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    Marche à l'ombre
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    132 critiques spectateurs

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    Roy Batty
    Roy Batty

    159 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2014
    Enorme succès à sa sortie (plus de 6 millions d'entrées !), "Marche à l'ombre" est le premier film de Michel Blanc en tant que réalisateur. Cette excellente comédie raconte les pérégrinations à Paris de deux amis aussi différents qu'inséparables : François (Gérard Lanvin), le dur au coeur tendre, et Denis (Michel Blanc), l'hypocondriaque malchanceux en amour. Le film se déroule dans un contexte morose (chômage, conditions de vie effroyables, racisme), mais Blanc prend le parti d'en rire (un peu comme Jugnot, mais de façon plus cynique) en enchaînant les gags et les répliques drôles à un rythme effréné. Comme pour la plupart des comédies françaises réussies des années 80, on pourrait citer quasiment tous les dialogues. En voici un petit florilège : "Tu supportais pas la chaleur : t’as même fais une insolation dans une boîte de nuit !"; "Elle doit être plus mannequin que dépressive ta copine, non ?"; "Elle est bien cette chambre" - "Ouais. Puis elle donne vachement envie de sortir hein ?"; "Tu joues vachement bien, hein. Si j’avais eu de l’argent, je t’en aurais donné"; "A part le fait qu’elle soit coiffée comme un dessous de bras, est ce qu’elle est bonne Katrina ?" - "J’ai pas eu le temps de me rendre compte figure toi. Tu fais ch..., pour une fois que j’ai pas été obligé d’employer la menace"; "Au moins à Athènes c’était sec. Ici on va bientôt plus avoir pied"; "J’ai du mal à parler parce que j’ai les dents qui poussent"; "Des fois je voudrais être baraqué pour te péter la gueule !"... Lanvin et Blanc sont formidables dans leur rôle respectif et j'aurais beaucoup aimé qu'ils reforment leur tandem dans une autre comédie. L'atout charme est apporté par la magnifique Sophie Duez (son premier et sans doute plus célèbre rôle au cinéma). On retrouve également pas mal d'acteurs connus (aujourd'hui tout du moins) dans des petits rôles : Bernard Farcy, François Berléand, Jean-François Derec, Patrick Bruel. A noter également la courte apparition de Katrine Boorman (la fille de John) dans l'hilarante scène du pub. La musique est très sympa, notamment l'énergique "New-York avec toi" de Téléphone et la reprise par Michel Blanc de la chanson de Renaud qui a donné son titre au film. Bref, "Marche à l'ombre" est une comédie comme on n'en fait plus, dont je ne me lasse pas.
    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2014
    Une très bonne comédie style buddie movie avec un duo fonctionnant très bien entre Gérard Lanvin et Michel Blanc en compagnons de galère. Débrouille pour se loger, manger ou se déplacer... L un traîne l autre comme un boulet mais ils ne peuvent se résoudre à se séparer. C est rester très drôle avec le temps comme l inénarrable scène du pétard ce qui est aussi signe de sa réussite.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 680 abonnés 12 411 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2016
    Premier long-mètrage et première rèussite en tant que metteur en scène pour l'acteur Michel Blanc! Tournè dans l'esprit du cafè-thèâtre, ce gros succès populaire de l'annèe 84 est devenu depuis sa sortie une comèdie incontournable du cinèma français, aux rèpliques cultes (« J'ai du mal à parler parce que j'ai les dents qui poussent ») et aux personnages attachants! Gèrard Lanvin et Michel Blanc nous amusent dans leurs petites galères et forment ici un tandem solidaire et inoubliable! Qui se laisse prendre au jeu de François, le ratè romantique, et de Denis, l'hypocondriaque, est largement rècompensè par la succession de gags dont certains sont hilarants comme la manche dans le mètro parisien ou les effets secondaires d’un joint! Les seconds rôles sont globalement bons et on peut regretter qu'une actrice comme Sophie Duez (avec des yeux verts à se pâmer) n'ait pas plus percè dans le cinèma! A noter la formidable chanson "New-York avec toi" du groupe Tèlèphone, incitant le spectateur à fredonner avec Jean-Louis Aubert...
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 393 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2016
    Une petite comédie sociale, très années 80 que Marche à l’ombre, film qui rappelle qu’à cette époque on s’intéressait beaucoup plus aux marginaux, aux gens de la rue, et qui sans atteindre le niveau d’Une époque formidable, est un film porté par le dynamisme de ses comédiens, et quelques moments de réalisme lucide sous l’humour.
    Le casting est attrayant. Le duo Lanvin-Blanc fonctionne bien, les deux interprètes s’avérant complices. Ok, ils ne trouvent pas des rôles spécialement originaux, Blanc jouant le petit râleur et un peu boulet et Lanvin le camarade débrouillard, séducteur et bagarreur, mais ce sont des rôles qu’ils prennent avec application, et ils parviennent à maintenir l’intérêt, entourer de seconds rôles parfois caricaturaux, mais assez représentatif en fait de la « faune » urbaine du temps ! Très belle Sophie Duez, et quelques guest de prestige, à l’instar de Patrick Bruel. Marche à l’ombre dispose de bons interprètes.
    Visuellement on évolue sur une comédie un peu grise, à l’ambiance urbaine froide et plutôt angoissante, ce qui rappelle aussi qu’on n’est pas uniquement dans une comédie mais aussi sur un film qui montre les ghettos, les hôtels miteux, et le quotidien quasi-clochard des héros (sans sombrer dans le misérabilisme pur et dur). La bande son, colorée nerveuse, mais sur laquelle on retrouve bien sûr le tube de Renaud apporte de la vigueur, tout en renforçant le propos du métrage. Blanc derrière la caméra signe aussi une mise en scène alerte et plaisant.
    Le scénario cherche donc à nous faire partager les mésaventures de deux comparses musiciens débarquant en ville. Entre tripot minable et ghettos noirs, jusque dans les couloirs du métro, le film se veut une aventure urbaine et une sorte d’ode à la débrouillardise. Parfois un peu vain et pas toujours aussi subtil qu’on aurait pu l’attendre, il n’en reste pas moins que Marche à l’ombre est un film vigoureux, qui va vite, très vite, et parvient à offrir des moments drôles et des moments plus graves avec une réelle efficacité. Ça manque un peu de volume en quelque sorte, mais ça a la fraicheur d’un premier film, et on sent que Blanc voulait dire quelque chose.
    En somme, je donnerai 3.5 à ce métrage, qui pour ma part a des mérites certains. Un de ces bons moments du cinéma français des années 80, et le genre de métrage qui manque aujourd’hui trop souvent, au profit de films sociaux-documentaires, pour ne pas dire docu-fiction, au propos souvent bourratif et d’un didactisme affligeant.
    stebbins
    stebbins

