Avis sur Transformers 3 - La Face cachée de la Lune

Après avoir littéralement adoré les deux premiers opus de cette saga, celui-là je me suis vraiment fais chier en le regardant... Outre le fait que l'histoire est toujours pareil, je trouve le film lent et sans saveur...
Déjà le fait que le méchant soit interprété par Patrick Dempsey je trouve ça complètement stupide (franchement Docteur Mamour peut être tout sauf un bad guy et encore moins un bad guy charismatique!) De plus la nouvelle copine de Sam est pour le coup vraiment vulgaire en essayant de paraître classe je trouve, en particulier quand elle sort de la voiture (je me demande comment ils ont pu garder ça au montage!) Et puis même tout le reste des acteurs semblent en avoir marre d'être dans ce film et ça se voit à l'écran!

Alors voilà, très déçu par ce Transformers 3 qui, d'après ce que j'avais lu était sensé être le meilleur de la saga!

Toujours aussi indigeste et épileptique, voir carrément incompréhensible, tant au niveau du scénario que de la réaction des personnages. Il ne reste plus qu'a se consoler avec les images et les effets spéciaux.

Pour le 3ème film, on retrouve quasiment les mêmes personnages, mais cette fois, le film est beaucoup moins réussi. Tout rebascule avec des évènements liés à la conquête de la Lune qui ressurgit avec bien entendu les célèbres robots dans l'histoire.
Les méchants robots prendront le pouvoir grâce à l'intervention des hommes bien décidé à prendre le pouvoir avec l'aide des Decepticons. Reste quelques humains plus courageux que Rambo et Rocky réunis...
Bref : un film très très moyen et peut être à cacher dans sa filmothèque...

Malgré qu'il soit con comme la lune (ha ha), "Transformers" à séduit critique et public,puis "Transformers 2" est arrivé et a fait ouvrir les yeux à ceux qui ont aimé le premier: "Mais il est ou le scénario ? et c'est quoi cet humour d'adolescent de quinze ans ? et pourquoi on comprend rien aux scènes d'action ?" Quand à Michael Bay il a répondu ceci "Je tournais pendant la grève des scénaristes avec quatorze lignes de script vous vous attendiez à quoi ?" Pour "Transformers 3" il n'a plus d'excuse, et avec un sous titre pareil on pouvait même s'attendre à une surprise de la part d'un film con comme la lune ( désolé j'ai pas pu résister ) surtout pendant la première heure, ou l'on peut penser que Michael Bay se lance dans le social en montrant Shia Laboeuf chercher un pemier boulot.
Attention, je ne jette pas tout. Relief oblige, Michael Bay a du revoir certaines de ses habitudes notament son sur découpage et sa caméra tremblante. Ce n'est pas parfait on reconnait encore sa patte, les scènes d'actions étant quand même pas toujours très lisibles, en particulier à cause de la conception des robots très complexe, on sait pas tellement ce qu'on voit.
Sinon ba c'est du "Tranformers" ni plus ni moins. Effets spéciaux superbes,mais scénario inexistant, il faut deux longues heures et demi pour péter un pilier ( rien que ça ) et c'et à peu près le seul enjeu. Les acteurs souffrent toujours d'un manque de direction, la remplaçante de Megan Fox est présente pour les mêmes raisons: montrer ses formes généreuses de bimbo et ses lèvres pulpeuses. L'humour est toujours pour les puceaux de quinze ans, les robots se comportent toujours comme des puceaux de quinze ans, ( c'est même dit dans le film ) et pendant une heure et demi ou il se passe pas grand chose on se fait quand même chier mais heureusement que la dernière heure ce psychopathe de Michael Bay nous montre à l'écran ce qu'il a dans la tête parce que faut quand même l'avouer, aussi con et nul que ce soit, on ressent quand même un certain plaisir ( masculin ) à tout voir péter.

Recette classique de Micheal May qui tourne ici rapidement à l'indigestion. Le récit propose trop de personnages, pour la plupart très mal exploités. Le début de la fin pour cette saga pourtant parfois très attachante.

