Un bon film.... Le film commence sur une superbe scène d'ouverture qui pour ma part ma scotché au fauteuil. Dans la deuxième partit le film subit un petit essoufflement, mais le rythme des meurtres nous fait oublié ce petit désagrément. Au final on passe un bon moment avec ce film d'horreur mais il n'est pas marquant au bout de 2 ou 3 jours on en parle plus. Conclusion: c'est un bon film d'horreur sans plus.
Malgré la présence de J.Padalecki qui interprète à merveille son rôle, le film est assez routinier, il n'a rien d'innovant, par contre question ennuie il y a de l'idée ! et je ne parlons même pas de la fin du film, quel catastrophe ..
20 ans après, les ENORMES défauts de l'original sont toujours là... Les clichés qu'on aurait voulu morts et enterrés en 2009 ont survécu à ces décennies... Ainsi, on saura sans attendre que (SPOILERS, même si le film quoiqu'il arrive s'"auto-spoil") : le gentil beau gosse qui recherche sa frangine sera l'un des derniers survivants. Sa frangine l'accompagnera. Le beau gosse orgueilleux et un peu connard sur les bords se fera trucider la tronche. Idem pour la bimbo écervellée lui servant de partenaire sexuelle. Idem pour le black sympathique ! Le message du film : les ados américains se ressemblent tous et sont tous plus crétins les uns que les autres, ne pensant qu'à baiser et faire la fête... Bref, on RESTE CLAIREMENT dans la saga Vendredi 13, y'a aucun doute, et on passera l'heure et demie à attendre qu'un abrutti ne trouve rien de mieux à faire qu'à s'isoler dans les bois pour aller pisser... et provoquer ainsi sa mort brutale... Là où le film marque un bon point, c'est qu'il offre enfin une VERITABLE identité à Voorhees, qui cesse d'être cette copie conforme de Myers qu'il aura pratiquement toujours été. Mais à part ça, on reste sur du Nispel et du Michael Bay : BREF, on mange, on tire une grimace, et on recrache dans l'assiette en jurant qu'on y goûtera plus !
Grosse déception que Jenna (Danielle panabaker) crève à la fin du film et je croyais qu'elle allait survivre. Et aussi je m'attendais à un remake (il n'y a que le début qui en ai un.) Sinon, bon film toutefois.
un remake réussi, il faut dire que marcus nispel avait déjà réussi celui de "massacre à la tronçonneuse", l'esprit de la série y est, on peut reprocher le cliché de jolies filles presque systématiquement topless et seins siliconés mais bon. il y a du suspens, des meurtres réussis, un jason convaincant donc, pari réussi .
Un départ explosif où les morts s’enchaînent à une vitesse explosive sans temps mort, voici le seul intérêt de ce nouvel épisode de la saga Jason. Parce qu’on a bien compris que le petit Jason a grandi et a les crocs, mais surtout on le comprend pourquoi il s’en prend à ces pré-adultes sous testostérone, image d’une Amérique branchée et superficielle. Le gros problème du film se résume à son scénario, vu mille fois et à ces protagonistes exaspérants au possible. Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils couchent ensemble environ toutes les vingt minutes et on a envie de prendre la hache, de traverser l’écran et de s’occuper nous-mêmes de ces troufions. Et Jason s’en occupe fort bien d’ailleurs. Mais le spectateur ne peut être que lassé devant un tel déjà-vu et si peu d’innovation. Pour un retour aux sources, on était en droit de s’attendre à un coup d’éclat royal. Surtout avec Marcus Nispel, commanditaire du remake de MASSACRE A LA TRONCONNEUSE. Mais où est passé le suspense, le choc d'images? Dommage.
Rien de nouveau. Toujours les mêmes références : des jeunes isolés qui se font massacrer... c'est à croire qu'on voit sans cesse le même film. 1 étoile pour le duo du chinois et du black, assez cool et pour le doublage français réaliste (pour une fois) sur le langage des jeunes. Sinon, ça vaut pas grand chose.
Toutes les ficelles du genre sont là : les groupes de jeunes au bord d'un lac, un p'tit con, un mec cool, un black, un rebel, des jolies filles à poils qui se font trucider, suspens, bande son très bonne. Un bon film de genre, sans plus.
Un petit film d'horreur. Rien de vraiment terrible là-dedans, il faut bien l'avouer. C'est même rempli de clichés et de lieus communs avec un casting d'ados en perdition ... Décevant à l'arrivée, même si certains meurtres donnent le frisson (ou font marrer : au choix).
Ce VENDREDI 13 est tout simplement exeptionnel, il respecte tout les ingrédiants des vendredi 13,on peu dire merci a Michel Bay qui nous a donné un petit chef d'oeuvre.Alors au programme de ce film il y a : " des ados, du sang, des cris et des meutres (génial) critique complète sur http://bonou-blog.blogs.allocine.fr
Difficile de refaire une énième suite du slasher de Cunnignham, qui avait cartonné, au début des années 80 en créant un mythe, Jason Voorhees ! Sutout que ce type d'histoire au scénario tenant sur un ticket de métro, laissait peu de marge de manoeuvre à Marcus Nispel. Mais l'univers visuel du réalisateur allemand fait encore merveille, pour cet ultime opus jasonien, qui compense le balisage extrême de l'histoire. Evidemment, on est loin du remake de Massacre à la tronçonneuse, mais l'histoire basique de Vendredi 13 se prêtait moins à une revisite originale que l'opus hooperien. En définitive, ce Vendredi là est certainement le meilleur de la série, mais on peut difficilement attendre plus d'une histoire aussi limitée !
Je l'attendais avec impatience ce film et j'en suis sortit avec une moitié de déception. Marcus Nispel retrouve son producteur Michael Bay aprés un surprenant remake de "Massacre à la tronçonneuse". Cette fois-ci, ils s'attaquent à un autre monstre sacré de l'horreur, le fameux Jason de "Vendredi 13". Le tueur sans scrupule en veut à une bande de jeunes qui s'éclatent au sexe, au cannabis et à du camping sauvage. Point positif, l'atmosphère du genre qui fait frissonner tout comme le tueur au masque célèbre. Mais ce film souffre d'un scénario surement écrit sans prise de tete, le black qui revendique sa couleur de peau, les victimes qui balancent de bonnes blagues avant de mourrir atrocement, la fin un peu confuse etc... Une série Z qui ne se prend pas trop au sérieux surtout en s'attaquant à la légende de Jason, quand meme.