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    Rabia
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    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    265 abonnés 3 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2015
    Huis clos espagnol très éprouvant et très bien réalisé !! Les acteurs sont épatants et on reste scotché à l'histoire tout le long !! Oppressant, poignant et émouvant !! Une réussite...
    Noémie Laurent
    Noémie Laurent

    46 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    Un film troublant ! Le scénario est très léger et manque d'originalité mais il est très bien mis en scène et l'angoisse est fortement présente du début à la fin. Un thriller efficace.
    BeatJunky
    BeatJunky

    141 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2014
    En un mot: Ennuyeux! pas assez clair et direct pour en sortir la moindre réflexion sur la situation clandestine des protagonistes sans se tirer les cheveux. Même si l'interprétation n'est pas mauvaise, loin de là, beaucoup de spectateurs comme moi auront bien dû mal à s'intéresser au sort de ce couple.
    Flotibo
    Flotibo

    47 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2013
    Ce thriller espagnol vaut surtout pour son ambiance terriblement angoissante et stressante. En effet, l'intrigue nous plonge dans une histoire d'amour tumultueuse. Cela se transforme vite en un huit clos étouffant puisque le personnage principal va se cacher dans la maison où travaille sa petite amie. Le scénario est prenant, même si quand on y réfléchit, tout n'est pas forcément toujours très crédible. En tout cas, le duo d'acteur Gustavo Sanchez Parra, Martina García est très attachant et la réalisation est vraiement très soignée. Un film à découvrir sans hésitation.
    Cluny
    Cluny

    69 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2012
    "Rabia", ça signifie la rage. Il s'agit de celle de Jose Maria, ouvrier du bâtiment équatorien traité comme un moins que rien sur les chantiers d'une grande ville (Bilbao ?), moqué par les voisins de l'immeuble d'un marchand de sommeil où il partage une chambre avec huit de ses collègues et dont on se dit comme Rosa que finalement on ne sait pas grand chose de lui, de même que lui se rend compte à la fin du film qu'il ne connait pas le nom de famille de Rosa.

    La rage, c'est le déclencheur du drame : c'est à cause de sa violence que Jose Maria est renvoyé de son travail, et c'est à cause de ce renvoi qu'il précipite son contremaître dans une chute mortelle. A chaque fois qu'elle survient, Jose Maria est filmé en plans serrés, y compris en traveling quand il se déplace, effaçant de la vision du spectateur tout ce qui l'entoure, comme la colère aveugle celui qui en est victime.

    A cet enfermement d'une homme qui travaille pourtant en plein air s'oppose l'espace qui environne Rosa, celui de cette grande demeure Art Nouveau qui constitue à elle seule un personnage, un peu comme les maisons de "Psychose" ou d"Amityville". Rosa est souvent filmé depuis une autre pièce, en plongée d'un escalier ou d'une fenêtre, pour préparer le spectateur à se glisser dans la position de voyeur qui sera celle de Jose Maria dans toute la seconde moitié du film. On pense forcément à "Fenêtre sur Cour" pour l'impuissance de celui qui observe, dans une version encore un peu plus perverse, puisque l'invalidité du voyeur est ici due à son statut de fugitif qui l'oblige à voir l'insupportable sans réagir.

    Ce n'est pas étonnant de retrouver au générique le nom de Guillermo Del Toro comme producteur, tant les éléments de parenté avec "Le Labyrinthe de Pan " sont nombreux : le choix de l'Espagne comme décor pour un réalisateur Sud-Américain, la présence comme personnage principal d'une femme victime de sa relation avec un homme constituant une menace, et surtout un style propre au fantastique ibérique, en filmant de vieilles maisons de façon inquiétante comme dans "[Rec] " ou "L'orphelinat". Pas de monstres à cornes où de vielles succubes ; le fantastique se niche dans la manière de capter les détails du capharnaüm des greniers de la demeure, dans la façon de faire surgir Jose Maria du nuage de dératisant, ou dans la lente transformation kafkaienne du même Jose Maria.

    Curieusement, un autre film sud-américain a traité récemment de la relation de la bonne avec la famille qui l'emploie : "La Nana ", du Chilien Sebastian Silva. Même s'il n'est pas le thème essentiel de "Rabia", ce rapport est assez finement abordé, avec une opposition entre la morgue paternaliste du père et l'humanité lucide de la mère, jouée par Concha Velasco. L'actrice colombienne Martina Garcia interprète Rosa avec la même fragilité grave que sa compatriote Catalina Sandino Moreno dans "Maria, pleine de grâce".

