Avis sur Transformers 3 - La Face cachée de la Lune

Transformer est dans son ensemble une énigme, comment un film aussi abrutissant arrive à attirer autant de monde. Le scénario ne sert de prétexte qu'au combat entre les autobots et decepticon avec les humains au milieux, et cela depuis le premier film. Les effets spéciaux impressionnant soit ils, sont gâchés par une mise en scène hystérique qui plonge les scènes d'actions dans une confusion totale. Les personnages humains sont une montagne de clichés, mais c'est les robots qui sont sans doutes les personnages les plus risibles malgré que le film tourne autour d'eux, ils semblent tout droit sorti d'un dessin animé pour enfants, unidimensionnel jusqu'au bout on n'arrive pas à s'intéresser à eux, sauf pour les scènes d'actions mais là aussi complétement bâclés.
Cet avis pourrait s'appliquer aux autres transformers, les changements entre eux sont si insignifiants.

Le film qui marque l'aboutissement de toute une vie. Michael Bay s'autoparodie dans cette daube intersidérale. Un film à visionner avec son cerveau déconnecté et en fermant les yeux car c'est un film d'épileptique avec des plans illisibles qui s'enchainant toutes les 2s sans aucune cohérence. Il n'y a absolument aucune notion de temps ou de distance dans ce film. Sans compter les plans qui ne servent strictement à rien et qui sont juste un prétexte pour tout faire péter. J'aimerai vraiment comprendre d'où lui vient cette fascination pour les explosions.
Ce film est un cliché à lui tout seul, les américains sauvent encore le monde car OUI encore une fois dans un film de Michael Bay, le reste du monde se touche la nouille pendant que les younaïtid stayte of améwica se battent seuls contre les méchants envahisseurs. Ajouté à ça le mec moyen qui sort avec une bombe atomique ( un peu vulgaire quand même ) et des gros plans sur son derch pour donner une demi-molle à Jean-Kevin.
A déconseiller donc..un mot pour résumer le film: Boom

Pour n’importe quel homme doté d’un cerveau, il paraîtrait étonnant que le principal débat qui entoure ce film soit le remplacement de Megan Fox par Rosie Huntington-Whiteley, et non l’incompétence de Michael Bay à fournir des films un tant soit peu correct. Cela dit, pour n’importe quelle personne capable de remarquer le niveau intellectuel de ceux qui apprécient ce genre de film, il n’est pas étonnant que ce type de débat soit des plus importants. Michael Bay a-t-il réussi à faire encore mieux dans la franche débilité ? La réponse (faut-il vraiment que je la donne…) dans quelques lignes.

L’intro assez sympathique est gâchée par l’enchaînement sur le couple formé par Sam Witwicky (Shia Labeouf) et Carlie (Rosie Huntington-Whiteley). En effet Michael Bay semble plus intéressé de filmer les jambes de sa nouvelle conquête plutôt que les Transformers, ce qui au final, reflète bien la philosophie dans laquelle il a fait ses films. Il s’attarde cette fois encore plus sur Sam ce qui est loin d’être passionnant, et en profite pour enchaîner les situations qui se veulent drôle mais qui ne le sont pas. Et nous voilà reparti pour deux heures et demie de calvaire. Tout se fait avec une lenteur insupportable. Le scénario est ennuyeux à mourir et aucunement captivant. Même les scènes d’actions sont d’une mollesse indescriptible. C’est un film sans rythme que nous balance Michael Bay, les rebondissements ne sont pas bien rendus et s’insèrent dans la platitude générale. Dans la droite lignée de ce que le réalisateur a fait jusqu’à présent, on a droit à une intrigue sublimement banale qui cache de magnifiques clichés et offre comme sujet le plus profond la lutte manichéenne des gentils contre les méchants…Quelle surprise !

