Mon compte
    Les Seigneurs de la mer
    Note moyenne
    3,6
    609 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Seigneurs de la mer ?

    138 critiques spectateurs

    5
    68 critiques
    4
    39 critiques
    3
    7 critiques
    2
    11 critiques
    1
    6 critiques
    0
    7 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    155 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juin 2013
    Je n'ai pas aimé ce documentaire, non pas qu'il soit inutile mais ses défauts sont insupportables. D'abord la personnalité narcissique de Robb Stewart. Il pue la suffisance et son ton est d'une prétention incroyable. Et va-y que j'te sauve une daurade, que j'explique comme à un débile des éléments évidents, que je m'attarde sur les risques énormes que je prend pour retourner au Costa Rica où de toute façon je ne sert à rien et surtout que je réalise toutes mes interviews les tétons à l'air (probablement une victime du virus Lautner). Et je ne vous parle même pas d'une scène misérabiliste au possible qui n'a absolument aucun intérêt pour le documentaire. Dans son contenu aussi c'est léger : en réalité Sharwater ne s'élève au dessus du pensionnaire d'Arte du dimanche après midi qu'au moment ou il se transforme en magasine d'investigation politique au Costa-Rica. Si l'on apprend des éléments interessants (les éléphants tuent 20 fois plus que les requins, ils étaient déjà présents avant les dinosaures, le requin marteau n'a jamais tué d'être humain...) les enseignements du reportage (pourtant verbeux) restent pauvres et on privilégie l'émotion à base de massacres et de dépecages insoutenables. Cette réalisation très anglo-saxone (canadienne en l'occurrence) est rapidement stérile. Je la trouve justifiée quand elle vient souligner et renforcer des faits précis mais ici ce n'est que peu le cas surtout que les données chiffrées sont parfois très peu claires. On nous balance ainsi un message sur fond noir "the world's shark population is estimated to have declined by 90%." sur quelle période, quels espèces ? Les raisons de sauver les dauphins sont également très pragmatiques mais aussi très simplistes. Heureusement le thème du reportage est plus que justifié et la photographie dont le sublime est encore renforcé par la BO aérienne (on reconnaitra Portishead notamment) vaut à elle seule le détour. On parie que les seules palmes que remportera jamais Robb Stewart sont déjà à ses pieds.
    lev7
    lev7

    5 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2014
    Un documentaire splendide, sur un animal incompris et donc l'existence est nécessaire, qui a pour seul défaut un biologiste qui se
    met trop en avant et aime se mettre en position de martyre par vanité ou but cinématographique ?! A vous d'en juger.
    maxshreck
    maxshreck

    57 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2010
    Un film vital et puissant. Quel combat et quelle vérité! Un film à voir et faire transmettre son message de vie et de danger pour un massacre, comme beaucoup, oublié par tous.
    Vagelios
    Vagelios

    43 abonnés 975 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2008
    Un coup de projecteur intéressant sur l'effroyable extermination des requins.
    Le réalisateur se met un peu trop en avant mais ça reste secondaire.
    darkvash
    darkvash

    107 abonnés 1 535 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juillet 2010
    Un trés bon film/documentaire qui remet les choses à leur place. merci pour la prise de conscience.
    tigrou83
    tigrou83