    Aussi bien du point de vue formel, par la qualité de sa photographie, l'adaptation des choix de cadre à l'écrin de la demeure et la justesse de l'interprétation, que du point de vue de ses différents sujets (la place des immigrés, la distance et la proximité dans les rapports amoureux), "Rabia" parvient tout à la fois à tenir la tension d'un thriller, à raconter un drame romantique et à se faire le reflet de la rage autodestructrice.
    Critiques Clunysiennes
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 127 abonnés 4 143 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2012
    Le film est produit par Guillermo Del Toro ce qui est déjà le gage d'une certaine qualité. Sous l'apparence d'un thriller, Sebastian Cordero nous conte une véritable histoire d'amour impossible entre deux immigrants sud-américains réfugiés sur la terre d'Espagne. José-Maria d'un tempérament violent supporte mal sa condition d'immigré au contraire de Rosa femme de ménage à demeure chez de riches espagnols plutôt compréhensifs et libéraux. Séparés puis aussitôt réunis, les deux héros continuent leur romance sur un mode différent, lui en épiant ses faits et gestes sans se faire voir car caché dans l'immense maison , elle en imaginant son amant fuite et en portant son enfant. C'est cette situation paradoxale où l'un voit l'autre sans être vu autour de laquelle Cordero trouve toute l'originalité de son film, sorte de "Fenêtre sur cour" in situ où le voyeur est au centre de l'action. Pris au piège José-Maria se transforme en démiurge impuissant obligé assister au viol de sa compagne par le fils de la maison sans bouger alors qu'il a rossé un pauvre garagiste ayant l'audace d'accoster sa dulcinée . Grâce à cette scène, Cordero montre que les habitudes ancillaires des riches propriétaires n'ont guère évolué avec le temps. La très gracile Martina Garcia remplit très bien sa fonction de jeune femme devant lutter pour maintenir sa place dans un pays qui n'est pas le sien, son pendant joué par Gustavo Sanchez Parra apporte toute la tension nécessaire au climat pesant et angoissant voulu par le metteur en scène. Sous couvert du thriller, Sebastien Coredo réussit une charge assez violente contre le statut des immigrants en Espagne quels que soient leur attitude ou leur niveau d'intégration. Une belle démonstration pour un metteur en scène à suivre.
    WardStradlater
    WardStradlater

    52 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juin 2012
    Thriller soporifique, ennuyant, et manquant franchement de dynamisme, voire même d’intérêt. Banal histoire d'amour, un type dépressif, un huis clos pathétique... le tout fidèlement mené par des acteurs médiocres et un scénario poussif.
    vanou97
    vanou97

    41 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 janvier 2012
    Un cache-cache géant sans grand intérêt, Sebastián Cordero n'aura pas su retranscrire ses intentions de la meilleure manière
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    54 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2011
    bien, bien, un film de bonne facture marqué par la performance de l'acteur principal...
    v-andolini
    v-andolini

    5 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2011
    Un huit clos stressant bien interprété et doté d’une réalisation intéressante. Seul petit bémol: le film s’arrête un peu tôt!
    Rik13
    Rik13

    22 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2011
    Réalisé par Sebastian Cordero, « Rabia » est un thriller psychologique à l’atmosphère oppressante. Deux immigrés sud-américains, Rosa et José-Maria, vivent une passion amoureuse. Après une altercation avec son chef de chantier qui l’a renvoyé quelques jours plus tôt, José-Maria tue ce dernier accidentellement. Il décide alors de se cacher dans la grande maison bourgeoise de la famille Torres où travaille Rosa en temps que femme de maison. « Rabia » est construit sous la forme d’un huis clos, la majeure partie de l’intrigue se déroulant dans la maison où tous les personnages sont réunis. Le suspense tient au fait que José-Maria, réfugié à l’étage de cette grande bâtisse, observe en voyeur tout ce petit monde et en particuliers Rosa, avec qui il ne peut prendre physiquement contact. La famille Torres, en particuliers le père, est parfaitement imbuvable et semble s’appuyer sur des valeurs d’un autre temps. Rosa, esseulée dans cette vaste demeure, va subir les avances d’Alvaro, l’ainé de la famille Torres, sous le regard impuissant de José-Maria. Ce thriller au rythme inégal présente un scénario assez peu vraisemblable, sauvé par l’interprétation de Martina Garcia dans le rôle d’une Rosa fragile et vulnérable. Le climat de claustrophobie qui règne dans ce récit et une image assez sophistiquée permettent cependant de suivre ce long métrage sans déplaisir, même s’il manque au récit un peu de puissance narrative. Il est possible de voir également dans « Rabia », comme l’a voulu à l’origine le réalisateur, une parabole sur le différentiel entre les diverses classes sociales et en particuliers ici les conditions de vie des immigrés dans les pays riches, ici l’Espagne, qui n’ont que deux possibilités pour survivre : la soumission avec son lot d’humiliation ou la révolte engendrée par une colère née de ce rabaissement permanent. La vision du film sous ce deuxième angle offre effectivement, nonobstant les imperfections de mise en scène, un point de vue qui porte à réflexion.
    albator761
    albator761

    237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2011
    Un film qui ravira les fans d'ambiances de claustrophobie
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 juillet 2011
    Ce film noir repose sur une idée de base brillante et original cependant il lui manque réelement quelque chose pour être pleinement efficace. Malgrés une réalisation trés esthétique, la molesse du montage et le manque de rythme dans le scénario émpeche l'accomplissement du "manifeste à la claustrophobie" promis par le pitch. Dommage... Cette idée de clandestin survivant en "fantôme" dans les combles de la demeure de son inaxeccible amour avait tous pour être mémorable.
    Pascal I
    Pascal I

    730 abonnés 4 094 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Encore un film Espagnol ahurissant où l'on est obligé de mettre un 5/5. Un scénario terrifiant pour ce pur drame joué de main de maître. Les plans sont impressionnants de véracité, que du bonheur ! les premières images ne présagent absolument pas ce qui va se dérouler et tout doucement, la magie opère ! A la technique du film, des gens qui ont bossé sur "28 jours plus tard", "le labyrinthe de pan", "Resident evil", "Splice", "Rec", "l'orphelinat" etc ... Que du bon ! 5/5
    14caen
    14caen

    43 abonnés 1 087 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 novembre 2010
    L'histoire patine dès le début et ça ne s'arrange pas jusqu'à la fin. "Rabia" n'est pas un très bon film pour moi.
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