On retrouve également les fameux personnages stéréotypés si chers à Michael Bay. Et la star de son film, Shia Labeouf, en est pour quelque chose dans l’échec total du rapprochement avec le spectateur. Le rôle qu’on lui a écrit est aussi creusé que la tombe d’un lapin nain et aussi inspiré qu’une notice de four micro-ondes. Ce dernier passe ainsi de loser comique à enquêteur chevronné, puis commando des forces spéciales en une heure et demie…totalement crédible. Et pour prouver son importance dans le scénario, Michael Bay le fait tuer Starscream, pour la mort la plus pitoyable de l’histoire du cinéma. Franchement, le Decepticon le plus stylé (tout est relatif avec la direction artistique dégueulasse) n’aurait-il pas mérité une meilleure mort ! Mais bon cela ira dans les aspects du film dont Michael Bay se fout totalement, c’est-à-dire 95% de son film (je rappelle qu’il y a 5% d’explosions dans le film). Et pour notre déplaisir le plus total, d’autres personnages aussi intéressants se glissent dans le film, assez longtemps pour qu’on puisse les détester eux aussi. Vient donc la concubine de Sam, Carlie. Elle est interprétée par Rosie Huntington-Whiteley, qui est mannequin de métier…Ai-je vraiment besoin de préciser qu’elle joue comme un gosse de cinq ans…je ne pense pas. Et on se demande toujours pourquoi Michael Bay a eu besoin de donner des rôles inutiles aux irritants John Malkovich et Frances McDormand. Il est également paradoxalement ironique que celui qui fait le plus alien du film soit un humain joué par Patrick Dempsey qui était parti pour une pub de L’Oréal et qui s’est perdu en chemin.

Je vous vois déjà crier que dans un film de ce calibre le scénario et les personnages peuvent passer à la trappe, du moment qu’il y a de l’action. Si cette façon de penser est immensément débile elle n’est toutefois pas prônée par Michael Bay, qui ne donne pas des séquences d’action mais des enchainements d’explosions. Outre le fait qu’elles soient très mal amenées, les scènes d’action sont beaucoup trop courtes pour demeurer intéressantes, et elles sont toujours aussi mal filmées. L’action illisible et les ralentis ostentatoires témoignent d’une mise en scène déplorable et d’une réalisation sans goût. On voit, on ne ressent rien, on contemple avec horreur la joie de Michael Bay qui s’éclate à tout faire péter. Il glisse parfois certains éléments qui pourraient être intéressants, pour mieux les oublier pour toujours : la frustration est le seul domaine dans lequel Michael Bay s’améliore. D’ailleurs ce dernier profite de ce film pour s’essayer à la subtilité : en plus de refourguer les mêmes scènes que les films précédents, il refourgue aussi les mêmes bruitages. Même la musique de Steve Jablonsky, pourtant de très bonne qualité ne suffira pas à donner une once de force à l’action, tant la réalisation de Michael Bay est inexpressive.

Le réalisateur préfère passer dix fois les trente premières secondes de « Iridescent » de Linkin Park pour marquer le ton fortement émotionnel (drôle n’est-ce pas) qui est sensé se dégager, mais qui captive le spectateur autant qu’une mouche qui s’acharne sur une fenêtre fermée alors que celle d’à côté est grande ouverte.

On reconnaît toutefois le style de Michael Bay dans ce film…ce qui est malheureusement une mauvaise chose. Il se voit obligé de placer son humour lourdingue pour détruire l’atmosphère sérieuse instaurée cinq secondes plus tôt et ne nous arrache même pas un semblant de sourire. Les nouveaux Transformers sont encore moins réussis et attachants que dans le film précédent (un exploit en soi) et sont encore une preuve de la direction artistique immonde. On constate également une pléthore d’incohérences dont je vis vous donner quelques exemples des plus pitoyables : maintenant les militaires tuent les Decepticons avec des mitraillettes…maintenant les Decepticons saignent…maintenant la planète Cybertron est totalement différente de celle présentée dans l’opus précédent, qui était déjà totalement différente de celle du premier film…maintenant Michael Bay est pété de thune et il se prend pour un bon réalisateur (la pire de toutes). Il accomplit même l’exploit de ridiculiser Optimus Prime !