    499 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mars 2012
    Dans notre cinéma national les années 80 riment surtout avec comédie : les productions Fechner, les duos dégourdis, la nostalgie 68 et la maturité vinyle, les nanas décoiffées et les potos virils. C'est les barlous, les squats et les chanteurs dans le métro, Gérard, Michel & cie. Véritable film culte de l'antépénultième décade, Marche à l'ombre rassemble tout ce qui se fait de mieux en matière de comédie : deux acteurs énormes aux rôles complémentaires, des situations drôlement pahétiques et surtout, surtout, un talent d'écriture gigantesque. Pour son premier long métrage Michel Blanc n'y va décidément pas avec le dos de la cuillière : pas une réplique qui ne semble inspirée, chaque mot paraît mûrement réfléchi par l'acteur-réalisateur. Avec un sens de l'autodérision jouissif et un capital sympathie qui n'est aujourd'hui plus à prouver l'ami Michel livre un sommet du divertissement populaire tout en lui insufflant une sacrée personnalité. C'est à voir, à revoir, et à revoir encore ! Un film culte.
    Chris46
    Chris46

    510 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2014
    Marche a l'ombre sympathique comédie de michel blanc . C'est l'histoire de François ( gerard lanvin ) un musicien hors pair qui débarque dans le port de Marseille . il est bien décider a exploiter son talent et être repérer par les studios parisien . Il est accompagner par Denis ( michel blanc ) un ami qui est un hypocondriaque et un angoisser qui n'arrête pas de se plaindre . Tous les deux se rendent a Paris sans le sous et c'est pour eux le début des galères ...
    Michel blanc pour sa première réalisation signe une comédie très sympathique . Gerard lanvin est très bon dans le rôle de François ce routard qui aimerait percer dans la musique . Il forme un duo désopilant avec michel blanc excellent et hilarant dans le rôle de denis son pote qui est un véritable boulet car tout le temps angoisser et hypocondriaque qui se plaint sans arrêt . Leur duo fait des étincelles pour notre plus grand plaisir en nous offrant des dialogues savoureux hilarants et des moments cocasse . Tous les deux vont décider de monter a Paris pour que François puisse percer dans la musique mais sans un sous en poche sa va être le début des galères ou ils vont être embarquer dans une série de mésaventures hilarantes . Une comédie sympa avec son lot de scènes cocasse ( michel blanc qui fume un joint avec les effets secondaire qui vont avec ) et de répliques hilarante ( y'a ton copain qui dit qu'il est plus étanche ) . Une comédie qui remporta un très gros succès en 1984 avec plus de 6 millions d'entrées . La musique est cool et colle bien a l'ambiance du film . Même si ce film n'ai pas la comédie du siècle sa reste un bon divertissement ou l'on passe un bon moment .
    Incertitudes
    Incertitudes