    14 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 avril 2008
    Réellement ignoble. Fin de semaine difficile. D'où il est question d'aller se relaxer devant un bon documentaire aquatique. De s'apaiser devant un balai de poissons aux milles couleurs chatoyantes. De voir ce seigneur des mers. On paye sa place, on se pose, puis... horreur. Encore un de ces films donneurs de leçons, qui utilise le précepte "la fin justifie les moyens" à outrance. La fin? Quelle fin ? Démontrer que nos gentils amis les requins se font traquer par une pêche carnassière. Les moyens ? Vous flanquer dans l'esprit une trentaine de scènes choc, où notamment des gamins s'amusent avec des organes d'un requin marteau fraîchement découpé vivant sous vos yeux, et mieux encore: pourquoi ne pas vous montrer un petit requin à moitié coupé en deux pour le sadisme et qu'on relâche à l'eau, puis qu'on filme entrain de tenter de nager ? J'appelle cela de l'imbecilité pure. Quel imbécile ? Le réalisateur, bien entendu.
    Celui qui pour combler un propos vide, filme avec complaisance de la barbarie pure, et vous dit en sourriant : regardez, c'est pas bien hein ? Et regardez çà encore. Trés honnêtement, ce film est totalement intolérable. Vous en ressortirez sali, dégoûté, et vous aurez passé un bon moment de détente sadique en week end. Et naturellement, rien ici de comparable à "un jour sur terre", aucun émerveillement, tout juste la sottise et l'amusement juvénile d'une personne dont on se fout. Le tout dans un bain immonde de sang que visiblement il s'est amusé à cataloguer crescendo. Non, ton saigneur des mers ne nous intéresse guère. Prends tes jambes à ton cou, et va t'en avec tes sales bobines.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 avril 2008
    documentaire tres interressant..apres avoir l'avoir vu,on ne voit plus du tout les requins de la meme facon!encore 1 preuve de la betise humaine!!! bravo a rob stewart!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 janvier 2010
    Un excellent film sur le thème général des requins. Un parfum d'aventure, quelques belles images, quelques images violentes et écœurantes. On reprochera l'égocentrisme du réalisateur et le peu d'assise scientifique. Mais il faut l'avoir vu.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2008
    Rob Stewart, jeune réalisateur Canadien (biologiste et photographe sous-marin) d’une vingtaine d’année réalise un documentaire plutôt effarant et alarmant, sur la situation des squales dans le monde.
    Il faut dire que depuis les années soixante-dix et la sortie au cinéma du fameux Jaws (Les Dents de la mer), Steven Spielberg avait dressé un portrait peu flatteur sur les requins, eux qui sont pourtant inoffensifs (ils n’attaquent délibérément pas l’homme). En plus d’une mauvaise opinion, le constat est alarmant car la population de squales au monde est en déclin, à cause des Asiatiques qui surconsomment les ailerons de requins.
    Le "Shark-Finning" est une pratique hautement interdite dans divers pays mais rarement respectée ! Il consiste à pêcher les requins pour leur couper les ailerons puis à en rejeter les corps à la mer, la plupart du temps encore vivants.
    Une pratique virulente qui décime chaque jour en moyenne et en l’espace de deux heures (le temps du film), près de 15 000 requins !!
    Un commerce qui rapporte gros et qui surpasserait presque celui de la drogue, c’est dire à quel point les ailerons de requins sont recherchés.
    Mais le plus gros problème est ailleurs, en effet, si l’on décime le requin, c’est notre espèce qui est en jeu, il en va de même pour l’écologie des fonds marins et de la planète, car elle risque de brouiller le processus de la chaîne alimentaire.
    Du Costa-Rica aux Îles Galapagos en passant par le Guatemala, Les Seigneurs de la mer est un documentaire qui oscille entre action et aventure (lorsqu’un bateau de pêcheurs est pris à partie par celui des militants qui tentent de le stopper par tous les moyens, aussi dangereux qu’inconscients) où lorsque avec l’aide de caméras cachées, le réalisateur s’infiltre clandestinement dans un entrepôt illégal. Tel un Michael Moore écologiste, Rob Stewart choque par ses révélations, scandalise et interpelle.
    estcetony1
    estcetony1

    17 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2013
    un reportage de haute volée qui nous réconcilie avec les requins mais aussi qui nous fait prendre conscience de l'importance de ce magnifique animal.
    Penser qu'autant de requins sont tués par jour juste pour leur ailerons et que les états ne font rien pour endiguer cette chasse absurde fait froid dans le dos.
    Bravo au courage des réalisateurs pour dénoncer cela ( spoiler: il leur en a fallu puisque ils ont failli se retrouver en prison et qu'ils ont du fuir le costa rica
    stillpop
    stillpop

