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Votre avis sur Saw 5 ?
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La mise en scène épileptique commençait à lourdement peser dans les précédents Saw, mais là, quand on commence à se sentir à des kilomètres du premier film et que même les rebondissements du scénario n'ont plus rien d'épais à apporter, on se rend compte qu'on a atteint un niveau purement creux. Le twist ending retient toujours l'attention mais est sans doute le moins intéressant de la saga. Même le nouveau jeu ne sert quasiment à rien, à part meubler le film pendant que le scénario avance à coup de rares petites révélations, même si on lui reconnait des victimes un peu moins connes que d'habitude, et un fond assez sympa (même si ça valait pas un film). C'est simple, les Saw maintenant c'est 3 quarts d'heure de film, 3 quarts d'heure de flashbacks. Sinon, ba c'est gore quoi, rien de nouveau. Les pièges sont devenus d'une telle complexité que c'est dur à croire qu'ils ont été créés par un cancéreux. Du coup, la cohérence a totalement disparu.
Les ingénieux scénaristes ont encore su rebondir et proposent ainsi un nouvel épisode à tiroir bien plus clair que le précédent. Si le gore est moins présent, l’ensemble est toujours aussi sadique, pour le plus grand plaisir de ces fans. 5/5
Les scénaristes sont vraiment bon, je n'ai jamais vu une telle histoire pour une saga dite "torture-porn". L'action est présente tambour battant, pas une seconde de temps mort, les pièges sont de plus en plus machiavéliques et l'agonie de personnages de plus en plus expressive. On a droit a de nombreux rebondissement qui met en cause tout notre savoir sur la saga. La scène finale est juste jubilatoire et a la fois malsaine mais ce qui est sur c'est qu'une fois de plus la fin est juste une tuerie !
Stephenballade
J’ignore si c’est parce que Darren Lynn Bousman avait signé l’épisode le moins léché de la saga (du moins jusque-là), mais nous avons un nouveau venu à la réalisation. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que David Hackl n’est pas franchement à la hauteur de l’événement. Bon, on pourra lui pardonner cette simplicité, ce classicisme qui a engendré l’absence de petits effets de style : c’est sa première réalisation. Oh je ne dis pas que ce n’est pas captivant. Au contraire, ça l’est toujours… D’autant que nous retrouvons cette ambiance malsaine et le même thème musical entêtant. Mais ce qu’on peut lui reprocher réside dans le traitement des flash-backs. Encore des flash-backs, me direz-vous ? La réponse est oui, alors que cette histoire macabre s’est terminée avec la disparition de Jigsaw. Terminée ? Pas vraiment, conformément à ce qu’il avait promis sur son lit de mort. Car "Saw V" est, on va dire, dans la continuité du numéro 4. Alors que nous savons désormais que le détective Hoffman est lui aussi un disciple de Jigsaw, nous continuons de remonter aux origines, tout en corsant un scénario de départ déjà à la base très complexe si on garde en mémoire le lien indissociable des trois premiers épisodes. Et nous irons de surprise en surprise, sur un rythme plus soutenu, en concordance avec la psychologie de l'agent spécial Peter Strahm. Alors que nous reprenons ici exactement là où nous avait laissé "Saw IV", dans le repaire du Tueur au puzzle, nous basculons entre passé et présent sans arrêt. Seulement le basculement entre les deux temps est traité exactement de la même façon à l’image (hormis quelques moments couleur sépia avec un léger flou pris à des épisodes encore précédents), ce qui rend le scénario un peu moins lisible. Pas de panique ! Tout redeviendra plus clair quand vous visionnerez à nouveau la saga dans son intégralité (croyez-moi, j'en suis à mon troisième visionnage !). Car le moins qu’on puisse dire, c’est que les scénaristes ont tellement voulu corser l’affaire qu’on se perd un peu dans la chronologie des faits au premier visionnage. Donc pour moi, David Hackl n’est pas seul responsable, la faute en revient aussi au montage. Et puis hein : faut être particulièrement barré pour continuer à imaginer un tel truc, où rien n’est laissé au hasard, tant la maîtrise dans "l’art d’anticiper les réactions de l’esprit humain" est poussée. C’est en cela que la saga est remarquable dans son ensemble, ce qui explique entre autres, son succès commercial. Il est vrai que cette espèce d’empathie que nous éprouvons contre toute attente pour John Kramer, et l’envie de savoir comment cette histoire trouvera son épilogue nous pousse à regarder cette histoire qui dépasse le côté gore pour se ranger toujours de plus en plus vers un thriller psychologique qui ne ménage pas nos méninges. "Vous n’en comprendrez peut-être pas toutes les règles, pour l’instant, mais je vous assure que les personnes mises à l’épreuve font partie d’un tout beaucoup plus grand : elles sont inter-reliées. Et donc à la fin, on pourra assembler toutes les pièces du casse-tête". "Et tout deviendra clair". "Votre soif insatiable de découvrir la vérité" vous enfoncera-t-elle davantage dans l’abîme ? Suivez mon conseil : n’allez pas plus loin. Car votre écran peut devenir votre sanctuaire ou le tombeau de votre esprit. A vous de choisir...
