Avis : Star Trek : Premier contact - Page 4

Excelent, ce 8ème film de Star Trek est splendide et nous comte une superbe histoire !! Enfin l'un des meilleurs film Star Trek et le meilleur de la nouvelle génération . Bref génial

Moyen, moyen. Pas trop fan de Star Trek il faut dire.

Encore un épisode de la longue série qui ravira les fans, dont je fais partie, mais aussi les béotiens. Le scénario est inventif, créatif, avec une excursion temporelle. Il semble assez difficile de trouver une suite cohérente avec les opus précédent, mais cela n'empêche aucunement de comprendre et de se plonger facilement dans ce film. C'est toujours aussi bien joué. On remarquera encore quelques effets spéciaux ayant un peu mal vieilli.
A voir par les fans et ceux qui voudraient bien se donner la peine de découvrir ce "monde" Star Trek.

N'ayant pas vu les autres versions de Star Trek, je trouve que ce film est pas mal dans l'ensemble. Le scénario a un peu d'originalité pour modifier le temps en évitant un événement historique qui établirait la communication entre les humains et les extra-terrestres. Patrick Steward me semble un peu neutre dans son rôle et le reste du casting aussi. Les scènes d'actions sont un peu lents, quelquefois ennuyeux comme la scène du dégagement de la sortie du vaisseau. Plusieurs situations rendent toutefois ce film assez vivant pour qu'il soit regardable comme le voyage entre plusieurs endroits (un bar, un bal dansant), la passager humain à l'intérieur de l'Entreprise, la capture d'un membre de l'équipage important. Le design du vaisseau est bien fait et les lasers sont assez styles. Les ennemis représentent bien le mal et on voit qu'ils sont sans pitié, des vrais machines. Un film d'action avec quelques maladresses mais pas si mauvais.

Le meilleur épisode fait par l'équipe de "Star Trek Next Génération". Il y a de bons moments de SF et la mise en scène est loin d'être mauvaise.

Encore une histoire de retour dans le temps pour l’équipage de l'Enterprise. Une excellente mise en scène, avec un scénario classique dans la forme. James Cromwell en roue libre et une mise en abyme découvreur-admirateur font de cet épisode de Star Trek l'un des plus drôle et des plus spectaculaire, mais aussi l'un des plus futile (en gardant l'épisode IV hors catégorie).

Premier Contact est un très bon Star Trek. Le thème de l'assimilation d'une race par des entités extraterrestres n'est pas tout à fait nouveau mais son exploitation ici est plutôt pas mal vue. On assiste également, par un jeu sur le voyage dans le temps, à la première fois que l'homme a atteint la vitesse lumière et à sa première rencontre avec une intelligence extraterrestre (d'où le titre). Un Star Trek bien ficelé, riche et intelligent, et qui ne lésine pas sur les effets spéciaux et autres batailles dans l'espace.

Les Borg lancent une offensive contre la planète Terre. Immédiatement, le capitaine du vaisseau USS Enterprise, Jean-Luc Picard, et son équipage répondent à l'assaut de l'armée ennemie mais leur terrible reine refuse de s'avouer vaincue. Elle retourne dans le passé afin d'empêcher la première rencontre entre humains et vulcaniens qui a été le fondement de l'amitié entre les deux peuples. Si c'est d'abord dommage que l'équipage soit assez peu attachant et approfondi c'est avant tout dû au personnage de Picard (campé par un excellent Patrick Stewart) dont on découvre plus de facettes et qui éclipse tout son équipage. On découvre ensuite les Borgs, sorte d'êtres mi-charnels mi-machines, qui vivent selon une mentalité d'abeilles, n'ayant qu'une seule conscience et étant tous réunis autour d'une reine. Ils assimilent les humains pour renforcer leurs troupes et s'adaptent extrêmement rapidement aux armes des humains. Le fait de n'avoir qu'une conscience collective limite la prise d'initiative de chaque individu, ce qui est une faiblesse que va exploiter Picard. Par exemple, il sait que s'il n’apparaît pas comme menaçant, les Borgs ne l'attaqueront pas, ce qui lui permet, avec ses équipiers, de se déplacer et de manœuvrer pour contrecarrer les plans des Borgs. Cette particularité est toutefois un peu déroutante car parfois les Borgs sont très agressifs et parfois ils sont passifs. Si les humains sont une menace et qu'en plus, les Borgs peuvent les assimiler pour renforcer leurs troupes, tout humain devrait être neutralisé, agressifs ou non. Ce point m'a dérangé pendant les scènes se déroulant dans l'Enterprise. Mais globalement, j'ai passé un bon moment. Les effets spéciaux sont plutôt réussis pour l'époque (1996), l'histoire tient la route, les acteurs sont assez convaincants. Disons que c'est une bonne entrée en matière dans l'univers Star Trek pour un néophyte comme moi, surtout qu'avec ce retour dans le temps, on se retrouve à l'époque contemporaine et sur Terre. Donc, c'est un point de départ idéal pour ne pas complexifier les choses. J'imagine que les prochains épisodes seront dans le futur et plus nécessairement sur Terre...

