Avis : Saw 5 - Page 6

toujours aussi prenant, et riche en action en s'ennuie pas !
malgré qu'il soit beaucoup moins gore, j'adore quand même culte culte et culte les saws !

Comme il est de coutume à chaque Halloween,un nouveau "Saw" sort sur les écrans.Franchise ultra-lucrative,force est de constater que seul le premier "Saw" renouvelait réellement le genre de l'horreur.Les autres ne sont que de pâles copies ayant cédé à la facilité du profit et d'une recette tellement émoussée,qu'il est permis de se demander comment les fans eux-mêmes peuvent y éprouver encore un quelconque intérêt.D'ailleurs,ce 5ème volet n'existe que pour les fans puisqu'il résoud par flashs à la seconde des énigmes des précédents épisodes.Le scénario n'a toujours aucun sens.Il y a de quoi devenir chèvre de ce mélange bâtard entre les dédales de couloirs d'usine désaffectée,les piètres acteurs incapables de quoi que ce soit,et la musique assourdissante.Seule satisfaction:le sadisme gratuit est en baisse,ce qui n'était pas bien difficile après le numéro 4 sanguinolent.Le Tueur au puzzle,mort depuis la fin du 3,continue son oeuvre post-mortem grâce à de nouveaux disciples.J'imagine l'esprit tordu des scénaristes.Ca reste une boucherie bête et méchante.

J'en reviens tout juste du cinéma, pour aller le voir, et j'en sorti, tout souriant. Ce nouvel opus est aussi terrible que les autres, mis à part les différents pièges. Ils sont encore plus sanglants, que dans les précédents. En tout cas, je me suis bien régalé. L'histoire est toujours excellente, et reprends des scènes essentielles, qui n'étaient pas dans les précédents. C'est une fois de plus, un chef d'oeuvre.

Un cinquième volet meilleur que son prédécesseur. La réalisation est mieux, des acteurs impeccables (ou presque), et des nouveaux pièges monstrueux. L'histoire est plus complète et plus originale que le 4. Le scénario reste quand à lui par moment classique, mais comme toujours, les secrets du passé sont inattendu. Un volet toujours gore et psychologique avec des scènes peu crédible et d'autres parfaites. Un bon épisode.

Saw 5: on renoue avec le principe de l’équipe, 5 personnes devant traverser plusieurs étapes à fin de pouvoir sortir, vont t'ils suivre les conseils ou n'en faire qu'a leurs têtes ?

bien qu'il ait moins la faveur des fans (pas assez de tortures ?) c'est l'un des épisodes les moins ennuyeux...

Et voilà, la saga plonge avec ce 5ème opus dans la surenchère en tout et dans le vulgaire cinéma bis alors que l'entrée en matière était d'une machiavélique intelligence rare. Ici Darren Lynn Bousman a laissé sa place à David Hackl qui cherche visiblement à rendre fou son spectateur avec des flashbacks à foison, des temporalités qui ne cessent de sauter et un scénario bordélique qui au final perd tout son sens. Les victimes sont choisies n'importe comment et on perd clairement cet esprit de vengeance sanglante de Jigsaw. Et puis l'escape game ça ira, on l'a déjà eu dans le 2ème opus. Reste un bon paquet d'hémoglobine pour ceux que ça intéresse mais le charme est rompu pour ma part.

Déjà le cinquième Saw, la saga avance à un rythme d un Saw par an depuis le premier. La franchise est rentable , l’idée originelle de James Wan fait recette .

On y retrouve les personnages du 4, avec l ex femme de John kramer et son successeur le capitaine de police .

On n’en apprend un peu plus des liens entre le tueur au puzzle et son successeur . Ils étaient liés presque sur toutes les affaires des numéros précédents .

Et on a un fil conducteur avec un jeu entre 5 personnes dont une personne meurt en rentrant dans chaque nouvelle pièce .

C est ingénieux parfois mais ça sent le réchauffé souvent.

La franchise Saw est étirée jusqu’à son éclatement afin de ramasser un maximum de cash .

