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    Les Hauts de Hurlevent
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    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 095 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 juin 2024
    Des Hauts de Hurlevent je ne connaissais que l'adaptation pas dégueu de Rivette, je n'ai jamais lu le bouquin ou vu quoique ce soit d'autre sur cette histoire. J'avais donc juste une vague idée de l'histoire en tête : un garçon se fait recueillir dans une famille, a une relation fusionnelle avec une fille et la fille se marie avec un autre.

    Andrea Arnold dont j'avais apprécié Cow et Fish Tank livre là un film d'une grande radicalité, elle fait de cette histoire un pur objet cinématographique, réduisant la narration à son strict minimum. Il n'y a plus rien que deux gamins qui marchent dans les highlands, la caméra branlante, dans le brouillard. La force du bordel ! La puissance des images, du montage.

    Exemple, on comprend en un plan qu'un personnage est enceinte, un peu après on la voit accoucher, on voit le bébé qui pleure tout va bien et là ça coupe, raccord direct sur une tombe. La femme est morte en couche, ça ne sera jamais dit, mais on l'a compris direct, une violence, une brutalité, c'est terrible.

    Et tout fonctionne comme ça, avec un sens aigu du cinéma dans son intégralité, de comment on fait passer une émotion forte à travers la mise en scène, le montage et le jeu des acteurs.
    Parce que les acteurs sont fabuleux, jamais Kaya Scodelario n'aura été aussi belle. Les regards qu'ils se lancent, on comprend tout et rien n'est dit et ceci que ça soit les gamins ou les adultes, il y a une force dans le film dans chaque plan où on sent tout le côté âpre de ce monde, de cette vie au fin fond des highlands.

    Il y a également tout le côté mystérieux, on ne saura jamais ce qu'aura fait le personnage principal entre son adolescence et l'âge adulte, comment il a gagné son argent, on voit juste, on sent juste qu'il a encore gagné en magnétisme, on comprend comment il peut mettre l'héroïne par sa seule présence (ou absence) dans le mal.

    Il y a un côté tellement radical dans tous les partis pris dans le film. Je ne saurais dire ce qui vient du roman ou du film (dans le film de Rivette il me semble que le héros n'était pas noir, est ce que ça vient d'Arnold ou pas ?), mais on a un pur film de quelqu'un au sommet de son art, qui propose sa vision brutale, sans une once de compromis.

    Un film incroyable.
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 février 2021
    Ce film, réalisé par Andrea Arnold et sorti en 2011, est franchement moyen, enfin en tout cas en ce qui me concerne. Le film est librement adapté du roman éponyme d'Emily Brontë mais ne l'ayant pas lu, je ne pourrai pas le comparer au film. C'est en tout cas ici l'histoire d'un enfant noir recueilli dans une famille blanche, une tension amoureuse se créer avec la demie-sœur tandis qu'une tension autrement plus problématique se créer avec le demi-frère, raciste. Voilà bon, nous sommes dans du drame romantique mais honnêtement, l'ambiance est plombée au maximum. Soyons clairs, je ne m'attendais pas non plus à rire aux éclats pendant deux heures, surtout connaissant un peu le style de la réalisatrice, mais honnêtement, là c'est trop mélodramatique pour moi. Certes les images sont très belles, visuellement, on en prend plein la tronche mais d'un autre côté, on s'ennuie fermement pendant deux heures, enfin si nous ne sommes en tout cas pas réceptif à ce genre de film. J'ai d'ailleurs un peu de mal avec le cinéma d'Arnold, j'ai conscience que c'est une cinéaste qui aime prendre le temps de mettre les choses en place et d'installer le contexte, ses deux premiers films sont par ailleurs plutôt réussis, mais ici c'est tellement lent que j'ai très vite décroché ! C'est une ambiance très lourde, dans laquelle il faut comprendre que l'espace est notamment travaillé de sorte à nous donner des informations quant aux sentiments des personnages, ce qui explique le peu de dialogues, c'est donc gris, morne, froid et humide (comme dans la plupart des films de la réalisatrice en fait). Tout ce côté-là est vraiment très réussi, de même que la mise en scène par ailleurs. Mais pendant deux heures, c'est long ! Surtout que le film ne raconte finalement pas grand-chose (oui je sais, c'est subtil, mais quand même). Encore, durant la première partie du film, c'est-à-dire lorsque Heathcliff est "enfant", ça va mais alors lorsqu'il devient adulte, le film arrive à être encore plus longuet ! En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons principalement Solomon Glave, James Howson, Kaya Scodelario etc. qui jouent très bien. Je reconnais que je n'ai peut-être pas su être assez sensible pour comprendre cette version des "Hauts de Hurlevent" mais il faut également reconnaitre que c'est, encore une fois, très lent !
    P.  de Melun
    P. de Melun