Si vous regardez Saw 5 en arrière, ça raconte l'histoire d'un chirurgien bienveillant qui redonne des membres à des amputés. Et c'est tout de suite plus intéressant.
Saw 5 : Malgré beaucoup trop d’épisode, je trouve que celui-ci est le mieux comparé au deux d’avant même si il n’atteint pas la qualité des deux premier de la série. Bon, la formule ne change pas d’un cil mais l’histoire est moins brouillonne et assez prenante. On découvre encore quelques réponses sur les intentions des successeurs du tueur au puzzle. Et ce que j’ai adoré dans celui la, c’est une petite nouveauté. Déjà, on revint sur le fait que les personnages on une chance pour survivre. Mais, les règles on changés… Pour s’en sortir, ils ne doivent pas respecter les règles mais faire le contraire et donc bien réfléchir et ça j’ai trouvé ça astucieux et ça rajoute de l’ingéniosité à des pièges qui le sont déjà. Par contre, j’ai trouvé les scènes de torture moins sanglante et plus timides tous comme la réalisation : dommage car c’est le moteur du film. Sinon, les acteurs sont plutôt corrects, en tête de liste : Tobin Bell qui est toujours aussi classe et présente bien les choses. Donc voila, une suite plus convaincante sur le plan scénaristique mais les pièges coté sanglant sont à revoir.
La saga Saw, ou l'art de prendre le spectateur pour un con... Le premier film était vraiment très original, gore, à l'interprétation surprenante et au final renversant. Le deuxième s'est avéré être une suite sympathique, dans la même veine que le premier, l'originalité en moins. À partir du troisième opus, c'était du grand n'importe quoi avec ces personnages qui se multiplient, ces flashbacks incessants et un ordre chronologique bouleversé au même détriment d'une histoire de plus en plus inintéressante, qui prend à chaque fois une nouvelle tournure. L'histoire de ce cinquième épisode aurait pu être agréable si elle était authentique et s'il ne fallait pas se re-regarder la franchise entière pour tout bien comprendre. Rien de nouveau donc si ce n'est de nouveaux éléments scénaristiques inutiles, une première scène aussi gore que vaine et des pièges de plus en plus grotesques dont seul l'ennui qu'ils provoquent semblent être mortels. On n'oubliera pas également la présence digne d'un cameo de Tobin Bell, celle plus qu'énervante de Costas Mandylor et cet illogisme déconcertant (vous savez, ces pièges de 60 secondes qui se transforment en trois minutes). Passez votre chemin, la franchise est morte depuis longtemps...