    81 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2012
    L'histoire d'un homme qui aimaient les requins. Peut-être le seul homme sensé de la planète. Mais vraiment seul.
    Ceux qui lisent mon site "Radikal Kritik" le savent, pour moi, le problème de l'écologie est simple, moins il y aura d'enfants, moins la pression sur la nature (qui ne nous a rien demandé et tout donné) sera forte et plus la vie sera agréable et pérenne. Comme personne ne m'a prouvé le contraire jusqu'ici, je campe sur mes positions. Et je suis heureux que les documentaires actuels soient de plus en plus incisifs sur la responsabilité de la pression démographique, l'absence d'éducation qui en résulte faute de moyens (la richesse vient de la rareté, ce ne sont pas plus de gens sur la planète qui seront riches, ce sont les commerçants qui en profitent et les appauvrissent encore plus), et l'autodestruction qui en résulte (le capitalisme ultime résidant dans le fait que s'il faut vendre sa mère pour gagner quelque chose, on le fera).
    Je vais expliquer par l'exemple.
    Les Chinois se reproduisent plus vite que certaines espèces d'insectes grâce à la médecine occidentale d'importation (moins de mortes en couche, moins d'enfants malades, moins de vieux morts de maladie). Ils n'ont qu'une éducation productiviste mélangée à des obstructions traditionnalistes comme la croyance totalement mythologique (à l'opposée de la médecine qui leur apporte cette croissance démographique incontrôlée) que l'aileron de requin est bon pour la santé. Que ce plat est de plus le symbole bôf de bonne santé financière (plus vous avez de pauvres en nombre, plus vous avez de riches, même s'ils sont un pourcentage réduit), et vous arrivez au résultat simple et inéluctable qu'il faut pêcher beaucoup de poissons pour faire fonctionner la machine à fric qui permet l'accession à une norme sociale aussi idiote que la lapidation des femmes adultères dans d'autres cultures. Moins grave ?
    Hélas non.
    Car les Chinois, en plus de nous tuer nos emplois, les autochtones de certaines provinces qu'ils annexent, vont bientôt nous tuer tout court en nous empêchant de respirer de l'oxygène. Vous verrez comment en voyant l'intégralité de ce documentaire choc qui va au bout du raisonnement sans passer par la case politiquement correcte de l'écologie de salon ou de la diplomatie officielle.
    Vues les images immondes de ce documentaire, le choix du fil directeur « je suis le réalisateur et je m'implique physiquement parce que j'y crois » n'est pas idiot. Il permet en tout cas de tenir en haleine pendant cette avalanche d'informations et de chiffres d'un pamphlet totalement à charge et particulièrement bien construit au niveau pédagogique sinon démagogique.
    Il se trouve que je n'ai jamais compris l'humanité qui est prête à dépenser des fortunes pour sauver des bébés phoques parce qu'ils sont sympathiques alors que l'on pouvait massacrer les requins qui n'ont pour seul défaut que d'empêcher de se baigner tranquillement. Au dernières nouvelles, l'océan, c'est chez lui, vous avez des piscines, vous les bipèdes. C'est toujours le même problème, moins il y de gens éduqués et intellectuels, plus c'est le niveau hormonal de base qui prévaut : « ce qui ressemble à un petit mammifère auquel je peux identifier mon dernier bébé est sympathique ».
    Cette hauteur d'intelligence provoque un manque d'ouverture sur le monde tel qu'il est et sur la différence obligatoire par principe.
    Ce documentaire a le mérite de montrer un homme qui aime passionnément les squales, sans mettre sa vie en danger, flirter avec le requin blanc ne fait pas partie du programme. Il cherche à comprendre le vrai comportement du requin par sa seule approche (il n'est pas scientifique non plus), l'anthropomorphisme. Et c'est beau à l'écran, ce qui n'est pas idiot non plus, pour provoquer un choc affectif chez les débiles mentaux. Non seulement les sales bêtes cruelles ont le droit de vivre, mais en plus ce sont elles qui permettent le fragile équilibre des éco-systèmes.
    En tout cas j'ai appris un truc encore plus ignoble que ce que j'imaginais d'après les dernières infos que j'avais, les Chinois pêchent désormais aussi le requin baleine ! Ce géant des mers, rare, plus beau et parfait que les baleines elles mêmes, tout ça pour simplement vendre un aileron plus grand que les autres. Ce qui est horrible dans ce genre de documentaire, ce n'est pas de pleurer sur son sort ou sur son avenir, ce qui est horrible, c'est de voir en action la connerie humaine sans limite et insondable. Si elle n'a rien appris en 2007, il n'y a désormais aucun espoir que les cons soient éduqués un jour, ils sont désormais trop nombreux. Et les requins ont disparus à 90% en 10 ans. Félicitations.
    Ce documentaire pose aussi une autre évidence, plus on fera d'effort pour créer des consommateurs et non des intellectuels qui réfléchissent, plus la vitesse d'arrivée dans le mur sera rapide, et c'est tant mieux, quelques espèces animales arriveront à survivre.
    sebito
    sebito