2h35 de maux de tête!!!! = ( A causes des scènes actions incompréhensible et des boum bam de partout!!New York est s'en dessus dessous...à la fin du film je me suis demandé mais qui va payé les dégâts de la ville!!!

Pas surprenant que Shia labeouf n'a plus voulut faire de suite à ce transformers 3 tant son rôle le rendait prétentieux et énervant.
De plus le scénario est à nouveau très moyen et la durée du film le rend indigeste si vous voulez le regarder en une fois.

Dernier-né d’une franchise pour le moins lucrative, Transformers : Dark of the Moon est aussi l’un des plus grand succès internationaux en termes de recettes, aussi l’on comprend aisément que Michael Bay ne lâche pas de sitôt sa poule aux œufs d’or ; et une fois de plus, un budget colossal accompagnait ce troisième volet dédié aux sympathoches Transformers, augurant un fracas d’explosions visuellement renversantes. Mais là n’était pas le point le plus important, car si les deux premiers opus constituaient d’honnêtes divertissements privilégiant la forme au fond, j’attendais pour ma part de ce dernier d’être un minimum innovant, histoire de ne pas livrer un énième copier-coller faisant sombrer inéluctablement la saga dans les abimes de la facilité (et du ridicule). Un espoir bien maigre toutefois, et les deux visionnages du présent-film (la vq avait eu d’abord raison de moi) ont finalement confirmé ce pressentiment : Dark of the Moon est mauvais, ou tout du moins trop peu intéressant, quoique différent de ses ainés mais foireux dans son genre. Bien entendu, rien à redire côté effets spéciaux, ou presque : le long-métrage en impose sur ce plan, et bien que l’on pourrait reprocher un certain manque de créativité (et des pseudos-ralentis agaçants), rien de surprenant venant de Bay, le maitre attitré du blockbuster visuellement tonitruant sans grande élégance. Autrement, on note une évolution dans le ton donné à ce Transformers 3 : il semble en effet que l’humour bien souvent présent dans les précédents laisse ici la place à une ambiance résolument plus sombre, les tenants et aboutissants du film lorgnant alors du côté d’une lutte pour la survie de l’humanité, notamment au gré de séquences rappelant certaines références du genre… malheureusement, n’est pas Spielberg qui veut, et Bay se retrouve alors le cul entre deux chaises, car l’univers des Transformers ne se prête aucunement à un tel climat. Bref, la prétendue tension que cherche à nous servir Dark of the Moon fait l’effet d’un pétard mouillé, et ce n’est pas l’intrigue certes un minimum recherchée, mais bourrée d’incohérences flagrantes, qui parviendra à relever la barre ! Le scénario a d’ailleurs cette particularité de proposer un contenu à première vue intéressant, mais finalement sabordé par de multiples points : on a évoqué les problèmes de cohérence, et on peut y ajouter un rythme sans temps morts soulignant la maigreur véritable de l’intrigue, trop peu pourvue en rebondissements tangibles (si ce n’est celui de Sentinel Prime), conduisant alors à un ensemble pas captivant pour un sous. Franchement, on est à la limite de s’ennuyer tant le fil rouge de ce Transformers enchaine les facilités en tous genres, tout en nous servant des dialogues d’une médiocrité effarante ; dans une même veine, difficile de proposer un contenu un tant soit peu tendu avec des personnages pareillement improbables ! Rarement Sam Witwicky aura été aussi insupportable, de par ses gesticulations et autres vociférations redondantes, tant d’antipathie pour celui-ci, dont le jeu de Shia LaBeouf est bien loin d’être en mesure de redresser la barre ; ajoutons à cela le remplacement de Mikaela par une nouvelle pimbêche, blonde cette fois-ci, et dont l’utilité sera une fois encore plus axée physique que scénaristique, ainsi que les extravagants Seymour Simmons, Dutch ou encore Jerry Wang, et l’on ne peut alors qu’être circonspect devant le prétendu voile sombre dont s’est drapé Dark of the Moon. En résumé bien que l’on doive bien reconnaitre que le divertissement (surtout visuel) est assuré, ce troisième Transformers du nom confirme le déclin qualitatif d’une franchise sympathique à ses premiers jours, mais de plus en plus abrutissante dans le genre. A voir pour se vider le crâne donc, et le prochain opus me fait d’ores et déjà redouter le pire… mais qui sait ?