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Scie circulaire, presse infernale, lame, bombe artisanale, acide, hachoir; Saw vous présente les mille et une manières de malmener le corps humain, et c'est pas jolie jolie. Le côté thriller du début de saga s'est définitivement mué en bain de sang. Il fallait s'attendre à ce qu'un nouveau fanatique prenne la relève. Je parle autant du réalisateur que du successeur de Jigsaw. A ce stade, on comprend que rien n'arrêtera les producteurs, et que tant qu'il y aura de l'audimat, les épisodes se succéderont en une suite interminable, avec pour unique intérêt, faire couler un maximum de sang. David Hackl est allé creusé beaucoup plus loin dans l'histoire de Jigsaw. Des faits qui en éclaircissent d'autres et en assombrissent certains. L'occasion d'enchainer les mises à mort avec de plus en plus de pulsions malsaines. Cet opus est loin d'être mauvais, mais n'apporte rien de plus à l'ouvrage, si ce n'est quelques rebondissements tordus. Voila pourquoi Saw devait s'arrêter tant qu'il était encore temps. Et la boucherie est loin d'être terminée. 3,5/5
Euh, le prochain opus va t'il s'appeler Saucisse?
🎬 RENGER 📼
Le lieutenant Hoffman, qui prenait la suite de l’œuvre du Tueur au puzzle dans le précédent opus, continu de plus belle malgré les menaces d’être découvert…
Changement de réalisateur, après avoir assuré le service après-vente sur les trois précédents opus, Darren Lynn Bousman cède sa place à David Hackl qui s’essaie à la réalisation pour la toute première fois, après avoir endossé le rôle de décorateur sur les Saw 2, 3 & 4. Mais un changement de réalisateur ne peut pas changer grand-chose au destin du film si le scénario s’avère toujours aussi fumeux et pantouflard. Comme cela était le cas avec la précédente suite, ici le film ne fait que du recyclage et se complait à nous servir sur un plateau une intrigue déjà maintes et maintes fois vues. C’est tellement pauvre que le film se perd dans des élucubrations à la mords-moi-le-nœud. Des flashbacks à la pelle nous renvoyant à Saw II (l’élaboration de la maison aux pièges, avec notamment le revolver derrière la porte), en passant par Saw III (lorsque Jigsaw se fait opérer par Lynn aux côtés d’Amanda) ou encore Saw IV (la confrontation entre Hoffman & Strahm).
En l’absence de Darren Lynn Bousman, on aurait pu penser (espérer ?) que le film nous épargnerait son montage épileptique à en gerber, sauf qu’il n’en sera rien, aucune évolution notable, que ce soit en termes d’écriture que de mise en scène. Jigsaw était mort, voir même disséqué (dans le précédent), mais grâce à la magie du cinéma et surtout, grâce aux flashbacks, on le retrouve frais comme un gardon, à cette allure, les producteurs vont pouvoir nous le ressortir à chaque épisode et tant pis pour la logique.
Saw V (2008) est l’énième suite de trop, qui ne se repose que sur ses flashbacks, beaucoup trop bavarde et avare en scènes gores. Qu’ils arrêtent bon sang !
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Changement de réalisateur, après avoir assuré le service après-vente sur les trois précédents opus, Darren Lynn Bousman cède sa place à David Hackl qui s’essaie à la réalisation pour la toute première fois, après avoir endossé le rôle de décorateur sur les Saw 2, 3 & 4. Mais un changement de réalisateur ne peut pas changer grand-chose au destin du film si le scénario s’avère toujours aussi fumeux et pantouflard. Comme cela était le cas avec la précédente suite, ici le film ne fait que du recyclage et se complait à nous servir sur un plateau une intrigue déjà maintes et maintes fois vues. C’est tellement pauvre que le film se perd dans des élucubrations à la mords-moi-le-nœud. Des flashbacks à la pelle nous renvoyant à Saw II (l’élaboration de la maison aux pièges, avec notamment le revolver derrière la porte), en passant par Saw III (lorsque Jigsaw se fait opérer par Lynn aux côtés d’Amanda) ou encore Saw IV (la confrontation entre Hoffman & Strahm).
En l’absence de Darren Lynn Bousman, on aurait pu penser (espérer ?) que le film nous épargnerait son montage épileptique à en gerber, sauf qu’il n’en sera rien, aucune évolution notable, que ce soit en termes d’écriture que de mise en scène. Jigsaw était mort, voir même disséqué (dans le précédent), mais grâce à la magie du cinéma et surtout, grâce aux flashbacks, on le retrouve frais comme un gardon, à cette allure, les producteurs vont pouvoir nous le ressortir à chaque épisode et tant pis pour la logique.
