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Votre avis sur Ong-bak 3 - L'ultime combat ?
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J'aurais beaucoup aimé mettre moins d'étoiles mais c'est pas vraiment possible. On ne comprend absolument rien au scénario en parti à cause des scène qui sont collé les une au autres sans transition ni explication et surtout à cause du manque de dialogue (il doit premier degré avoir maximum 50 phrase dans tout le film). De plus la pluspart des scènes sont vide et manque de vie. Il y a également beaucoup trop de scène de remplissage qui n'apportent strictement rien au scénario intéressant. Pour finir, la version VF a un doublage exécrable (je n'ai j'aimais vue sa dans tout les film que j'ai déjà regardé). Je ne vous conseille absolument pas ce film sauf si vous n'avez strictement rien à faire de vos journées à part essayer de comprendre une histoire d'un film incompréhensible, mal tourné et mal monté...
Nicothrash
Tony Jaa et sa perruque sont de retour pour un ultime volet de Ong-Bak, suite directe d’un deuxième opus qui n’était déjà pas folichon. Le scénario n’a plus aucun sens ici, le fantastique fait son apparition ainsi qu’un paquet de scènes chamaniques sans intérêt. C’est mal joué, mal doublé et le script est mauvais, en outre il n’y a guère plus de combats puisque le film tourne seulement autour de l’espèce de résurrection de Tien. La partie finale bouge un peu plus heureusement et les affrontements sont sympas mais rien de nouveau non plus à ce niveau là, si ce n’est de bien tristes SFX. Il n’y a pas grand chose à sauver de ce vilain épisode si ce n’est que Tony Jaa est toujours en forme, le reste étant raté. Et puis je n’en peux plus de voir comment sont traité les éléphants, que ce soit tout simplement en Asie ou dans ce type de métrage, ils ne sont définitivement pas fait pour supporter un quelconque poids sur leur dos alors laissons les tranquille !
Le seigneur maudit Rajasena ordonne à ses guerriers de frapper et de briser les os de Tien (Tony Jaa). Alors que Tien est sur le point d'être décapité un messager du roi arrive et apporte son pardon. Tien est libéré et transporté presque mort au village. Maître Bua guérit Tien et lui enseigne la méditation pour l'aider à résoudre les problèmes de son karma. Ong Bak 3 est une suite ennuyeuse désordonnée et inutile de Ong-bak 2 : La Naissance du dragon qui était déjà une dinde incroyable. L'intrigue est confuse brutale et plus dramatique mais superficielle tous comme le film précèdent et c'est un film très décevant pour les fans de films d'action ou des films précédents. L'histoire au rythme lent présente des combats trop longs et excessivement violents et je pense qu'il est vraiment temps d'arrêter cette franchise...
Ce troisième volet à un propos philosophique et religieux mal développé, dommage.
Les scènes de combats sont bien chorègraphier.
Les costumes et les décors sont bien réalisés.
Les scènes de combats sont bien chorègraphier.
Les costumes et les décors sont bien réalisés.
beau film néanmoins un peu trop spirituel à mon goût.Trop axé sur la noirceur , les esprits maléfiques , beaux combats quand même
Ti Nou
Suite directe reprenant exactement là où le deuxième épisode s’arrêtait et concluant un semblant de récit, ce troisième chapitre, s’attardant un long moment sur la reconstruction de son héros torturé et brisé, s’avère moins spectaculaire, moins brutal et plus mystique que le précédent.
Henrico
Panna Rittikrai et Tony Jaa remettent le couvert à deux pour ce troisième Ong Bak. Le choix des deux hommes est à l’opposé de Ong Bak 2. Beaucoup moins de scènes de baston, beaucoup plus de scènes de méditation, d’introspection, et de danse. Les rebondissements sont encore plus invraisemblables. Et, tout comme pour le 2, on se demande si le choix du titre «Ong Bak» (= tête de Bouddha) pour ce 3ème opus, n’annonçait pas une incontournable faillite. Car si la tête de Bouddha est un élément moteur du 1er scénario, dans les 2ème, et 3ème, on ne voit vraiment pas poindre la moindre tête de Bouddha. Pénible du début à la fin.
Ong-Bak avait été un beau succès en France pour un film d’arts martiaux thaïlandais. Le second volet avait beaucoup moins bien marché. Le troisième, quant à lui, n’est même pas sorti dans les salles hexagonales. Cela se comprend assez en voyant le résultat.
En effet, après un générique résumant le film précédent, les 15 premières minutes adoptent un style très original (noir et blanc, beaucoup de ralentis...). Si la suite est formellement un peu plus classique, les 45 minutes suivantes restent tout de même loin des standards habituels des films d’action. En effet, pendant la première heure, il y a très peu d’action spoiler: (le héros est d’ailleurs à la limite de la mort pendant les trois premiers quarts d’heure et il passe au moins les 15 minutes suivantes à s’entraîner)
et se concentre énormément sur les croyances bouddhistes et thaïlandaises (suite à la sortie du film, Tony Jaa allait se retirer du milieu du cinéma pendant deux ans pour devenir moine bouddhiste, ce qui explique sûrement cette orientation). Le tout étant réalisé de manière assez lourde, le spectateur occidental aura rapidement tendance à s’ennuyer.
En outre, les acteurs ont tendance à surjouer, le personnage servant de sidekick comique l’espace de quelques scènes est ridicule, la musique est omniprésente faisant régulièrement ressembler le film à une espèce de gros clip et certains passages sont grotesques spoiler: (la tête tranchée qui continue à parler)
avant que le final vire au grand n’importe quoi. Les rares combats, d’ailleurs, sont eux-mêmes nettement moins impressionnants que ceux des opus précédents spoiler: (seuls quelques plans mettant en scène des éléphants le restent un peu)
.
