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    Tout est pardonné
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    2,6
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    61 critiques spectateurs

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    lorenzo fly
    lorenzo fly

    23 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 octobre 2013
    Un film simple, brute avec peu de moyen qui se laisse suivre avec un scénario cohérent mais ans plus!!
    ffred
    ffred

    1 732 abonnés 4 027 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 septembre 2007
    Présenté à Cannes cette année, précédé d'une excellente rumeur presse, j'attendais beaucoup de ce premier film. Hélas c'est la déception qui est au rendez-vous. Un film d'un profond ennui. Rien n'y a fait. Impossible de rentrer dedans et de s'intéresser un tant soit peu à l'histoire.
    Le scénario sonne creux. Présenté en plusieurs partie, on pense que cela va décoller avec les retrouvailles onze ans plus tard, mais non. Même si les scènes où apparaît la jeune Constance Rousseau sont les plus intéressantes. Le reste de l'interprétation est tout aussi inintéressante que le scénario. Ils sonnent tous faux, ne faisant rien pour que l'on s'attache aux personnages. Du coup aucune émotion ne transperce jamais. Soit ce triste jour de pluie ne m'a pas mis dans de bonnes conditions, soit je ne comprendrais jamais les critiques professionnelles, soit je ne sais pas. En tout cas, je n'ai pas aimé du tout. Maintenant à chacun de se faire une opinion.
    velocio
    velocio

    1 322 abonnés 3 158 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2007
    Présenté à Cannes 2007 dans le cadre de la Quinzaine des Réalisateurs, "Tout est pardonné" est l'oeuvre de Mia Hansen-Love, par ailleurs compagne d'Olivier Assayas et journaliste aux Cahiers du Cinéma. Ce film est centré sur l'histoire d'un couple et de leur fille. Lui, français, velléitaire, drogué, plus ou moins intégré dans l'univers de la littérature. Elle, autrichienne, voudrait qu'il change, le quitte. Leur fille, très jeune enfant au moment de cette séparation. Plus tard, le père et sa fille vont se retrouver, ce qui nous donne une des plus belles scènes du cinéma contemporain, une scène criante de vérité, entre ce père et cette fille qui, pour lui, est une totale inconnue. Film joué surtout par des amateurs ou des comédiens peu connus (dont Paul Blain, le fils de Gérard), film d'une justesse étonnante et qui dégage en permanence une très grande émotion. Quant à la Bande Originale du film, on y retrouve des chansons écossaises et irlandaises magnifiques, dans des interprétations aussi authentiques que les acteurs du film. Un régal (la musique et le film !)
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 014 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2017
    A toutes celles et tous ceux qui ont une obsession du point de vue, à tout celà, "Tout est pardonnè" ne doit pas être dèdiè! Soit on est emportè par l'histoire, soit on ne l'est pas! Car le seul vrai point de vue, c'est celui de l'auteur! Quand Mia Hansen-Løve a ècrit son premier court-mètrage et ensuite ce premier long-mètrage, elle a eu l'impression - à tort ou à raison - d'arriver enfin à trouver la forme d'expression qui coïncidait exactement avec le sentiment, l'idèe et la source! Une chose extrêmement libèratrice pour cette jeune rèalisatrice qui intègre ses propres thèmatiques et des donnèes essentielles de son univers dont le titre du film èvoque une expression poètique d'un amour un peu viscèral entre une mère et sa fille! On tourne autour d'un personnage principal (Victor) qui, finalement, disparaît pour laisser place à une jeune adolescente (Pamela) qui devient l'hèroïne! Du coup, l'idèe de la transmission s'exprime en premier dans la structure même du mètrage. Dèroutant ? Peut-être! Mais au moins Mia Hansen-Løve dèfend et argumente son point de vue sans pour autant mettre la forme en avant [...] Constance Rousseau est une actrice à suivre! Et ça, Guillaume Brac l'a parfaitement compris! On notera que "Tout est pardonnè" a reçu le Prix Louis-Delluc 2007 (ex-aequo avec "Naissance des pieuvres"), ce qui n'est pas rien même si ce premier essai n'est pas le meilleur film de sa rèalisatrice...
    BeatJunky
    BeatJunky