"Vous pensiez vraiment que c'était fini ?"... Si seulement. Ce cinquième opus continue les aventures du Jigsaw policier, lui offrant l'occasion de créer des épreuves dont les candidats n'ont aucune chance de réchapper (l'ouverture avec le gars qui râle même, en mourant en regard face caméra, qu'il avait réussi... Oui, nous aussi, on a ce même regard blasé devant ce postulat qui signifie l'absence totale d'enjeu, de suspens, si le gus ne peut pas s'en sortir au final...), l'occasion de nous expliquer spoiler: qu'il était là depuis le début avec John Kramer, en parallèle d'Amanda
(on a la tête qui va exploser, à force de mettre du lien partout où il n'y en avait pas besoin), mais qui enchaîne avec un groupe de gens piégés qui doivent coopérer pour s'en sortir, mais préfèrent se tirer dans les pattes (oui, c'est Saw 2, tout pareil). Si l'on additionne tous les éléments (les épreuves sans chance de survie, le nouveau Jigsaw au charisme d'huitre, les liens temporels et narratifs créés au forceps, le groupe de gens "so Saw 2" dont on se fiche éperdument...), on a bien peur que ce Saw 5 soit parmi les plus nuls, ressemblant souvent à un mauvais téléfilm (la réalisation est épouvantable, les acteurs sont mentalement absents, les effets spéciaux "sanguins" sont dignes de parodies...), et continuant de laisser une porte ouverte pour des suites, se sachant d'emblée ultra lucratif, intouchable quelle que soit sa nullité, et celle de ce cinquième film est grande. Mention aux flashbacks des anciens films où le flic sort vite en coulisses, pour justifier qu'on ne l'avait jamais vu, on se croirait à la Comedia Dell'Arte avec l'amant dans le placard. Kramer, petit coquinou.

La saga "Saw" tournant en rond, ce cinquième volet n'est qu'une redite du précédent. De facto, mon avis n'a pas changé. Ce film d'horreur ne propose que du gore sur un scénario faible et une réalisation médiocre. Cretes, les scènes gores sont réussis mais on ne fait pas un film basé uniquement sur cela. Nul.

Comme dans chaque épisode, le récit se déroule sur deux plans : celui des personnages piégés et celui des enquêteurs. Sauf que dans cet épisode, les personnages pièges sont sans intérêt et leur intrigue n'a pas le moindre lien avec celle des enquêteurs. Il en résulte un scénario décousu qui donne l'impression d'avancer à l'aveugle, enchaînant les rebondissements tarabiscotés.

Ce nouveau volet remplit parfaitement son cahier des charges !! Les nombreux flashback revenant sur les événements des précédents opus sont excellent !! On apprend pas mal de choses, l'intrigue étant bien ficelé !! Les nouveaux pièges sont une nouvelle fois éprouvant et très gore !! La BO qui accompagne le final reste mythique

J’ai l’impression qu’entre Saw II et Saw V, les scénaristes ont juste noté leurs meilleures idées gores sur une feuille et les utilisent un peu dans chaque film. Ne perdez pas votre temps. 1/5

comment justifier autant d'épisodes de plus en plus abracadabrantesques les uns que les autres?comment croire encore et encore que les "victimes" seraient capables toutes autant qu'elles sont de réagir et de se mettre au supplice aussi rapidement pour une survie aléatoire?
Réponse 1: des dollars. réponse 2: des actes de tortures souvent totalement improbables juste pour avoir une petite poussée d'adrénaline!
Cette série est d'une bétise et d'une laideur extraordinaire... Bien que je reconnaisse que l'idée initiale... Que la créativité originale du premier épisode soient assez "grandiose"!!!
Si seulement la crédibilité avait suivi...
Mais je crains que les spectateurs soient majoritairement des débi les profonds ou du jeune... très jeune en mal de sensations primitives... très primitives...

