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Votre avis sur Star Trek : Premier contact ?
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Grand succès aux Etats-Unis lors de sa sortie en 1996, First Contact s'avère être l'épisode le plus cinématographique et le plus spectaculaire de la saga Star Trek. Huitième film qui en compte aujourd'hui douze, c'est à Jonathan Frakes alias le commandant Reeker d'avoir mis en boîte celui qui est considéré comme le meilleur épisode de l'arc "Picard". Certainement plus inspiré que Nimoy et Shatner avant lui, Frakes donne le ton lors d'un prologue à la fois impressionant et révélateur des nouvelles ambitions de la franchise : le spectacle. Là où les épisodes précedents jouaient davantage la caractérisation plutôt que l'action à la Star Wars (ce que Star Trek a l'honneur d'avoir évité avec intelligence, évacuant toute comparaison inutile, donc), on a donc ici la première incursion d'un cinéma hautement divertissant quoique imparfait dans l'exécution de ses thématiques et de ses pistes narratives. Picard, qui lutte contre son côté Borg suite à un ancien et marquant épisode de la saison trois de The Next Generation, il lutte ici à l'extrême pour interrompre leur plan maléfique qui vise à interrompre le premier contact établi avec les vulcains, première manifestation extraterrestre qui a bousculé l'Humanité pour enfin devenir cet espace humaniste que Roddenberry a savamment et intelligemment créé. Un plongeon dans les racines de l'univers du créateur puisque les personnages sont projetés en plein XXIème siècle quelque temps après une Troisième Guerre mondiale ayant ravagé le monde comme il est dit lors d'un dialogue annonciateur des évènements pré-Star Trek.
Nous voilà donc plongés en plein XXIème siècle sur une base menant un projet plus qu'ambitieux, puisqu'il s'agira d'un lancement de fusée qui effectuera le premier "warp" de l'Histoire, ce que les borgs tentent de saboter durant tout le métrage. Une narration superposée, d'un côté les humains sur Terre, de l'autre les borgs ayant capturé l'androïde Data afin de le recoufigurer et le transformer en borg. Des liens s'ffectuent entre la chef borg, sorte d'être aux trois quarts machine, le reste vaguement humain et Data, donnant lieux à des scènes captivantes, à la fois malsaines et intenses. De l'autre, les officiers de l'Enterprise nouent des liens avec Cochran l'inventeur quelque peu alcoolisé du premier Warp Drive.
Ce First Contact, tout en étant particulièrement spectaculaire dans ses scènes de batailles spatiales est pour le moins alléchant en tant que pure film de science-fiction mélangeant voyage dans le temps et intéraction humaine entre présent XXIème siècle et XXIIIème siècle, opposant donc un monde dans le déclin, un futur humaniste, le tout parasité par une vision bélliqueuse des Borgs souhaitant dominer toute espèce vivante.
Alors oui, la vision quelque peu série B (souvent très "zombie-like" pour ce qui est des borgs), un final légèrement beauf (les vulcains visitent des humains qui se bourrent la gueule ... pas très glamour cette vision des hommes) parasitent ce Star Trek-là, mais n'empêche qu'il s'agit d'un des meilleurs films de la franchise avec les épisodes II et VI et IX.
Nous voilà donc plongés en plein XXIème siècle sur une base menant un projet plus qu'ambitieux, puisqu'il s'agira d'un lancement de fusée qui effectuera le premier "warp" de l'Histoire, ce que les borgs tentent de saboter durant tout le métrage. Une narration superposée, d'un côté les humains sur Terre, de l'autre les borgs ayant capturé l'androïde Data afin de le recoufigurer et le transformer en borg. Des liens s'ffectuent entre la chef borg, sorte d'être aux trois quarts machine, le reste vaguement humain et Data, donnant lieux à des scènes captivantes, à la fois malsaines et intenses. De l'autre, les officiers de l'Enterprise nouent des liens avec Cochran l'inventeur quelque peu alcoolisé du premier Warp Drive.
