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    Fleur du désert
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    4,0
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    196 critiques spectateurs

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    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 février 2018
    Un film magnifique, nécessaire, et bien écrit sur un sujet poignant, avec la superbe Liya Kebede. Un grand moment d'émotion.
    Dadou
    Dadou

    62 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2013
    Un film poignant et touchant sur la condition de la femme face à certaines traditions culturelles abominables.
    jfharo
    jfharo

    54 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2010
    Une grande leçon ,avec manequin qui a tout d'une actrice pas comme Casta ou Bellucci .Bravo !.
    Caine78
    Caine78

    6 683 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2010
    « Fleur du désert » commence plutôt bien. Loin du plaidoyer larmoyant attendu, le film présente au contraire une réelle volonté de raconter une histoire, le milieu social s'avérant plutôt bien retranscrit et les différentes répliques fort efficaces. Hélas, comme l'on pouvait s'en douter cette impression ne dure qu'un temps et rapidement les bons sentiments refont surface, peu aidés qui plus est par un montage particulièrement peu convaincant. C'est bien gentil de vouloir éviter les narrations linéaires, mais si c'est pour nous imposer les déboires d'une jeune enfant pendant presque une demie-heure si l'on accumule les trois séquences (apparaissant environ à chaque tiers du film) alors que celles-ci pourraient être torchées en dix minutes, l'intérêt est extrêmement moindre pour ne pas dire un peu pénible. Pourtant, et même s'il faudra également faire abstraction de la superficialité avec laquelle est traitée le monde de la mode (il faut dire que ce n'est pas évident du corps à une telle activité), il faut reconnaître à l'oeuvre une réelle sincérité dans son propos faisant qu'il est au final quelque peu compliqué de la rejeter totalement. De plus, le film peut compter sur un atout majeur trop souvent sacrifié par les films d'aujourd'hui : ses seconds rôles. En effet, que ce soit la toujours aussi délectable Sally Hawkins dans un numéro et un personnage sur mesure sans oublier un Craig Parkinson tout droit sorti de « Coup de foudre à Notthing Hill », l'excellent Timothy Spall ou encore la trop rare Juliet Stevenson, tous apportent à leur manière un réel supplément d'âme à un film qui eût sans doute été nettement moins agréable à suivre en leur absence. Bref, c'est du cinéma sans grande surprise et même un peu facile, mais dont il n'est toutefois pas interdit de se priver, ne serait-ce que pour le charme et le talent de ses interprètes : ce n'est après tout pas si courant pour ne pas être signalé.
    caro18
    caro18

    171 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Le parcours étonnant de cette "fleur du désert" et son combat contre l'excision.
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mars 2010
    Si on me conseillait fermement d'aller voir un biopic sur Claudia Schiffer ou sur Carla Bruni, il est probable que je renâclerais, me montrant peu intéressé par le monde de la mode, ses coucheries et ses "sniffettes". Et pourtant, c'est bien un biopic sur une "top modèle" que je vais vous conseiller très fermement d'aller voir ! Mais, attention, pas n'importe quelle "top modèle" ! Il s'agit de Waris Dirie, d'origine somalienne, devenue célèbre par son combat contre l'excision, qu'elle avait elle-même subie à l'âge de 3 ans, ce combat lui valant d'être nommée "ambassadrice de bonne volonté" de l'ONU contre les mutilations génitales féminines. "Fleur du désert" est un film "grand-spectacle", un film "grand public", mais c'est avant tout un grand film, très fort, très sobre, très pudique. Sa réalisatrice, Sherry Horman, est née aux USA il y a 50 ans et vit en Allemagne depuis l'âge de 6 ans. C'est dans ce pays qu'elle travaille, surtout pour la télévision. Pour interpréter la somalienne Waris Dirie, Sherry Horman a choisi une ex "top modèle" d'origine éthiopienne, Liya Kebede, qui se révèle excellente comédienne. Quant à sa beauté, disons que si la beauté féminine a un absolu, elle en est à coup sûr très, très près ! On appréciera aussi dans ce film le rôle tenu par le photographe qui découvrit Waris Dirie, un homme touchant, aux antipodes de ce qu'on croit savoir sur les photographes de mode. Un film à voir et à faire voir. Je ne me permettrai qu'un seul petit bémol : par moment, la musique est trop présente et souvent hors sujet.
    defleppard
    defleppard

