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Malevolent Reviews
985 abonnés
3 207 critiques
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3,0
Publiée le 4 août 2013
Comme tout le monde le sait, la France et le baseball ne font pas bon ménage. Sport peu connu de nos contrées (sérieusement, vous connaissez bien les règles ?), il engendra une multitude de films pour la plupart inédits chez nous ou sortant directement en vidéo. En ce qui concerne 42, le film relate le parcours de Jackie Robinson, premier joueur de baseball afro-américain à avoir évolué en Ligue Majeure. Et si un biopic a déjà été réalisé en 1950 avec Robinson himself dans son propre rôle, le film du revenant Brian Helgeland va mettre les bouchées doubles... Le réalisateur-scénariste (qui n'était pas revenu derrière la caméra depuis Le Purificateur) s'intéresse donc aux débuts du joueur afro-américain, de son entrée aux Royals de Montréal grâce à l'œil persan du manager Branch Rickey à son parcours houleux avec les fans du baseball qui n'acceptent alors pas qu'un joueur noir puisse intégrer une équipe blanche. Nous sommes à la fin des années 40. Faisant face à des adversaires belliqueux, aussi bien dans les équipes adverses que dans la sienne, Robinson va se battre jusqu'au bout pour continuer à jouer parmi les prestigieux Dodgers de Brooklyn, constamment épaulé par le bienveillant Rickey (étonnant Harrison Ford), le journaliste sportif Wendell Smith (Andre Holland), sa femme Rachel (Nicole Beharie, vue dans Shame) et petit à petit certains joueurs plus ouverts d'esprit. Biopic aux thèmes classiques, 42 n'en est pas moins une brillante réussite tenant surtout de la mise en scène envolée de Helgeland, empruntant finalement beaucoup au style de Steven Spielberg. Malheureusement, si le scénario nous fait vivre l'aventure sans voir le temps passer, on pourra regretter un choix d'acteurs peu reluisant. Non pas que la palette soit indigeste, mais on aurait préféré d'autres figures pour incarner avec plus de justesse de tels personnages historiques (le rookie Chadwick Boseman reste très convaincant mais on a vu mieux en tête d'affiche). Ainsi, 42 est un biopic intéressant et surtout plaisant qui nous fait retracer le parcours atypique et touchant d'un homme désemparé à une époque haineuse du monde du sport. En espérant voir ce petit film dans les salles françaises...
Bon film bonne interprétation de la part de tous les acteurs mais film sur le baseball ce qui freine en général le visionnage par nos compatriotes alors que celui n'ai qu'une toile de fond pour le film et que le vrai problème montré est le racisme certaines scènes amène à nous faire réfléchir sur le poids des mots et des gestes.
Pas mal, beaucoup de bonne chose, quelques problèmes. 42 est très agréable à regarder. L'interprétation est très bonne, les acteurs font ressentir des choses. L'histoire est intéressante et montre bien le problème de la ségrégation aux USA dans les années 60 et le racisme encré dans les mentalité. La mise en scène est elle intéressante du point de vue du baseball, bien filmé tout au long du film. Cependant cette même mise en scène est un peu "trainante" au début du film. Mais le gros problème du film est sa linéarité. Bien sur c'est un biopic, on est pas libre de faire ce que l'on veux, spoiler: mais ici le personnage principal est un peu trop "sans faille". Il aurait été dans l'intérêt du film de montrer un peu plus la difficulté de ce qu'il endure et ses état d'âmes Pareil coté baseball, on ne montre jamais un match raté, ils sont réussit et remporté, c'est dommage.
En bref, un film sympathique qui manque de relief.
