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    Film Socialisme
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    Clint B
    Clint B

    49 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 octobre 2022
    Mais quelle blague !! Le parfait exemple du truc qui se veut artistique, voir subversif pour des pseudos érudits adeptes de la b......te intellectuelle ! J'imagine déjà les débats entre ces personnes sur le "t'as vu le dernier Godard ? Waouh quel génie. Blablabla....". C'est un sombre navet, ne ne sais même pas comment j'ai tenu 45mns ! Ah si peut-être parce que c'était tellement ridicule que j'ai eu 2/3 fous rires. Tout est zéro dans ce gloubiboulga, pas de narration, aucune structure, dialogues abyssaux tout comme le jeu des "acteurs". Bref, je m'arrêterai là, et Godard aurait dû faire de même....
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 092 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2022
    Un montage un peu confus qui nous emmène dans un voyage entre le vrai et le faux, entre la réalité et la fiction. Une méthode peu ordinaire qui obscure le message.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 480 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mars 2021
    L'histoire n'était pas claire mais je ne me suis pas soucié du sens du film. Parce que le film est si stérile et froid je ne me suis pas soucié de ce qui se passait à l'écran. Il me semble que Godard a coupé au hasard différentes scènes ensemble et prétend que c'est de l'art. Le film présente deux choses qui sont mauvaises. Le vent qui souffle dans le microphone et la mauvaise qualité de la caméra. Le vent était très gênant et n'ajoutait rien à la scène qui se passait. La qualité de l'image varie tout au long du film et il est clair que des caméras bon marché ont été utilisées. Pour conclure je pense que la mauvaise qualité et la fadeur de ce film sont dues au fait que Godard s'est fait des illusions en pensant que tout ce qu'il fait sera de l'or artistique quelle que soit sa qualité. C'est de loin l'un des pire film que j'ai jamais vu de toute ma vie...
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    199 abonnés 394 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    Au secours! Papy découvre le camescope! Les images sont hideuses et le son inaudible. Autrefois, il y avait chez Godard des comédiens, un scénario, un univers, un style, un sens de la beauté qu'on aimait (ou pas). Tout cela a totalement disparu avec ce nouveau film. Le discours est assommant, il vous tue littéralement. Les images sont laides comme celles d'un film de vacances amateur et il est préférable de fermer les yeux pour essayer d'écouter la voix caverneuse et lugubre de l'auteur. En résumé : mieux vaut lire un bon bouquin que subir ce pensum d'un vieil homme qui n'a plus rien à dire.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    394 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mai 2014
    Je ne sais même pas par où commencer ... Ce film est juste un OVNI incompréhensible, avec un découpage et un collage de séquences quasi aléatoire, impossible d'être captivé par quoi que ce soit, c'est monstrueusement lent (au bout de 15 minutes je croyais avoir dépassé la demi heure, véridique), le montage sonore est agaçant (j'ai passé mon temps a baisser et rehausser le volume), les acteurs récitent leur texte et ne font aucun effort d'interprétation, Godard s'en fout, ça n'est pas son but. Son but est celui de nous démontrer les contrastes culturels entre individu et civilisation, cette croisière ne va nulle part, elle s'égare entre raison et réflexion, des relations entre orient et occident, des communautés, des religions ... Le réalisateur se veut moralisateur, et le dernier quart d'heure est assez intéressant dans son traitement mais peine à véritablement convaincre, tout reste beaucoup trop difficile d'accès mais il s'en dégage un certain génie indéniable, Godard a le mérite de créer quelque chose de rhétorique et visuel vraiment à part. "Film Socialisme" ne m'a globalement pas plu, il est sans doute destiné aux cinéphiles plus aguerris et cultivés que moi, mais je reconnais qu'il serait difficile de totalement détester, le style est unique et l'expérience plutôt enrichissante, même si elle est difficile à avaler.
    Truman.
    Truman.