    57 abonnés 1 142 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2017
    Zéro glamour, zéro flonflon romantique, mais un mélodrame cru et âpre, d'une intensité sauvage et sensuelle. L'approche d'Andrea Arnold fait souffler un vent nouveau sur ce classique de la littérature anglaise. Principale innovation par rapport au roman : Heathcliff est noir. Ce qui introduit une dimension sociale nouvelle, renforce la marginalisation du personnage et les difficultés d'un amour avec Cathy. Le scénario avive ainsi les tensions, les heurts. Pour le reste, il taille dans le roman, le dépouille de dialogues pour se concentrer de manière sensitive sur l'enracinement d'une obsession amoureuse dans un contexte rude et tourmenté. Le contexte humain, c'est un tissu de relations violentes, nourries de passion, de cruauté, de jalousie. Le contexte naturel, c'est un univers de boue et de vent, d'herbes folles noyées dans les brumes. Une caméra vibrante (souvent à l'épaule), propose des points de vue subjectifs, alternent des gros plans frémissants de vie (sur les hommes, les animaux, la végétation) et des plans larges plus froids mais saisissants de beauté (paysages, ciels). Dans le même temps se fait entendre une multitude de sons qui donnent encore plus de réalité, et d'épaisseur à l'environnement. Un environnement que l'on ressent grâce à une remarquable poétique des éléments avec une prédominance ici de la terre, de l'eau et de l'air. Le drame plonge ainsi dans une vraie matière élémentaire. Il y trouve son corps, son âme, son souffle. Et ça c'est rare. Quelques petites faiblesses empêchent toutefois de s'emballer complètement pour ce film. Au niveau de la narration, il y a un léger déséquilibre entre la partie sur l'enfance des personnages qui s'étire dans le temps avec un minimum d'actions, et la seconde partie, à l'âge adulte, plus ramassée et davantage concentrée en rebondissements qui auraient mérité un peu plus de développements pour un meilleur impact. L'ellipse temporelle met par ailleurs en évidence une mauvaise gestion de l'évolution des personnages : les actrices interprétant Cathy enfant et Cathy adulte sont assez différentes physiquement pour que la transition soit crédible. Cette nouvelle version des « Hauts de Hurlevent » n'en demeure pas moins très inspirée, singulière, consistante et puissante.La version de ce DVD (en anglais, sous-titré en français) donne une dimension universelle à l’histoire.
    (Critique d'un internaute que je partage)
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 juillet 2017
    Film à voir pour les amateurs du roman pour l'originalité du style et la beauté sombre des images. L’interprétation des acteurs laisse à désirer, surtout dans la deuxième partie du film.
    Kévin L.
    Kévin L.

    17 abonnés 316 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2021
    Il y a quelques part une trahison de l'œuvre originale à mon sens. D'une part en transformant le héros original en victime trop évidente, et moins complexe que dans le roman ; surtout en n'adaptant que la moitié du texte d'Emily Brontë. le résultat ne provoque pas chez le spectateurs les mêmes émotions, loin de là.
    Cinématographiquement parlant, la beauté visuelle du film est indéniable, la réalisatrice impose un univers sensoriel sauvage.
    L'œuvre est singulière, et évite le côté purement romantique.
    Mais passé le choc des premières images, cette version épuise vite sa charge émotionnelle.
    Finalement en ne plaçant le spectateur qu'à travers les yeux de Heathcliff le récit est comportement amoindrit dans toute la résonances de l'œuvre originale.
    Plume231
    Plume231

    3 928 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 avril 2015
    Je n'ai pas vu un nombre extraordinaire d'adaptations du chef d'oeuvre littéraire d'Emily Brontë ; en fait avant celle-là j'en ai vu qu'une à savoir celle de 1939 de William Wyler avec Laurence Olivier. Bien qu'après "Ben Hur" ce soit certainement le film plus célèbre que Wyler ait réalisé, j'ai tendance à le considérer comme un des plus faibles de toute sa carrière, la mise en scène étant trop académique et Merle Oberon dans le rôle de Cathy manquant trop de tempérament pour être crédible.
    Bon bref, je m'attendais à un résultat un peu plus convaincant de la part d'Andrea Arnold, d'autant plus que j'avais bien aimé son précédent film "Fish Tank", à quelque chose de beaucoup plus réaliste, plus dans l'atmosphère violente et passionnée de l'oeuvre d'origine, d'aussi dur qu'un rocher bouffé par le lichen dans une lande constamment battue par les vents...
    Alors résultat, j'ai eu quelque chose d'aussi dur qu'un rocher bouffé par le lichen dans une lande constamment battue par les vents mais la réalisatrice s'est tellement concentrée sur la dureté du cadre qu'elle a oublié un peu l'histoire, les personnages et les acteurs.
    Ce qui fait qu'au lieu du type rude et douloureusement amoureux d'Emily Brontë, on a un Heathcliff qui ressemble plus à un sociopathe qu'à autre chose. L'histoire n'est racontée que très maladroitement par brides. Les personnages peinent à être creusés à cause de cela. Et en conséquence, les acteurs ne peuvent pas jouer grand-chose ; seule Nichola Burley, dans le rôle de la belle-sœur de Cathy, parvient quelque fois à donner de l'émotion.
    Cette adaptation, la deuxième que je vois donc, est pour moi une déception. Dur mais vide.
    Joe75
    Joe75

