplement pas distinguer le bien du mal (grâce au ciel (magnifique, dans La balade sauvage), on échappe à une réflexion stupide sur le Bien et le Mal, pourtant bien présente, voire omniprésente dans Tueurs nés), ou doit-on supposer plutôt que Kit, anéanti par la vie sociétale, ne veut plus que vivre, qu'expérimenter, qu'intensifier ? Bref, à l'horizon de cette poésie magistrale, un vieux fond de folie, qu'on ose jamais résoudre. Saloperie d'alternative, excellemment traitée ici parce que simplement esquissée : folie/intensité/perte de soi VS raison/ennui/identité. Enfin de tout façon, il ne faut pas parler de fuite des deux amants, il ne faut pas parler de folle échappée : il n'est pas question de cela, mais d'une exploration, d'une tentative/tentation, d'une recherche sur les possibilités vitales et relationnelles. Bref ce n'est pas encore une question morale, c'est une question d'intensité, complètement amorale, par-delà bien et mal (le film insiste énormément dessus en optant pour un pur esthétisme contre un pur moralisme : ce qui importe Malick, c'est l'apparence, ce n'est pas la norme morale). C'est d'ailleurs pour ça que le titre est fâcheux, voire mauvais : il n'y a pas un retour fou à une animalité inconsciente de la part des deux amants, mais une recherche entièrement consciente d'intensités vitales... C'est du très lourd, je mets 17/20.

    Et bien sûr, toutes les critiques sur le Tching's cine :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 mars 2011
    Un GRAND FILM , un grand martin sheen une grande histoire une réalisation majeur dans la filmo de malick qui signe un chef d'œuvre
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 mars 2011
    Le premier long-métrage de Terrence Malick il y avait déjà tout ce qui fait le style Malick de nos jours. Une photographie excellente, une bande son remarquable et évidemment un scénario où tout est dans un ressenti presque mystique.

    Il filme l'escapade des deux tourtereaux comme un film romantique léger et c'est là que c'est déconcertant car on assiste presque malgré nous aux agissements de ce que nous appèlerions un sociopathe, et finalement le constat est le même, mais dans une moindre mesure, pour Holly qui semble le suivre de manière distante, presque insensible à ses agissements.

    Dans la peau de Kit, ne se souciant pas plus de la mort des autres que de la sienne, la vie ne semble être qu'un jeu auquel il semble prompt à s'en lasser. J'y verrais presque un hommage à l'homme libre.
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