    226 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 avril 2014
    J'ai rarement vu un "film" (oui film entre guillemets car ce n'est pas un film selon moi) aussi imbuvable . Pour vous donner une idée imaginez un film de Quentin Dupieux, c'est à dire illogique, sans sens et bien étrange mais vous enlevez la dose d'humour barrée et voilà ce qu'est Film Socialisme .
    Un film vide, filmé avec les pieds ou le fond et le but me dépasse complétement, c'est quoi l’intérêt de ce "truc" sérieusement ?

    Godard filme des gens sur un bateaux, d'un divers autre endroits, et ... je sais même pas comment expliquer, ça relève presque du génie de faire un truc comme ça, un truc aussi creux ...
    Ça parle souvent de Nazi et de la guerre, parfois de chats(??), parfois je ne sais pas trop de quoi ça pouvait parler mais ça parlait de tout et de n'importe quoi ....
    On a un aspect documentaire, les gens ont l'air de se faire chier comme des rats morts et le spectateur peut sombrer à tout moment dans une dépression immense tellement ce film n'a aucun sens, tellement abstrait que pourrait croire qu'un film de David Lynch est simple . Non vraiment c'est un film ultra personnel et en dehors du réalisateur qui a du piger la totalité de ce qu'il voulait faire passer comme message le spectateur sera largué au bout de cinq minutes .

    La réalisation est mauvaise, en 60 ans Godard n'a toujours pas su maitriser le son, on entend parfois plus les bruits de fond, le vent ou de la mer que les dialogues .
    Puis Godard oblige il étale sa culture car oui Godard est supérieur à la masse, oui Godard comprend le monde et nous cite de grand écrivain avec une grand subtilité en montrant le même bouquin dix fois !

    Un film insupportable, une sorte de sodomie visuelle, une sorte de lavage de cerveau qui vous formate à vous faire croire que vous avez vu un truc au dessus de l'intelligence de base mais au final on a juste un film vide et profondément chiant .
    ptiverat
    ptiverat

    14 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 novembre 2013
    Lourd, mais lourd...Prétentieux, il se dégage de ce film un profond ennui et une masturbation intellectuelle digne d'un alcoolique errant qui se croirait le roi du monde...non du cinéma....Toute analyse intellectuelle ne peut justifier la liberté prise par Godard pour nous faire perdre une heure et demie de notre vie dans un ronflement cancérigène d'une métaphore sidatique où se baignent les aléas de la démocratie face à la constipation du socialisme et de la vomissure Franquiste qui aurait trop baisé avec Brigitte Bardot pour trouver la clef ultime de l'orgasme sismique qui fait qu'on a tout compris. Oui Godard on peut tous faire du n'importe quoi dans une chaire universitaire qui dirait des vérités où le conférencier parle une langue saisissante digne de la malbouffe de Mac Donald...Le tout inventé par un vieux savant qui croit que la lune peut sauver l'humanité du moment qu'elle tombe de sa bouche....Godard tu nous emmerde et tu le fais comme la pleine lune quand elle est en éclipse c'est à dire même pas brillamment! Et comme le paquebot sur lequel tu as tourné ce film ton dit film fait naufrage! On se demande pas pourquoi d'ailleurs! C'est bien la seule chose de profonde à tirer de toute cette histoire! Le sens t'a encore échappé tout comme le plaisir et la réelle liberté qui ne peuvent être sur une pellicule quand on ne la ressent pas en soi. Merdre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mai 2013
    Godard très contemporain de ce film. Il évoque des questions existentielles mais d'actualités qui nous concerne. Assez difficile de suivre le fils conducteur du film, c'est au spectateur de fonder ses propres réflexions en rebond aux images et aux mots proposés par le film. J'ai l'impression que Godard nous donne ici, les clefs pour comprendre (et changer) les problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 décembre 2012
    Toujours plus contemporain, toujours plus obscur, Godard nous perd, une fois de plus...
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Deux perroquets filmés en vidéo, puis un générique accéléré, blanc et noir sur fond rouge. Des plans de la texture de la mer filmés d'un bateau de croisière en Méditerranée. Off, ce dialogue : "L'argent est un bien public." "Comme l'eau, alors ?" "Exactement." Un femme accoudée au bastingage. Off, "Alger la blanche. Quand Mireille Balin laisse tomber Pépé le Mocko" "Et nous, quand une fois de plus, on a laissé tomber l'Afrique". Décalage entre l'image et le son, des dialogues partiellement inaudibles, ou coupés cut, le son du vent dans le micro. Un intertitre blanc sur fond noir : "Des choses". Un clip tourné dans la boîte du bateau avec un téléphone portable, musique techno sursaturée. Un intertitre rouge : "Comme ça".

