Dans le film "Le Huitième jour", deux hommes de mondes très différents se rencontrent : un homme d'affaires, Harry, et un handicapé atteint du syndrome de Down, Georges. Malgré son succès professionnel, Harry n'est pas un homme très heureux. Chaque jour il va au travail déprimé et ses relations familiales vont mal aussi : il est séparé de sa femme Julie. George n'est pas heureux non plus, il vit dans une institution et attend toujours de sa mère,
mais elle est morte depuis longtemps.
George s'échappe de l'institution à la recherche de sa mère et se retrouve sur la route où Harry a une collision avec lui. D'abord, Harry essaie de le ramener à l’institution, mais après plusieurs essais sans succès, il décide de le loger dans sa villa. Ils vivent beaucoup de choses ensemble et établissent un lien très fort.
Au début, Harry était un homme d'affaires ennuyeux, mais après avoir rencontré George, il a complètement changé. Il essaie de se remettre avec sa femme et ne se plaît plus dans son travail de banquier.
À la fin, George se suicide parce qu'il a finalement pu profiter de la vie.
Ce film montre très clairement que les personnes atteintes du syndrome de Down, ne sont pas des personnes inférieures et qu'elles peuvent tout faire comme tout le monde. Surtout : ils ont aussi des sentiments, comme la tristesse, et des désirs. Il y a beaucoup de choses qui les rendent heureux. La fin de l’histoire est triste, mais belle aussi, parce que tout le monde a trouvé son bonheur et sa liberté.
Moi j’ai beaucoup apprécié le film, que je recommande à tout le monde, les jeunes et les moins jeunes. Je trouve incroyable que l'acteur effectivement atteint du syndrome de Down puisse jouer son rôle très bien. Les personnes comme Georges sont capables de vivre comme les autres. C’est une belle idée que Dieu a créé le monde en 7 jours et les personnes avec le syndrome de Down un jour supplémentaire, qui n’existe pas, le 8e jour.
Bien sûr j’ai aussi quelques remarques moins positives : le film est assez lent et certaines scènes ne semblent pas très réalistes,
par exemple la sortie avec un autocar volé de Georges avec ses amis au parc d’attraction à la mer.
Mais c’est aussi une scène comique.