Ce First Contact, tout en étant particulièrement spectaculaire dans ses scènes de batailles spatiales est pour le moins alléchant en tant que pure film de science-fiction mélangeant voyage dans le temps et intéraction humaine entre présent XXIème siècle et XXIIIème siècle, opposant donc un monde dans le déclin, un futur humaniste, le tout parasité par une vision bélliqueuse des Borgs souhaitant dominer toute espèce vivante.
Alors oui, la vision quelque peu série B (souvent très "zombie-like" pour ce qui est des borgs), un final légèrement beauf (les vulcains visitent des humains qui se bourrent la gueule ... pas très glamour cette vision des hommes) parasitent ce Star Trek-là, mais n'empêche qu'il s'agit d'un des meilleurs films de la franchise avec les épisodes II et VI et IX.
Après un épisode 7 qui faisait office de passage de témoin entre la génération de Kirk et la nouvelle génération incarnée par le capitaine Jean-Luc Picard(Patrick Stewart, mystérieux comme il faut),"Premier Contact"(1996) passe la vitesse supérieure en revenant aux origines du monde créé par Gene Roddenberry. Les Borg,sorte de méca extra-terrestres,veulent retourner dans le passé,pour empêcher la première rencontre entre Humains et Vulcains,qui se solda par la paix. La reine Borg est un être complexe,et toutes ses séquences avec l'androïde Data sont très intrigantes. Sur l'Enterprise rajeuni,tous se mettent au service de la périlleuse mission. Le ton général est plus sombre et mature, même s'il n'exclut pas quelques batailles spatiales impressionnantes. L'humour apparaît de façon plus voilée,notamment dans le personnage de James Cromwell,ingénieur mythique de fusées devenu pochtron. L'ensemble est très agréable à suivre,se hissant à un niveau très correct dans la grande histoire de la SF. Sûrement le meilleur film Star Trek.
NeoLain
Comme souvent l'ouverture d'un volet de Star Trek se passe formidablement bien, tant sur le plan visuel et que les personnages nous paraissent plaisant, action bataille galactique. Par la suite je m'y intègre moins, même si l'histoire peut sembler intéressante (bombe nucléaire, 3ème guerre mondiale, Borg), j'y arrive pas avec un total enthousiasme à bien apprécier le tout, l'univers de la nouvelle génération me laisse assez froid. Fin de contact...
Sans aucun doute un des meilleurs films de la franchise Star trek! Jonathan Frakes nous livre ici un excellent spectacle. De la très bonne science-fiction avec de superbes effets spéciaux de chez ILM(dès la première scène!)qui rivalisent sans problèmes avec le dernier film Némésis, un scénario en béton qui nous plonge tout de suite dans l'action, en effet pas de mise en plaçe de l'histoire, de présentation des "gentils" ou des méchant Borg, ça commence direct par un appel sur un champs de bataille. C'est un film destiné aux fans de star trek, puisque celui qui n'a pas vu la série sera un peu dépassé par les événements(les références à Locutus ou a Zefram cochrane par exemple ne lui diront rien), mais à part ça, no problemo pour la compréhension du film; le voyage temporel est bien amené et crédible, une petite touche d'humour par ci par là et, fait rarissime dans star trek, l'apparition à l'écran d'un vaisseau Vulcain. Bref du bon spectacle à regarder en VO(comme pour les séries) plutôt qu'en VF. Engage!!
J'ai bien aimé ce film....Je précise que je n'ai jamais vu le moindre épisode de Star Trek..Je connais toutefois quelques bases de l'univers dans lequel prend place la série (et donc ce film): il y a une fédération de planètes, avec un célèbre vaisseau, l'Enterprise, avec un vaste équipage qui explore l'univers; parmi les ennemis il y a les Borgs..Même si sans doute certains détails m'ont échappé, je n'ai eu aucun problème de compréhension. Le film est intéressant, il relate certes certains poncifs de la science fiction
spoiler:
(voyage dans le temps, abordage de vaisseau spatial)
mais qui si on y réfléchit bien ne sont en définitive abordés que dans les films...J'ai bien aimé aussi les personnages, intéressants et avec de la personnalité, ce qui aide à ressentir de l'empathie pour eux...James Cromwell et Patrick Stewart sont évidement de bons acteurs et apportent leur touche au film...Sur un plan plus général, la philosophie de ce film est me semble-t-il de se dire que le monde (et l'univers) est vaste et que l'espoir doit rester car rien n'est jamais perdu. Après il faut tout de même avouer que l'on n'est pas sur un film à très gros budget, que les effets spéciaux ne sont pas toujours très bons, et que le fait que le film soit rattaché à une série TV amène quand même un côté un peu "série B" de science fiction (mais une très bonne série B....).