    203 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    Marche à l'ombre est assez proche de Viens chez moi, j'habite chez une copine. La présence de Michel Blanc bien sûr. Mais les thématiques sont similaires. Chômage, précarité, crise du logement, difficultés amoureuses. A ceci près que Viens chez moi...avait l'espoir engendré par l'arrivée de la Gauche au pouvoir. Alors que Marche à l'ombre est tourné bien plus tard et que ces espoirs ont depuis été douchés. On retrouve donc Blanc dans son habituel rôle de Jean-Claude Dusse et Gérard Lanvin issu du café-théâtre lui aussi et qui, on peut dire, succède à Bernard Giraudeau dans le rôle du copain râleur. Cette comédie, je la trouve mais mille fois plus drôle que Viens chez moi...ou Ma femme s'appelle reviens ! Sérieux, Michel Blanc est un dialoguiste de tout premier plan, beaucoup trop rare, et je n'exagère pas. Impossible de citer toutes les répliques car cela reviendrait à citer tout le film. Ce qui serait trop fastidieux. Mais chaque vanne est un véritable missile. Comme si Blanc en portant la casquette de réalisateur pour la première fois avait décidé de se lâcher à fond profitant d'avoir les coudées franches contrairement aux films coécrits et mis en scène par Patrice Leconte. Les spectateurs ne s'y sont pas trompés. Avec six millions d'entrées en salles, Marche à l’ombre est le succès français de 1984. A tous les coups, Michel Blanc n'en espérait pas tant et pourtant le plus talentueux de la bande du Splendid, y a pas de doute, c'est bien lui.
    Stephenballade
    Stephenballade