Ce biopic (encore...) s'articule autour de ce moment historique qu'est l'arrivée en MLB de Jackie Robinson, qui mit fin à 60 ans de ségrégation aux seins des clubs de l'élite. L'histoire en elle-même est donc intéressante et montre bien ce que Robinson a dû endurer durant cette période sombre de l'histoire des USA, mais le scénario manque d'ambition et est trop téléguidé pour espérer emporter l'adhésion totale du spectateur. On se retrouve face à une succession — un peu hachée — de scènes intéressantes mais qui ne forment pas un ensemble assez convaincant, ce qui est franchement dommageable compte-tenu du potentiel et de la puissance des faits. La réalisation très académique, à l'image du scénario balisé, n'arrange pas les choses. Mention spéciale tout de même à Harrison Ford, très intéressant au sein d'un bon casting mais malheureusement lui aussi pas assez exploité. 42 est un bon film en somme, mais assez loin en terme d'intensité d'un Moneyball par exemple, qui lui prend véritablement aux tripes.
Ça a été long à venir, mais "42" du scénariste-réalisateur Brian Helgeland est arrivé à donner le héros et l'héroïsme d'un traitement grand écran digne non seulement du changeur de jeu lui-même, mais aussi conscient de la grande (et mineur) des actes de décence nécessaire pour amener le changement social.
Le film n'est pas un balayage bio-pic, et c'est mieux . Au lieu de cela, Helgeland se concentre sur le temps juste avant et pendant la saison recrue de Robinson.
Ce qui ne veut pas dire que c'est une sortie modeste. "42" est un film à l'ancienne . Il a l'intention de remuer nos émotions et notre croyance . Oui, c'est un voyage sentimental. Mais c'est certainement bon à prendre.
La photographie de Don Burgess confère une aura robuste non seulement sur les protagonistes centraux du film, mais aussi les terrains d'antan.
"42" bénéficie d'une belle liste d'acteurs qui font un film meilleur. "42" a aussi une star de cinéma en donnant un de ses meilleurs role. Rembourré pour regarder stout et faire appel à un croassement d'une voix, Harrison Ford dépeint Rickey, qui a eu l'idée audacieuse de briser la barrière de la couleur au base-ball.
Le plus important et émouvant, "42" a une histoire d'amour inspirée à sa base, Ils y a une une chimie extraordinaire qui offre un portrait d'un mariage spécial. Il ya un profond romantisme respectueux à avoir dans un partenariat d'amour lucide.
Rachel Robinson, maintenant 90ans , a été consultant sur le film. Après la mort de son mari en 1972, elle a fondé le J Robinson Foundation ackie, dédié à aider les étudiants issus des minorités qui cherchent l'enseignement supérieur.
En effet, c'est un film sur une sorte de parité raciale. Helgeland et le but de l'entreprise pour le public de se réunir à l'expérience national des droits civils amrericains.
Tout comme le héros du film, le mouvement des droits civiques était à sa raison.
Près de 15 ans avant que Martin Luther King Jr. ai prononcé son discours le plus connu il y avait Jackie Robinson, résolu et invaincu par le racisme au vitriol: "J'ai un champ de rêves».
Pas tout à fait, mais cette histoire inspire et divertit avec un chapitre essentiel de l'histoire des states.4/5
Adapté de l'histoire vraie de Robinson, "42" se dote d'un scénario extrêmement bien écrit et minutieux pour retranscrire la réalité. De ce fait, l'histoire captive totalement le spectateur puisque l'on sent un travail méticuleux. Par ailleurs, la réalisation est excellente offrent des scènes intenses et poignantes. De plus, les acteurs sont vraiment convainquants surtout les protagonistes. Ainsi, avec un ensemble parfaitement maîtrisé, le film entraîne le public jusqu'au dénouement en le divertissant et le touchant.
Un film qui passera sûrement inaperçu en France, sauf peut-être pour les amateurs de baseball, et c'est bien dommage, car ce n'est pas qu'une simple histoire de baseball, c'est le parcours d'un grand homme... Jackie Robinson. Retraçant sa vie, retraçant son combat, le film réussi à nous émouvoir, à nous faire rager dans les pires moments, un film qui réussi son pari, un bel hommage à Monsieur Robinson. Un chef d'oeuvre !