    155 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juin 2016
    Premier film de Mia Hansen Love dont j'attendais beaucoup par rapport aux bonnes critiques presses et à sa présentation à la Quinzaine des Réalisateurs présentée à Cannes en 2007. Rien de spécial à reprocher à la mise en scène qui est assez simple finalement mais ce qui m'a empêché d'accrocher à l'histoire et surtout de m'attacher aux personnages c'est l'interprétation plus que moyenne des acteurs : particulièrement celle de P.Blain et M.C. Friedrich (qui forment le couple du début du film et qui sonne carrément faux!) et celle de Constance Rousseau qui malgré sa belle frimousse, ne m'a pas convaincu. Sans émotion ni un minimum d'attachement aux personnages, difficile d'apprécier le film que j'ai malgré tout réussi à regarder jusqu'au bout mais avec un profond ennui... Pas de rythme, manque de conviction, interprétation moyenne etc... Une déception quoi ! Mais biensûr cela ne tient qu'à moi, à chacun de juger !
    Cluny
    Cluny

    79 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2012
    Est-ce moi qui suis en ce moment d'une humeur maussade, ou bien la critique est-elle particulièrement complaisante ces temps-ci ? Après son enthousiasme pour "Charly" et "La Question humaine", qui m'ont valu 4 heures d'ennui profond, nouvel emballement du Landerneau parisien pour ce premier film : Le Monde parle de "la stupéfiante justesse de la mise en scène, aussi précise, sensible et fulgurante qu'un rayon laser", Les Inrocks de "premier film bouleversant à la clarté magique", et Libé affirme que "Comme film, il est à son tour irréprochable".

    Diantre. Voilà qui est alléchant, et le fait que la réalisatrice soit une ex-consœur, qui plus est des Cahiers du Cinéma, ne rentre certainement pas en ligne de compte dans ce dithyrambe... Jugeons donc sur pièce. Côté mise en scène au laser, rien de bien original, juste ce qui est dans l'air du temps, côté Garrel ou Assayas, une caméra un peu parkinsonienne, un montage cut, des faux raccords signifiant "je connais les codes mais je m'en émancipe pour me rapprocher de la vraie vie".

    Côté clarté magique, je dois être un peu moldu, car j'ai trouvé que la narration embrouillait à dessein une intrigue bourrée de clichés : les scènes délibérément inachevées, les ellipses impromptues avec un brouillage intentionnel des repères temporels ne permettent pas de dissimuler l'essentiel, à savoir la succession d'événements attendus et leur traitement encore plus prévisible : la violence conjugale due à l'alcool, l'overdose, l'écrivain maudit et son angoisse de la page blanche.

    Mais le pire est sans doute du côté des dialogues et de la direction d'acteurs (adultes). Il y a un aspect terriblement désuet dans certaines scènes, très littéraire, quelque chose qui rappelle Truffaut sans sa légèreté grave. Comme Isild Le Besco nous exhumant Paul Wedekind, Mia Hansen-Løve nous sort Georg Trakl et Joseph Von Eichendorff, références pesantes à l'homme qui aimait les livres.

    Et puis les acteurs, surtout masculins, ont un jeu à la Jean-Pierre Léaud, et le "Tu m'as humilié !" de Paul Blain (fils de Gérard Blain, acteur fétiche de la Nouvelle Vague) lors de sa dispute avec Annette sonne aussi faux que les premiers essais de l'atelier théâtre de la 3° B. Quant à Pascal Bongard, lorsqu'il explique à sa belle-fille Paméla qu'il y a un virus terrible qui attaque les ordinateurs, on se demande si l'impression de gêne que l'on ressent est due à son jeu ou à la dissonance du dialogue qu'il est obligé d'ânonner.

    Heureusement, il y a les sœurs Rousseau, Victoire (qui joue Paméla à 6 ans) et Constance (qui joue Paméla à 17 ans). L'idée de confier les rôles d'un personnage à deux moments de sa vie à deux sœurs donne une vraisemblance que l'on ne retrouve pas quand le casting n'a été fait que sur des critères de ressemblance morphologique. Et puis toutes deux jouent étonnamment juste, et entraînent leurs partenaires adultes dans cette authenticité. Quand Paméla retrouve Martine, puis Victor, l'intensité de sa présence, reposant sur un port de tête aérien et un regard étrangement mobile parvient enfin à nous raccrocher à l'histoire et à nous émouvoir.

    Philippe Azoulay dans Libération évoque "Bergman, Garrel, Eustache, Doillon, Bresson, Blain. Comme chez eux, la maturité consiste ici à dire la fugue et ne lui faire aucun reproche". Tiens donc ; Victor est quand même un adulescent particulièrement agaçant, perpétuellement dans la négation, la fuite, l'esquive ; et si Paméla lui pardonne, tout à son contentement d'avoir retrouvé un père, je ne suis pas persuadé que la présentation qu'en a fait la réalisatrice était exempte de reproches.