    395 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2019
    "Marche à l’ombre" est le premier film de Michel Blanc en tant que réalisateur, accueilli par un peu plus de 6 millions de spectateurs. Quel succès ! Et pourtant… qui aurait cru retrouver ce comédien à la baguette, et en même temps le personnage le plus looser du cinéma français devenu l'étiquette de Michel Blanc ? Je vais peut-être vous l’apprendre, mais souvenez-vous : celui-ci avait marqué certains désaccords avec le reste de la troupe du Splendid à la veille de "Les bronzés font du ski". Ça remonte donc à la fin des années 70. Si je me fie aux dires d’un reportage récent sur la troupe, au départ il ne voulait pas apparaître dans le film. Pourquoi ? D’abord parce qu’il ne voyait pas l’utilité de tourner une suite à "Les bronzés", et ensuite parce qu’il ne la voyait pas aussi bonne. De plus, jouer l’éternel looser le fatiguait, d’autant qu’il vivait mal de se voir interpellé sans arrêt dans la rue en se faisant appeler Jean-Claude. Et donc contre toute attente, voilà "Marche à l’ombre". Sans aucun autre de ses compères du Splendid. Etonnant quand les premières répliques hument à plein nez le « made in Splendid ». Ah bah oui, vous apprendrez qu’une entorse peut s’infecter ou… gonfler à l’intérieur et non à l’extérieur. Admettons-le, il n’y a que Michel Blanc pour tenir de tels propos. Bingo ! C’est bien lui, de retour dans la peau du looser qui l’a rendu célèbre. A la différence près qu’il ne s’appelle plus Jean-Claude mais Denis… et qu’il n’est plus si looser que ça parce que contrairement à Jean-Claude, Denis parvient à conclure ! Ce qui ne change pas, c’est qu’il faut quand même se le farcir, et pour cela il fallait un bon ami. Un ami de bonne composition, parce qu’il faut se le fader à ce boulet et ce n'est rien de le dire. L’ami en question est incarné par un Gérard Lanvin volontaire, avec un côté un peu sans gêne pour échapper aux perpétuelles jérémiades de Denis. Le fait est que les deux acteurs forment un très bon duo en campant deux personnages unis dans la même galère malgré leurs différences. Bien entendu, je ne parle pas des différences physiques hein. Là-dessus il n’y a aucune comparaison possible, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais disons que l’un pense davantage à lui qu’à son pote tandis que c’est l’inverse pour l’autre : il pense plus à son copain et à leur avenir. La preuve, c’est toujours le même qui se coltine les tâches les plus ingrates (aller voir Monsieur Christian, les montres…), toujours le même qui laisse la place quand son acolyte n’est pas seul, toujours le même qui se montre toujours prêt à écouter son compagnon de route, et j’en oublie sûrement. Bien qu’unis, ils forment un contraste (et qui semble confirmer que les opposés s’attirent) car l’autre tape bien l’incruste quand il ne peut pas passer la nuit au chaud et dans le plus grand des conforts, y compris dans les moments les plus embarrassants. Pauvre Michel Blanc… quand il parvient à conclure, il ne peut pas être tranquille ! Et quand il arrive à l’être, c’est pour calculer des conneries et se faire attaquer par des renards, épisode que lui-même a un peu de mal à raconter parce que… parce que… ben je ne dirai rien parce que c’est une réplique culte. Des répliques cultes, il y en a quelques-unes, effectivement. Et pour tous ceux qui connaissent ce film depuis sa sortie en 1984, c’est un amusement de s’en souvenir et de les placer en même temps que les personnages. Un peu comme pour les films de la troupe du Splendid, me direz-vous. Au-delà de ça, c’est un vrai plaisir de redécouvrir ce film, d’autant que vous pouvez toujours vous adonner à quelques petits défis supplémentaires tels que reconnaître Sophie Duez (ce n’est pas très difficile, elle n’a guère changé depuis ce qui est en fait son tout premier rôle) ou d’autres petits rôles comme Jean-François Derec et même encore d’autres qui font une apparition au prix d’un caméo : Patrick Bruel (facile aussi), Bernard Farcy (toujours la même coupe qu’on lui connait dans la saga "Taxi") et enfin François Berléand (là, ça va être plus dur). "Marche à l’ombre" se démarque aussi par sa musique, pour le moins très éclectique. Tout y passe, sauf peut-être l’opéra et la musique classique. Ainsi vous aurez droit au rock (par le groupe Téléphone), à la musique de cabaret en passant par les musiques africaines (avec en prime un super solo au saxo !) et irlandaises sans oublier, bien entendu, le titre de Renaud qui a d’abord servi à nommer l’album dont il a été extrait. Et avec ses titres, vous voyagerez de Marseille aux Etats-Unis, avec une grosse pause à Paris, tout ça sans ennui parce que tout est imprimé sur un bon rythme. Seule ombre véritable au tableau : comment arrivent-ils à changer d’horizon alors qu’ils n’ont pas le sou pour se payer l’hôtel ?
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2019
    « Marche à l’Ombre » porte un regard tendre sur les déboires de deux sans domicile fixe dans un climat social morose. La drôlerie des dialogues et des situations dans lesquels sont embourbés Gérard Lanvin et Michel Blanc, dont c’est là la première réalisation, ont fait le succès de cette irrésistible comédie qui squatta la plus haute marche du box-office français en 1984.
    OMTR
    OMTR

    17 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2019
    Une comédie à la française des années 80, menée de main de maître par un Michel Blanc en grande forme, qui a également signé les dialogues. Un film qui a du cœur et une âme, ce qui fait actuellement si souvent défaut, qui nous narre les tribulations d’un duo comique et solidaire, parfaitement interprété par Gérard Lanvin et Michel Blanc, qui galère lors de leur retour totalement fauché de Grèce, où ils vont arpenter le pavé, le métro, les squats et bas-fonds parisiens. De fils en aiguilles, à travers des aventures tantôt comiques, douces, amères, tragiques, nos deux compagnons vont finalement se retrouver à New York. Un film qui a conservé tout son charme bon-enfant du milieu des années 1980, et qui procure un plaisir intact et intense lorsqu’on le revoit maintenant. Excellent !
    Dadou
    Dadou

    62 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Des dialogues croustillants et piquants pour un résultat très drôle.
    belo28
    belo28

    68 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juin 2012
    Une bonne comédie des années 80 qui même si elle penche un peu par sa réalisation trouve un duo de comédiens hors pair et un scénario solide criblé de dialogues savoureux!
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2012
    Michel Blanc est magistral en zoneur....Entre ses petites lachetés et ses roublardises....On rigole.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 juillet 2014
    Drôle , tendre et parfaitement mené , " Marche a l' ombre " est un film écrit , dialogué , réalisé et interprété par l' acteur Michel Blanc . Il forme un duo de marginaux avec Gérard Lanvin . C' est le cartoon au box office 1984 avec 6 128 425 entrées ! Ce film vaut pour ses B.O. ( Téléphone , Renaud ..) , ses répliques cultes signées Michel Blanc et son duo de bras cassés .Une réussite !
    bsalvert
    bsalvert

    405 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2011
    La paire Lanvin/Blanc a bien marché pendant des années, ce film vous le prouve.
    Les meilleurs films de tous les temps
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