Après une fin pas du tout prévisible (ironie !) et durant le générique, on ne se dit qu’une chose : Quelle injustice ! Quelle injustice qu’un film aussi pauvre et vide connaisse un succès mondial et rapporte des milliards alors que Michael Bay a dû se creuser la tête deux minutes maximum pour trouver des idées. Ce film encore plus que les autres, reflète la superficialité du travail de Michael Bay et de l’œuvre qu’il crée. Avec toutes ses incohérences et ses fautes de réalisation, il fait bien pire qu’un mauvais film, il ruine la licence des Transformers, il ne leur accorde qu’une place encore plus futile que tout le reste. Il a bâti une saga qui n’apportera rien à l’univers des Transformers et encore moins au cinéma. A quoi bon alors faire un quatrième volet, si ce n’est pour se faire encore plus de thune ? A quoi bon mettre des explosions partout, à quoi bon s’efforcer de placer les humains au cœur de l’intrigue et de ne faire des Transformers que des personnages tertiaires, à quoi bon recruter des acteurs bankables pour leur donner des rôles inutiles…A quoi bon faire voler Optimus Prime ! Tout cela reflète l’état d’esprit de Michael Bay en faire beaucoup trop pour avoir au final, quelque chose d’horriblement vomitif.

Cependant, le film de Michael Bay est historique, car il montre à quel point une production de ce genre peut être lamentable. En 2011, Michael Bay accordait à Premiere un interview dans lequel il disait qu’il était conscient de l’échec de Transformers 2 e qu’il allait nous faire rêver pour le troisième film. Maintenant pour ceux qui auraient eu le profond malheur de voir ce film, admettez que Michael Bay se rapproche plus du marketeur qui aime empocher les chèques que du cinéaste soucieux de son œuvre et du regard du spectateur. Pour ceux qui ne l’auraient pas vu, profitez de votre chance, vous avez raté un des pires, si ce n’est le pire, film de tous les temps.

L'une des pires franchises du cinéma ( si on peut dire que cette franchise est vraiment du cinéma, c'est à dire artistique ) continue avec une troisième suite avec l'un des pires réalisateurs encore à son bord. Les Autobots combattent à nouveau les Decepticons, aux côtés des Américains, seuls habitants de la Terre ( du moins c'est ce que le film veut nous faire croire ). Cette suite nous convainc que finalement la firme Transformers s'est totalement éloigné de son essence originelle : de jouets faits uniquement pour les enfants, on ne trouve qu'une saga vulgaire, grossière et avec un seul but : bourrage de crâne, puisqu'on retrouve encore la rancune idiote des Américains envers les Russes ( qu'ils continuent encore à appeler les Soviétiques ! ). Les personnages sont bien sûr stéréotypés, et Bay prouve son irrespect total envers les personnages féminins : le premier plan présentant l'héroïne montre à lui seul le rôle de celle-ci : une potiche sans talent. Shia Labeouf excelle dans le rôle de l'abruti qui n'arrête pas de crier. Il est temps qu'il s'en aille de la saga. Tout de même, la courte apparition de Malkovitch est une belle étincelle. Mais la réalisation de Bay est consternante, son but étant de filmer le plus vite possible, de monter le plus vite possible ( c'est à dire très mal ) et d'apporter cependant un soin énorme aux effets spéciaux sonores et visuels. D'un autre côté, la saga est descendue par les critiques, mais le fait qu'elle trouve un grand public malgré son néant est aberrant.

Quand je veux ma dose d images numériques je joue à un jeux vidéo je ne regarde pas un film... Les différents robots sentent tellement les images de synthèse qu il est impossible de s immerger dans une quelconque histoire ( remarque c est pas très grave il n y en a pas)
, le seul intérêt du film sont les apparitions de la bimbo de service qui paraît aussi naturelle que les robots voiture ... Et puis il y la réalisation de Michael Bay qui pour prouver qu il sait faire des choses nous gratifie d une belle série de ralentis waouuuu.. Le tour de force de Transformers 3 est d être un spectacle hautement crétin mais sans la moindre touche de second degrés. Les acteurs débitent des âneries plus grosses qu optimus prime sans éclater de rire et ça c est très fort !

