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chrischambers86
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3,0
Publiée le 19 novembre 2012
Un film pour Romain Duris, totalement en phase avec son èpoque! Trois ans après "Osmose", le rèalisateur Raphael Fejtö retrouve le trio Romain Duris-Clèment Sibony-Rachid Djaïdani pour parler de l'âge d'homme! Après la comèdie ado rèjouissante, voici celle de trentenaire rèsolument hilarante par un petit gang de potes! Sauf que "L'âge d'homme... maintenant ou jamais" n'est pas un premier long-mètrage entre amis et cela change tout! Une ambiance très dètendue, aucune pression sur le rèsultat, les comèdiens essayant pleins de trucs, du coup ça laisse un espace pour le jaillissement, avec de petites choses qui rèvèlent la vie de couple, quotidienne, entre la comèdie et la vèritè! D'un film dècontracte, on passe rapidement à un film euphorisant! Mais ce qui intèresse Raphael Fejtö, c'est essayer de rechercher la vie, l'instantanè et la surprise! Un film de comèdie, un film d'humeur, le tout filmè en HD et sur un ton lèger! Acteur français incontournable des annèes 2000 que l'on a vu grandir, èvoluer, se bonifier, Romain Duris fait le show avec un charisme toujours aussi ravageur! La B.O est excellente où l'on passe de Mika à Amy Winehouse, de Mozart aussi, avec une belle scène de boîte de nuit entre Duris et Aïssa Maïga! Cette comèdie est en fait un film pour le XXIe siècle où les comèdiens emportent le spectateur dans leurs problèmes existentiels! il faut voir par exemple Duris se travertir en cro-magnon et louer "Rio Bravo" dans le distributeur extèrieur d'un vidèo-club (avec même un petit clin d'oeil sympa au film d'Audiard "De battre mon coeur s'est arrêtè") ou Irina Solano en croqueuse d'homme (actrice à suivre même si cette dernière ne joue que cinq minutes), sans oublier les conseils sur l’amour de Sibony, pour voir que tout ne sonne pas si faux que ça, comme le soulignaient injustement certaines critiques pro! Car qu’on le veuille ou non, Raphael Fejtö sait diriger ses acteurs! En revanche, il est fort dommage que le film soit si court, une demi-heure de plus n’aurait pas ètè de trop...
Un film un peu tourné à la Klapisch, et avec Romain Duris, donc on rit quand on voit ces scènes incongrues, c'est pas le film du siècle, mais on passe un bon moment.
Un film super moyen.Une histoire qui aurait pu etre tès bien faite.Mais je trouves que l'histoire d'un homme immature car peur de d'engager dans une vrai vie que l'on désirent à la trentaine a été trop loin.Genre aller en boite de nuit pour rencontrer une femme qui elle meme est plutôt adolescente dans sa tete et surtout son corps car elle vas avec le premier venu elle invite lhomme chez lui a se faire que du plaisir sexuelle. je trouves cela très immature car c'est a l'age de 15 à 25 ans maxi que lon samuse comme ca et encore a 25 ans on devient plus mure.ca ne pousses pas lhomme a grandir de chosir ce genre de lieu et de femmes.Avec un lieu et une femme beucoup plus sure et adulte que la ca aurait fait marcher le film mieux.Pourtant ce fut que un passage de une bone vingtaie de minute mais ca a tout assé le film.Heureusement que le début du film a bien démarrer et que la fin aussi fut concluante.Et que aissa maiga fut un bon rôle de femme sure et concluante ce qui a rattrapé le film.En tout ca moi jai 30 ans et ce nes pas se genre dhistoire que je voudrais vivre d'un homme.
3 ans après Osmose, le trio Fejtô-Duris-Sibony revient de manière très peu convaincante avec ce pur produit générationnel, qui ne restera pas dans les annales, qu'est L'âge d'homme. A vouloir à tout bout de champ cibler un public spécifique (celui des adolescents prépubères), celà ne donne pas forcément un bon film, bien au contraire, surtout lorsque l'on accumule autant de clichés et de poncifs dits "djeuns".