Film mitigé. Entre des images spectaculaires et des effets spéciaux révoltant ... et l'abscence de Megan Fox... l'abscence de crédibilité de la part des acteurs ... et l'abscence de scénario (on tombe de haut là) .. Je ne sais quoi penser : Michael Bay nous prend vraiment pour des cons !

Pour clore sa trilogie de robots transformistes Michael Bay nous inflige 2h30 de niaiserie et de bêtise consternante, qui éclipsent malheureusement les effets visuels et sonores toujours aussi impressionnants. Les plus courageux tiendront le coup jusqu'à la baston finale, où on se surprend à souhaiter la réussite du méchant tellement Shia LaBoeuf et la pouffe qui remplace Mégane Fox sont exaspérants. J'espère que le studio va s’arrêter là mais ça ne m'étonnerait pas qu'ils pondent une 2ème trilogie tellement la franchise a été rentable jusqu'à aujourd'hui...

un spectacle exceptionnel et quelques séquences très réussies, manque juste un scénario qui ait un peu de teneur...

de nos jours le cinéma ne nous propose pas un grand nombre de film qui nous marquerons pendant bien des années!
Transformer est la forme parfaite du film à gros budget marketing, ayant une superbe bande annonce et qui enfin déçoit à l'écran.

On remarquera quand l’excellent travail des équipe d'effet spéciaux, cascade et sonore.

Je pense que beaucoup de ciné files pourrait écrire un bien meilleur scénario.

En espérant que l'année 2011 est de bien meilleur film.

Film d'action fouillis, pas franchement pris de plaisir à le revoir...

Toute la première partie est beaucoup trop rapide ; la fin est intense, mais pour le coup dure une plombe !

Pour moi, ce qui manque dans ce film, c'est la magie des gros robots ...

On prend les mêmes et on recommence ! Seulement cette fois-ci le scénario tient a peu près la route même si ce sont encore les gentils Americain qui triomphent des Decepticons. Shia est toujours aussi drôle et finalement ce film vaut presque plus par sa comédie que par sont côté science fiction, qui malgré des effets spéciaux grandioses peine a happer le spectateur comme le fait pourtant un "vieux" Blade Runner... Bref un bon divertisdement, sans plus.

Telle une bête de somme qu'on pousse à bout pour en tirer le maximum, la franchise Transformers s'essoufle jusqu'à atteindre le point de non-retour avec ce troisième épisode, assurément celui de trop. Michael Bay s'amuse une fois encore à faire exploser véhicules et batiments et fait joujou avec des effets spéciaux toujours plus pimpants, mais le spectateur ne s'amuse plus, lui. Cet amas confus d'explosions, de déflagrations et destructions, bref, ce chaos total, sur lequel le réalisateur a une fois de plus jugé bon de saupoudrer, avec la main (très) lourde, un humour niais presque écoeurant et une dose de pseudo-héroïsme encore plus répugnat à grands coups de thèmes épiques et de jeux d'acteurs forcés au-delà de l'acceptable, cette bordélique apocalypse dont on sait pourtant qu'elle n'est qu'éphèmère puisque viendra avec la fin du film le sauvetage inespéré mais pourtant tellement certain de l'humanité par l'inconsistant Shia LaBeouf, cet indicible foutoir pyrotechnique ne suffit plus à emporter mon adhésion, noyé qu'il est dans des rouages usités à l'extrême et aujourd'hui éculés. Le schéma des précédents épisodes porté à la puissance 10 par la mégalomanie de Mr Bay, si bien qu'on se perd avec le film dans cette éxagération même plus digne d'une série B. L'épisode de trop.