Ouais... Le premier, ça passe encore. Le deux, était très chiant, mais un effort (relatif) scénaristique avait été fournit. Là, on a même pas droit au minimum syndical, c'est affligeant. Ne vous fiez surtout pas pas aux nouveaux acteurs du casting: entre la pauvre Rosie Huntington-Whiteley qui se ridiculise et ne sert à rien (mais c'est pas de sa faute si cette andouille de bay sait pas faire de dialogues potables et filme généreusement ses formes), Patrick Dempsey qui joue au con et qui interprète le méchant le plus ridicule qu'on ait vu depuis longtemps (je suis un humain qui va être asservi par des robots géants mais je les aide à tout détruire... Attends, quoi ?) et pourtant Sentinel prime est pas mal non plus dans le genre. L'histoire est... c'est simple: il n'y en a pas. Sentinel prime veut faire revenir Cybertron avec les piliers qu'il avait dans le vaisseau sur la lune. C'est TOUT. Rien d'autre. Les decepticons sont là parce qu'ils doivent être là, ils l'aide mais eux ne veulent même pas prendre leur revanche ou presque (megatron ? Il est pas là, c'est la même. Et en plus il s'habille comme un taliban histoire de faire peur aux gentils américains (excusez du peu). De plus, le personnage est toujours aussi bébête et naïf pour croire qu'il est le meilleur pour se faire atomiser par optimus en 2 secondes... ) Mais là, vous vous dites"bah, au moins les FX sont déments et vont sauver les meubles". Mais c'est pas le cas. Les transformations ont toujours un capital "cool" non négligeable, sauf que trop c'est trop. Certains plans de bataille sont mal filmés et c'est parfois pénible à regarder. N'oublions pas les superbes incohérences : les mecs sont au sommet d'un immeuble, mais ils descendent par un escalier jusqu'en bas en deux minutes montre en main; optimus se fait arracher un bras en deux coups de cuillère à pot alors qu'une lame lui transperce l'épaule sans affecter son autre bras etc. Le prologue reste potable (bien que l'idée de la course à l'espace lancée par le vaisseau est assez ridicule), on peut croire à un truc très débile mais un minimum divertissant. Là encore, ce voleur de Bay semble rester derrière vous pendant tout le film et se moquer de vous. Parce que ce film est aussi chiant que la lune sorti de son titre. Les scènes d'action ne nous font plus ni chaud ni froid au bout d'un moment (si toutefois elles nous avaient déjà fait quelque effet précédemment) et on ressent une immense envie d'arrêter le dvd et de lire autre chose (heureusement que je ne l'ai pas vu au cinéma). Mais alors s'il reste quelque chose, ça ne peut être que la fin. Après un scénario lorgnant avec le néant, on peut au moins avoir une fin réussie avec un combat final impressionnant. Mais cette appellation n'a pas lieu d'être, puisqu'il ne semble pas différent du reste. Optimus s'occupe sans aucun problème de megatron et de Sentinel avec un bras (hum...). S'ensuit une scène ridiculement courte et conne où optimus nous fait un discours sur la guerre à gerber devant le drapeau américain bien mis en valeur. Transformers 3 est plus qu'un mauvais film, c'est une honte. Comment un mec comme Spielberg peut produire un truc pareil ? Espérons qu'il laisse ce tâcheron de Bay dans sa galère et s'intéresse à des projets utiles (remarque, lui au moins il réussit ses films). A propos, pour revenir sur le plan emprunté à "The Island"du même Michael Bay, il est moche et fait vraiment toc comparé au reste (tout aussi mauvais soit-il). En résumé, ce film, c'est une heure de scènes à chier avec des personnages complètement ridicule (le chinois dans les toilettes est à pleurer et à hurler de rage tellement il sert à rien) et tout le reste de scènes d'action insipides, illisibles et chiantes. Chapeau monsieur Bay, vous avez réussi à réaliser un film qui ferait trembler le maître incontesté du navet Hollywoodien, j'ai nommé Roland Emmerich, tellement votre troisième opus de la franchise transformers est nul. Respect.

Grotesque, navrant, proche du néant abyssal, monté à la truelle. 3e démo graphique orchestrée par Mr Bay que je me force à visionner, et j'en tire la conclusion que ce monsieur ne se bonifie pas avec l'âge, contrairement aux graphistes.