mais qui si on y réfléchit bien ne sont en définitive abordés que dans les films...J'ai bien aimé aussi les personnages, intéressants et avec de la personnalité, ce qui aide à ressentir de l'empathie pour eux...James Cromwell et Patrick Stewart sont évidement de bons acteurs et apportent leur touche au film...Sur un plan plus général, la philosophie de ce film est me semble-t-il de se dire que le monde (et l'univers) est vaste et que l'espoir doit rester car rien n'est jamais perdu. Après il faut tout de même avouer que l'on n'est pas sur un film à très gros budget, que les effets spéciaux ne sont pas toujours très bons, et que le fait que le film soit rattaché à une série TV amène quand même un côté un peu "série B" de science fiction (mais une très bonne série B....).
Benjamin A
Après Leonard Nimoy et William Shatner, c'est au tour de Jonathan Frakes de faire acteur-réalisateur pour un opus de Star Trek. Ici la terre est en danger, mise à mal par les Borgs, sorte d'être moitié organique, moitié machine. Seul l'USS Enterprise peut déjouer leur plan.
Premier épisode à véritablement s'acquitter de la série originale (Shatner, entre autres, apparaissait dans un rôle important dans l'épisode précédent), "First Contact" permet au nouvel équipage d'enfin prendre pleinement son envol. Alors si le début est parfois un peu trop confus surement dû au fait que je ne sois pas un connaisseur de la série "nouvelle génération", c'est presque un sans faute de la part de Jonathan Frakes. Si c'est d'abord dommage que l'équipage soit un peu moins attachant et approfondis ici que dans l'ancienne génération, ce n'est guère un problème tant Frakes se base avant tout sur le personnage de Picard (toujours campé par un excellent Patrick Stewart) dont on découvre plus de facettes et qui éclipse tout son équipage.
L'intrigue est assez bien construite et surtout efficace, contenant plusieurs bonnes idées que Frakes ne manque pas de bien mettre en scène. Mais la réussite vient aussi des méchants qui sont aussi puissants que cruels et qui vont mettre à mal les membres de l'USS Enterprise. Frakes donne du rythme, de la tension et de l'intensité aux moments propices et met en place une atmosphère sombre, parfois glauque même et qui nous tient tout le long en haleine, Les effets spéciaux sont réussis et subliment bien un univers riche et passionnant et on ne peut que saluer le retour de Jerry Goldsmith pour la bande-originale et c'est un vrai plaisir pour les oreilles.
Une bien belle réussite qui rehausse le niveau du précédent opus, donnant enfin du vrai intérêt à cette nouvelle génération et lui permet de pleinement prendre son envol et ce, grâce à une habile mise en scène et un scénario efficace.
Premier épisode à véritablement s'acquitter de la série originale (Shatner, entre autres, apparaissait dans un rôle important dans l'épisode précédent), "First Contact" permet au nouvel équipage d'enfin prendre pleinement son envol. Alors si le début est parfois un peu trop confus surement dû au fait que je ne sois pas un connaisseur de la série "nouvelle génération", c'est presque un sans faute de la part de Jonathan Frakes. Si c'est d'abord dommage que l'équipage soit un peu moins attachant et approfondis ici que dans l'ancienne génération, ce n'est guère un problème tant Frakes se base avant tout sur le personnage de Picard (toujours campé par un excellent Patrick Stewart) dont on découvre plus de facettes et qui éclipse tout son équipage.