    2 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 avril 2008
    Sans intérêt. C'est un film de propagande pour américain moyen (dans le sens péjoratif du terme)et non pas un documentaire. C'est une suite d'idées douteuses répétées plusieurs fois et sans lien logique illustrées par des massacres d'animaux (y compris le massacre des phoques, quel est le lien avec les requins ???) et des phrases choc. Le réalisateur essaye même d'attirer la sympathie en nous racontant ses problèmes de santé qui n'apportent rien au film. Les arguments avancés n'ont aucun fondement scientifique (simplification des chaines alimentaires à l'extrême, manipulation de données: comparaison du nombre de morts brut dues à des requins,des éléphants ou des sodas sans le rapporter au nombre de personnes en contact avec ces animaux ou ces produits...). Le film prône et justifie la violence de certaines actions écologiques. On peut aussi dénoter une légère moquerie des croyances asiatiques concernant le "pouvoir" des ailerons de requin. Seul passage d'intérêt: le possible rôle de la mafia taïwanaise au Costa Rica (considéré comme une réalité alors que rien ne le démontre formellement dans le film). Passer votre chemin: n'importe quel documentaire animalier de télévision est plus intéressant que ce film...
    Bakou.Kai
    Bakou.Kai

    2 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 avril 2008
    Une seule étoile, pour quelques paysages aquatiques/tropicaux


    Pour le reste, j'ai horreur des "reportages" pseudo-vérité qui nous prennent vraiment pour des andouilles. Adapté à un public primaire, qui acceptera sans réflexions des énormités scientifiques et statistiques (On fait dire n'importe quoi à des chiffres sans références claires..), le film n'est qu'un reportage coup de poing, avec phrases choc à gogo et images trash pour sensibiliser à la cause des requins (En gros, tout ce qui est moche et lié à la pêche/chasse sera affiché, chasse au phoque, tortues noyées, baleines etc.)
    Mais plutot que d'élargir le débat, le réalisateur reste concentré sur sa pomme (Le film est un immense "moi je"). Ce ne serait pas gênant si son immaturité ne ressortait pas aussi fortement: "Le requin c'est l'plus fort, même qu'il est plus fort que l'éléphant, parcequ'il a de la force dans l'aileron".

    On a plus ce genre de discours depuis que nos 12 ans sont révolus non?

    Sinon, bien que je déplore la traque déraisonnée que subissent nombre d'espèces aquatiques, pas un mot sur les populations pauvres du Costa Rica etc. qui pêchent pour vivre (et alimentent les trafiques mais qui veulent vivre à la base).

    Alors quoi? "Qu'ils crèvent j'aime les requins!" ça va j'ai bien reçu le message...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 avril 2008
    Propos maladroits et simplistes, images des plus banales, pour un docu qui ne mérite pas le grand écran.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 avril 2008
    1h30 de souffrance, très peu de passages sont intéressants. Le réalisateur en fait beaucoup trop; mettre au même niveau les requins et les membres de sa famille... De plus le mélange documentaire, film d'action à l'américain ça fait vraiment pas bon ménage .
    Ce n'a pas sa place salle; une simple sortie DVD aurait largement suffit.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top