Une place de ciné : 8 euros.

Le supplément 3D : 2 euros.

Une paire de lunettes 3D : 1 euro.

Voir Michael Bay faire joujou avec des robots géants en faisant tout péter pendant 2h30, pour la troisième fois, en gardant exactement la même recette (humour foireux, scénario incompréhensible, réalisation clipesque, incohérences énormissimes, racolage putassier à coups de plans nichons), ça n'a vraiment, mais vraiment pas de prix.

Pour le reste, il y a Mastercard.

Quand je suis allé voir ce film, je m'attendais franchement pas à un chef d'eouvre mais plutôt à un divertissement correct. Je pensais que ça allait péter de partout.. qu'il n'y allait pas avoir un excellent scénario, mais au moins que le film possède ce que Michael Bay à l'habitude de faire. Eh ben je suis bien déçu. Ce film est l'une des plus grosse arnaques cinématographique que j'ai vu. mais le pire.. c'est que les gens aiment! Je n'en reviens pas. Le film est long.. très long (2h30.. pourquoi aussi long que ça??). Très chiant aussi. Au lieu de nous donner de l'action le film tourne autour du pot et les personnages se mettent à parler de tout et de rien. 30 minutes avant la fin on a un peu d'action.. mais ça divertit même pas. Shia Laboeuf est assez mauvais, les autres acteurs sont en général plutôt bons (et dans le film ils d'ailleurs pas mal) mais on se demande comment ils ont pu attérir là (Les acteurs sont entre autres John Malkovich, Frances Mcdormand et John Turtorro). Et Rosie Huntington-Whiteley n'est pas du tout jolie. Si Michael Bay avait l'intention de nous faire bander il s'est trompé (Megan Fox était super, pourquoi l'avoir viré). Allez à jeter à la poubelle

