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    Un Poison Violent
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    110 critiques spectateurs

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    conrad7893
    conrad7893

    299 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 avril 2012
    un film ennuyeux très lent, malgré la présence de galabru dans le rôle d'un grand père ambigu
    dans ce film tout parait ambigu, confus comme l'être humain
    un jeune fille à l'aube de sa confirmation se pose des questions sur sa foi et va vivre ses premiers émois amoureux.
    Je n'ai pas aimé du tout
    Akamaru
    Akamaru

    3 089 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2014
    Prix Jean Vigo et présentation à Cannes en 2010 dans une section parallèle. Katell Quilleveré faisait à 29 ans une entrée remarquée dans le cinéma d'auteur français. "Un poison violent" est une chronique assez classique du difficile passage de l'adolescence à l'âge adulte dans une bourgeoisie provinciale et catholique qui semble figée hors du temps. La jeune Clara Augarde,15 ans,est une belle découverte,avec son mysticisme jamais percé à jour. Quilleveré questionne la foi et les premiers émois amoureux dans un amalgame pas franchement harmonieux,subtil ou âpre. Les références au cinéma de Bresson sont nombreuses,mais Pialat est loin,malgré ce qui est entendu par ailleurs. En fait,il ne se passe presque rien,et surtout rien ne se dégage par rapport à ce que l'on connaît déjà sur le sujet. On retiendra donc,outre la composition sobre de Lio,cette atmosphère de Bretagne traditionnelle.
    tixou0
    tixou0

    697 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 août 2010
    Les émois, surtout amoureux, des jeunes gens : voilà un thème qui n'a rien de neuf, en littérature ou au cinéma. Katell Quillévéré pense pourtant renouveler dans une certaine mesure la question, en adjoignant une pseudo dimension religieuse (original à notre époque de déchristianisation aiguë) à la crise existentielle ordinaire de l'adolescence. On espère que le "poison violent", qui donne son titre au Prix Jean-Vigo 2010, est l'amour (comme l'a écrit Gainsbourg), dont il est ici question sur tous les tons : amour de soi, amour des autres, amour filial et maternel (et aussi paternel, et même grand-paternel), amour conjugal (et extra-conjugal), amourettes et amour naissant.... Sur la crise de fin d'enfance d'Anna, c'est gentiment brossé, mais cela reste très banal (et dans les propos, et dans la mise en scène). Cependant, il y a aussi la crise de foi.... Et là, on se demande si le "poison violent" n'aurait pas un autre sens pour la jeune (co)scénariste et réalisatrice qui signe son premier long métrage, tant la charge contre la religion catholique s'avère démonstrative, et pour tout dire pesante. "Poison violent" que le catholicisme, dénoncé par le grand-père anticlérical et libidineux, "poison violent" encore que cette religion qui impose l'abstinence à ses ministres du culte, ce qui en l'occurrence contrarie les plans de la mère dépressive d'Anna, qui referait volontiers sa vie avec le jeune curé (recteur, non, en Bretagne ?) de son village, "poison violent" dont la doctrine sépare esprit et corps, comme l'assène sans nuances le prélat qui prononce l'homélie de confirmation de la jeune fille, laquelle d'ailleurs a une fâcheuse tendance à l'évanouissement tendance mystique etc. Je limiterai donc devant tant de roublardise ma notation à 1 étoile, pour l'interprétation de Clara Augarde (Anna) et de Michel Galabru (le grand-père) - mais en aucun cas pour celle de Lio, saluée par beaucoup, mais toujours aussi mauvaise actrice pour moi.
    Rik13
    Rik13

    22 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mai 2012
    "Un poison violent", premier long métrage de Katell Quillévéré, est un film au rythme plus que lent et dans lequel il ne se passe pas grand chose. La réalisatrice y parle de la foi, du rapport à la mort, de famille éclatée et de l'épanouissement délicat d'une jeune fille de 14 ans. Faute d'un scénario plus consistant, le récit ne fait qu'effleurer tous ces sujets. Les dialogues sont peu recherchés et les musiques languides qui accompagnent le film n'arrangent pas les choses. De bonnes intentions donc mais un traitement trop superficiel et un manque de dynamisme qui finit par lasser sur la longueur. Bonne interprétation tout de même de la jeune Clara Augarde dans un rôle peu évident.
    Thomas P
    Thomas P

    34 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 août 2010
    Aïe ! Un premier film de Katell Quillévéré qui nous embarque dans une succession de scènes aussi longues et lentes les unes que les autres. L’amour juvénile ou perversion octogénaire quasi-incestueuse ? Le message du film a dut mal à être déchiffré entre les nombreuses prières et élocutions ecclésiastique que compte ce long-métrage. Mise à part quelques scènes vivantes (la partie de football), le reste sombre dans l’obscurité, avec des personnages ennuyant, dont aucun n’aura sut nous séduire, mais plutôt nous dégouter. On ne s’attache pas à grand-chose dans ce film, où même l’esthétisme et les plans ne sont pas à la hauteur. Seul bon moment dans le film : le générique de fin ! En plus d’une belle reprise de Creep, il annonce la fin de ce calvaire.
    Caine78
    Caine78