    40 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    Une adaptation plutôt intello, esthétique et minimaliste de l’œuvre, qui mise avant tout sur la beauté de l’image et du son à défaut de l’action ou d’une quelconque velléité romanesque, ce qui devrait faire le bonheur des spectateurs d’Arte lors de sa diffusion sur les petits écrans. Certes, visuellement « ça le fait » et Andréa Arnold a réussi brillamment à retranscrire l’ascétisme de la vie et des paysages de cette campagne hostile isolée du Yorkshire, balayée par les vents violents du nord. En revanche il est préférable de bien avoir en mémoire l’œuvre originelle pour comprendre la trame narrative où les personnages secondaires ne sont qu’esquissés pour mieux focaliser l’attention sur Catherine et Heathcliff (qui, pour l’occasion, est devenu métis, histoire d’actualiser la thématique du racisme moderne). Cependant, à mes yeux tout n’est pas parfait, et cette version aussi ténébreuse que le roman, risque fort de déconcerter nombre de spectateurs lambda ou allergiques aux longs silences, aux gros plans fixes ou aux soubresauts chaotiques des scènes filmées caméra à l’épaule…De plus, les évolutions physiques des deux protagonistes entre l’adolescence et l’âge adulte sont en totale inadéquation par rapport à celles d’autres personnages (Hindley par exemple), ce qui nuit à la crédibilité de l’ensemble. Enfin, la scénariste a choisi de tronquer volontairement la dernière partie du roman (Hareton Earnshaw n’est encore qu’un gamin sur les dernières images), d’où une impression d’inachevé qui est paradoxale avec la lenteur ressentie au cours des 2h08 que dure le film. Espérons également que la cruauté obsessionnelle envers les animaux omniprésente dans le livre et partiellement retranscrite à l’écran a bien été faite avec le blanc-seing de l’AHA (Animal Humane Association) et que selon la formule consacrée, malgré les apparences « No animals were harmed »…Pour toutes ces raisons ainsi que pour avoir jeté quelques coups d’œil à ma montre pendant la séance en étouffant des bâillements, mon verdict sera…3 sur 5.
    ER  9395
    ER 9395

    87 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juillet 2014
    Un parti-pris de réalisation très particulier , une oeuvre qui se démarque vraiment de toutes les autres
    adaptations faites auparavant .
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 645 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2024
    Zéro glamour, zéro flonflon romantique, mais un mélodrame cru et âpre, d'une intensité sauvage et sensuelle. L'approche d'Andrea Arnold fait souffler un vent nouveau sur ce classique de la littérature anglaise. Principale innovation par rapport au roman : Heathcliff est noir. Ce qui introduit une dimension sociale nouvelle, renforce la marginalisation du personnage et les difficultés d’un amour avec Cathy. Le scénario avive ainsi les tensions, les heurts. Pour le reste, il taille dans le texte, le dépouille de dialogues, le « désintellectualise », pour se concentrer de manière sensitive sur l’enracinement d’une obsession amoureuse dans un contexte rude et tourmenté. Le contexte humain, c’est un tissu de relations violentes, nourries de passion, de cruauté, de jalousie. Le contexte naturel, c’est un univers de boue et de vent, d’herbes folles noyées dans les brumes. La réalisatrice et le chef op’, Robbie Ryan, captent tout cela avec une caméra vibrante (souvent à l’épaule), proposent des points de vue subjectifs, alternent des gros plans frémissants de vie (sur les hommes, les animaux, la végétation) et des plans larges plus froids mais saisissants de beauté (paysages, ciels). Ils jouent aussi superbement avec la lumière ou avec les focales, entre le net et le flou. Dans le même temps se fait entendre une multitude de sons qui donnent encore plus de réalité, d’épaisseur, à l’environnement décrit. Un environnement que l’on ressent grâce à une remarquable poétique des éléments, avec une prédominance ici de la terre, de l’eau et de l’air. Le drame plonge ainsi dans une vraie matière élémentaire ; il y trouve son corps, son âme, son souffle. Et c’est rare.
    Quelques petites faiblesses empêchent toutefois de s’emballer complètement. Au niveau de la narration, il y a un léger déséquilibre entre la partie sur l’enfance des personnages, qui s’étire dans le temps avec un minimum d’actions, et la seconde partie, à l’âge adulte, plus ramassée et davantage concentrée en rebondissements qui auraient mérité un peu plus de développements pour un meilleur impact. L’ellipse temporelle met par ailleurs en évidence des choix de casting pas très heureux ou une mauvaise gestion de l’évolution des personnages : les actrices interprétant Cathy enfant et Cathy adulte sont trop différentes physiquement pour que la transition soit crédible, tandis que certains personnages secondaires ont trop peu vieilli, d’une époque à l’autre, en comparaison des personnages principaux. Enfin, la réalisatrice, emportée par son élan, abuse parfois un peu des mêmes effets stylistiques. Cette nouvelle version des Hauts de Hurlevent n’en demeure pas moins inspirée, singulière, consistante et puissante.
    orlandolove
    orlandolove