    Cinq premières minutes, et pas de doute, on est chez Godard. Cinq premières minutes, et déjà cette impression de reprendre un film commencé il y a 25 ans, voire 45 ans : il suffit pour s'en convaincre de lire le résumé de la première partie sur le site officiel : "En Méditerrannée, la croisière du paquebot. Multiples conversations, multiples langues entre des passagers presque tous en vacances. Un vieil homme ancien criminel de guerre (allemand, français, américain on ne sait) accompagné de sa petite-fille. Un célèbre phiilosophe français (Alain Badiou). Une représentante de la police judiciaire de Moscou. Une chanteuse américaine (Patti Smith). Un vieux policier français. Un ex-fonctionnaire des Nations-Unis. Un ancien agent double. Un ambassadeur de Palestine.... Il est question d'or comme autrefois avec les Argonautes, mais ce qui est vu (l'image) est assez différent de ce qui est dit (la parole)".

    Et encore, il s'agit de la première partie de ce triptyque, la plus narrative des trois, si on peut employer ce terme ici, et malgré les aphorismes du genre "A cause de quoi la lumière ?" "A cause de l'obscurité" ou "On me l'a dit." "Et alors ? Dire ne suffit jamais", avec mon préféré : "On a supprimé les paradis fiscaux." "Alors, ce sera l'enfer", malgré ces phrases qui auraient pu être dites dans "Une Femme est une Femme", on arrive à reconstituer des bribes d'histoire, une ambiance et des éléments épars : la Guerre d'Espagne, Potemkine, l'Avenue Foch en 1943, la Palestine, Hollywood inventé par les Juifs..., le tout lié par de très belles images, presque toujours en plan fixe.

    La seconde partie, résumée ainsi : "Le temps d'une nuit, une grande soeur et son petit frère ont convoqué leurs parents au tribunal de leur enfance" : belle idée, sauf que ce n'est pas ce qui nous est donné à voir : la fille lit Balzac devant une pompe à essence et un lama (il y en avait déjà un dans un camion lors du travelling de l'accident dans "Week-end"), balance à un Allemand qui veut du carburant "Allez envahir d'autres pays" avant de se justifier de ne pas parler à une journaliste de la télévision "On ne parle pas à ceux qui utilisent le verbe être". C'est prétentieux, mal joué, et l'immense énergie que j'avais mise depuis 45 minutes à essayer de suivre s'est définitivement évaporée, à l'image d'une bonne partie de la salle.

    La troisième partie, "Visite de six lieux de vraies/fausses légendes, Egypte, Palestine, Odessa, Hellas, Naples et Barcelone" constitue juste un épilogue, un rappel de lieux visités lors de la croisière, et nous permet d'apprendre qu'en russe, escalier est féminin. "Film Socialisme" porte ce paradoxe de présenter une facture vue chez Godard depuis des décennies, et de continuer à dérouter, voire à lasser le spectateur, preuve que cette avant-garde d'il y a trente ans porte aujourd'hui bien plus ces trois décennies que son avant-gardisme. On ressent la même impression que devant "L'Etau" ou "Family Plot", le sentiment d'un immense savoir-faire qui ne marche plus, et la mélancolie qui traverse le film est aussi celle du spectateur qui se souvient d'"A bout de Souffle".