Ong-Bak 3 : L’Ultime Combat se révèle donc au final un film assez nanardesque qui se voit plus comme une œuvre spirituelle que comme un film d’action mais sombre régulièrement dans l’ennui et le ridicule. Triste constat !
En effet, après un générique résumant le film précédent, les 15 premières minutes adoptent un style très original (noir et blanc, beaucoup de ralentis...). Si la suite est formellement un peu plus classique, les 45 minutes suivantes restent tout de même loin des standards habituels des films d’action. En effet, pendant la première heure, il y a très peu d’action spoiler: (le héros est d’ailleurs à la limite de la mort pendant les trois premiers quarts d’heure et il passe au moins les 15 minutes suivantes à s’entraîner)
et se concentre énormément sur les croyances bouddhistes et thaïlandaises (suite à la sortie du film, Tony Jaa allait se retirer du milieu du cinéma pendant deux ans pour devenir moine bouddhiste, ce qui explique sûrement cette orientation). Le tout étant réalisé de manière assez lourde, le spectateur occidental aura rapidement tendance à s’ennuyer.
En outre, les acteurs ont tendance à surjouer, le personnage servant de sidekick comique l’espace de quelques scènes est ridicule, la musique est omniprésente faisant régulièrement ressembler le film à une espèce de gros clip et certains passages sont grotesques spoiler: (la tête tranchée qui continue à parler)
avant que le final vire au grand n’importe quoi. Les rares combats, d’ailleurs, sont eux-mêmes nettement moins impressionnants que ceux des opus précédents spoiler: (seuls quelques plans mettant en scène des éléphants le restent un peu)
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Ong-Bak 3 : L’Ultime Combat se révèle donc au final un film assez nanardesque qui se voit plus comme une œuvre spirituelle que comme un film d’action mais sombre régulièrement dans l’ennui et le ridicule. Triste constat !
La suite directe du 2 qui explique l'ensemble des films, bouddhiste sauf erreur. On comprend mieux l'ensemble même si c'est toujours une sorte de méli-mélo. Une philosophie de la non violence pour des films qui misent à peu prés tout sur une violence experte et exacerbée c'est pas banal. Il y avait cependant les prémices de cela dans le premier. Des caractères et des idées plus intéressantes dans ce dernier film pour ceux qui sauront en déceler la logique car ceux qui ne voient ou ne recherchent que la baston et la noirceur doivent être déçus.
Un enfant aurait fais mieux, un navet à l heure actuelle peut être le top navet, dommage car les talents de Tony Jaa en combat sont incontestables.
Le « Ong-Bak » de trop! Changement de metteur en scène pour cette troisième mouture de la trilogie! Tony Jaa reprend le flambeau et signe ici une suite directe au second opus qui ètait le prequel du premier! Sorti en 2010, "Ong-bak 3 : l'ultime Combat" dèbute au moment où s'arrêtait "Ong-Bak 2". Mais la teneur du film est (hèlas !) radicalement diffèrente, moins de combats spectaculaires, avec un mysticisme de bazar qui fait souvent rire! Une sorte d'esprit venue du nèant où l'art de la danse prend des allures d'initiations dans le bouddhisme ridicule! il n'est plus question de vengeance mais de rèdemption et de victoire grâce à l'apaisement et à la mèditation! Et on comprend dès lors pourquoi l'acteur et rèalisateur Tony Jaa a mis sa carrière de côté (pas bien longtemps mais suffisamment assez pour faire le buzz) pour devenir moine bouddhiste à la fin du tournage! « Quand l'ombre apparaît, c'est que la lumière n'est pas très èloignèe ! » Mèditez bien là-dessus [...] Allez en route pour l'Asie, direction la Thaïlande...
largement moins bien que les précédent beaucoup moins d'action Histoire limite Baclet avec des scènes de combat -spectaculaire une histoire moins intéressante dommage que ce troisième opus reprenne là où le deuxième s'est arrêté alors que le deuxième été Les origines du héros j'aurais aimé que le 3 pour suivre l'histoire du premier mais sinon quand même un bon petit moment passé devant ce film
Je pensais qu'il serais difficile De faire pire que le deux. Ba Tony jaa à réussi cette exploit. Se 3eme volet et pas nul il et pitoyable. Histoire à dormir debout on voit Tony jaa pendant 40 min se remettre des coups qui la subit autant vous dire que sa dure une éternité. Seul les 20 dernières minutes son intéressante avec les scènes de combat qu'il maitrise parfaitement mais c'est loin de sauver le film. Il dure 1h40 mais on a l'impression qu'il dure 4 h. heureusement il a su s'arrêter et ses le dernier ouf
L’histoire est un peu confuse, n’ayant pas vu les 2 précédents films dont ces metteurs en scène ont réalisé l’opus 2. Il y un bon qui se fait tabassé au début jusqu’en mourir presque mais un sage bouddhiste le guérit de ses blessures et lui apprend à méditer et à maîtriser sa force mentale et physique. Il y a quelques longueurs et c’est très violent avec toujours des combats bien filmés.
spoiler:
Le bon finit par triompher du méchant qui s’empale sur une défense d’éléphant
. Un film probablement plus adapté au marché thaïlandais.
. Un film probablement plus adapté au marché thaïlandais.
N'y allons pas par quatre chemin ce film est nul. Un film sans scénario, des dialogues pauvres et des acteurs frôlant la médiocrité totale. Même les combats sont nuls. Le reste n’est qu’un ramassis de voyage intérieur dont le traitement est hideux. J'ai vu le premier c'était bien mais pour celui ci passez votre chemin. 1,5/5
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