    137 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2013
    Le ton âcre et dur, presque cruel, les ellipses, le peu de dialogues... Tout cela peut déstabiliser par moments... Et fasciner à d'autres, grâce à une photographie somptueuse, aux acteurs habités et à une mise en scène intense.
    Avérous C.
    Avérous C.

    7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 août 2013
    Que de longueurs, le film traîne tant et plus. Nous n'y retrouvons aucune subtilité. Extrêmement décevant comparé au livre et aux autres adaptations ...
    Hastur64
    Hastur64

    228 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2013
    Avec « Fish Tank » qui n’était pas sans rappeler le cinéma de Ken Loach, Andrea Arnold avait frappé un grand coup remportant le prix du Jury à Cannes et le BAFTA du meilleur film. Avec cette nouvelle adaptation du roman « Les Hauts de Hurlevent » d’Emilie Brontë, la réalisatrice change complètement de registre tant dans la forme que dans le fond. Elle s’y distingue en évitant la lecture romantique du livre pour s’attacher la noirceur et à la violence des personnages et des situations. Elle retranscrit plus le récit d’une passion violente et obsessionnelle entre deux êtres qu’un hymne au romantisme désespéré tel qu’on interprète l’ouvrage traditionnellement. Faisant peu de place aux dialogues le film en est rendu plus charnel exprimant à travers le corps ces passions tumultueuses qui entrent en résonance avec la nature qui entoure la ferme des Earnshaw. Cette nature sauvage est d’ailleurs un personnage à part entière qui plus que de servir de belle toile de fond à l’intrigue, en est la symbolique image, celle d’un amour destructeur qui se moque de ce qui l’entoure n’hésitant pas à broyer ceux qui sont trop faibles pour lutter ou fuir. On peut voir un étrange parallèle entre cette nature rude des collines et l’ensoleillée vallée d’un côté et Catherine et Heathcliff, herbes folles, dont la violence des sentiments aura raison des faibles personnalité que sont Edgar et Isabella, jeunes plantes élevée sous serres, de l’autre. Le film déconcertera beaucoup tant il peut sembler parfois contemplatif et nébuleux si on ne connaît pas vraiment l’histoire, d’où d’ailleurs la frilosité des distributeurs français. Je ne saurais trop vous le conseiller, mais en vous avertissant que vous risquez d’âtre singulièrement désarçonné par la forme très poétique et symbolique du film loin des traditionnels récits des films en costumes et adaptations de roman anglais. À voir néanmoins pour ceux qui ont aimé le roman et ceux qui ne rechignent pas devant des films un peu exigeants.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 mai 2013
    Ennuyeux, tellement ennuyeux qu(on aimerait actionner l'avance rapide après la 1ère demi-heure. Déprimant mais sans que pou autant, l'émotion ne se dégage réellement de ce film si froid, très esthétique, presque autant qu'un docu-fiction sur la Lande britannique.
    Dialogues minimalistes, acteurs sans relief, c'est un vrai raté !

    Et plus : pourquoi accrocher des chiots par le collier pour nous rappeler la cruauté d'Heathcliff si bine révélée dans le roman de Jane Campion ? La suggestion sans l'image aurait suffi ! Ecoeurant...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 avril 2013
    Si vous voulez perdre deux heures allez voir ce film!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 mars 2013
    Torturé et parfois ennuyeux...De beaux moments, toutefois, liés à la communion entre les personnages et une Nature sauvage.
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