    Critiques Clunysiennes
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    JeffPage
    JeffPage

    39 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    Avec ce film, Godard poursuit ses expérimentations commencé il y a bien longtemps avec la vidéo et la liberté que cela lui avait apporté. Ici, c'est le numérique sous toute ses formes qui lui permet de nous montrer sa vision de l'humanité. Ainsi, en donnant tantôt l'impression de voir un film de vacances, tantôt un film amateur, Godard nous montre toute les facettes de son cinéma pour en ressortir avec un portrait de l'humanité sous toute ses formes. De plus, en découpant sa narration en 3 parties, ils nous entraîne dans un voyage étrange entre navire de croisière, campagne et image d'archive, à l'image de sa série "Histoire(s) de cinéma". Godard nous livre ici une autre preuve de son talent qui ne semble pas avoir de limite.
    MadAngelus
    MadAngelus

    51 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mai 2012
    Comment apprécier ce pot-pourris qui représente tout ce que je vomis chez JLG, tout cet intellectualisme outrancier dénué d'intelligence. Désolé mais il n'est plus ce qu'il était, et ce film, qui n'en est pas un, n'est formellement qu'un montage d'images laides et de sons tonitruants, de répliques à la Eric Cantona, souvent sans rapport, et parfois sans raccord (mention spéciale à " to be or not to be une juive" sur image d'un ciel en avion dans la partie "L'Egypte"). Bravo Godard, une fois de plus, je hais ton "cinéma". Très Mauvais.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    152 abonnés 692 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mai 2012
    Gaspard Noé peut retourner faire joujou, le cinéaste français le plus audacieux de nos jours, c'est certainement encore lui, cet adolescent attardé de près de 80 ans. Si certains de ses tics sont toujours aussi exaspérants (les aphorismes à la mords-moi le noeud, de moins en moins pertinents d'ailleurs, le cul - ou plutôt le derrière -, Marx, la révolution, etc etc.), si le non-jeu des acteurs est toujours aussi déroutant, niveau réalisation ça reste du grand art. Cadrages époustouflants de perfection et d'évidence, profondeur de champ, gestes et mouvements des acteurs dignes de Bresson ou de Dreyer, images recyclées fascinantes, utilisation détournée et ingénieuse des media de notre temps (téléphone portable, l'image qui lag comme la télévision par satellite,...)... Dommage que les dialogues un net niveau en dessous brisent cette harmonie. Car si le fond avait été digne de ce nom, Godard aurait très bien pu réaliser là son plus grand film depuis un bon bout de temps! Esthétiquement parlant «Film Socialisme» est donc un long métrage marquant, bouillonnant de créativité, mais limité par son propos. Il est à ce titre intéressant de comparer Godard à Bresson, cinéaste de qui il se rapproche peut-être le plus aujourd'hui au moins pour sa direction d'acteurs et sa façon de filmer les corps. Car si tous deux recherchent une certaine vérité, si tous deux comptent parmi les plus grands cinéastes français ayant jamais existé, la méthode ascétique de Bresson est claire, celle un peu fourre-tout de Godard beaucoup moins. Ainsi chaque mot débité par les personnages de Bresson est pesé, chaque élément de ses films est placé avec une précision extrême à tel endroit pour produire tel effet. Chez Godard au contraire est privilégiée la logorrhée, la suraccumulation d'images et de sons au petit bonheur la chance, ce qui atténue quelque peu l'impact (et la réelle pertinence?) de ses derniers films. Toutefois le plaisir de le voir revenir en forme avec «Film Socialisme» est particulièrement appréciable! [2/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 février 2012
    Un film expérimental incompréhensible et inutile. A force de vouloir à tout prix créer l'événement avec la sortie de ses films, Jean-Luc Godard n'est hélas plus que l'ombre de lui-même. Scénario bâclé, acteurs à la dérive, on se demande bien où il veut en venir. A travers une évocation historique brouillonne, on se perd dans les méandres du récit. Tourné sur le paquebot maudit Le Concordia, le film distille en toile de fond une vision irréelle et volontairement négative de notre société. C'est bien là le seul point positif du film. Pour le reste, la question est de savoir s'il faut consommer des substances illicites pour (peut-être) apprécier le film. Rien n'est moins sûr.
    edouard.chemin
    edouard.chemin

    47 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 février 2012
    j'accepte de ne pas toujours tout comprendre au cinéma mais là... c'est marrant 5minutes et puis ça devient énervant
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