Voilà l’épisode de la saga qui annonce le plus un changement de cap en ce qui concerne l’ensemble, puisque tout en conservant les bases et ficelles du scénario telles qu’elles ont été posé précédemment mais amenant dorénavant un esprit différent. La chose la plus marquante d’ailleurs est cette volonté de traité ce film beaucoup plus sous le prisme du thriller, en délaissant bien plus l’aspect horreur bien trash, bien que certaines scènes se tiennent encore, la majorité d’entre elles sont non seulement relégué au second plan mais surtout l’essentiel de ces scènes n’ont plus du tout la même saveur. Ce qui fonctionnait, en plus de l’équilibre horreur/suspense, c’était cette ambiance très glauque, jouant plus sur les lumières sombres et un atmosphère plutôt sale, très anxiogène tout en étant physiquement dure, à tel point que l’esprit se prenait complètement au jeu, sauf que là (bien que l’on ressentait à certains égards au moins lors du précédemment épisode) ce à quoi l’on assiste est bien trop lisse, certes violent à souhait quelques fois à l'image de la fameuse scène du cube qui fait surtout froid dans le dos par la technique à proprement parlé puisque c'est le fait que tout soit réel et non en images de synthèse, mais le sentiment qu’il en reste est bien trop éphémère et ne parvient pas à créer une tension suffisante. Tout ces passages du film semblent en faite que passer dans l‘intrigue, prenant que très peu de temps pour les développer et ainsi en faisant un fil conducteur de dernier plan, ce qui à tendance à fausser l’ambiance que l’on appréciait, puis on ne peut pas dire que cela trouve plus d’écho en tant qu’ensemble du jeu macabre qui se tient, et tellement cher à l’esprit de la saga, le déroulement de ce dernier n’ayant qu’une légèrement pointe de bonne idée lors de sa conclusion et le sens que cela prend, sans parler que le message sous-jacent que cela impliquait dans les opus précédents (ici il est totalement inexistant en tant que tel) , mais ce n’est pas du tout suffisant pour être satisfait, d’autant plus que cela n’apporte rien de passionnant une fois relier à l’œuvre dans son ensemble, si ce n'est en donnant du sens à la scène finale du 3e épisode jusqu'à la totalement insensée. Alors bien évidemment que l’on ne peut pas nier que ces changements majeurs sont liés au changement de réalisateur, bien moins dans la lignée des créateurs, qui avaient donné une forme suffisamment particulière pour en faire un ensemble cohérent (et malgré que ces derniers conservent leur droit de regard en tant de producteurs), donnant ainsi cette sensation trop présente d’avoir toucher trop profondément à la saga. Cette amorce de changement se faisait déjà ressentir par la ligne directrice que l’intrigue centrale tendait à prendre, justifiant la poursuite de l’œuvre de façon pas toujours convaincante, et même si l’inattendu fonctionnait encore un peu, les raisons avaient du mal à trouver du sens, donc dans un sens ce film est surtout là pour essayer d’être convaincant et solide à ce niveau là, faisant de ce que l’on attendait dans ce film un moment bien plaisant dans ce qu’il montre. Sur ce sujet donc, l’ensemble que ce que l’on tend à nous expliquer n’est pas absurde ni dénué de sens, mais prend beaucoup trop de liberté par rapport à ce que l’on avait essayer de nous dépeindre jusque là, allant même laisser paraître quelques incohérences, notamment en ce qui concerne la chronologie de l’ensemble, ainsi il n’est pas évident de distinguer le réel parti pris avec ce nouvel opus, faut-il considérer que de nombreuses choses précédentes sont à oublier ou au contraire l’assimiler en tant que suite directe, ce que le film, dans sa forme en tout cas, semble mettre en exergue. Ainsi l’idée du scénario n’a rien de mauvaise, mais il n’y absolument rien de clair quand à la suite, néanmoins vu la manière dont le film se conclue, on peut autant se dire que le jeu va continuer, autant que ce dernier se conclu, cyniquement peut-être, mais laissant place quoiqu’il arrive à l’imagination et l’interprétation. Après tout, mieux vaut peut-être opter pour la seconde option, vu que les créateurs de la saga n’ont déjà plus rien à raconter de leur côte (avec ce passage de relai par forcement réussi) et bien que la nouvelle équipe tente de préserver une part de trash tout en repensant la saga à travers ce que l’on connaît, conservant certains aspects techniques pour le rendu de l’image ou en réutilisant la forme pure d’un bon épisode de « Saw » (comme l’utilisation plus marquée de la célèbre scène de massacre comme introduction), pas sûr que les prochaines tentatives d’explorer ce terrain soient de bonnes augures, d’autant plus que si le scénario poursuit dans cette voie, celui-ci étant l’une des pièces maîtresse de toute l’œuvre, cela risque de n’être plus qu’un enchaînement de scènes de jeu de massacre, avec plus ou moins de sens et surtout plus ou moins de réussite, car c’est essentiellement ce que l’on constate depuis maintenant au moins deux épisodes.