    Espérons juste que Mia Hansen-Løve réussisse à se débarrasser à l'avenir de ses citations indigestes et de ses poncifs narratifs, et qu'elle sache prolonger la grâce de certains passages, comme la conversation sur les ponts viennois entre Victor et Paméla à 6 ans, ou la façon que la même Paméla adolescente a de parler de "son frère par alliance". Espérons pour cela qu'elle ne prenne pas trop les critiques pour argent comptant.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    Fritz L
    Fritz L

    188 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 octobre 2007
    Depuis quelques temps, l’on peut se réjouir de voir émerger autant de premiers films, souvent intéressants, voir captivants. Il y a quand même quelques exceptions notoires dont celui-là fait partie. Mia Hansen Love n’a rien à nous raconter, encore moins à filmer. Cette chronique d’un homme perdu est sans relief… La cause principale en revient à son acteur, Paul Blain, qui possède certes un physique (la même félinité que son père, sans le charisme), mais ne cesse de réciter ou de jouer un texte sur lequel on le sent totalement insensible. Côté technique ça pêche un peu aussi. C’est souvent mal cadré, les raccords lumière sont pour le moins approximatifs, et la plupart du temps, la réalisatrice sans doute en mal de sensation filme autre chose… La rue, un parc, un groupe d’enfants… Et ce n’est malheureusement pas l’arrivée de Constance Rousseau au deux tiers du film qui vient éveiller notre intérêt. Certes elle est lumineuse, mais il est trop tard, le spectateur a déjà déserté non pas par l’ennui provoqué, mais par le vide absolu qui y règne. Mia Hansen Love pour son premier essai nous livre un cinéma de mendigote.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    299 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2019
    Mouais.... bof bof ! Ce film est bien étrange. Il laisse de marbre sans pourtant être totalement dénué d'intérêt. Le problème c'est que je l'ai trouvé inconstant car on passe de moments intéressants à des moments totalement rasoirs et c'est pénible. En plus l'acteur principal est complètement nul et ne fait passer aucune émotion et moi ça m'a gêné. Les autres acteurs sont bons mais Paul Blain lui n'est pas crédible et pas très juste et c'est fort dommage. Au final je n'ai pas détesté ce film mais je me suis ennuyé à mourir devant tout de même et il me laissera une drôle d'impression.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 octobre 2007
    Deux parties : la première, lourdement descriptive, maladroite, envahie par un acteur à côté de son rôle. La seconde, où l'histoire se révèle pas à pas et où un univers se construit tranquillement. Quand, à la fin, on réalise que la première partie se limite à une description plate des événements sans être nécessaire au film, on rêve au court-métrage qu'aurait pu donner, isolée, la seconde. Un jour, on regardera, pour voir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 novembre 2012
    La presse a hurlé au chef d'oeuvre, et bien évidemment ils n'ont pas forcément raison. Un film courageux et inégal.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 octobre 2007
    Victor quitte sa femme et sa fille pour se réfugier auprès d’une femme junkie qui décédera fatalement d'une overdose. Des années plus tard, la petite fille de Victor devenue une jeune fille décide de le revoir pour lui dire qu'elle lui pardonne.A vrai dire, je n’ai pas du tout aimer le principe de l’histoire qui présente plutôt le personnage de la mère plutôt négativement parce que c’est elle qui rompt et ment à sa fille afin de la protéger alors que le père qui est à l’origine de la rupture du couple a le bon rôle même si c’est lui qui se soustrait à ses responsabilités en ne cherchant pas à travailler, en se droguant ou en se réfugiant dans les bras d’une autre. Comme si seul le temps qui passe suffisait à réhabiliter les erreurs du passé car la liberté individuelle serait plus importante que le devoir. Ainsi, le père n’a pas besoin de faire des efforts pour se faire pardonner parce que simplement le temps joue à sa faveur. Le pire est que le film dans la façon qu’il fait présenter le personnage du père, montre
    difficilement son changement physique et psychologique lorsqu’il retrouve sa fille après 12 années d’absence. Peut être aussi que cette impression est due à la faiblesse de l’interprétation des personnages. En tout les cas, le film lasse très vite
    et retourne en seconde partie rapidement dans la platitude d’une œuvre sans envergure.
    Hotinhere
    Hotinhere

    572 abonnés 5 014 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2022
    Une chronique touchante et lumineuse sur la réconciliation entre un père et sa fille, portée par une interprétation pleine de justesse.
    Yves G.
    Yves G.