L'intrigue est assez bien construite et surtout efficace, contenant plusieurs bonnes idées que Frakes ne manque pas de bien mettre en scène. Mais la réussite vient aussi des méchants qui sont aussi puissants que cruels et qui vont mettre à mal les membres de l'USS Enterprise. Frakes donne du rythme, de la tension et de l'intensité aux moments propices et met en place une atmosphère sombre, parfois glauque même et qui nous tient tout le long en haleine, Les effets spéciaux sont réussis et subliment bien un univers riche et passionnant et on ne peut que saluer le retour de Jerry Goldsmith pour la bande-originale et c'est un vrai plaisir pour les oreilles.
Une bien belle réussite qui rehausse le niveau du précédent opus, donnant enfin du vrai intérêt à cette nouvelle génération et lui permet de pleinement prendre son envol et ce, grâce à une habile mise en scène et un scénario efficace.
bsalvert
un film à destination exclusive des fans de la série, les autres spectateurs seront mis sur la touche.
PLV : aux fans de la série
PLV : aux fans de la série
Après le passage de flambeau de "Générations", la nouvelle génération de "Star Trek" peut enfin prendre son envol dans un film d'aventure en solo. Nous suivons désormais le capitaine Picard et son équipage, privés des personnages que nous aimions tant et qui continuent de nous manquer. Heureusement ce "Premier Contact" se montre plutôt réussi. On y affronte les terrifiants Borg, on voyage dans le temps, on se retrouve face à ses pires peurs et on découvre l'origine du voyage dans le temps et de la rencontre avec les Vulcains. Pas le temps de s'ennuyer devant cet opus solide et rythmé où Jonathan Frakes (le lieutenant Riker) officie à la mise en scène avec un certain savoir-faire, offrant de beaux moments de bravoure. Désormais, la saga n'a plus l'air aussi kitsch et se concentre sur le spectaculaire. Il est cependant dommage de constater que les personnages sont un peu en retrait et que seul le capitaine Picard se montre intéressant tandis que ses comparses ont parfois l'air fades. Cela dit, le personnage de Picard, sa noirceur, sa rencontre précédente avec les Borg permet une exploration psychologique très intéressante de ce personnage tourmenté auquel Patrick Stewart prête ses traits à merveille dans un opus qui a le sens du spectacle.
Tout n'est pas réussi, mais les effets spéciaux sont bons et en dehors de quelques costumes bien moches, comme toujours chez les méchants de Star Trek, le film est potable. Il manque cependant le duo mythique formé par Kirk et Spock. Ni l'un ni l'autre ne sont présent bien qu'il y ait un capitaine. Mais Star Trek sans Spock... C'est un peu rude. Moins d'humour malgré la bonne volonté de Data.
Redzing
L'équipage de "Next Generation" a enfin le droit à son propre film, le précédent volet faisant office de liant entre les deux générations. Et ce 8ème opus respecte l'éternelle règle pair-impair, en faisant bien mieux que son prédécesseur fadasse. Cette fois, l'Enterprise remonte le temps, et doit à la fois aider à mettre en place le premier contact entre la Terre et les extra-terrestres, tout en combattant une invasion de Borg au sein du vaisseau. Un scénario riche en péripétie, sombre, et qui propose même quelques réflexions sur l'interface homme-machine et la perfection. D'autant plus que le casting est mieux employé que dans le précédent volet, et que les méchants sont de qualité. Seule ombre au tableau : la mise en scène, malgré de bons effets spéciaux, relève toujours du téléfilm. Bon divertissement néanmoins.
7eme critique
Ici, pour ce huitième épisode, nous avons affaire à un mix entre "Terminator" et "Alien".
En effet, il y aura au menu de l'invasion de robots exterminateurs, accessoirement très mous du genou (pour ne pas dire tapettes hybrides), dans les couloirs de l'Enterprise. Toutefois, "Star trek : premier contact" sera l'un des épisodes les plus rythmés de la saga, offrant à cette nouvelle génération, désormais embarquée par Patrick Stewart, une approche différente et plus "grand spectacle" que le "Star trek" tel qu'on l'a connu avec la bande à William Shatner. Mais malheureusement, on ne nous épargnera pas de nombreux passages bêtes à bouffer du foin...