Hollywood c'est neverland, on a des gens qui restent coincé à l'adolescence comme Zack Snyder qui a toujours 14 ans, et des gros tâcherons comme Bay qui restent coincé à la période scato. Au moins Snyder a atteint un âge où on a envie de voir du sang et des nibards pour de vrai, pas juste des petites culottes et ne fais pas que dans le PG13. Contrairement à Bay qui lui veut voir la culotte des filles et prend ses gros camions qui se transforme et BOOOUUUMMMMMM *bruits d'explosions avec la bouche*
En fait l'histoire est vraiment raconté par un gosse, rien n'est raccordé au reste, on est dans le délire d'un môme, il n'y a pas d'autre explication. Il y a de nombreuses scènes où tout simplement il manque des morceaux pour que ça soit cohérent. Exemple à un moment la voiture jaune (la flemme d'aller chercher son nom débile) sauve le héros, et 30s plus tard elle est prisonnière, comme ça, sans raccord entre les deux. Les persos se séparent se rejoignent comme s'il n'y avait aucune notion de distance dans ce Chicago dévasté (numériquement). Et il n'y a aucune notion du temps non plus, c'est d'une débilité rare.
Le premier transformers est l'un des films devant lequel je me suis le plus fait chier, c'est innommable, le second est un nanar au même titre qu'un Bad Boys II, et ce troisième opus fait bailler gentillement les gens n'ayant pas perdu leur cerveau durant les deux premiers volets.
D'ailleurs le film passait en VO 3D (je reviendrai sur la 3D plus tard), pourquoi le passer en VO ? la salle était loin d'être pleine, et les gens qui savent lire ne veulent pas voir ce genre de film et les cinéphiles encore moins. Reste les gens qui comme moi espérant de voir un nanar XXL à la hauteur du second opus. Mais c'est bien raté, à part un ou deux sourires nerveux devant la débilité d'une situation, un cliché, c'est plutôt chiant.
Le film commence par un flash back débile qui mêle reconstitution historique et images d'archives, sauf que c'est super laid, la caméra bouge tout le temps, pour qu'on ne voit pas que ce n'est pas le vrai Kennedy qui parle. D'ailleurs en un mois ça fait le second blockbuster qui cite Kennedy, et les deux sont des beaux échecs artistiques, mais Transformers bien plus que X-Men 5 (oui oui c'est déjà le 5° volet de la saga).
Bon on est pas encore à 5 volets de Transbideur, mais bon, on s'en approche quand même, et d'habitude au moins le premier volet est intéressant, comme pour Saw par exemple, mais là non, on continue de violer le public (c'est du viol hein, j'ai l'impression qu'on m'a fait voir des choses que je n'aurai jamais voulu voir) sans même avoir une autre base solide que de voir Bay dans ses délires de gamin riche qui peut tout faire exploser.
Donc après l'introduction bien nulle on a le magnifique logo du film qui s'enchaîne sur le cul de la remplacente de Fox. Ok. Il a pas changé ce vicelard de Bay. Non mais je veux bien qu'on film un beau cul, je suis même pour qu'on filme des culs, mais là c'est juste vulgaire, gratuit, et pour exciter les puceaux de 13 ans qui vont voir le film entre potes avant d'aller bouffer au macdo.
Sinon question mise en scène on aurait pu espérer que Bay se calme sur le montage, sur l'illisibilité des scènes d'actions à cause de la 3D qui souffre de changements de plans trop rapides, alors la durée moyenne du plan à doublé ou est presque passé au dessus de la seconde, c'est pas mal. On a des ralentis bien laid, qui n'apportent aucun fun, des gens qui explosent sans une goutte de sang. Bref génial.
Il y a des plans tellement laid que n'importe quelle personne avec un QI supérieur à celui de la moule aurait viré. D'ailleurs je pense que soit Bay est un idiot fini, et il oublié d'écrire/filmer certaines scènes (ce qui explique les morceaux manquants), ou bien tout simplement ils étaient trop laid pour pouvoir être utilisés.
Il y a des plans où tu te demandes, mais bordel ça sert à quoi de filmer ça ? et surtout pourquoi tu le filmes comme ça ?
Sinon des incohérences dans le scénario il y en a des centaines, mais c'est juste ignoble, c'est prévisible à mort, c'est d'une connerie rare. Tout n'est que prétexte débile à de la démolition (mal filmée qui plus est). Je me demande comment Spielberg peut cautionner ça. Comme il peut voir son nom associé à cet étron. Ou alors il se fout de la gueule de Bay.
Sinon on assiste à un défilé de seconds rôles tenu par des acteurs connus qui se ridiculisent tous. Je me demande ce que vient faire McDormand ou bien Malkovitch dans cette galère. Il en dit quoi Joël Coen ? "Chérie c'est bien tu rapportes de la thune en te prostituant chez Bay ?"
La 3D qu'on disait "wééé tr00 bi1 lol elle déchir" est quasiment absente du film, même durant les scènes de combat on peut presque retirer les lunettes. (Ben oui j'ai essayé, il faut bien s'amuser comme on peut).
La fameuse scène de saut en parachute est d'une platitude rare, effet relief ou pas. (et il ne me reste pas assez de caractères pour continuer, mais on a compris l'idée je pense)

Grâce à Transformers 3 j'ai vécu un évènement.
Je n'avais jamais imaginé voir le pire film de l'histoire du cinéma.

Certains me diront :"Le pire !! Tu rigol ! Il ai super ceux filme. Tu croâ pas que t abuz."
En fait si on prend n'importe quel navet de 'Bienvenue à nanarland', l'excuse principale et commune c'est le petit budget. Excuse principale dont 'Trucbidule 3' ne peut se servir.
Ensuite, en tant qu'infographiste 3d, je n'ai jamais vu autant de 3d foireuse. Si si, pour un oeil avisé c'est clair. Qui plus est c'est un déballage d'effets spéciaux au rythme frénétique.
Mais ça rend fou ce genre de film ! Tu passes ça en boucle à un singe scotché sur un fauteuil et tu crées un nouveau virus !!

Bref, d'après moi on a atteint un nouveau stade de l'évolution. Une impasse plutôt.
Dites non à la drogue.