    1 505 abonnés 3 518 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2021
    L’action de "Tout est pardonné" se déroule en trois parties différentes dans le temps et dans l’espace. Elle commence à Vienne où on découvre Victor (Paul Blain), Annette (Marie-Christine Friedrich) sa compagne autrichienne et Pamela leur petite fille de six ans. Ils forment une famille en apparence unie mais dont le bonheur semble menacé par d’insidieuses failles. Victor en effet est hanté par ses démons intérieurs. De retour à Paris, la famille éclate. Victor qui n’arrive pas à décrocher de la drogue abandonne le domicile conjugal, vit un temps avec une junkie, ne laissant à Annette d’autre alternative que la fuite avec sa fille.
    Onze ans passent. Pamela devient une gracile lycéenne. Grâce à Martine (Carole Franck), la sœur de Victor, elle retrouve son père et essaie de rattraper avec lui les années perdues.

    À vingt-six ans à peine, Mia Hansen-Løve signait en 2007 avec "Tout est pardonné" son premier film. Présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, il emporta le prix Louis-Delluc – ex aequo avec "La Naissance des pieuvres" de Cécile Sciamma, une réalisatrice elle aussi promise à un bel avenir. Pas moins de sept autres films allaient lui succéder dans les années suivantes, les deux derniers attendant encore leur sortie en salles. Sur la lente reconstruction d’une quinquagénaire abandonnée par son époux, j’ai vu "L’Avenir" début 2016 – et ai cru y reconnaître la même colline creusoise qu’on voit à la fin de "Tout est pardonné" – qui ne m’avait pas emballé par la faute de Isabelle Huppert dont vous savez, lecteur fidèle, l’épidermique antipathie qu’elle me cause. Sur la toute aussi lente reconstruction d’un photographe enlevé en Syrie, j’ai vu "Maya" début 2019 qui m’avait déjà plus convaincu.

    Découvrir, treize ans après sa sortie, le premier film de cette réalisatrice éclaire son œuvre d’un jour nouveau. On en comprend l’intelligence, la délicatesse. On est aussi bluffé par la maîtrise dont elle sait faire preuve à son âge pour son tout premier film – qui lui avait valu de la part de Jacques Mandelbaum dans les colonnes du "Monde" une critique hagiographique.

    Pour autant, on peut légitimement y trouver à redire. La direction d’acteurs est inégale : si la jeune Constance Rousseau – qu’on voit sur l’affiche – avec sa carnation de porcelaine est une révélation, le jeu calamiteux de Paul Blain (quasi sosie de Pierre Cosso, le héros de "La Boum 2") plombe le film. Plus grave encore : on peut reprocher à Mia Hansen-Løve, dans son film comme dans les suivants, une artificialité un peu hautaine dont portent la trace des dialogues trop écrits et des ellipses trop brutales qui peinent à masquer la banalité d’un scénario languissant.
    ghjughju
    ghjughju

    19 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2018
    Je me demande encore l’intérêt de ce film, il ne raconte rien, aucune émotion. La comédienne qui joue Pamela est très bien. Mais Victor est insupportable. Non vraiment grosse déception
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 383 abonnés 7 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2007
    Entre Vienne et Paris, un couple se sépare. En cause ? Victor, le mari, trop près de la drogue et de l’alcool que de sa femme et de leur fille. 11 ans plus tard, il retrouve sa fille Pamela, celle qu’il a tant aimée.
    A seulement 26 ans et un curriculum vitae déjà impressionnant (actrice et journaliste pour Les Cahiers du Cinéma), Mia Hansen-Love se lance dans la réalisation où pour son premier film, elle s’intéresse de près à des thèmes tels que la relation de couple, la hantise de l’échec et la détresse. Elle nous dresse le portrait d’un père de famille à l’abandon et qui perd tout ce qu’il aime. Puis on le redécouvre, lorsque sa fille refait surface et où ils doivent tout reprendre à zéro, s’apprivoiser, se découvrir, … .
    Elle arrive à nous séduire avec son drame passionnel, grâce aux interprètes qui sont tous très convaincants, voir même brillants, où l’on retrouve dans les rôles titres, Paul Blain, Marie-Christine Friedrich et la magnifique Constance Rousseau (débutante et prometteuse).
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