Même pour les fans transis de Romain Duris, il y a des limites : en effet, le film s'apparente plus à un "Romain Duris show" qu'à une oeuvre de cinéma. Duris en slim, Duris en boîte, Duris dans le bain moussant ... les créateurs ont même mis en scène Romain Duris louant un film avec Romain Duris (en l'occurence, De battre mon coeur s'est arrêté), c'est pour dire !
Bien entendu, ce petit monument de puberté ne restera pas dans les mémoires, à moins pour son accumulation plate et très publicitaire de morceaux de Mika ou Amy Winehouse. Pourtant, une lumière d'espoir subsiste et elle provient de la génialissime Aïssa Maïga, étonnante de vivacité et de véracité, laissant apparaître une nouvelle touche de son talent, après la sensibilité dévoilée chez Sissakho (Bamako).
LE navet de l'année ! nullissime comme on avais rarement atteint ce niveau. Long, chiant, inintéressant, mal joué, même la belle Aïssa qui nous a habitué à tellement mieux ! Duris, indécrotable dans le registre continu des rôles mauvais, alors que je l'avais adoré dans "de battre mon coeur..."
Grosse déception pour ce film qui ne vaut que par quelques scènes (Duris et sa maîtresse d'un soir très bavarde...) et son casting avec un Romain Duris toujours parfait mais beaucoup trop présent au détriment de ses partenaires, Maïga et Sibony entre autres. Pour le reste, la mise en scène est lamentable (avec des idées totalement stupides comme Léonard de Vinci qui fait du hip-hop, la vanne sur le prénom de Jésus...), le scénario est naze, la BO (pourtant largement mise en avant par la bande annonce) n'est pas à la hauteur... Un film qui ressemble plus à un prétexte pour qu'un pote à Duris et Sibony puisse faire du cinéma!
L’engagement masculin, au sein d’un couple ou dans la vie de famille. Vivre en couple ou seul, avec ou sans enfants. Voilà les questions auxquels Samuel doit faire face. Il a tout juste trente ans et est réalisateur, il vit avec Tina, qui elle, est photographe. Ses amis ce sont tous engagés ou vont le faire prochainement. Lui, il hésite tant qu’il va se donner 24 heures pour savoir s’il doit rompre ou continuer sa relation. Si le cinéma français regorge de film sur les trentenaires, ils abordent tous généralement le même thème. Et L'Age d'homme n’y échappe pas ! Seul différence cette fois-ci, le film se focalise sur un seul personnage, où l’on doit faire face à ses doutes et ses angoisses. Ce que l’on regrette, c’est la faiblesse du scénario, trop pauvre et déjà vu ailleurs. Si quelques passages (rares) méritent d’en rire, le reste est plutôt limite.
Une étoile est deja bien payé pour ce film mais je craint qu'il devienne culte avec les années. Je risque de bientot regretter cette petite étoile solitaire je le sais.
Un seul mot pour parler de ce film: Affligeant. En un seul film, on à la somme des clichés que l'on retrouve dans les critiques que l'on fait au cinéma francais. Alors qu'a l'accoutumé je ne comprend pas ces jugements et j'adore quand meme les films, ici, je ne peux m'empecher de regretter de ne pas avoir été voir les 4 fantastiques à la place.
Reste toutefois la presente de Romain Duris, Aissa Maiga et Clément Sibony qui remontent le niveau. (Beaucoup de plan de nus des trois, ca aide le film)
Ne passer pas votre chemin pour la peine car c'est un navet à voir. Le panthéon des navets lui est ouvert.
Inévitablement, on ne peut que penser à "Les poupées russes" à la vision de ce film. Même acteur principal, même thématique et même narration en voix off. Même ennui, donc. Et ce n'est pas la composition très médiocre de Aïssa Maïga (même Alexandra Lamy joue mieux, c'est dire !) qui peut faire trouver un quelconque intérêt à cette histoire. Puis, à la fin, qu'on arrête de nous balancer à chaque fois des Bandes Originales exclusivement anglo-saxonnes pour faire style. Je trouve ça superficiel, même si j'aime Mika et que je suis Relax. A conseiller exclusivement aux amatrices des fesses de Romain Duris.