Saw V (2008) est l’énième suite de trop, qui ne se repose que sur ses flashbacks, beaucoup trop bavarde et avare en scènes gores. Qu’ils arrêtent bon sang !
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MaCultureGeek
Le moins bon de tous. On perd le réalisateur de la trilogie précédente et le résultat s'en fait sentir. Les dialogues sont fades, les personnages stupides, le scénario pas très élaboré; c'est surement le scénar le moins travaillé. Heureusement, Tobin Bell est au rendez-vous. Sans lui, le film n'aurait pas était pareil. Un opus à voir pour les fans de la saga. Loin d'être indispensable.
Quelques moments d'ennuis, pas vraiment de retournement de situations improbables ni de twist final ahurissant comme ce fût le cas pour les quatre premiers Saw ! les acteurs sont toujours pas mal ! sauf dans l'émotion ou l'aversion là ... on y croit moyen ! Oui sans doute celui que j'ai le moins aimé ( pour l'instant ) mais ça reste bon ! Plus que deux épisodes, me tarde de savoir comment ça se finit !
Ça y'est c'est fini là ? Même l'histoire se barre ! Cet opus est mauvais, même si quelques situations du jeu sont plutôt marrantes et bien faites.. Mais on devine le rebondissement final trop tôt.
Une suite un peu plus lente et un peu moins bien, mais tout est relatif.
Cette lenteur est causée par de nombreux flashbacks et retours en arrières, dans le but de nous éclaircir un peu plus sur les événements du passé, ce qui est néanmoins intéressant puisque l'histoire est enfin narrée en entier, et l'on connait désormais tout du début jusqu'à la fin.
Des pièges assez sympas mais qui ne surpasseront jamais ceux de la trilogie Bousman. J'avoue que la première épreuve est insoutenable, mais pas autant que celles dans le troisième volet.
En revanche on a un gros problème en terme de dialogues elles peuvent être pointés du doigt, un mélange de ridicule et d'insultes gratuites. Hackl n'est pas un poète mais il est techniquement sympa. Je le déconseille aux moins de 16 ans. Bon film un 4/5.
Cette lenteur est causée par de nombreux flashbacks et retours en arrières, dans le but de nous éclaircir un peu plus sur les événements du passé, ce qui est néanmoins intéressant puisque l'histoire est enfin narrée en entier, et l'on connait désormais tout du début jusqu'à la fin.
Des pièges assez sympas mais qui ne surpasseront jamais ceux de la trilogie Bousman. J'avoue que la première épreuve est insoutenable, mais pas autant que celles dans le troisième volet.
En revanche on a un gros problème en terme de dialogues elles peuvent être pointés du doigt, un mélange de ridicule et d'insultes gratuites. Hackl n'est pas un poète mais il est techniquement sympa. Je le déconseille aux moins de 16 ans. Bon film un 4/5.
Ce 5ème opus de la saga gore m'a déçu... Déçu par le manque d'idées des scénaristes qui peinent à trouver une vrai suite à "Saw 3" ( Darren Lynn Bousman, 2006 ), ne faisant qu'étoffer l'histoire ( Oui, il y à bien le passage où l'ex-femme de Jigsaw récupère une boîte, créant ainsi un petit suspens, mais c'est vraiement insignifiant... ). Ca avait bien marché dans le 4, car il y avait l'effet de surprise, mais ici ça ne donne pas le même résultat...
L'histoire parallèle ( celle avec les personnes qui doivent essayer de survivre étape par étape ), par contre, est très bonne, bien imaginée et son final est digne d'un Saw!
En espérant que "Saw 6" soit meilleur et qu'il débloque un peu ce scénario!
L'histoire parallèle ( celle avec les personnes qui doivent essayer de survivre étape par étape ), par contre, est très bonne, bien imaginée et son final est digne d'un Saw!
En espérant que "Saw 6" soit meilleur et qu'il débloque un peu ce scénario!
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