    375 abonnés 3 365 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2010
    Histoire vraie d'une Somalienne partie de rien qui devient top model . Bien, mais réalisation qui manque un peu de tonus.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 177 abonnés 7 496 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2010
    Sherry Hormann adapte le roman éponyme et autobiographique de Waris Dirie, narrant le destin hors norme et incroyable d'une jeune somalienne, fille de nomade, qui fuit sa famille à l'âge de 13 ans afin d'éviter un mariage forcé, évitant par la même occasion la guerre civile. Elle se retrouve à Londres, après avoir vécue dans la rue, elle se retrouve femme de ménage dans un snack et du jour au lendemain, mannequin professionnel et international. Grâce à sa notoriété, elle se battra contre l'excision en étant nommée au poste d'ambassadrice de l'ONU (elle même victime de cette torture à l'âge de 5 ans). Une histoire digne d'un conte de fée, improbable et sidérant à la fois, Fleur du désert (2010) nous offre tout cela, digne d'une adaptation Hollywoodienne (avec une très belle B.O), le tout, porté par des comédiens sensationnels, à commencer par LA révélation de ce film, la sublime Liya Kebede, aux côtés de Sally Hawkins & Timothy Spall. Une adaptation émouvante et porteuse d'espoir.
    Requiemovies
    Requiemovies

    205 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2010
    Adaptation du livre de Waris Dirie le film s’inscrit à partir de ses 10 premières minutes de sortie salle à la case peu appropriée mais non honteuse de téléfilm. Tout dans cette fiction nous ramène aux codes télévisuels de soirées hertziennes il s’entend. Une réalisation fade et sans saveur aux couleurs de photo de studio tendance sitcom pour certaines scènes d’intérieures. Le jeu quand à lui oscille entre « premier pas » qu’on pardonnera à Liya Kebede et l’insupportable Sally Hawkins qui à elle seule nous ferait regretté de regarder le film (erreur de casting ?). Le scénario en lui-même semble bien adapté et heureusement pensé avec des ellipses judicieuses qui font supporter l’ensemble visuel du film jusqu’à sa fin. On n’évitera bien sûr aucun cliché dans ce genre de biopic, dégoulinant de bons sentiments téléphonés. Peu, voir pas subtil dans ces moments les plus forts le seul bon point du film serait sa musique qui a chaque moment vient nous informer dans l’intention émotionnelle à ressentir. On conclura donc qu’en remplissant une telle chartre ce genre de long métrage ne peut que difficilement s’inscrire au tableau du 7ème art. Reste l’histoire du parcours de Waris Dirie qui montre comment avec force, courage et volonté cette femme tente encore de changer le destin de celles qui n’ont pas la parole et vivent dans la souffrance. Frustrant de passer cinématographiquement à côté…
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 janvier 2011
    Trop caricatural, le pathos freine l'émotion. De plus la mise en scène est vraiment bâclée.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2023
    Un récit initiatique cultivé à l'eau de rose mais attachant et touchant par moment, sur l’incroyable destin de Waris Dirie, des plaines d’Ethiopie aux défilés de mode, et de son combat difficile contre l’excision, interprétée par la lumineuse Liya Kebede.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2023
    Comme je l’ai écrit souvent à propos des histoires vraies (et je radoterai sûrement encore), peu m’importe si la mise en scène est classique, du moment que l’histoire racontée me trouble, c’est gagné.
    Je n’oublie jamais que le cinéma me raconte une histoire ou un document.
    Si c’est un document qui me raconte une histoire, c’est encore mieux.
    A ce paramètre s’ajoute mon cheval de bataille primordial : la direction d’acteurs que je place avant la mise en scène selon les cas de figure.
    Je dois croire à l’histoire tout simplement.

    Comment réagir face à des histoires vraies comme les biopic ?
    Parfois, c’est romancé avec pudeur ; parfois c’est exagérément romancé au point de friser la malhonnêteté ; mais souvent c’est instructif.
    « Instructif » ne signifie pas pour autant émouvant, ce peut-être clinique, sans âme.