Star Trek: Premier Contact (1996)

L'un des films les plus brillants et les plus importants de l'univers cinématographique Star Trek

"The Voyage Home" (1986) est le meilleur film de la "Série Originale" parce qu’il s'agit d'un film perspicace. Ecrit, réalisé et interprété avec esprit et tendresse, tout en mettant en valeur une excellente conception de la production qui sensibilise les humains (du vingtième siècle) à combien ils étaient « extrêmement primitifs et paranoïaques », et comment nous pouvions les encourager à agir pour un avenir durable.

Dix ans plus tard, les créateurs du "Premier Contact" récidivent avec une nouvelle histoire brillante, qui va bien au-delà de l’épisode télévisé étendu avec une profondeur philosophique et pédagogique qui :

1. Analyse spoiler: à quel point la civilisation humaine était encore primitive avant le Premier Contact le 4 avril 2063, tout en la coachant et en la perfectionnant
:

« spoiler: Cela unit l'humanité d'une manière que personne n'aurait jamais crue possible lorsqu'ils réalisèrent qu'ils n’étaient pas seuls dans l'univers. La pauvreté, la maladie, la guerre. Elles disparurent toutes dans les cinquante années suivantes.
»

2. Illumine spoiler: le chemin du progrès que les humains vont suivre au cours de la Nouvelle Renaissance qui caractérisera l'époque entre la fin du 21e siècle et le 24e siècle. Afin d’assurer la survie des espèces qui vivent sur la Planète Terre grâce à la création de la Terre Unie dans les années 2150. Puis son évolution au-delà du système solaire avec la fondation de la Fédération Unie des Planètes en 2161, dont Starfleet est la caution morale – dans les rôles de Défense, Sécurité intérieure, Maintien de la paix, Application de la loi, Défense civile, Exploration spatiale, Recherche scientifique et Diplomatie – et gardienne d’une existence basée sur le Développement, la Connaissance et le Respect
:

« spoiler: L’acquisition de richesse n'est plus le moteur principal de notre vie. Nous travaillons pour nous rendre meilleurs, nous et le reste de l'humanité.
»

Un chef-d’œuvre !

5/5

Un peu moins intello,éthéré et barbant que tant d'autres épisodes de la saga "star trek",ce film séduit par un bon scénario,des acteurs qui vont bien et des effets spéciaux pas mal du tout

sympa mais sans plus. les deux thématiques sont : Les borgs envahissent l'enterprise et la situation devient rapidement critique + Cochrane et la première rencontre avec les vulcains.
Autant les borgs sont "sympathiques", autant l'histoire avec Cochrane est plus que médiocre, voire complétement tiré par les cheveux. A voir pour les fans.

Une très bonne incursion de la nouvelle génération sur grand écran.
Moi qui n'ai jamais vu aucun épisode de Star Trek Next Generation mais uniquement le septième film (Star Trek VII Generations), le film m'a comblé. Tout d'abord, la plupart des éléments de l'Univers peuvent nous être rappelés durant le film (mais il subsistent des exceptions comme les yeux de Laforge ou le comportement de Worf vis à vis de Picard). Les personnages de Jean Luc Picard et de Data so nt parfaitement exploités dans le combat contre le Borg et sa "Reine" (avec une magnifique mise en parallèle avec Moby Dick). La partie terrienne, plus légère, revient sur les fondements de Starfleet, les bases de sa déonthologie, alors que Picard semble s'en éloigner sur l'Enterprise.
Une réalisation classique mais un scénario implacable et des personnages puissants dans l'adversité.

Et on retrouve avec plaisir l'Enterprise qui cette fois fait face aux Borgs. Le scénario est bon et les acteurs aussi. Les effets spéciaux sont réussi. On suit les aventures de nos héros qui remontent le temps et on en apprend plus sur la naissance de la Fédération et le premier contact des terriens avec les vulcains. A voir absolument pour les fans les autres passeront un agréable moment.

Pour une fois l'intrigue ne donne pas l'impression qu'on assiste a un simple épisode de la serie. Le plus accessible et abouti des Star Trek de la nouvelle génération.

Après des débuts un peu laborieux sur grand écran (l'épisode Generations), l'équipage Next Generation passe à la vitesse supérieure avec cette aventure excellente, à la fois rythmée et inspirée, et ne cédant pas à la tentation ultra-commerciale (en bref, on a du Space Opera pour du Space Opera). Les amateurs du genre seront comblés par les scènes spatiales nombreuses et réussis (la scène d'ouverture ou la sortie dans l'espace) mais également par les diverses trouvailles du scénario : les origines de la conquête spatiale terrienne, les Borgs (peut-être la race la plus impressionnante de toute la saga) et leur système d'adaptation, le passé de Picard vis-à-vis d'eux... Pas le temps de s'ennuyer, c'est super efficace.