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Un visiteur
4,0
Publiée le 11 juin 2010
Bon film, émouvant et drôle. Mais les scènes psychédéliques peuvent paraître un peu légères... Le sujet aurait certainement pu être encore mieux exploité.
Drame poignant et sincère réalisé par le metteur en scène belge Jaco Van Dormael, Le huitième jour est un long-métrage incroyablement touchant. C'est aussi et surtout une première en matière de direction d'acteurs puisque l'un des deux rôles principaux est attribué à Pascal Duquenne, un acteur trisomique. Malgré sa condition, l'acteur arrive à nous faire rire, pleurer, à nous émouvoir à chaque scène grâce à un talent fou, dirigé d'une main de fer par Van Dormael. À ses côtés, Daniel Auteuil : impérial, majestueux, au sommet de son art, tout en naturel et en sympathie dans le rôle de cet homme normal qui voit sa vie chamboulé par l'arrivée de ce trisomique un brin gaffeur mais surtout terriblement attachant. Une comédie dramatique forte, puissante, tirant les larmes des yeux grâce à une histoire simple et des situations aussi tristes que drôles. Un grand bravo et un Prix d'interprétation masculine amplement mérités au Festival de Cannes 1996.
Au départ, très particulier... à considérer un peu comme un film d'auteur, avec sa profondeur et le décalage de ses personnages. Mais fascinant et très instructif !
15 ans et toujours d'actualité, ce film reste un des meilleurs films du cinéma francais ! chaque harry que nous sommes a besoin de son Georges. Un trésor du cinéma
Le film qui sensibilise à la cause des handicapés. N'oubliant personne, traitant des nombreux sujets en corrélation avec le thème. C'est bizarre de voir le film, on ressent une sorte de gêne au début, qui s'évanouit ensuite au cours du film. De bonnes idées pour un message... intéressant. Un drame français vraiment original.
Un film d'une grande beauté ! Les joies et les tristesses sont filmés à fleur de peau,Pascal Duquenne est remarquable.Un film sur l'amitié et la différence qui vous mettre la larme à l'oeil,surtout lors de la fin. Un film remarquable,inoubliable,splendide !
Le huitième jour est un film qui ne peut que toucher les esprits, et qui rappelle la richesse de l'amitié et de la nature. Daniel Auteuil y est excellent, et Pascal Duquenne, remarquable !
Il me serait probablement difficile de dire si le second long métrage de Jaco Van Dormael est proche ou non de la réalité ( n'ayant dans mon entourage aucune connaissance de la trisomie 21 )... Il n'empêche que la prestation de Daniel Auteuil est exceptionnelle et que Pascal Duquenne n'est pas en reste face au monstre. Après, Le Huitième Jour n'est certainement pas un grand film - et encore moins un chef d'oeuvre ! Dégoulinant de bons sentiments, reposant sur une poésie tire-larmes destinée au consensus populaire, le film semble avoir été réalisé dans un excès de bonne conscience, comme une manière pour le cinéaste de mettre tout le monde d'accord - y compris le jury Cannois. Cela dit, cette ode sirupeuse aux valeurs essentielles m'a particulièrement touché ( ne me demandez pas pourquoi : peut-être qu'un bisounours sommeille en chacun de nous, allez savoir...): j'avoue l'avoir vu plusieurs fois en l'ayant adoré. Comme une notation reste et restera arbitraire et que mon avis ne vaut guère plus que celui d'un autre, je m'arrête là. Trois étoiles pour un film médiocre ? Allez savoir pourquoi...
Un film remplit d'humanité à la fois très beau et drôle. L'histoire est très touchante grâce à un scénario écrit avec justesse et deux très bons interprètes Daniel Auteuil et Pascal Duquenne.
Les bases sont celles de Rain Man mais le Huitième Jour apporte un composant magique : la prestation de Duquenne. Qui osera parler de justesse d'interprétation ou de "rôle sur-mesure" ? Un film sublime et émouvant.
Oui, ce film permet de remettre en cause notre jugement sur les gens handicapés. Mais il s'arrête pas là. En effet, il nous montre aussi combien certains (ici Auteuil), on substitué leur vie personnelle à leur boulot. "Tu es devenu ton système" lui dit même sa femme ... Car le trisomique dans sa naïveté ne tient pas n'a que faire du matérialisme et de la conquête du pouvoir qui obsèdent la plupart des hommes. Avec Georges, il attache à nouveau de l'importance à l'essentiel : les arbres, les coccinelle, le chant des oiseaux, la nature, sa femme, ses enfants. Harry était prisonnier de son monde, de sa routine. Au-dela de cela, le jeux des acteurs et la musique magnifique nous permette de vivre des moments de rares émotions. A voir !
Une relative déception que ce film . Un trop plein de sentimentalisme et un certain manque de subtilités gâchent un long métrage pourtant prometteur, et aux interprètes de talent. je regrette toto ce héros du même réalisateur.
Un film superbe, un conte moderne. Le huitième jour est une œuvre rare. Loin de vouloir de près ou de loin raconter la vie d'un "trisomique" comme quelques malheureux l'on cru ou le croit encore... C'est surtout du personnage campé par D. Auteuil dont il s'agit ! Et s'il faut à chaque Harry un Georges pour le réveiller de sa torpeur, ainsi soit il ! La poésie et l'amour qui s'en dégage, l'interprétation, ce film est superbe.