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crisane vegeta
11 abonnés
416 critiques
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4,0
Publiée le 29 avril 2024
très joli biopic sur ce robinson, très bien réalisé, bonne mis en scène, acteurs convainquant, j'ai passé un très bon moment. Film à voir sans hésitation.
Pas de surprise, que ce soit en termes de réalisation, qui est très "linéaire", ou scénaristiquement parlant, pourtant le fait que ce soit adapté d'une partie de la vie de Jackie Robinson, n'empêche pas un peu de surprise dans l'écriture. Bref, un biopic sportif made in USA parmi d'autres, ce n'est pas mauvais ni excellent, le casting est plutôt bon, la B.O agréable, etc...mais c'est tellement lisse que ca en devient ennuyeux. Perso j'aurais préféré que le réalisateur s'appuie encore plus sur la ségrégation, le racisme de l'époque, et que le baseball ne soit qu'une sorte de toile de fond, or là c'est plutôt l'inverse. Après, ne vous inquiétez pas, c'est plus que regardable et c'est toujours sympa de voir ce bon vieux H.Ford à l'écran.
Excellent film sur la polémique de Jack Robinson, le film est captivant et nous donne envie de suivre la suite de son histoire, qui a changé le monde sportif pour les personnes de couleurs!
Harrison Ford est un bon soutient pour le véritable premier rôle de ce film sur le racisme. La scène ou le joueur de base ball résiste aux insultes répétées fait penser à cette histoire du samouraï qui remporte le combat en laissant s'épuiser son jeune adversaire dont la technique est de contrer les attaques suite à ses provocations verbales. La conclusion est : le samouraï explique qu'en n' acceptant pas les insultes, en n'y réagissant pas, son adversaire doit les garder et est vaincu par son propre poison. Dans le film il est bien montré que la difficulté de ne pas réagir aux provocations au contraire d'être une lâcheté est une force qui demande une maîtrise de soi excellente. C'est un thème central dans ce film qui n'a pas un titre aussi anodin qu'il y paraît. C'est un récit romancé mais véridique ainsi que le numéro 42.
Critique de "42". Le film 42 raconte l'histoire de Jackie Robinson qui fut le premier joueur noir de baseball à évoluer dans une équipe professionnelle aux États Unis. Ce film est une belle histoire sur la tolérance et l'évolution des mœurs. C'est bien plus qu'une histoire sur le baseball, le film est bien réalisé avec de beaux décors et des acteurs assez bons. Ça vaut le coup de regarder. 3,5/5
On navigue à fond sur tous les clichés racistes du genre. Voici un film qui ne réinvente rien sur l'esprit d'équipe, les amitiés et les déboires raciaux. C'est ennuyeux à suivre jusqu'au bout. Il s'agit d'un film de rappel antiraciste peu intéressant avec des musiques typiques des années 40 à l'américaine. Plus que moyen. Je n'ai aimé que la courte scène de recrutement du joueur par H. Ford.
Encore un film sur l'intégration d'un Black dans la société américaine par le biais du sport. Celui-ci n'a rien d'original par rapport aux autres mais se laisse suivre agréablement malgré tout et ce grâce à de très bons comédiens particulièrement Chadwick Boseman qui a su rester très juste et ne pas trop en faire. Harrison Ford, lui, fait le taf mais sans plus. Ca suffit quand même pour qu'il reste juste et convaincant (C'est Harrison Ford quand même!!!) On retrouve les mêmes ficelles, les mêmes facilités liées à ce genre de scénarios qui prônent la tolérance mais finalement ça passe pas trop mal même si quelques longueurs par ci par là viennent laisser retomber le rythme qui tient le spectateur intéressé par le sort de ce joueur de Base-Ball légendaire!
Bon film sur les débuts de la mixité raciale au sein de la MLB. Tous les éléments sont réunis pour ce genre de film; le rejet, la difficulté à faire sa place, les retournements d'opinion, le dépassement.... Le casting sonne juste avec un Harrison Ford sobre et efficace. Un bon moment devant l'écran.
La période dans laquelle se situe l'histoire me donnera toujours des frissons, une histoire vraie d'autant plus...
J'ai passé un bon moment, un bon film, les acteurs tiennent très bien la route. La mise en scène et la photographie sont tout à fait correctes malgré quelques lenteurs.
Somptueux scénario basé sur une histoire vraie qui dénonce l'injustice de la période ségrégationniste, et plus particulièrement celle présente au sein des clubs sportifs.
Nous permettant de découvrir les enjeux d'une activité physique moins commune, le base-ball, ce film souligne les prouesses d'un joueur hors normes, porteur des grandes valeurs du sport, et nous divulgue une bonne dose d'humanité.
Un film de plus qui traite de la période de ségrégation aux états unis. Plus qu'un film, c'est un véritable devoir de mémoire pour tout ce qu'a subi cette population durant ces années honteuse dans l'histoire de cette puissance économique. C'est un hommage à ceux qui ont fait progresser les mentalités et initiés le changement en affrontant avec courage ces épreuves. Cela passe bien sûr par le personnage central, le joueur Jackie Robinson mais sans oublier tous les autres à commencer par le propriétaire des Dodgers... C'est là que se situe le principal intérêt du film avant tout sur l'aspect social que sur le sport en lui même. Evidemment, les amateurs de baseball dont je suis beaucoup moins réceptif que le foot us ou basket aimeront d'autant plus ce film
Je ne connais rien au baseball rien sur Jackie Robinson. Encore une fois, le cinéma m’offre l’occasion de faire connaissance avec un personnage historique qui m’est inconnu. Chaque milieu a son histoire inscrite dans la Grande Histoire. Ici, Jackie Robinson, joueur de baseball. Pas n’importe quel joueur : un joueur noir. Le premier noir à incorporer une équipe de baseball haut niveau Major League composée de blancs et ce grâce à la détermination de Branch Rickey. Peu importe que l’on soit hermétique au baseball, « 42 » nous propose le parcours d’un athlète noir qui doit affronter les insultes racistes. S’il tient le coup, il donnera tort à tous les détracteurs racistes et son « sacrifice » permettra d’ouvrir la porte à d’autres joueurs noirs. En attendant, il doit encaisser les coups en silence. S’il doit répliquer, que ce soit à travers son sport et son sens tactique. Et je dois avouer, que j’ai été ému par la force mentale de ce joueur, interprété avec sobriété par Chadwick Boseman. Emu aussi par l’humanité de Branch Rickey interprété là aussi avec sobriété par Harrison Ford. Les insultes proférées à l’encontre de Robinson sont insupportables. Et je ne crois pas qu’elles aient été exagérées. Pendant la période des manifs contre le mariage pour tous, des propos aussi insupportables ont été tenus. Encore un film instructif. A voir en VO.
Un début très très très très long. Et une fin tant attendu qui se concretise par des images et un scénario plus abouti, plus intéressant. On ne ressent pas vraiment les épreuves passées par le n°42 qui a pourtant une histoire et unebilage forte au sein de l'équipe des Dodgers! Dommage