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Un visiteur
1,0
Publiée le 23 juin 2013
1 étoile est c est bien payer ! apres plus de 30 minutes j ai cru que je m etais tromper dans la programmation de mon enregistrement ! et penser avoir enregister un film erotique , resultat apres des filles nu et encore des filles nu etc ..... j ai suprimer le films , si il y avait vraiment de l epouvante et de l horreur sa doit etre dans les dernieres minutes surement , mais pas eu la patience d attrendre .Et que viens faire le nom de Tarantino dans ce film ? a tout les coups c est pour inciter les gens a le voir et bien c est une belle supercherie !
Si vous pensez avoir vu le film le plus nul qu'on puisse trouver et que vous n'avez pas encore vu Hostel, et bien vous n'avez pas vu le film le plus nul qu'on puisse trouver.
J'ai bien fait d'aller jusqu'au bout. La première partie est ennuyante, caricaturale, vraiment sans intérêt à part poser les bases de la seconde partie. Une critique du racisme et de la vision des occidentaux sur les pays de l'est ? Mouais. Soit Eli Roth ne va pas bien loin dans sa démarche, soit c'est surtout qu'il rate un peu la mise en place de son histoire et de son ambiance. Bon, y'a des jolies filles seins nus alors on se laisse emmener jusqu'à la 50ème minute du film (et certaines choses comme le passager dans le train intrigue suffisamment pour qu'on ait envie d'en apprendre un peu plus). Enfin, l'ambiance se fait oppressante, on éprouve un peu de sympathie pour le personnage (dans la première partie, les personnages stéréotypés et débiles au possible empêche toute forme d'empathie) et on en viendrait presque à s'émerveiller devant la violence de la torture (bien moins suggérée que je ne m'étais l'entendre dire) et le sang qui tapisse les murs de cette "usine à meurtre". Pour le coup, on aperçoit une vraie critique : celle du voyeurisme malsain spoiler: (le "si tu veux regarder, il faut payer" est utilisé deux fois : dans la première partie, avec la prostituée d'Amsterdam et dans la deuxième partie, lors de la torture de l'asiatique , de l'argent qui permet de tout obtenir pourvu qu'on y mette le prix, du paraître spoiler: comme lors de la scène où le héros se retrouve dans le "vestiaire" des riches qui payent pour tuer et qu'il rencontre un homme obsédé par ce qu'il inspire et comment il doit procéder ou encore à la fin, quand après s'être rendu compte de l'état de son visage, l'asiatique préfère se jeter sous un train plutôt que de vivre toute sa vie défigurée etc. La morale de fin est douteuse : spoiler: le héros, en tuant le tortionnaire de son amis, se met au même niveau que les tueurs. Elle semble être là seulement pour flatter les pulsions du spectateur qui crie à la vengeance mais n'apporte pas grand chose. Plus profond que je ne le pensais (et que la première partie ne le suggère), le film est cependant plombé par sa première partie digne d'un teen-movie trash.
Un film culte, tout comme massacre à la tronçonneuse 1974, le public s'attend à des déluges de sang, mais Eli Roth prend sont temps pour posé sont histoire et présenté ses personnages, ce qui est le plus important dans un film, et le film n'est pas plus sanglant que ça, mais tout comme Massacre a la tronçonneuse l’atmosphère glauque et malsain de l'oeuvre fait sont petite effet
De bonnes idées pour ce film, qui s'inscrivent dans un monde bien façonné, mais les apparences ont du mal à convaincre, et le film paraît un peu brouillon.
Premier à rebondir sur l’effet que fit Saw sur le public du cinéma horrifique l’année précédente, Eli Roth a su trouver, à la vue d’un fait divers édifiant, un prétexte plutôt malin de justifier le sadisme sanglant des images du film qu’il voulait tourner. Depuis le postulat de vouloir faire un parallèle entre le voyage sexe-drogue-et-alcool d’un groupe d’adolescents libidineux et les jeux de tortures dont ils vont être eux-mêmes victimes, le récit va, comme ce fut le cas dans Cabin fever, mettre plus d’une demi-heure à prendre ses marques avant de ne nous offrir finalement que quelques plans chocs où la frayeur deviendra un élément de mise en scène plus étoffé que l’unique volonté de mettre en place une ambiance glauque et malsaine. Un meilleur travail sur les personnages afin de s’y attacher un minimum aurait donné au film le côté terrifiant qui lui fait injustement défaut.
mouais....si le film s'avère divertissant et pour peu qu'on apprécie les films où l'hémoglobine coule à flot, ça se laisse regarder. Après, dans le propos, c'est quand même limite. Les gentils américains torturés par les barbares d'Europe de l'Est, la ficelle est grosse surtout qu'en matière de morale, les USA ne sont pas des exemples, loin de la...Après, un soir où il n'y a pas grand chose à faire, rien n'empêche de regarder ce sanglant Hostel
Pour commencer, les 3/4 du film on voit des filles nues et que ça, aucun scénario, pour le coup une grosse perte de temps. Le film, soit disant d'horreur ou de gore il est ou le gore ? Quentin Tarentino a fait quoi ce jour là. Il a pris quoi?!!! Vraiment très déçue. Si vous voulez du gore, regardez l'intégrale de saw .Une des références du vraiment gore pour les fans du genre. Pourtant j'adore Quentin mais là y a de l'abus. Et les personnes qualifiant ce film de référence gore ou d'horreur sont vraiment à coté de la plaque.
Ce film a été présenté comme un film gore. Ce n'est pas un film gore. Vous pourriez avoir entendu une certaine scène était intense. Mais vous avez probablement menti, parce que la plupart des violences semble si faux. Je ne sais pas ce que globes oculaires pendantes ressemblent. Mais je ne pense pas que ça ressemble à ça. La première demi-heure est juste une variété de scènes de sexe et de femmes nus. J'aime les femmes nues, mais je n'ai aucune idée de ce que tout cela à voir avec faire un film d'horreur. Ce n'était pas un gaspillage complet. L'idée était convenable et certains des personnages étaient intéressants. Le client américain est cool, l'homme d'affaires néerlandais est é le début du film, on s'attache on personnage et on tient accrocher l'histoire.
Le film redéfinit les règles de l’horreur, versant sans scrupules dans le sadisme et la torture avec une bonne dose de clichés sur l’Europe de l’Est. On en redemande.
A vouloir trop en faire, on aboutit parfois au n'importe quoi. C'est le cas d'Hostel qui malgré ses prétentions ne révolutionne pas le film d'horreur. On a droit à tous les stéréotypes et clichés du genre (filles à poil de manière purement gratuite, crétins dont le seul but dans la vie semble être la défonce et le sexe) et une boucherie de très mauvais goût: tant au niveau de l'esthétique que de l'ambiance, c'est le néant. Il y à des films malsains qui marquent les esprits, sont efficaces (Massacre à la Tronçonneuse par exemple). Bien que glauque et crade, Hostel est à des années lumière de ce genre de films. Et on n'a aucune sympathie pour les victimes principales qui sont des déchets. NB: je vous déconseille le film si comme moi vous ne supportez de voir des scènes où des yeux sont mis à mal.
Très bon film. L'histoire est originale et fait, à elle seule, bien peur et froid dans le dos. Ce serait tellement effroyable et pourtant tellement possible au vue de la nature humaine que j'étais déjà bien mal à l'aise. De plus, si on s'attend à du gore, on ne risque pas d'être déçu. Bon déroulement, bonne fin. Il faut vraiment le voir.