Ecoeurant de clichés comme les amerloc savent si bien le faire, on a l'estomac qui remonte et les gencives qui baignent tellement on est abreuvé de patriotisme déogulinant et de la toute puissance de la grandeur et du courage de l'Amérique....

Quand à la potiche qui joue le rôle de la petite amie du héro... une faire-valoir ultra sexy qui est en fait plus gênante à l'image et qui met mal à l'aise tellement son regard sexuel et sa plastique, le tout collé dans un jean moulant et un petit débardeur la destine plus au porno soft qu'à un film normal.

Mention spécial pour les squelettes en titane des Humains qui n'ont jamais aucune fracture après une baffe ou des choc violents avec des robots en métal de plusieurs tonnes.

Je me suis rarement autant ennuyé devant un film. Et je suis pas de ceux qui ont nécessairement besoin d'un scénario très complexe pour apprécier un film. Un film d'action manque généralement de scénario, ce qui n'empêche pas de passer un bon moment.. mais là, c'est un film d'action particulièrement sans scénario... et sans action !! J'ai coupé au bout d'une heure. Même spider-man est un film d'intello comparé à ce navet. Les dialogues sont ridicules, à ce point j'ai rarement vu ça. Les acteurs ne sont pas franchement mauvais, mais ne parviennent pas à rattraper le reste. Je dirais niveau pokémon, plaira aux enfants de 7-8 ans avec un cerveau fondu à la télé-réalité, joséphine ange gardien et autres.. Et pourtant, j'ai adoré les fast and furious, particulièrement le dernier, même s'ils n'ont pas de scénario.. mais il y a un minimum pour ne pas prendre le spectateur pour un débile complet. Je ne l'ai pas vu en 3D, mais vu le peu d'action de ce film... d'action... j'ai du mal à voir comment ça peut suffire à sortir le spectateur de la léthargie. Un peu comme un porno habillé, ou un policier sans enquête.. J'ignore si les deux autres sont aussi mauvais, mais je ne m'y risquerais pas.. A éviter !!

Transformers 3 - La Face cachée de la lune surpasse ses prédecesseurs en terme de médiocrité. C'est je crois le film qui m'a le plus donné ce sentiment : le sentiment de sortir de la salle plus DÉBILE qu'en rentrant, je ne parle pas d'un faible sentiment, j'ai l'impression de m'être pris un coup sur la tête et de ne plus me rappeler de rien. Passons la première heure qui est simplement mauvaise, assez attendu pour le grand Micheal Bay. Mais passé ce moment, je crois que nous assistons à un effet scénaristique insolite et inattendu : PLUS D'1 H DE SCENES D'ACTION NON STOP !! Olàlà c'est du jamais vu c'est incroyable, sauf qu'à la fin, on ne sait même plus pourquoi ils se bastonnent (enfin encore plus que d'habitude ) ! Il en résulte qu'il s'agit au final d'une intense sodomie oculaire et auditive, dont on ne ressort pas indemne. Je déconseille vivement d'aller voir ce film qui devrait être interdit pour des raisons de santé publique.

Transformers 3 : La Face cachée de la Lune est à la l'image de la saga, assez mauvais.
Shia LaBeouf n'est toujours pas très bon. Megan Fox a été remplacée par Rosie Huntington-Whiteley dans un rôle particulièrement plat (et dire qu'on pensait avoir atteint le sommet de la bimbo sans intérêt avec le personnage de Mikaela). Josh Duhamel et Tyrese Gibson joue correctement leur part tout comme Patrick Dempsey. Les acteurs de doublage sont bien choisis.
Les effets spéciaux et les scènes d'action sont bluffants. Il faut admettre que Michael Bay est une valeur sûre dans ce domaine-là.
Par contre, là où le budget effets spéciaux est élevé, le budget octroyé à la qualité du scénario l'est moins. Il y a pléthore d'incohérences scénaristiques. Les personnages sont écrits au maillet, très peu ne sont pas caricaturaux. Certains gags sont même lourds.
La musique de Steve Jablonski, est toujours aussi bien, même s'il n'y a rien de nouveau par rapport aux autres films.
Ce film est le moins bon de la saga à ce jour, et c'est pas peu dire.