    6 692 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 septembre 2011
    Chiant est le premier mot qui me vient à l'esprit pour décrire ce « Poison violent ». Pas honteux, plutôt bien joué par une jeune actrice que l'on souhaiterait revoir ailleurs et un Michel Galabru plutôt surprenant, mais c'est tellement long... On apprend finalement quasiment rien sur le malaise de l'enfance, sur la difficulté de passer à l'âge adulte, sur les premiers émois amoureux. Nous sommes dans une logique typiquement française de « cinéma vrai » que semblent adorer au plus haut point certains, mais reste que pour moi l'expérience a été particulièrement peu agréable, pour ne pas dire assez gonflante. A éviter.
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 février 2014
    Quel chapelet de poncifs sur les émois amoureux de l'adolescence et les méandres de la foi religieuse! Que de clichés sur la province et l'ennui de la vie bourgeoise! Où est le poison, où est la violence? On ne retiendra de ce film que les débuts prometteurs d'une jeune fille Clara Augarde qui exprime les hésitations de l'adolescence sans mièvrerie ni emphase. Galabru nous a exaspéré par ses truculences de vieux barbon, comme d'habitude...Des images paresseuses (la pluie en Bretagne!), une musique envahissante, une absence de fil romanesque ont fini de nous convaincre qu'on se trouvait davantage devant une pale copie de Cavalier ou une caricature subliminale de Pialat, cinéastes souvent cités par la jeune réalisatrice et que nous ne portons d'ailleurs pas au pinacle malgré quelques réussites.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 août 2010
    N'en déplaise à celles et ceux qui trouvent ce film génial, poétique et tout et tout, moi je l'ai trouvé mauvais, voire nauséabond.
    Le scénario est d'une lenteur exaspérante, les acteurs semblent jouer faux (mais qu'est-ce que Galabru est allé faire dans une telle pétaudière ?).
    Je me pose également de sérieuses questions sur les raisons objectives et sérieuses qui ont justifié de nous montrer gratuitement et à plusieurs reprises l'anatomie intime de Clara Augarde (qui joue le rôle de Anna)... A titre indicatif, cette jeune actrice a 15 ans, ce qui nous a involontairement transformés en voyeurs malsains. La scène du sexe dévoilé au grand-père est à la limite du scandaleux et de l'inacceptable.
    Dernier point qui étaiera sans doute mon propos quant au manque de sérieux de l'équipe scénariste/réalisateur : les scènes tournées dans l'église sont pleines d'erreurs. Quelques exemples : un évêque entre dans l'église en portant sa crosse, il ne lit (éventuellement) que le texte de l'évangile, en tout cas jamais une épitre et une fois dans le choeur de l'église, il ne porte plus sa mitre. Détails mineurs et sans importance ? Voire : ils nous éclairent sur le manque de sérieux et de professionnalisme de tous ces gens.
    Un beau ratage que tout ça.
    Gwen R
    Gwen R

    47 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2010
    Un film bien mené sur la naissance du désir face à la(crise de) foi. De bons interprètes, des éléments ambigus qui auraient mérités detre developpés.
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    47 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juillet 2017
    Je m'avoue un peu déçu ,j'attendais plus de ce premier film qui aborde certes avec pudeur et intelligence le passage de l'enfance à l'adolescence mais qui a mon gout comporte également trop de longueurs et de références religieuses.La jeune Clara Augarde s'avère extrêmement touchante ,elle apporte fraicheur et douceur a son personnage de jeune vierge dont les premiers émois amoureux fragilise les pensées ,elle reste le principal atout d'une oeuvre d'une incroyable lenteur doté d'un scenario famélique qui finit par tourner en rond.
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2014
    Un sujet banal : une famille bourgeoise, le grand père attachant et libidineux se meurt, les parents divorcent, la mère est bigote, la fille ado découvre les premiers émois charnels et le doute sur sa foi, le jeune prêtre est tourmenté par la tentation..... de tout ça, une mise en scène lumineuse, de bons acteurs et une bande son magnifique font une oeuvre touchante, sensible, émouvante, le tout avec l'ambiguïté sensuelle qui met un peu de piment sur ce qui aurait pu être un peu fade.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    149 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2014
    Une excellente film sur une jeune croyante qui succombe au péché original : la tentation. Avec l'excellente chanteuse Lio qui joue la mère et Michel Galabru qui a joue le grand-père. Une B.O. sublime : la reprise de Creep de Radiohead reprise par la chorale Scala. Un magnifique drame sur la religion.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    116 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 août 2010
    Un poison violent est triste, une réalisation et un scénario peu convaincant et ennuyeux.
    willycopresto
    willycopresto

    130 abonnés 1 352 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 mars 2016
    "Un poison violent" (2010) France 4 le 09.03.2016
    A pleurer ! Je ne prédis pas une longue carrière à Quillevéré ! Ce nanar est déprimant ! On peut se demander qui a eu l'irresponsabilité d'exhumer du congélateur cette histoire sans queue ni-tête, et complètement assommante ! On cherche quelque intérêt à accorder à ce navet, mais en vain ! D'ailleurs, la voix du peuple est souveraine : 55000 entrées en salles seulement ! Espérons que ça aura suffi à acheter des sandwiches aux figurants ! Bref, c'est complètement tarte ! Et ça fait longtemps que je n'en avais pas vu de la sorte ! A éviter !
    willycopresto
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2015
    Peut-on parler d'inceste entre le grand-père et sa petite-fille ?
    Katell Quillevéré a traité les scènes "scabreuses" avec suffisamment de grâce et de distance, pour qu'elles aient du sens: -l'éveil à la sexualité pour une jeune adolescente, pour qui la Foi est importante et surtout une jeune fille "ni blanche ou noire" mais comme chacun de nous, au mieux "gris clair" !!! -
    Un grand-père "rebelle" et libre, un soupçon iconoclaste -une maman, un peu perdue qui garde la nostalgie de ce que découvre sa fille -un prêtre qui fait de son mieux....
    Voilà des choses que j'ai aimé dans ce film intimiste, ancré en Bretagne profonde. Ce que j'ai moins aimé: -

    N'est-ce pas la vie rurale, telle qu'elle était, il y a 30 ans ? -Le discours (homélie) de l'évêque m'a semblé lui aussi très "culpabilisant" et pas celui qui rappellerait "que Dieu est Amour"
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