En effet, il y aura au menu de l'invasion de robots exterminateurs, accessoirement très mous du genou (pour ne pas dire tapettes hybrides), dans les couloirs de l'Enterprise. Toutefois, "Star trek : premier contact" sera l'un des épisodes les plus rythmés de la saga, offrant à cette nouvelle génération, désormais embarquée par Patrick Stewart, une approche différente et plus "grand spectacle" que le "Star trek" tel qu'on l'a connu avec la bande à William Shatner. Mais malheureusement, on ne nous épargnera pas de nombreux passages bêtes à bouffer du foin...
Après un 7e épisode décevant, j’ai malgré tout persévéré dans ma volonté de découverte des films "Star Trek", ne serait-ce que parce que la bande-annonce de ce 8e opus m’avait presque emballé à l’époque de sa sortie en salles. A juste titre, cet épisode étant incontestablement meilleur que son prédécesseur (et peut-être le plus réussi de la saga époque "Nouvelle Génération"). Tout d’abord, la mise en scène (confié à l’acteur Jonathan Frakes) est davantage travaillée tant sur la plan du rythme que des décors. Je reprocherai malgré tout un final rapidement expédié et une certaine dispersion dans le récit entre les différentes intrigues pas forcément bien articulées entre elles. Le scénario est également plus élaboré puisqu’il nous fait découvrir une facette étonnement sombre du Capitaine Picard et nous présente des ennemis avec un vrai potentiel cinématographique et un look pour une fois original, à savoir les Borgs, créatures mi-machines mi-humaines, adepte de l’assimilation de population et fonctionnant sur le principe d’une ruche totalement inféodée à la Reine. C’est quand même autre chose que les Klingons et leur maquillage ridicule de l’opus précédent ! Maintenant, il faut admettre que l’histoire n’est pas non plus révolutionnaire et, pire, qu’elle souffre du manque de moyens du film qui se voit amputer de plans qui aurait pu être fantastiques. Seul le manque d’argent peut expliquer que le spectateur n’ait pas le droit de voir à quoi ressemblerait une Terre repeuplée de Borgs ou à un premier contact avec les Vulcains plus spectaculaire. Quant au casting, on retrouve l’intégralité de la nouvelle équipe avec un léger mieux par rapport au film précédent. Ainsi, Patrick Stewart campe un Capitaine Picard plus riche émotionnellement et plus affirmé (aidé, il est vrai, dans la VF par la voix inimitable de Claude Giraud, doubleur officielle de Tommy Lee Jones, ce qui lui confère une autorité naturelle), Riker (Jonathan Frakes) prend la tête de l’équipe se rendant sur Terre, Data (Brent Spiner), toujours en quête d’émotions humaines, est moins pénible, Worf (Michael Dorn) s’offre une petite confrontation avec son Capitaine et LaForge (LeVar Burton) réussit à être drôle. Seules les filles sont encore oubliées par les scénaristes. On appréciera également l’apparition du légendaire Dwight Shultz (le Looping de "L’Agence tous risques") déjà présent dans la série TV et le rôle étonnant de James Cromwell en savant alcoolique. En somme, il ne faut pas être trop exigeant avec ce 8e épisode qui s’avère plus abordable que nombre des autres films de la saga et qui réussit à divertir les spectateurs qui n’ont jamais vu un épisode de Star Trek. Maintenant, on retrouve toujours le côté kitch (la téléportation pas très travaillée, les monologues chiants...) qui a tant creusé le fossé entre trekkies et non-trekkies et que seul J. J. Abrahms a su gommer jusqu’à présent.
L'un des meilleurs de la nouvelle génération : un excellent scénario qui mêle d'anciens ennemis, de l'histoire du futur, toutes les capacités du vaisseau et la psychologie d'un capitaine un peu perdu.
Le meilleur volet avec Patrick Stewart dans le rôle de Jean Luc Picard . On explore la personnalité de Data. Une bataille spectaculaire entre les humains et les humanoïdes.
Star Trek : Premier contact est un bon film de science-fiction de Jonathan Frakes. La mise en scène du réalisateur est irréprochable, le scénario est travaillé et intéressant, j’ai bien accroché à l’histoire, les effets spéciaux fonctionnent correctement et les acteurs comme Jonathan Frakes, Patrick Stewart ou encore Brent Spiner sont très convaincants dans leurs rôles. Bref, c’est à voir…
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