L'AGE D'HOMME... MAINTENANT OU JAMAIS est une caricature du chef d'oeuvre de Klapisch " Les Poupées Russes " : une fable légère sur le passage à l'age adulte, l'amour et l'engagement, la vie, les amis... En fait, un gros bordel de questions existentielles. Romain Duris reprend donc son personnage de Xavier, sauf qu'ici il s'appelle Samuel, pour une aventure ‘hors-série' de l'aventure créée par Klapisch. Romain Duris est comme d'habitude fantastique, son charisme sauve son personnage d'une certaine fadeur, pendant que Aïssa Maïga laisse agir sur les spectateurs un charme d'un grand naturel. Moins marquant que " L'Auberge Espagnole " ou " Les Poupées Russes ", L'AGE D'HOMME a tout de même à offrir une succession de saynètes plus ou moins fantaisistes, plutôt plaisantes, marrantes, mais parfois assez lourdes... Un divertissement, ni plus, ni moins.
Très très déçu par ce film fait entre potes. Le cinéma français ne parle-t-il plus que d'adulscents incapables de s'engager autrement qu'un soir dans une histoire de cul sordide ?
Dialogues limites bâclés, humour très premier degré, Duris détestable dans une parodie ratée de lui-même, des comédiens mal dirigés qui semblent figés dans leurs état émotionnels... on dirait un ensemble de sketchs pas très drôles et répétitifs (Leonard de Vinci... pathétique et honteux !!) réalisés pour une chaîne locale. Feïjto et ses potes ont du bien se marrer, mais pas moi.
Une étoile quand même pour le sourire photogénique d'Aïssa Maïga et la scène hot très bien jouée par Irina Solano en croqueuse d'homme aux propos castrateurs. Une comédienne à suivre sauf si elle ne tourne qu'avec Feïjto.
Romain Duris est l'un des rares acteurs qui peut me donner envie d'aller voir tous ses films dès qu'ils sortent sans même savoir de quoi parle le film, avec bien sûr le risque un jour de tomber sur un film moyen. C'est fait avec l'Age d'homme.
Cette comédie qui réunit une nouvelle fois à l'écran Romain Duris et Aïssa Maïga, n'est pas à la hauteur de l'immense talent des deux acteurs. Scénario un peu léger, réalisation un peu lourde, seul point positif, le jeu des deux acteurs principaux.
A travers ce film certes drôle, le réalisateur se perd un peu dans mises en scène tirées par les cheveux, et pour nous montrer les tiraillements d'un trentenaire au carrefour de sa vie, enchaîne les parenthèses étranges, comme Léonard de Vinci faisant du hip-hop, ou un homme préhistorique allant louer un film au vidéo club. Sorti de son contexte, on se demande sur quelle planète vit Raphael Fejtö mais dans le film, cela a un sens sauf que l'effet de style est un peu trop poussé.
Et puis fort est de constaté que le scénario n'est guère original. La crise existentielle d'un trentenaire a été maintes et maintes fois traitée à l'écran, et souvent mieux que ça. La comparaison avec les poupées russes est inévitable et le résultat est sans appel. C'est du sous-Klapisch
En ce moment, la mode pour les réalisateurs débutants français, c'est de commencer avec un film sur les trentenaires. On a eu les bons films ("Les poupées russes", "Ma vie en l'air) et on a eu les moins bons. "L'âge d'homme" en fait parti. Romain Duris lui-même se plante dans ce film raté et pas vraiment intéréssant, qui n'apporte vraiment rien de nouveau. Même l'humour est d'un goût douteux. On retiendra juste ces fameuses 10 min où Duris trompe sa copine avec une malade mentale...Pour le reste, zappons. Le réalisateur semble nous balancer ses scènes comme des anecdotes qui lui seraient revenu en cours de route. Quand à la fin, elle se fourvoit dans une facilité déconcertante. Non, c'est non.