Voici un excellent film sur le baseball, sport qui n'est pas très connu en Europe. Ce film exprime clairement l'injustice qu'était la ségrégation dans les 1940. Robinson fut le premier joueur noir américain en ligue majeure et deviens l'idole des noirs américains. Le jeu d'acteur est bon et Harrison Ford reviens enfin sur un très bon film.
42 est un pur divertissement américain traditionnel : Inspiré d'une histoire vraie et dénonçant une injustice, la ségrégation, il trouve évidemment une réponse parfaite avec le sport, royaume où seul les performances des athlètes comptent. Et si on se doute que l'histoire est enjôlé pour parfaire le trait, il reste un bon divertissement qui a le mérite de dénoncer une époque heureusement révolu mais ô combien récente. A voir même pour les non fans de baseball
J'avais vu le trailer au cinéma et il m'avait pris aux tripes. Le morceau de Kanye West était incroyable, le montage super épique et les acteurs charismatiques. Mais là, face au film, non. Je comprend pas ce qui s'est passé entre ce que j'ai ressenti devant la bande-annonce et le navet ennuyeux que je me farcis en version longue. Autant l'histoire est touchante, vraie et le message est bourré de bonnes intentions, autant la réalisation est relou à mourir. Les héros sont mal introduits, leurs relations sont pauvrement établies et du coup l'ensemble est très peu attachant. Au lieu d'avoir créé une véritable identité à chaque personnage, du moins les principaux, qui allait accrocher le spectateur, on nous les jette à l'écran avec l'esprit "tous ensemble contre le racisme" comme seule excuse.
Magique!... Une réalisation extraordinaire. Harrison Ford fantastique... Une leçon!... Bref, un petit chef d'œuvre d'équilibre... d'images, d'histoire, de son, de photo et d'émotions. Comment ignorer après ça toutes les petites histoires qui font la grande?... Et qui nous grandissent d'autant... Merci;-))
42, c'est une histoire symbolique du premier joueur de baseball afro-américain dans la ligue de baseball. Le film est simple, c'est parfois assez émotif, d'autre fois choquant. Se dire que c'est arrivé depuis plusieurs décennies et pourtant. Un exemple à suivre. L'acteur est très bon, et ce n'est pas tellement technique par rapport à d'autres biopics. Dommage que ça soit un peu rapide pendant ses 2 heures, et que ça soit pas totalement complet.
Qui est le premier homme noir à avoir fait du baseball en ligue majeur, qui fut une légende pour un tas de personnes...????Oui, oui, c'est Jackie Robinson!!!!! Sport fétiche des américains, le baseball est à l'honneur dans ce film de Brian Helgeland sur la légende Jackie Robinson, premier joueur afro-américain à avoir joué en ligue majeur. On peut considérer ce film comme un beau Home-run vu qu'il a fait un excellent démarrage pour Warner. Et attention, devinez qui joue l'entraîneur... Et bah c'est Harrison Ford, Indiana Jones se reconvertit dans le baseball. Un très bon film avec de beaux moments, à recommander pour les fans absolus de baseball!!!!!!!!!!!!!!!
Un film sans concession sur la première et probablement la plus grande vedette du Base Ball noir américain. Le racisme suinte durant une bonne partie du film, ce qui rend d'autant plus ridicule la façon dont on encense Lincoln dans un autre succès actuel. Après la guerre, et des dizaines d'années après, le problème n'était pas réglé. et Robinson fut la révélation pour des millions d'américains. Son jeu intuitif et rapide et le pouvoir d'encaisser tant d'insultes racistes des spectateurs et des autres joueurs ont fait de lui le pionnier, le leader, et un représentant héroïque des noirs américains. Ce film est splendide, émouvant, dérangeant, et utile. Très utile !