C'est beaucoup trop long pour le peu que ça a à raconter (à peu prés rien), du coup ça traine, ça tourne en rond. Les personnages sont mal écrits et tous plus antipathiques et lourds les uns que les autres, mis à part certains personnages de la bande qui font tapisserie en arrière plan et qui n'ont visiblement pas d'histoire. Même Kevin Spacey a du mal à jouer correctement coincé dans ce personnage beaucoup trop caricatural. Le scénario est beaucoup trop prévisible et les 2 ou 3 twist tombent à l'eau tant on les voit venir à des kilomètres, peut être parce qu'on le a déjà vu 1000 fois dans les films de braquage/poker du début des années 2000 (y a vraiment un côté Ocean Eleven du pauvre tout le long du film).
L'ambiance des casinos n'a absolument rien à voir avec ce qui est représenté dans ce film et les personnages ne sont guère plus crédibles, tout cela est abstrait, laborieux et bien peu palpitant.
On y retrouve tout les codes des films de l'époque, mais si l'histoire ne casse pas trois pattes à un canard, au moins on passe un bon moment. Idéal pour découvrir ce que c'est que compter les cartes au casino.
Film sympa sur le black jack. Comme dans beaucoup de films certaines choses sont présentées comme faisant partie du monde réel alors qu'en fait elles ne le sont pas. J'ai recherché sur internet l'expression "Gagnant gagnant buffet géant" et les seules réferences qui apparaisent sont ce film.
Gros plagiat de "the last casino" ( la mise finale), qui lui est un bon films, que je conseille mais qui n'est malheureusement pas mos en avant dans les liste de films sur les casino. "Rendre à César ce qui appartient à César"
Petit film d'arnaque au casino par des petits génies menés par Kevin Spacey: un programme à priori alléchant qui parvient à rester divertissant jusqu'au bout mais qui manque de cohérence, échoue à faire exister les personnages secondaires, n'ambitionne rien d'autre que d'être une petite série B pépère, laquelle serait tombée dans l'oubli total si elle n'avait pas été repêchée par Netflix. Pantouflard, inconsistant mais sympathique!
Bon scénario, bien interprété, mention spéciale pour Kevin Spacey, aussi à l'aise en prof de maths d'équations non linéaires, qu'en Président des États-Unis. L'univers du jeu à Las Vegas fait craindre l'irruption à tout moment de Danny Ocean et de son équipe. Les petits génies du calcul mental utilisent des méthodes subtiles pour les mêmes fins que leur modèle : s'enrichir au détriment des casinos. À regarder en ayant en tête que l'histoire s'inspire de faits réels. Des faits qui rappellent qu'on ne peut pas toujours avoir ce qu'on veut, mais qu'en essayant, on peut avoir ce dont on a besoin. Les lecteurs les plus attentifs de cette critique comprendront-ils d'où vient la phrase précédente ?
En 2008, Kevin Spacey notre méchant manipulateur préféré réunissait une bande braqueurs geek pour compter les cartes et plumer les casinos au Black Jack. La jeune troupe de comédiens nous entraine dans les coulisses du MIT et surtout de Las Vegas pour notre plus grand plaisir. On ressort du film avec l'envie de jouer à ce jeu et de flamber également. Las Vegas 21 est toujours aussi plaisant à suivre 15 ans après sa sortie
Peu fan habituel des films de casino, il faut bien quelques exceptions à la règle. Et ici, c'est Las Vegas 21. D'abord pour son casting, mettez moi Kevin Spacey n'importe où et je serais probablement subjugué. Quant à Laurence Fishburne, il est parfait dans son rôle. Niveau scénario, il est assez classique bien que les quelques rebondissements soient plutôt percutants et très bien amenés. Le film n'est pas linéaire et se suit avec une certaine aisance. C'est paradoxalement un film très simple et en même temps surprenant.
L'idée générale est bien mais on a droit à tous les clichés possibles concernant l'introduction des personnages, le mec geek qui se clash tout seul à longueur de journée, la jolie blonde qui arrive en slow motion et à la fin l'équipe qui marche tous les un à coté des autre en slow motion pour faire un effet ''On a gagné, est est les boss''