    « Fleur du désert » est indéniablement un sujet fort : une fillette somalienne fuit sa famille pauvre parce qu’elle refuse d’être donnée en mariage à un vieil homme riche… en chèvres !
    Elle parvient à rejoindre Mogadiscio après une odyssée dans le désert où réside sa grand-mère, laquelle l’envoie à Londres dans une ambassade où un membre de sa famille exerce ; puis SDF et top model pour dénoncer l’excision !
    Ouf !

    «L’excision », voilà Le sujet.
    Force est de constater que ledit sujet n’est abordé que deux fois : dans une chambre avec une amie et à quelques encablures de la fin du film lors d’un discours à l’ONU.
    Dommage ou pas ?

    Le film débute sur une fillette qui récupère un bébé chèvre tout juste sorti des entrailles de sa mère. La caméra s’élève et embrasse un paysage aride de Somalie. J’avoue que j’avais un oeil sur la femelle morte en couches : un corps relativement propre, aucune trace de la mise à bas. Quant au chevreau recueilli dans les bras de la fillette, il ne semble pas maculé de sang, de liquide amniotique.
    Ce détail peut paraître inutile mais il donne l’air de rien le ton du film : un récit relativement glacé comme les feuilles d’un magazine… de mode !
    Certes, la réalisatrice s’attardera sur les pieds de la petite fugitive mais dans l’ensemble le scénario ne respire pas la crasse, les mauvaises odeurs, la souffrance des corps.
    En tout les cas, je ne l’ai pas vraiment perçu.
    Par contre, le parcours de Waris Dirie, des montagnes arides de la Somalie au podium bling bling de la mode relève vraiment d’un parcours hors norme.
    Et sa relation avec Marilyn, interprétée par la pétulante Sally Hawkins, constituait de bons moments sympathiques.

    Cependant, il y a une scène à extraire de ces « bons moments sympathiques » :
    la révélation de l’excision de Warris à Marilyn ; les deux actrices sont formidables d’intensité, de pudeur, de compassion.
 Evidemment le discours de Warris Dirie à l’ONU est émouvant.
    Elle a invité le monde entier à prendre conscience de l’excision. Acte barbare d’un autre temps, acte barbare qui n’aurait jamais dû appartenir à un autre temps !
    Acte barbare encore et encore à l’initiative du mâle. De l’homme bestial.
    Et encore, pourquoi employer le mot bestial, je ne crois pas me tromper si j’affirme que dans le monde animal, donc chez les bêtes, il y ait une espèce qui se comporte ainsi.

    « Fleur du désert » a le mérite simple et fort de m’instruire et c’est déjà ça.

    Je saluerai la prestation de Liya Kebede qui a su me faire croire à son personnage Waris Dirie.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    588 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Cinq étoiles pour son sujet, la beauté et le talent de Liya Kebede qui dans le rôle de Waris Dirie ne mérite que des compliments. Cinq étoiles pour la mise en scène lors des prises de photo qui dégagent une émotion profonde devant la gène et la douleur de l’actrice. Mais, que de mauvaises choix ! Que de négligences lors des séquences dans lesquelles Waris est absente ! Et, que de problèmes graves qui nous sont jetés au visage mélangés comme dans un patchwork. La réalité et tellement plus complexe qu’il ne faut l’aborder que sujet par sujet. De plus, les choix dépendent trop souvent de l’impact que Hormann veut obtenir auprès des spectateurs. Il est facile d’accentuer les cotés dramatiques; la mise en scène ne s’en prive pas quitte à véhiculer de la laideur. Par contre, sur le thème de l’excision qui est ce que la vraie Waris Dirie dénonce le plus fort, le discours final ne devrait pas comporter de justification. C’est tout simplement une pratique à éliminer totalement des comportements humains, du moins au niveau des enfants innocents, forcement non consentants.
    SB88
    SB88

    23 abonnés 1 155 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2019
    Histoire et parcours très convenus mais j'ai adoré les paysages du début.
    Jolie actrice et forcément, histoire touchante.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 novembre 2010
    Un très bon et beau film. Une histoire bouleversante.
    Les meilleurs films de tous les temps
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